Celeborn dans C à vous

Replay interdit chez moi. Si quelqu'un pouvait signaler qu'il va passer dans telle ou telle émission pour que je m'arrange à la regarder en direct, ce serait vraiment, vraiment sympa.
Merci d'avance !

Catsoune a écrit:Bravo Celeborn.  Pertinent, clair, précis et sans temps mort....... je suis admirative!

+1
Bravo, vraiment!

J'ai l'impression que la présentatrice n'a rien compris au problème des heures sup imposées, elle répétait "vous êtes payés plus". Elle devait ignorer que ces HS sont moins payées que les heures "normales" et ne comptent pas pour la retraite. C'est chose sur quoi il faudrait aussi insister.

retraitée a écrit:J'ai l'impression que la présentatrice n'a rien compris au problème des heures sup imposées, elle répétait "vous êtes payés plus". Elle devait ignorer que ces HS sont moins payées que les heures "normales" et ne comptent pas pour la retraite. C'est chose sur quoi il faudrait aussi insister.

Mais elle ne comprend rien à rien, ou fait très bien semblant. Je l'ai déjà entendu sur d'autres sujets, son seul crédo c'est de répéter en boucle les propos du "français moyen". Elle est démago comme rare.

Pseudo a écrit:

Leclochard a écrit:

Dalilah a écrit:Non mais attendez, ça ne choque personne qu'elle vienne lancer une pique sur le salaire qu'elle semble estimer démesuré des profs de prépa? On a appris récemment qu'Hanouna gagnait 25000 euros pour faire le pitre sur la TNT. On peut tabler sur le double pour Lapix.... Mais 4800 euros pour un agrégé dans le supérieur, ça la chiffonne...  :shock: 

Elle ne s'attendait pas à ce qu'un prof gagne autant, à mon avis. Le fait est qu'à chaque fois qu'on parle publiquement du traitement des enseignants on (les syndicats) mettent en avant les rémunérations les plus basses (celles des certifiés) pour des raisons bien compréhensibles.
Résultat : Dans la population, c'est le mythe du prof qui gagne 1700 euros qui domine. Or, j'ai déjà eu l'occasion de le dire, il y a des écarts considérables (et explicables) dans notre profession. Ça n'a pas de sens de généraliser même si on peut dire qu'il y a un problème de pouvoir d'achat depuis quelques années car nous n'avons pas été augmentés en proportion de l'inflation.

Quand on est payé 1700 euros (ou 2000 au bout de 15 ans d'ancienneté) pour un salaire de prof (cadre, bac+5 ou même bac+3) il y a un peu plus qu'un problème d'inflation.

C'est pas mon propos.
Cependant, pour te donner une idée, on a perdu entre 20 et 30% de pouvoir d'achat depuis que nos traitements ne suivent pas l'inflation. Les gens compensent avec les hsa, les primes, les passages d'échelon, l'agrégation et parfois...le salaire du conjoint. Demander le simple rattrapage de cette perte n'est pas donc anecdotique. Après, tu évoques un autre débat : combien devrait-on gagner dans l'absolu ? faudrait-il faire débuter les certifiés à 2000, 2500 ou 3000 euros nets ? On approche de Noël. On a le droit de rêver.   

Leclochard a écrit:

Pseudo a écrit:

Leclochard a écrit:

Elle ne s'attendait pas à ce qu'un prof gagne autant, à mon avis. Le fait est qu'à chaque fois qu'on parle publiquement du traitement des enseignants on (les syndicats) mettent en avant les rémunérations les plus basses (celles des certifiés) pour des raisons bien compréhensibles.
Résultat : Dans la population, c'est le mythe du prof qui gagne 1700 euros qui domine. Or, j'ai déjà eu l'occasion de le dire, il y a des écarts considérables (et explicables) dans notre profession. Ça n'a pas de sens de généraliser même si on peut dire qu'il y a un problème de pouvoir d'achat depuis quelques années car nous n'avons pas été augmentés en proportion de l'inflation.

