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AudreyOracle
Je viens de recevoir ce mail:
"Madame, Monsieur,
Le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail académique (CHSCTA) a décidé de réaliser un diagnostic sur la qualité de vie au travail, dans le cadre de la prévention des risques psycho-sociaux et a élaboré un questionnaire destiné aux personnels enseignants, administratifs, techniques, sociaux, de santé, de direction, d’éducation, d’orientation et d’inspection.
Cette enquête porte dans un premier temps sur les bassins de formation Ain Ouest, Loire Centre, Lyon Nord et les écoles des circonscriptions situées (même partiellement) sur ces bassins. Elle s’adresse à environ 10 000 personnes.
Nous vous invitons donc à participer à cette enquête qui vous permettra de vous exprimer sur vos conditions de travail. Le temps de réponse à ce questionnaire est estimé à environ 10 minutes.
L’enquête est mise en œuvre par la Direction Prospective et Statistiques ; les réponses sont strictement anonymes et la confidentialité des données est assurée lors des opérations de dépouillement des résultats. En effet, le logiciel utilisé traite statistiquement les réponses sans qu’il soit possible d’en connaître l’origine.
Vous pouvez commencer à répondre au questionnaire et terminer à un moment ultérieur.
L'enquête est ouverte du 9 au 22 février 2017.
Cliquez ici pour répondre
Les résultats seront présentés à la cellule de prévention académique et au CHSCT académique. Des actions de prévention seront ensuite mises en place en fonction des besoins mis en évidence.
D'avance, je vous remercie de votre participation."
J'ai complété le questionnaire, bien insuffisant dans ses questions, et parfois directif, comme à la question 14: "14. Dans mon travail, je dois faire des choses que je désapprouve (sanctions disciplinaires par exemple)"
J'ai ajouté ceci dans le petit cadre de commentaire qui nous était proposé:
Remarque: oui, je suis souvent obligée de faire des choses qui me déplaisent (toujours, en fait) mais certainement pas de sanctionner les élèves. Je n'ai aucun souci à le faire. Je suis tout à fait compétente dans tous les aspects de mon métier. En revanche, l'invasion du tout numérique, les injonctions débilitantes des IPR (qui ne sont là que pour nous faire rentrer dans le rang de la réforme du collège en nous infantilisant, en nous insultant, en nous cassant), les programmes ineptes, les méthodes pédagogistes qui laissent l'élève construire seul ses savoirs en évacuant l'enseignant de la classe, tout ça, non, je ne peux l'appliquer. Ca me pèse, ça m'humilie, ça me fatigue, ça me met en colère, et tout ça est bien sûr couronné du mépris de la Ministre pour mes matières (le latin et le grec), ministre qui n'a cessé de nous insulter durant ces deux dernières années, sans jamais accepter de nous recevoir pour dialoguer: s'exposer médiatiquement pour abreuver la nation de ses mensonges est bien plus efficace pour servir ses ambitions. Vous voulez savoir comment on va? Venez rencontrer les profs, au lieu de vous contenter d'un simple petit questionnaire qui ne demande même pas dans quel état de fatigue les enseignants sont, ni s'ils songent à démissionner, ni s'ils vont au travail avec plaisir ou à reculons. Si vous vous fendez de ce questionnaire aujourd'hui, c'est que la situation est déjà bien gangrénée, à n'en pas douter...Honte sur le Ministère. Honte sur la Ministre.
"Madame, Monsieur,
Le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail académique (CHSCTA) a décidé de réaliser un diagnostic sur la qualité de vie au travail, dans le cadre de la prévention des risques psycho-sociaux et a élaboré un questionnaire destiné aux personnels enseignants, administratifs, techniques, sociaux, de santé, de direction, d’éducation, d’orientation et d’inspection.
Cette enquête porte dans un premier temps sur les bassins de formation Ain Ouest, Loire Centre, Lyon Nord et les écoles des circonscriptions situées (même partiellement) sur ces bassins. Elle s’adresse à environ 10 000 personnes.
