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- ProvençalLeGauloisFidèle du forum
@MC311 a écrit:Dans mon collège, 2 collègues n'ont pas pu faire venir leurs enfants chez nous en raison des effectifs déjà lourds, enfin c'est la raison qu'on leur a donné pour le refus des dérogations ( qui étaient soutenues par le cde).
Le manque de place est toujours ou presque la raison du refus d'une dérogation.
Et oui, dans la mesure du possible, les dérogations demandées par les profs de l'établissement sont accordées, d'autant plus si le CDE émet un avis favorable, mais seulement si les dérogations officiellement prioritaires de parents "lambda" ont aussi pu passer.
Après, il y a toujours des arrangements qui doivent échapper à la DSDEN mais il ne vaut mieux pas que cela engendre des difficultés derrière qui remontraient à l'oreille du DASEN (du genre parent avec motif de dérog prioritaire qui s'est vu refuser sa dérog et qui apprend qu'un enfant hors secteur a pu s'inscrire sans motif...

- maikreeeesseNeoprof expérimenté
Cela dépend des coins, ici les dérogations par voies classiques sont très vérifiées...et peu sont validées.
- panikariNiveau 5
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« Exige beaucoup de toi-même et attends peu des autres. Ainsi beaucoup d'ennuis te seront épargnés. »
- FenrirNiveau 9
Il me semblait que le fonctionnariat impliquait un minimum de rectitude, c'est tout. Mais visiblement il n'y a que moi que ça interpelle, j'ai du me tromper quelque part.
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À quoi bon mettre son pédigrée, on est partis pour 40 ans
- pseudo-intelloFidèle du forum
Je ne pense pas que tu te trompes, je pense qu'être fonctionnaire impliquait des tas de choses en termes de devoirs et de droits, qui se sont cassées la figure au fil du temps.
Dans mon académie, il y a encore quelques années, aucun collègue ne se serait vu refuser cette dérogation ; il n'y aurait même pas eu de suspense (à cette époque bénie, on avait le droit de tomber malade, on avait le droit d'effectuer nos services sur une même commune, on était dispensés de se taper les case du socle, on recevait un traitement qui augmentait un brin chaque année, on... bref).
Depuis quelques temps, on a surtout l'impression de se faire enfler sur tous les tableaux un à un. Si on perd les avantages de la fonction publique et les droits qui lui étaient intrinsèquement liés, il est normal que certains finissent par s'asseoir aussi sur leurs devoirs. logique. Je ne vais pas blâmer ces collègues.
Dans mon académie, il y a encore quelques années, aucun collègue ne se serait vu refuser cette dérogation ; il n'y aurait même pas eu de suspense (à cette époque bénie, on avait le droit de tomber malade, on avait le droit d'effectuer nos services sur une même commune, on était dispensés de se taper les case du socle, on recevait un traitement qui augmentait un brin chaque année, on... bref).
Depuis quelques temps, on a surtout l'impression de se faire enfler sur tous les tableaux un à un. Si on perd les avantages de la fonction publique et les droits qui lui étaient intrinsèquement liés, il est normal que certains finissent par s'asseoir aussi sur leurs devoirs. logique. Je ne vais pas blâmer ces collègues.
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