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oreiller
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par oreiller Jeu 06 Nov 2008, 23:16
Un tas d'horreurs du début à la fin ! Je rappelle que TOUS les syndicats appellent à la grève nationale le 20 novembre (grève aussi dans le primaire et dans le supérieur, voir forum "Education dans l'actualité").

Darcos s'exprime à l'Assemblée Nationale le 4 novembre :
http://www.assemblee-nationale.fr/13/cri/2008-2009/20090048.asp#P44_1443


Quelques extraits ci-dessous :




M. Xavier Darcos, ministre de l’éducation nationale. Ils représentent, au contraire, une offre concurrente gratuite, laïque et ouverte à tous, aux frais de la République.
Dans le cadre de la réforme du premier degré, nous avons également décidé d’une évaluation plus régulière des résultats des élèves. Dès cette année, une évaluation-bilan se fera en CE1 et CM2 afin de nous permettre de définir quelles sont exactement les difficultés des élèves et de leur apporter les réponses adéquates. Les professeurs concernés percevront une indemnité correspondant à ce travail supplémentaire.


Pour ce qui est des deux heures de soutien, je ferai remarquer à ceux des intervenants qui y trouvent à redire qu’ils sont plus critiques que les personnels concernés, puisque cette organisation de la semaine a fait l’objet de deux protocoles d’accord, l’un signé à l’automne 2007 avec le SNUIPP, la CFDT et l’UNSA, l’autre au printemps 2008 avec l’UNSA et la CFDT. Évitez par conséquent de parler au nom des personnels lorsque les syndicats ne sont pas d’accord avec vous !




M. Xavier Darcos, ministre de l’éducation nationale. Enfin, je ne saurais terminer cette présentation des réformes de l’école primaire sans saluer le travail accompli par les parlementaires, en particulier l’initiative prise par votre rapporteur pour avis, Frédéric Reiss, et par les députés Benoist Apparu et Guy Geoffroy, qui prévoit, au travers d’une proposition de loi, la généralisation des établissements publics d’enseignement primaire pour toutes les écoles de plus de quinze classes.


Je remercie également André Schneider, qui a apporté son soutien à ce dispositif et propose une idée complémentaire intéressante, consistant à rattacher des écoles primaires à des collèges. Je pense qu’il ne faut pas faire preuve d’aucun dogmatisme en la matière. En tout état de cause, il convient de doter les regroupements de classes d’une structure administrative, car il n’est pas normal qu’une classe ne dispose pas d’intendance et se trouve obligée de passer par la caisse des écoles pour acheter des timbres. Je soutiendrai donc cette proposition de loi qui permettra de moderniser l’organisation de l’école primaire.




M. Xavier Darcos, ministre de l’éducation nationale. L’accompagnement éducatif après la classe fonctionne parfaitement et est à présent déployé dans tous les collèges et dans les écoles de l’éducation prioritaire. Ce dispositif innovant qui permet aux élèves de rester dans les établissements en fin de journée concerne à présent 7 000 collèges et 5 000 écoles. L’éducation nationale consacre 323 millions d’euros à ce dispositif et a l’intention de continuer à le financer.


Nous continuons d’ailleurs à étendre les services de ce type aux stages de vacances gratuits de remise à niveau proposés aux élèves de CM1-CM2 en difficulté. Lancés lors des dernières vacances de printemps, ils ont été étendus à l’été et, donnant satisfaction, seront reconduits. Nous les étendons également au dispositif de réussite expérimentale entré en vigueur dans 200 lycées difficiles à la rentrée 2008. Ces établissements proposent des stages de remise à niveau pendant les vacances et un accompagnement tout au long de l’année, assuré par des professeurs – spécialement rémunérés en heures supplémentaires –, par des assistants d’éducation, par des étudiants en master 2 qui se destinent à l’enseignement, mais aussi, pour les ateliers de langue, par des locuteurs natifs. Enfin, nous étendrons ces services à la rentrée 2009 dans les lycées difficiles qui bénéficieront de créations de poste sur projets – 600 équivalents temps plein, dont 100 dans le privé –, dans la continuité du plan espoir banlieue.


C’est grâce à ces réformes et grâce à la création de ces nouveaux services pour les élèves et leurs familles que nous pourrons bâtir une école plus juste et plus efficace.


Pour devenir plus performante et plus juste, l’école doit aussi bénéficier de moyens plus efficaces, plus énergiques et plus rapides, notamment en matière de remplacement et d’administration.




Comme cela a été dit, les problèmes en matière de remplacement suscitent, à juste titre, de l’angoisse au sein des familles. Mettre en place le meilleur système de remplacement possible constitue pour nous un objectif majeur. Les familles attendent un progrès dans ce domaine et nous allons agir, comme nous nous y étions d’ailleurs engagés lors de la discussion sur le service minimum d’accueil dans les écoles.