Quand on est payé 1700 euros (ou 2000 au bout de 15 ans d'ancienneté) pour un salaire de prof (cadre, bac+5 ou même bac+3) il y a un peu plus qu'un problème d'inflation.

C'est pas mon propos.
Cependant, pour te donner une idée, on a perdu entre 20 et 30% de pouvoir d'achat depuis que nos traitements ne suivent pas l'inflation. Les gens compensent avec les hsa, les primes, les passages d'échelon, l'agrégation et parfois...le salaire du conjoint. Demander le simple rattrapage de cette perte n'est pas donc anecdotique. Après, tu évoques un autre débat : combien devrait-on gagner dans l'absolu ? faudrait-il faire débuter les certifiés à 2000, 2500 ou 3000 euros nets ? On approche de Noël. On a le droit de rêver.   

Je comprends d'autant plus que pour moi c'est une perte nette de 30% d'achat. Je n'ai ni prime, ni HSA, ni agrégation à passer, ni salaire de conjoint. C'est ce qu'oublient un peu vite les profs qui se sentent désargentés : les docs, les cpe, les instits, se brossent en ce qui concerne les différents "aménagements" financiers. On approche de noël et je vois les gens défendre les collègues de CPGE mais oublier un peu vite les soutiers de l'En qui se soutiennent tout seul. Que dis-je oublier... ne toujours pas prendre en compte, devrais-je dire. Je hais noël.
Et si quelqu'un vient me traiter de jalouse, je lui renvoies son égoïsme et sa vision nombriliste à la tronche tout de suite, comme ça c'est fait.

Pseudo a écrit:

Leclochard a écrit:

Pseudo a écrit:

Quand on est payé 1700 euros (ou 2000 au bout de 15 ans d'ancienneté) pour un salaire de prof (cadre, bac+5 ou même bac+3) il y a un peu plus qu'un problème d'inflation.

C'est pas mon propos.
Cependant, pour te donner une idée, on a perdu entre 20 et 30% de pouvoir d'achat depuis que nos traitements ne suivent pas l'inflation. Les gens compensent avec les hsa, les primes, les passages d'échelon, l'agrégation et parfois...le salaire du conjoint. Demander le simple rattrapage de cette perte n'est pas donc anecdotique. Après, tu évoques un autre débat : combien devrait-on gagner dans l'absolu ? faudrait-il faire débuter les certifiés à 2000, 2500 ou 3000 euros nets ? On approche de Noël. On a le droit de rêver.   

Je comprends d'autant plus que pour moi c'est une perte nette de 30% d'achat. Je n'ai ni prime, ni HSA, ni agrégation à passer, ni salaire de conjoint. C'est ce qu'oublient un peu vite les profs qui se sentent désargentés : les docs, les cpe, les instits, se brossent en ce qui concerne les différents "aménagements" financiers. On approche de noël et je vois les gens défendre les collègues de CPGE mais oublier un peu vite les soutiers de l'En qui se soutiennent tout seul. Que dis-je oublier... ne toujours pas prendre en compte, devrais-je dire. Je hais noël.
Et si quelqu'un vient me traiter de jalouse, je lui renvoies son égoïsme et sa vision nombriliste à la tronche tout de suite, comme ça c'est fait.

Je comprends ton ressentiment. Je parlais d'écarts énormes plus haut : il n'est pas que dans le revenu, il est aussi dans les possibilités de l'augmenter.
Je crois que les profs des classes prépa ont bien conscience de faire partie d'une élite, et que leurs conditions de travail comme leur traitement les distinguent des plus modestes (prof des écoles, documentaliste etc..) c'est pourquoi tu auras remarqué toute la rhétorique qu'ils déploient pour obtenir le soutien des autres collègues et de la population en général: on parle de pourcentages et rarement de chiffres directs (perte de mille euros pour certains..), on souligne la charge de travail, le haut niveau de qualification, la dimension méritocratique du recrutement, la faible somme qu'on repartirait aux profs de zep, et l'aspect injuste de la mesure (tout cela étant bien réel).