Nous vous invitons donc à participer à cette enquête qui vous permettra de vous exprimer sur vos conditions de travail. Le temps de réponse à ce questionnaire est estimé à environ 10 minutes.
L’enquête est mise en œuvre par la Direction Prospective et Statistiques ; les réponses sont strictement anonymes et la confidentialité des données est assurée lors des opérations de dépouillement des résultats. En effet, le logiciel utilisé traite statistiquement les réponses sans qu’il soit possible d’en connaître l’origine.
Vous pouvez commencer à répondre au questionnaire et terminer à un moment ultérieur.
L'enquête est ouverte du 9 au 22 février 2017.
Cliquez ici pour répondre
Les résultats seront présentés à la cellule de prévention académique et au CHSCT académique. Des actions de prévention seront ensuite mises en place en fonction des besoins mis en évidence.
D'avance, je vous remercie de votre participation."
J'ai complété le questionnaire, bien insuffisant dans ses questions, et parfois directif, comme à la question 14: "14. Dans mon travail, je dois faire des choses que je désapprouve (sanctions disciplinaires par exemple)"
J'ai ajouté ceci dans le petit cadre de commentaire qui nous était proposé:
Remarque: oui, je suis souvent obligée de faire des choses qui me déplaisent (toujours, en fait) mais certainement pas de sanctionner les élèves. Je n'ai aucun souci à le faire. Je suis tout à fait compétente dans tous les aspects de mon métier. En revanche, l'invasion du tout numérique, les injonctions débilitantes des IPR (qui ne sont là que pour nous faire rentrer dans le rang de la réforme du collège en nous infantilisant, en nous insultant, en nous cassant), les programmes ineptes, les méthodes pédagogistes qui laissent l'élève construire seul ses savoirs en évacuant l'enseignant de la classe, tout ça, non, je ne peux l'appliquer. Ca me pèse, ça m'humilie, ça me fatigue, ça me met en colère, et tout ça est bien sûr couronné du mépris de la Ministre pour mes matières (le latin et le grec), ministre qui n'a cessé de nous insulter durant ces deux dernières années, sans jamais accepter de nous recevoir pour dialoguer: s'exposer médiatiquement pour abreuver la nation de ses mensonges est bien plus efficace pour servir ses ambitions. Vous voulez savoir comment on va? Venez rencontrer les profs, au lieu de vous contenter d'un simple petit questionnaire qui ne demande même pas dans quel état de fatigue les enseignants sont, ni s'ils songent à démissionner, ni s'ils vont au travail avec plaisir ou à reculons. Si vous vous fendez de ce questionnaire aujourd'hui, c'est que la situation est déjà bien gangrénée, à n'en pas douter...Honte sur le Ministère. Honte sur la Ministre.
stefmexicoNiveau 5
Brillante réponse.
- AudreyOracle
Je ne sais pas si c'est brillant, ça ne servira sans doute à rien, mais ça avait besoin de sortir.
PuckVénérable
Audrey, c'est très bien dit et cela n'est (hélas) que la stricte vérité !
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"Ce que nous avons fait, aucune bête au monde ne l'aurait fait.
Mais nous nous en sommes sortis. Et nous voici confrontés à l'ingratitude de la nation. Pourtant, c'était pas ma guerre. C'était pas ma guerre, oh non !"Cripure
ZenxyaGrand sage
Bravo Audrey, 
Le rôle d'un CHSCT est d'être à l'écoute de l'ensemble des personnels, pas uniquement des "décideurs" qui semblent vouloir se dédouaner en faisant remplir un petit questionnaire.
Le rôle d'un CHSCT est d'être à l'écoute de l'ensemble des personnels, pas uniquement des "décideurs" qui semblent vouloir se dédouaner en faisant remplir un petit questionnaire.