Aujourd’hui, le ministère de l’éducation nationale dispose d’un potentiel de remplacement important, supérieur à 50 000 postes d’enseignant. Or nous ne parvenons à mobiliser que 80 % de ce potentiel et environ 10 000 équivalents temps plein à la charge de l’État ne sont pas utilisés.


M. Candelier s’est plaint que les remplacements n’étaient pas assez rapides : de fait, nous pouvons améliorer le dispositif, car il reste 10 000 professeurs qui n’en font pas.


S’agissant de la modernisation du remplacement, plusieurs d’entre vous ont indiqué ne pas comprendre ce qu’était l’agence que j’ai annoncée. Il s’agit de mieux connaître et de mieux prévoir les causes d’absences potentielles, d’identifier les contraintes administratives qui limitent l’efficience des dispositifs de remplacement, en particulier le système de zones, et d’utiliser notre potentiel d’une manière plus énergique. Cette nouvelle gestion du remplacement que nous allons mettre en place permettra de réaffecter devant les élèves 3 000 remplaçants du second degré sur les 50 000 que nous avons aujourd’hui.


L’agence nationale sera opérationnelle au 1er septembre 2009 mais sa mission stratégique a déjà débuté. Des travaux ont été lancés. Si la gestion du remplacement doit rester locale, comme l’a fait remarquer le rapporteur spécial, le pilotage stratégique de l’agence ne peut se faire que dans la clarté. Est-il possible de faire plus confus que ces situations où, d’un côté du périphérique parisien, des élèves sont sans professeurs, pendant que, de l’autre côté, des professeurs restent sans élèves ? C’est la conséquence d’une gestion trop rigide des effectifs par académie.





M. Xavier Darcos, ministre de l’éducation nationale. De grands progrès ont été accomplis pour accroître l’efficacité de la gestion des établissements, des rectorats et de l’administration centrale. Afin de soutenir ce mouvement de rationalisation, j’ai signé avec les principaux syndicats des personnels administratifs un accord que je pourrais qualifier d’historique : il prévoit, sur trois ans, une programmation pluriannuelle des suppressions d’emplois et une revalorisation de leur situation indemnitaire. (Rires et exclamations sur les bancs du groupe SRC.) C’est un accord qu’ils ont signé.
M. Régis Juanico. Ce sont les plus faibles salaires de la fonction publique !
M. Xavier Darcos, ministre de l’éducation nationale. Ils ont accepté le principe d’être moins nombreux et d’aller mieux, ce qui correspond exactement aux intentions du Gouvernement.
Il faudra aller plus loin encore dans la question de l’autonomie, comme l’a souligné Frédéric Reiss. Je suis évidemment d’accord avec lui et nous avons bien l’intention d’avancer sur ce sujet.
Les personnels de l’éducation nationale, ce sont les enseignants. Mme Mazetier a insisté sur le malaise qu’ils éprouvent et cité le film lauréat de la Palme d’or du festival de Cannes. Je suis d’accord avec tout cela.
Les professeurs ont une activité en pleine évolution, ils s’investissent dans de nouvelles missions. Les heures supplémentaires, ils les acceptent volontiers et, contrairement à ce que vous dites, nous n’avons aucune difficulté à en faire effectuer ; nous avons même davantage de candidats que d’heures à distribuer. Ils sont soucieux d’aider les élèves, souhaitent informer les parents. Cette évolution constante, face à une société qui elle-même bouge sans cesse – ce que Marcel Gauchet appelle les nouvelles conditions d’éducation, dans un remarquable livre que je conseille –, doit être saluée, soutenue et accompagnée.
Voilà pourquoi nous ne concevons pas l’efficacité de la réforme sans la revalorisation du métier d’enseignant. Celle-ci est déjà engagée. Dans le présent budget, 410 millions d’euros sont exclusivement consacrés à la reconnaissance de missions nouvelles et à des indemnités de toute nature, en particulier pour les jeunes enseignants.
Les réformes mises en place pour mieux connaître le travail des enseignants vont au-delà des seules considérations budgétaires. J’ai ainsi lancé un travail approfondi sur le respect des règles au sein de l’école, sur la rédaction d’un code de la paix scolaire, sur la protection due à nos personnels, sur la reconnaissance du fait que les professeurs sont des intellectuels et doivent pouvoir accéder librement aux lieux de culture, aux musées, aux bibliothèques.
Tout ce travail s’effectue en collaboration avec les syndicats et il est faux de prétendre qu’il n’y a pas de dialogue. Depuis que je suis ministre, j’ai signé avec les organisations professionnelles douze accords portant sur des problèmes de fond ; je ne comparerai pas avec la situation qui prévalait précédemment. Affirmer aujourd’hui, que nous ne travaillons pas ensemble, que nous ne parlons pas et que nous nous regardons en chiens de faïence dans une posture d’opposition, c’est absolument méconnaître mon travail au quotidien avec les représentants de nos personnels.