Leclochard a écrit:
Je comprends ton ressentiment. Je parlais d'écarts énormes plus haut : il n'est pas que dans le revenu, il est aussi dans les possibilités de l'augmenter.
Je crois que les profs des classes prépa ont bien conscience de faire partie d'une élite, et que leurs conditions de travail comme leur traitement les distinguent des plus modestes (prof des écoles, documentaliste etc..) c'est pourquoi tu auras remarqué toute la rhétorique qu'ils déploient pour obtenir le soutien des autres collègues et de la population en général: on parle de pourcentages et rarement de chiffres directs (perte de mille euros pour certains..), on souligne la charge de travail, le haut niveau de qualification, la dimension méritocratique du recrutement, la faible somme qu'on repartirait aux profs de zep, et l'aspect injuste de la mesure (tout cela étant bien réel).

Je m'éloigne du sujet du post, mais si nos aristos des classes prépa s'intéressaient un peu plus aux autres collègues en temps normal, ils n'auraient pas besoin de se contorsionner de la sorte aujourd'hui pour obtenir du soutien. On dit que le gouvernement divise pour régner, mais la division en castes pré-existait à Peillon. Y a plus qu'à s'en prendre à soi-même, ai-je envie de dire. Pourtant, je doute que les collègues de CPGE se souviennent bien longtemps qu'ils ont eu du soutien. Ils vont retourner à leur morgue illico presto, dès leurs salaires sauvés.

Hoa Mai a écrit: Bravo Celeborn, toujours très clair et pertinent  

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Pseudo a écrit:

Leclochard a écrit:
Je comprends ton ressentiment. Je parlais d'écarts énormes plus haut : il n'est pas que dans le revenu, il est aussi dans les possibilités de l'augmenter.
Je crois que les profs des classes prépa ont bien conscience de faire partie d'une élite, et que leurs conditions de travail comme leur traitement les distinguent des plus modestes (prof des écoles, documentaliste etc..) c'est pourquoi tu auras remarqué toute la rhétorique qu'ils déploient pour obtenir le soutien des autres collègues et de la population en général: on parle de pourcentages et rarement de chiffres directs (perte de mille euros pour certains..), on souligne la charge de travail, le haut niveau de qualification, la dimension méritocratique du recrutement, la faible somme qu'on repartirait aux profs de zep, et l'aspect injuste de la mesure (tout cela étant bien réel).

Je m'éloigne du sujet du post, mais si nos aristos des classes prépa s'intéressaient un peu plus aux autres collègues en temps normal, ils n'auraient pas besoin de se contorsionner de la sorte aujourd'hui pour obtenir du soutien. On dit que le gouvernement divise pour régner, mais la division en castes pré-existait à Peillon. Y a plus qu'à s'en prendre à soi-même, ai-je envie de dire. Pourtant, je doute que les collègues de CPGE se souviennent bien longtemps qu'ils ont eu du soutien. Ils vont retourner à leur morgue illico presto, dès leurs salaires sauvés.

A force de répéter qu'ils ont les meilleurs élèves, qu'ils font un travail infiniment plus difficile que les autres, qu'ils sont les plus qualifiés (je n'ose dire les plus intelligents), qu'ils forment l'élite de demain, qu'ils sont les mieux payés, qu'ils sont au-dessus des contingences du primaire et du secondaire (aucune grève depuis des années), c'est un peu normal que certains aient pris le melon. Leurs déclarations laissent transparaître cela parfois, malgré eux (on l'a lu ici).

