exemples de correspondances ?

Le coup du pied, c'est quand même tiré par les cheveux. Pour le fait de tirer les élastiques, les poches crevées et le sueur, why not ?

Rimbaud se présente dans ce poème comme le Petit-Poucet, Cripure...

Bon, moi je ne comprends plus rien au poème Ma bohème...
Sérieusement, au collège et au lycée, vous vous lanceriez dans cette interprétation de masturbation ?

Si on devait vraiment étudier Rimbaud "sérieusement", en creusant, en ne restant pas à la surface bien proprette, Violet... clairement, on ne le ferait plus du tout en collège. Au lycée, ma foi, oui, j'en parlerais... si on ne peut pas parler de cul en littérature au lycée, ... beh on fait pas beaucoup de littérature, non? lol

Mais bon, c'est le printemps, j'ai la pêche, les hormones en folie, alors bon, je ne suis peut-être pas très objective...lol

Quand on parle du loup...

http://www.franceculture.com/emission-les-nouveaux-chemins-de-la-connaissance-les-bohemes-de-rimbaud-15-biographie-2011-03-28.htm

Audrey a écrit:Rimbaud se présente dans ce poème comme le Petit-Poucet, Cripure...

Ouf ! Sinon, on finirait par aboutir à "Pousse, je prends mon pied". L'agrégation l'échappe belle.

...

heather a écrit:

thrasybule a écrit:je pense a la note bleue diminution d un demi ton qui donne sa couleur,justement ,au blues, ce dernier mot etant d ailleurs evocateur d une synesthesie son couleur et donne egalement une coloration emotionnelle de nature presque verticale je pense aussi aux metaphores oenologiques comme un vin qui a de la cuisse etc pardon pr les fautes de frappe: smartphone et cahots du train

J'ai lu une théorie opposée sur cette fameuse note bleue. Le blues est d'ailleurs parfois nommé "Devil's music". J'aimerais savoir si ces théories sont fumeuses.

Je ne peux pas vous aider du tout sur les correspondances, je ne maîtrise pas du tout...
Par contre, la note "bleue" dont parle Thrasy serait ce qu'on appelle en musique la note "sensible". C'est la note qui permet de créer une attente / tension dans la résolution d'un accord. Au lieu de jouer des variations autour de l'accord attendu dans un morceau, on ajoute la note sensible, ( la septième, diminuée d'un demi-ton), qui donne cette impression d'inachevée.
Effectivement, elle est beaucoup utilisée en blues, ce qui donne à la musique cette couleur particulière. Nos oreilles ne s'attendent pas forcément à l'entendre. On utilise aussi les demis-tons comme "paliers" (je ne sais pas comment le dire autrement) avant la note attendue, ce qui est un procédé différent...
On la (la note sensible) trouve aussi beaucoup dans la musique romantique ( chopin, entre autres).
Je ne sais pas si ça vous aide, mais bon voilà, comme je suis en train de m'arracher les doigts sur un blues en ce moment, je me permets...

Cripure a écrit:

Audrey a écrit:Rimbaud se présente dans ce poème comme le Petit-Poucet, Cripure...

Ouf ! Sinon, on finirait par aboutir à "Pousse, je prends mon pied". L'agrégation l'échappe belle.

Tant qu'on n'en arrive pas à "pousse, petit vent, pousse" (qui pourra reconnaisse la citation!)...oui, on est sauvé!

Audrey a écrit:

Cripure a écrit:

Audrey a écrit:Rimbaud se présente dans ce poème comme le Petit-Poucet, Cripure...

Ouf ! Sinon, on finirait par aboutir à "Pousse, je prends mon pied". L'agrégation l'échappe belle.

Tant qu'on n'en arrive pas à "pousse, petit vent, pousse" (qui pourra reconnaisse la citation!)...oui, on est sauvé!

Là, je suis sec...

Cripure a écrit:

Audrey a écrit:

Cripure a écrit:

Audrey a écrit:Rimbaud se présente dans ce poème comme le Petit-Poucet, Cripure...

Ouf ! Sinon, on finirait par aboutir à "Pousse, je prends mon pied". L'agrégation l'échappe belle.

Tant qu'on n'en arrive pas à "pousse, petit vent, pousse" (qui pourra reconnaisse la citation!)...oui, on est sauvé!

Là, je suis sec...