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Soyez résolus à ne plus servir, et vous voilà libres - La Boétie
La folie c’est faire toujours la même chose et s’attendre à un résultat différent - Albert Einstein
L'École est le lieu où l'on va s'instruire de ce que l'on ignore ou de ce que l'on sait mal pour pouvoir, le moment venu, se passer de maître - Jacques Muglioni
CeladonDemi-dieu
Il y en a, au Comité d'Hygiène, qui vont :shock: à la lecture de ces lignes pleines de colère et de tristesse.
Je doute qu'ils y donnent une suite en alertant l'IA car pour cela il faudrait qu'un grand nombre de constats aussi précis remontent ce dont je doute hélas même si le questionnaire est anonyme, mais j'imagine assez la colère et le soulagement que tu as pu ressentir en les écrivant.
Et accessoirement, c'est quand même gonflé de lancer un tel diagnostic. Dans quel but ?
Je doute qu'ils y donnent une suite en alertant l'IA car pour cela il faudrait qu'un grand nombre de constats aussi précis remontent ce dont je doute hélas même si le questionnaire est anonyme, mais j'imagine assez la colère et le soulagement que tu as pu ressentir en les écrivant.
Et accessoirement, c'est quand même gonflé de lancer un tel diagnostic. Dans quel but ?
- PouceNiveau 9
Ils espèrent peut-être que peu répondront ou alors n'oseront pas dire le fond de leur pensée. Après ils pourront dire que tout va bien.
- AudreyOracle
Il faudrait que tout le monde dise clairement ce qu'il pense de cette hypocrisie...
ritta68Niveau 8
Un seul mot ..bravo.
- ZenxyaGrand sage
Ils essaient d'appliquer la loi. Il faudrait que je retrouve le texte et, là, j'ai la flemme*. Je résume, comme tout employeur, ils doivent faire attention, entre autres, aux risques psycho-sociaux (les RPS) et pour cela mener des enquêtes et après faire des propositions pour limiter ce risque. L'employeur est responsable pénalement des conditions de travail de ses employés. Faire un petit questionnaire avec des questions "orientés" pourraient leur permettre de se dédouaner facilement de leurs responsabilités d'employeur. Ce que je désapprouve dans mon travail c'est de sanctionner des élèves, c'est donc la faute de l'employé pas celle de l'employeur.
*Promis, juré, je vous le retrouve.
*Promis, juré, je vous le retrouve.
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- AudreyOracle
Mais franchement, arrêtez de me dire "bravo"! Je n'ai rien dit ou fait d'exceptionnel et tout le monde, vous compris, peut en dire autant quand l'occasion se présente! Cette facon de saluer mes supposés talents ou courage me met en fait hors de moi, car de plus en plus, je les reçois comme une excuse à la mollesse des collègues, ou à leur trouille de l'ouvrir, qui n'a absolument pas lieu d'être!
Ça m'agace tout ça, vraiment...
Ça m'agace tout ça, vraiment...
JaneBNeoprof expérimenté
Bien d'accord! Le problème, c'est que certains s'en accommodent et s'adaptent docilement à toutes les injonctions ...Audrey a écrit:Il faudrait que tout le monde dise clairement ce qu'il pense de cette hypocrisie...
lilith888Grand sage
Audrey a écrit:Mais franchement, arrêtez de me dire "bravo"! Je n'ai rien dit ou fait d'exceptionnel et tout le monde, vous compris, peut en dire autant quand l'occasion se présente! Cette facon de saluer mes supposés talents ou courage me met en fait hors de moi, car de plus en plus, je les reçois comme une excuse à la mollesse des collègues, ou à leur trouille de l'ouvrir, qui n'a absolument pas lieu d'être!
Ça m'agace tout ça, vraiment...
Je comprends ta colère, mais qu'attends-tu comme réponse alors en créant ton sujet ?