Une question taraude beaucoup les enseignants : celle de leur affectation, en particulier la première. Nous sommes en train d’ouvrir un dossier, qui sera présenté dès la rentrée prochaine, pour que les affectations des enseignants se fassent dans une plus grande transparence, avec une meilleure information, en nous appuyant beaucoup plus sur le volontariat et en évitant que la première affectation soit imposée aux enseignants s’ils ne la souhaitent pas. Nous venons de l’expérimenter dans l’académie de Versailles. Dès cette semaine, une plate-forme téléphonique sera mise en place, qui fonctionnera sept jours sur sept et permettra aux jeunes enseignants ou aux enseignants en mutation d’obtenir toutes les informations et le soutien personnalisé qu’ils souhaitent pour préparer leur mobilité. (« Très bien ! » sur les bancs du groupe UMP.)


MM. Censi et Lachaud ont évoqué l’enseignement agricole. Je suis très soucieux de le voir continuer à se développer. Une solution dans ce sens doit être trouvée avant l’adoption définitive du projet de budget pour 2009. Je rappelle que les crédits de l’enseignement agricole sont inscrits au budget du ministère de l’agriculture.




Je remercie tous les orateurs qui sont intervenus, y compris ceux qui ont formulé des propos extrêmement critiques. Je ne doute pas que ceux qui parlent de l’école – qui sont souvent d’ailleurs des anciens de l’éducation nationale – sont animés de vraies convictions, quelles que soient leurs opinions politiques. Toutefois, je le répète, faire croire que la réussite du système éducatif reposerait simplement, sans aucune autre mutation intérieure, sur une accumulation de dispositifs et de postes, c’est mentir.

[SUITE dans mon deuxième message]


Dernière édition par oreiller le Jeu 06 Nov 2008, 23:46, édité 2 fois
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TZR + tous : Darcos à l\'Assemblée : édifiant ! Empty Re: TZR + tous : Darcos à l\'Assemblée : édifiant !

par oreiller Jeu 06 Nov 2008, 23:17
Suite :