Dans tous les cas c'est assez amusant de croire qu'on va augmenter le salaire ou l'estime des autres professeurs en tapant sur ceux-là:
il n'y a qu'à écouter ce que dit Lapix pour voir le mépris suintant à l'égard du boulot de "prof"( d'ailleurs on ne dit plus "professeur") et leur 10 ou 15 heures de fainéants: quand Celeborn fait remarquer qu'on parle de gens à bac + 5,6,7,8,, Lapix n'entend pas: un prof, ce n'est quand même pas comparable à un ingénieur ou , bien sûr, un animateur de télé: quand même, 4800 euros c'est beaucoup pour vous, restez à votre place.

Peillon sait bien ce qu'il fait en tapant sur eux: détourner la colère des rythmes scolaires en déclenchant l'hallali sur le tout petit nombre des profs de prépa.
Et noyer l'ensemble sous la conclusion générale: tous des fainéants.

Personnellement, on me proposerait une prépa, là maintenant, en fin de carrière, je refuserais: beaucoup trop de boulot, rien à voir avec ce que je fais en lycée. Ou pourtant je ne chôme pas.

Combien gagne A S Lapix, et pour combien d'heures de travail ?

retraitée a écrit:Combien gagne A S Lapix, et pour combien d'heures de travail ?

Dans son cas, on justifiera en disant qu'il n'y a qu'une seule Lapix, ou quelque chose dans le genre permettant de justifier que passer une heure à l'antenne (donc travailler une heure par semaine en langage de journalistes) vaille un salaire que j'imaginerais bien dépasser largement les 15.000 euros par mois.

Edgar a écrit:Dans son cas, on justifiera en disant qu'il n'y a qu'une seule Lapix, ou quelque chose dans le genre permettant de justifier que passer une heure à l'antenne (donc travailler une heure par semaine en langage de journalistes) vaille un salaire que j'imaginerais bien dépasser largement les 15.000 euros par mois.

Effectivement. 1 Lapix contre des centaines de milliers d'enseignants.
Elle ne revient pas très cher rapportée à son public (des millions de téléspectateurs).

iphigénie a écrit:Dans tous les cas c'est assez amusant de croire qu'on va augmenter le salaire ou l'estime des autres professeurs en tapant sur ceux-là:
il n'y a qu'à écouter ce que dit Lapix pour voir le mépris suintant à l'égard du boulot de "prof"( d'ailleurs on ne dit plus "professeur") et leur 10 ou 15 heures de fainéants: quand Celeborn fait remarquer qu'on parle de gens à bac + 5,6,7,8,, Lapix n'entend pas: un prof, ce n'est quand même pas comparable à un ingénieur ou , bien sûr, un animateur de télé: quand même, 4800 euros c'est beaucoup pour vous, restez à votre place.

Peillon sait bien ce qu'il fait en tapant sur eux: détourner la colère des rythmes scolaires en déclenchant l'hallali sur le tout petit nombre des profs de prépa.
Et noyer l'ensemble sous la conclusion générale: tous des fainéants.

Personnellement, on me proposerait une prépa, là maintenant, en fin de carrière, je refuserais: beaucoup trop de boulot, rien à voir avec ce que je fais en lycée. Ou pourtant je ne chôme pas.

Toi aussi, tu bosses !   
J'adore ces phrases qui suggèrent que certains.. 

Elle n'a vraiment pas sa place dans ce genre d'emission Anne Sophie Lapix.
. Je l'avais connue plus tenace sur canal +.

Edgar a écrit:

retraitée a écrit:Combien gagne A S Lapix, et pour combien d'heures de travail ?

Dans son cas, on justifiera en disant qu'il n'y a qu'une seule Lapix, ou quelque chose dans le genre permettant de justifier que passer une heure à l'antenne (donc travailler une heure par semaine en langage de journalistes) vaille un salaire que j'imaginerais bien dépasser largement les 15.000 euros par mois.

Ah ça, on ne saura jamais, on peut parler des salaires des CPGE pour dire qu'ils sont bien payés et qu'en plus ils font des HS (très souvent imposées), mais pour annoncer clairement combien l'industrie du spectacle rémunère ses présentateurs, c'est tabou (bon, indice, c'est plus que le smic mais 'moins qu'à Canal'!)