IphigénieProphète
Zenxya a écrit:Ils essaient d'appliquer la loi. Il faudrait que je retrouve le texte et, là, j'ai la flemme*. Je résume, comme tout employeur, ils doivent faire attention, entre autres, aux risques psycho-sociaux (les RPS) et pour cela mener des enquêtes et après faire des propositions pour limiter ce risque. L'employeur est responsable pénalement des conditions de travail de ses employés. Faire un petit questionnaire avec des questions "orientés" pourraient leur permettre de se dédouaner facilement de leurs responsabilités d'employeur. Ce que je désapprouve dans mon travail c'est de sanctionner des élèves, c'est donc la faute de l'employé pas celle de l'employeur.
*Promis, juré, je vous le retrouve.
V.MarchaisEmpereur
Sans vouloir te mettre en colère, je trouve ta réponse très bien, Audrey, et inspirante. J'espère que de nombreux collègues sauront s'emparer de l'idée que tu es en train de faire germer - que ç'ait été, ou non, ton intention. En tout cas, personnellement, j'attends le questionnaire avec impatience. Au lieu de le corbeiller (ce qui serait, je l'admets, ma réaction la plus spontanée), je répondrai du fond du coeur, ainsi que tu l'as fait. J'espère que nous serons nombreux à faire de même.
- ZenxyaGrand sage
Ben alors, j'étais plongée dans les recherches sur la toile et voilà qu'Iphigénie, bien plus rapide que moi, donne un texte.
Quant à moi, j'ai retrouvé ceux là :
http://www.education.gouv.fr/cid4253/sante-bien-etre-securite-travail.html
et
http://cache.media.education.gouv.fr/file/Sante_et_securite_au_travail/74/9/sst_circulaire+guide_juridique_505749.pdf
et puis mon pdf à moi, il fait 142 pages, nananère
Quant à moi, j'ai retrouvé ceux là :
http://www.education.gouv.fr/cid4253/sante-bien-etre-securite-travail.html
et
http://cache.media.education.gouv.fr/file/Sante_et_securite_au_travail/74/9/sst_circulaire+guide_juridique_505749.pdf
et puis mon pdf à moi, il fait 142 pages, nananère
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La folie c’est faire toujours la même chose et s’attendre à un résultat différent - Albert Einstein
L'École est le lieu où l'on va s'instruire de ce que l'on ignore ou de ce que l'on sait mal pour pouvoir, le moment venu, se passer de maître - Jacques Muglioni
- AudreyOracle
lilith888 a écrit:Audrey a écrit:Mais franchement, arrêtez de me dire "bravo"! Je n'ai rien dit ou fait d'exceptionnel et tout le monde, vous compris, peut en dire autant quand l'occasion se présente! Cette facon de saluer mes supposés talents ou courage me met en fait hors de moi, car de plus en plus, je les reçois comme une excuse à la mollesse des collègues, ou à leur trouille de l'ouvrir, qui n'a absolument pas lieu d'être!
Ça m'agace tout ça, vraiment...
Je comprends ta colère, mais qu'attends-tu comme réponse alors en créant ton sujet ?
Etant donné ta réponse et surtout ta question, on dirait que tu pensais que j'attendais des éloges...ce qui, je le répète, n'est pas le cas, tant m'exprimer sur ces problèmes me semble évident, normal et surtout simple.
J'ai posté ce mail pour informer les collègues d'autres académies puisque visiblement, pour le moment, ce n'est pas encore mis en place dans toutes les académies, et d'ailleurs, même dans mon académie, cela ne concerne que certains bassins d'enseignement dont celui de Bourg-en-Bresse.
Ce que j'attendais comme réponse: une mobilisation pour se saisir de l'occasion afin d'exprimer ce qui nous pèse à tous en collège, voire sur les autres niveaux...
Voilà tout.
- AudreyOracle
V.Marchais a écrit:Sans vouloir te mettre en colère, je trouve ta réponse très bien, Audrey, et inspirante. J'espère que de nombreux collègues sauront s'emparer de l'idée que tu es en train de faire germer - que ç'ait été, ou non, ton intention. En tout cas, personnellement, j'attends le questionnaire avec impatience. Au lieu de le corbeiller (ce qui serait, je l'admets, ma réaction la plus spontanée), je répondrai du fond du coeur, ainsi que tu l'as fait. J'espère que nous serons nombreux à faire de même.