Mme Martine Martinel. Monsieur le ministre, Nicolas Sarkozy a annoncé, au mois de juin, son intention de confier la formation des enseignants aux seules universités et non aux IUFM avec une exigence de « masterisation » pour les candidats aux concours d’enseignants et une promesse de revalorisation substantielle des carrières.
J’ai le sentiment, à la lecture des textes de cadrage de la réforme des concours, qu’après avoir changé de nom, les IUFM, devenus des écoles professionnelles à l’intérieur de l’université, sont désormais des coquilles vides, dépourvues de contenu et de moyens, victimes de la rigueur budgétaire.
Mme la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche a de surcroît confié aux universités, pour la rentrée 2009-2010, l’organisation de masters professionnels. Quel est le rôle effectif des écoles professionnelles dans ce dispositif ?
Avec cette réforme fondée sur un budget revu à la baisse dès leur première année d’exercice, les fonctionnaires stagiaires seront mis totalement en situation d’enseignement avec, dites-vous, monsieur le ministre, le soutien de professeurs expérimentés. Or, vous le savez, enseigner est un véritable métier. Un recrutement à bac + 5, fût-il suivi d’un compagnonnage, ne peut remplacer la nécessaire formation à ce métier, en disposant du temps indispensable pour prendre en compte toutes ses spécificités, notamment pédagogiques.
Cette réduction drastique de la dimension professionnelle est totalement en contradiction avec l’opinion de Mme Pécresse qui considère que « la formation des maîtres est un enjeu de l’avenir de l’école tant elle impacte la réussite des élèves » et avec le terme d’efficacité qui a été très souvent avancé ce matin.
À quelle logique, si ce n’est budgétaire, correspond cette refondation des concours et ce changement de statut des jeunes professeurs stagiaires ? Hormis la mort programmée des IUFM, hormis un recrutement préjudiciable à la diversité sociologique des enseignants, en quoi cette réforme des concours fonde-t-elle le renouveau tant annoncé de l’école et prépare-t-elle la réussite des élèves ?
M. le président. La parole est à M. le ministre.
M. Xavier Darcos, ministre de l’éducation nationale. D’abord, je rappelle que cette réforme présentée comme extrêmement dangereuse et peu acceptée, a fait l’objet d’accords répétés avec nos personnels, que nous avons signé, avec la conférence des présidents d’université et avec la conférence des directeurs d’IUFM, un document formel indiquant comment les formations allaient être effectuées et comment les concours se présenteraient. Il n’y a donc pas pour le moment de tempête sur ce sujet.
Mme Martine Martinel. En tout cas, il y a de la houle !
M. Xavier Darcos, ministre de l’éducation nationale. Les syndicats et l’éducation nationale sont d’accord. Reconnaissez qu’il y a des sujets plus difficiles à traiter que ceux sur lesquels tout le monde est d’accord !
Il s’agit tout d’abord de l’intégration des IUFM dans les universités : elle a été réalisée dans la loi d’orientation des universités, qui n’était pas de ma compétence. Cette intégration n’est donc plus un objet de discussion.
Il faut ensuite revaloriser le niveau des recrutements à bac + 5, en vue d’engager parallèlement une revalorisation des carrières, que nous avons du reste déjà entamée. En recrutant plus haut, nous pourrons remonter l’ensemble de la grille des personnels.
En revanche, il ne s’agit pas de supprimer la formation professionnelle ; je l’ai entendu dire, mais telle n’est pas notre intention. Une grande partie de la préparation des étudiants qui suivront un master professionnalisé relèvera de la professionnalisation, comme c’est du reste le cas de tous les masters professionnalisés. Ces étudiants viendront en stage dans des établissements scolaires dans le cadre d’échanges – des accords étant passés à cette fin avec les universités. Une fois reçus au concours, ils seront mis en compagnonnage au cours de leur première année. Nous ne renonçons donc pas à la formation professionnelle, ce qui serait absurde.
En ce qui concerne les professeurs du premier degré, nous avons passé un accord avec les universités et les IUFM en vue de créer des masters adaptés aux formations générales qui correspondent aux besoins du premier degré.
Il n’y a donc lieu ni de s’alarmer sur le sujet ni de considérer qu’il s’agit pour le ministère d’un moyen de faire des économies alors que cette revalorisation va coûter d’autant plus cher qu’elle concernera près d’un million de fonctionnaires ! Cette mesure de revalorisation morale et matérielle des enseignants en France fait partie du projet que le Président de la République m’a demandé de conduire.
Pierre_au_carré
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par Pierre_au_carré Jeu 06 Nov 2008, 23:32
C'est un peu long...

Faudrait mettre un lien vidéo de L.C.P., tant qu'à faire...
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oreiller
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par oreiller Jeu 06 Nov 2008, 23:44
Si vous n'avez pas le temps de tout lire (ce n'est pas super long non plus), lisez ce qui et en caractère gras. C'est long justement parce qu'il nous donne des tas d'arguments pour que nous nous mobilisions...
John
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TZR + tous : Darcos à l\'Assemblée : édifiant ! Empty Re: TZR + tous : Darcos à l\'Assemblée : édifiant !

par John Jeu 06 Nov 2008, 23:45
Le deuxième message nous concerne plus que le premier, dont on ne comprend pas bien où il débute : il commence par "ils" sans qu'on sache ce qu'est ce "ils".

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TZR + tous : Darcos à l\'Assemblée : édifiant ! Empty Re: TZR + tous : Darcos à l\'Assemblée : édifiant !

par oreiller Jeu 06 Nov 2008, 23:47
Je viens d'éditer le premier message, en soulignant le passage où il parle des remplacements.
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TZR + tous : Darcos à l\'Assemblée : édifiant ! Empty Re: TZR + tous : Darcos à l\'Assemblée : édifiant !

par oreiller Jeu 06 Nov 2008, 23:50
Non, le premier nous concerne aussi très directement : outre le primaire, sont aussi abordés l'autonomie des établissements, les heures sup, le remplacement, les affectations, le code de la paix scolaire (sic)...
John
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TZR + tous : Darcos à l\'Assemblée : édifiant ! Empty Re: TZR + tous : Darcos à l\'Assemblée : édifiant !

par John Ven 07 Nov 2008, 00:04
"Ils représentent, au contraire, une offre concurrente gratuite, laïque et ouverte à tous, aux frais de la République."

Mais "ils" c'est quoi ? o_O

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par oreiller Ven 07 Nov 2008, 00:16
"ils" = des services nouveaux tels que les stages de remise à niveau pendant les vacances
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TZR + tous : Darcos à l\'Assemblée : édifiant ! Empty Re: TZR + tous : Darcos à l\'Assemblée : édifiant !

par Clarianz Ven 07 Nov 2008, 18:23
C'est fou parfois la mauvaise volonté...
C'est déjà bien de centraliser toutes les infos sur le forum, n'allons pas en plus décourager... non?

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