"Habile dans l’art de tourner autour du pot, Anne-Sophie Lapix se montre tout aussi maligne quand il s’agit de parler argent. Quand le journaliste lui demande si elle touche le même salaire qu’Alessandra Sublet (12000 euros), elle répond "Je ne vais pas tout faire comme Alessandra. Je préfère ne pas vous dire mon salaire. Je peux vous dire qu’il est en baisse par rapport à celui que je touchais sur Canal + ", une chaîne effectivement connue pour ses salaires plus élevés que sur le service public"
http://www.closermag.fr/tele/news-tele/salaire-des-animateurs-tele-anne-sophie-lapix-gagne-t-elle-plus-qualessandra-sub-196558
(oui je sais, citer Closer sur Néo...)

Anne-Sophie Lapix : "Je préfère ne pas vous dire mon salaire"
Tu m'étonnes !

Dalilah a écrit:Non mais attendez, ça ne choque personne qu'elle vienne lancer une pique sur le salaire qu'elle semble estimer démesuré des profs de prépa? On a appris récemment qu'Hanouna gagnait 25000 euros pour faire le pitre sur la TNT. On peut tabler sur le double pour Lapix.... Mais 4800 euros pour un agrégé dans le supérieur, ça la chiffonne...  :shock: 

D'autant que Lapix est l'épouse d'Arthur Sadoun, l'un des directeurs de Publicis (le numéro 2 si je ne m'abuse)... Je n'ose même pas imaginer ce que représente la somme de 4800 euros pour le couple Lapix/Sadoun... 5% de leurs salaires ?

Celeborn a écrit: 

Je suis content d'avoir pu dire autant de choses sur un temps aussi court. Et merci pour vos retours très positifs   

Je t'entends pour la première fois et je t'ai trouvé admirable, je pèse mes mots. Rester calme et clair devant autant de mépris concentré, ce n'est pas gagné.

Si je comprends bien le principe de l'émission, on bouffe (les noirs à la popote, évidemment), on picole devant le Français moyen en lui débitant des conneries. Super, super, vive la télé. Vous avez déjà vu le film Idiocratie ? On y vient.

Au début j'ai cru qu'elle faisait le numéro de "prêcher le faux pour avoir le vrai", faire "l'avocat du diable" pour mettre en valeur les propos de Celeborn. Et puis j'ai compris que non, qu'elle était juste d'une bêtise sans nom. A vomir.

quand cesseront-ils de nous martyriser comme ça ? qu'est-ce qu'ils veulent, qu'est-ce qu'ils leur faut ? tous les profs au SMIC ?

  Celeborn !

Catsoune a écrit:Je n'ai jamais regardé cette émission. Maintenant, je comprends pourquoi. Des chroniqueurs variés, du saupoudrage, des rires " private joke".... et on n'apprend pas grand chose.

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Felicitations pour ta prestation Celeborn.

gelsomina31 a écrit:

Catsoune a écrit:Je n'ai jamais regardé cette émission. Maintenant, je comprends pourquoi. Des chroniqueurs variés, du saupoudrage, des rires " private joke".... et on n'apprend pas grand chose.

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Pareil pour moi ; c'est bien parce qu'il y avait un lien sur le forum ! Sympa de ne pas proposer à Celeborn de rester souper, c'est vraiment la grande classe.

Et rappelez-vous bien, hein : le lapin, il est pugnace, il est réfléchi, il sait causer. Et il est au SNALC !

Ce soir un autre néo était dans C dans l'air. Avec une ex rectrice, madame Daoust, ils ont bien identifié les pb.
La Finlande reste l'horizon indépassable pour la direction de la prospective et notre néo n'a pas pu développer quand il a répondu au représentant Paris de la FCPE que les élèves étaient certainement détendus dans les salles de classe, mais que le couperet se plaçait après. Pas le temps, il fallait galoper à un autre reportage. Dommage...