Avant de voir qu'il y avait une case où on pouvait s'exprimer, j'ai pensé le corbeiller également, et me fendre à la place d'une lettre à la DIPE, ce que je vais peut-être faire quand même. Faut juste que je trouve le temps et l'énergie.
trompettemarineMonarque
Y aurait-il trop de demandes de démissions, trop d'abandons, trop de maladies pour dépression ou burn-out, trop de suicides qu'on étouffe, d'agressions, de harcèlement ?
L'absence illégale d'une médecine du travail ?
Un jour, la vérité finira bien par éclater.
J'ai assisté, il y a peu, à un congrès syndical sur la souffrance au travail. Je n'ai jamais vu autant de collègues qui ont levé la main pour dire qu'ils voulaient quitter le métier.
J'ai pu discuter avec d'anciens stagiaires (issus d'académies différentes) devenus titulaires : le même discours à faire frémir.
J'ai été bouleversée.
L'absence illégale d'une médecine du travail ?
Un jour, la vérité finira bien par éclater.
J'ai assisté, il y a peu, à un congrès syndical sur la souffrance au travail. Je n'ai jamais vu autant de collègues qui ont levé la main pour dire qu'ils voulaient quitter le métier.
J'ai pu discuter avec d'anciens stagiaires (issus d'académies différentes) devenus titulaires : le même discours à faire frémir.
J'ai été bouleversée.
- AudreyOracle
Tu as suivi le congrès du snalc sur la question, trompette? C'était effectivement très bien, du moins à Lyon, malgré la tendance de certains intervenants à oublier la question qui leur avait été posée au départ... ;-)
- trompettemarineMonarque
Oui, mais pas à Lyon. Il y avait, selon moi, des intervenants différents des tiens (dont un(e) dont je me serai bien passée, mais qui a visiblement plu à d'autres).
Chez nous, les interlocuteurs ont vraiment eu une réponse précise à leurs questions.
Chez nous, les interlocuteurs ont vraiment eu une réponse précise à leurs questions.
- AudreyOracle
Nous aussi, globalement, on a eu la réponse à nos questions... les intervenants ont dû peu varier entre nos deux congrès, je pense, en dehors des divers responsables académiques.
- trompettemarineMonarque
mp
laMissSage
Merci Audrey pour ce topic. Je ne m'attendais pas à ce que la DPS se fende (enfin) d'une enquête où que ce soit.
Je vais guetter mes mails et me faire un plaisir de répondre si un questionnaire de cet ordre me parviens !
Je vais guetter mes mails et me faire un plaisir de répondre si un questionnaire de cet ordre me parviens !
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Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- archebocEsprit éclairé
Sauf erreur de ma part, et si je comprends bien la situation, (j'espère que vous avez noté les précautions) le titre de ce fil est erroné : le questionnaire n'est pas de la DPS mais du CHCST. La DPS n'est que le moyen logistique, utilisé pour sa capacité à émettre le questionnaire et à en traiter les résultats.
Par ailleurs, au CHSCT, cette enquête est peut-être le résultat d'une action de persuasion de la part de vos représentants (vous avez bien des représentants au CHSCT ?) et qu'eux-mêmes se sont lancés là-dedans à la suite des congrès syndicaux évoqués ci-dessus.
Sinon, merci Audrey pour ta parrhèsia.
Par ailleurs, au CHSCT, cette enquête est peut-être le résultat d'une action de persuasion de la part de vos représentants (vous avez bien des représentants au CHSCT ?) et qu'eux-mêmes se sont lancés là-dedans à la suite des congrès syndicaux évoqués ci-dessus.
Sinon, merci Audrey pour ta parrhèsia.
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