Tu n'as pas eu de petite sœur qui regardait les séries Dorothée ?

Puisque vous me suppliez tous à genoux...

JPhMM a écrit:

Cripure a écrit:

Audrey a écrit:

Cripure a écrit:

Audrey a écrit:Rimbaud se présente dans ce poème comme le Petit-Poucet, Cripure...

Ouf ! Sinon, on finirait par aboutir à "Pousse, je prends mon pied". L'agrégation l'échappe belle.

Tant qu'on n'en arrive pas à "pousse, petit vent, pousse" (qui pourra reconnaisse la citation!)...oui, on est sauvé!

Là, je suis sec...

Tu n'as pas eu de petite sœur qui regardait les séries Dorothée ?

Je ne sais même pas de quoi vous parlez... Et non, je n'ai pas de soeur, grande ou petite. La première fois que j'ai eu une télé, j'avais trente ans, et elle marche si peu que c'est toujours la même que j'ai aujourd'hui, seize ans après.

moon a écrit:

heather a écrit:

thrasybule a écrit:je pense a la note bleue diminution d un demi ton qui donne sa couleur,justement ,au blues, ce dernier mot etant d ailleurs evocateur d une synesthesie son couleur et donne egalement une coloration emotionnelle de nature presque verticale je pense aussi aux metaphores oenologiques comme un vin qui a de la cuisse etc pardon pr les fautes de frappe: smartphone et cahots du train

J'ai lu une théorie opposée sur cette fameuse note bleue. Le blues est d'ailleurs parfois nommé "Devil's music". J'aimerais savoir si ces théories sont fumeuses.

Je ne peux pas vous aider du tout sur les correspondances, je ne maîtrise pas du tout...
Par contre, la note "bleue" dont parle Thrasy serait ce qu'on appelle en musique la note "sensible". C'est la note qui permet de créer une attente / tension dans la résolution d'un accord. Au lieu de jouer des variations autour de l'accord attendu dans un morceau, on ajoute la note sensible, ( la septième, diminuée d'un demi-ton), qui donne cette impression d'inachevée.
Effectivement, elle est beaucoup utilisée en blues, ce qui donne à la musique cette couleur particulière. Nos oreilles ne s'attendent pas forcément à l'entendre. On utilise aussi les demis-tons comme "paliers" (je ne sais pas comment le dire autrement) avant la note attendue, ce qui est un procédé différent...
On la (la note sensible) trouve aussi beaucoup dans la musique romantique ( chopin, entre autres).
Je ne sais pas si ça vous aide, mais bon voilà, comme je suis en train de m'arracher les doigts sur un blues en ce moment, je me permets...

La note sensible se trouve partout, vu que c'est le dernier degré de n'importe quelle gamme ("si" en gamme de do majeur, sol# en la mineur, etc.). Elle n'appartient pas à un style ou à une école. En revanche, elle peut être davantage mise en avant, mais c'est tout.

Audrey a écrit:Puisque vous me suppliez tous à genoux...




Sébastien Roch (Cri Cri d'amour !) : Pousse petit vent - wideo
Cri Cri d'amour (Hélène et les garçons) nous livre ici un titre quelque peu... heu... saisissant !

(Clip tourné en 1993 à Los Angeles)

Cripure a écrit:[La note sensible se trouve partout, vu que c'est le dernier degré de n'importe quelle gamme ("si" en gamme de do majeur, sol# en la mineur, etc.). Elle n'appartient pas à un style ou à une école. En revanche, elle peut être davantage mise en avant, mais c'est tout.

Précisé comme ça, c'est beaucoup plus clair...

Lynette pourquoi as-tu enlevé ta réponse ? :shock:

Violet a écrit:Lynette pourquoi as-tu enlevé ta réponse ? :shock:

J'avais l'impression que ça n'intéressait personne ou qu'elle n'apportait rien du coup je l'ai virée

Moi, elle m'intéressait ! quelle drôle d'idée !

Ah ben oui Lynette! pourquoi supprimer une réponse? Crois-moi, c'était sûrement plus digne d'intérêt que le "pousse, petit vente, pousse"!

j en profite . violet, pour te donner l exemple des nocturnes de chpoin comme correspondance vue son de plus lorsque je parlais de la blue note je parlais du jazz et non de chopin pour llequel il s agit de la quarte augmentee de je sais plus quelle gamme mes souvenirs de solfege sont lointains