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Anaxagore
Guide spirituel

Brighelli : L'escroquerie de la classe inversée  - Page 4 Empty Re: Brighelli : L'escroquerie de la classe inversée

par Anaxagore Lun 16 Jan - 14:52
Au fait. Alain, Propos sur l'éducation. XXXIV
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User17706
Bon génie

Brighelli : L'escroquerie de la classe inversée  - Page 4 Empty Re: Brighelli : L'escroquerie de la classe inversée

par User17706 Lun 16 Jan - 14:57
Voir le LI aussi Smile
Sphinx
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Prophète

Brighelli : L'escroquerie de la classe inversée  - Page 4 Empty Re: Brighelli : L'escroquerie de la classe inversée

par Sphinx Lun 16 Jan - 19:57
Sujet rouvert. Merci d'en rester aux discussions sur la classe inversée. La discussion sur l'écriture et la copie est maintenant là :
https://www.neoprofs.org/t108281-ecrire-copier-prendre-des-notes

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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."


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Oxford
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Érudit

Brighelli : L'escroquerie de la classe inversée  - Page 4 Empty Re: Brighelli : L'escroquerie de la classe inversée

par Oxford Mar 17 Jan - 7:51
Tamerlan a écrit:C'est quand même très difficile de réfléchir sur un mot qui ne veut rien dire dans le contexte où on l'applique. Rappelons qu'il s'agit d'une idée créée par un professeur de physique d'Harvard au début des années 90 pour ses étudiants. Dans ce contexte-là la notion d'"inversion" a un sens très clair. Il s'agit d'opérer une translation dans le temps et l'espace, le cours (un polycop) étant étudié de manière autonome et discuté ensuite avec l'enseignant. Il est évident que ceci n'a rien à voir avec ce qui  peut et doit se passer dans le secondaire, mais cette appellation est devenue un mot valise, chic et choc, un peu magique, comme les mouvements pédago et l'institution aiment en produire. Si on regarde sur le Net on voit que les collègues proposent, et c'est heureux, un ensemble de pratiques très différentes en fonction des disciplines et des démarches pédagogiques. En gros on regroupe sous ce label toutes les situations où on va demander à l'élève un travail préalable au temps de classe. Mais ce travail va de l'apprentissage (hypothétique) d'un véritable cours au visionnage d'une courte vidéo ou à la réalisation de quelques exercices pour réactiver des connaissances nécessaires pour aborder ce qui va se passer en classe. De la même manière ce temps de classe peut être consacré à des exercices au sens strict (et là on est dans le cadre de la définition originelle) ou à d'autres situations où s'abordent et se construisent réellement les notions-clés du cours. Dans ce dernier cas c'est ce que nous faisons largement déjà et qui parait quand même plus adapté au secondaire. Sans même parler de la question de savoir si le travail sera fait ou pas, il est quand même un peu suicidaire de demander à nos élèves de plancher tout seul sur les points les plus compliqués hors de notre présence. Au final il reste l'utilisation des outils et des ressources numériques pour optimiser l'articulation entre un travail préparatoire (ou en prolongement) et raisonnable (que souvent nous demandions déjà) hors la classe et ce que nous faisons dans celle-ci. Je ne suis pas sûr que cela mérite la création d'une étiquette aussi imprécise et de lui rendre un culte aussi déraisonnable.

Même vision pour ma part Brighelli : L'escroquerie de la classe inversée  - Page 4 2252222100

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