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- Joana EtzkinNiveau 1
Oups pardon je pensais "oeuvre intégrale", les trois premiers que j'ai cités sont bien des romans (Shan Sa et Juliet : très court et facile à lire). Le vrai Cid, évidemment c'est pour le théâtre.
- naujeNiveau 6
Sinon la porte des enfers de Gaudé est bien pour la structure narrative, les personnages, la réécriture des enfers et la tragédie opérée par la mafia napolitaine ...l'enfant sacrifié les touche et on cherche qui va se venger comment...
- cléoNiveau 9
@faustine62 a écrit:J'aurai une STI l'an prochain, j'envisage Le Parfum de Süskind ; est-il possible de faire lire une oeuvre traduite ?
Bien sûr. Tu fais ce que tu veux.
- earl greyNiveau 3
@faustine62 a écrit:J'aurai une STI l'an prochain, j'envisage Le Parfum de Süskind ; est-il possible de faire lire une oeuvre traduite ?
En lecture cursive, oui. En OI, cela me paraît problématique.
- cléoNiveau 9
@earl grey a écrit:@faustine62 a écrit:J'aurai une STI l'an prochain, j'envisage Le Parfum de Süskind ; est-il possible de faire lire une oeuvre traduite ?
En lecture cursive, oui. En OI, cela me paraît problématique.
Quand même, nos lycéens ne font pas une thèse de stylistique...On peut leur faire découvrir les enjeux d'un texte, même traduit.
- IphigénieEnchanteur
c'est vrai que les romans français, c'est rare.
- earl greyNiveau 3
Si l'on évacue le problème de la traduction, il demeure que le roman va être difficile à mettre en perspective dans l'histoire littéraire. Ce serait moins le cas pour un roman appartenant à un mouvement littéraire européen bien défini. C'est surtout cet aspect qui me gêne pour l'EAF.
- thierry75Niveau 8
J'ai très souvent étudié Le Parfum, jadis, mais c'était en 2nde ; l'année du bac cela ne me serait pas venu à l'esprit... Mais j'ai bien fait Mactbeth... Alors...
- fabienne7564Niveau 10
A l'oral, pour le commentaire de texte, les élèves sont quand même censés d'appuyer sur l'écriture du texte, son style : c'est un commentaire littéraire (pas seulement ce que le texte dit, mais comment il le dit). Du coup, étudier une oeuvre traduite me gênerait car les élèves risqueraient encore plus que d'habitude de se réfugier dans la paraphrase. En cursive, par contre, pas de problème.@cléo a écrit:@earl grey a écrit:@faustine62 a écrit:J'aurai une STI l'an prochain, j'envisage Le Parfum de Süskind ; est-il possible de faire lire une oeuvre traduite ?
En lecture cursive, oui. En OI, cela me paraît problématique.
Quand même, nos lycéens ne font pas une thèse de stylistique...On peut leur faire découvrir les enjeux d'un texte, même traduit.
- Écusette de NoireuilÉrudit
J'ai une collègue qui a plusieurs fois travaillé sur le Modiano, ça marche très bien.@Ujine a écrit:J'ai fait L'Etranger cette année, avec des illustrations de J. Munoz. Mes STMG n'ont pas accroché du tout et n'ont rien compris à la notion de l'absurde.
J'ai lu cette semaine Rue des boutiques obscures de Modiano. Ce n'est pas facile pour les LA, mais ça se lit vraiment bien, il y a une dimension policière qui peut les intéresser.
Sinon Le Clézio, Onitsha?
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" Les mots servent à libérer une matière silencieuse qui est bien plus vaste que les mots" (Sarraute)
- NLM76Esprit éclairé
Eh bien... Nous avons des pratiques bien éloignées. Qu'est-ce que cela veut dire, faire découvrir les enjeux d'un texte ? Je n'ai jamais bien compris cette expression.@cléo a écrit:@earl grey a écrit:@faustine62 a écrit:J'aurai une STI l'an prochain, j'envisage Le Parfum de Süskind ; est-il possible de faire lire une oeuvre traduite ?
En lecture cursive, oui. En OI, cela me paraît problématique.
Quand même, nos lycéens ne font pas une thèse de stylistique...On peut leur faire découvrir les enjeux d'un texte, même traduit.
Nos élèves ne font pas de thèse en stylistique, mais ils apprennent à écrire, à s'exprimer à l'oral avec clarté, précision et efficacité. Or l'exemple des auteurs est pour ce faire essentiel. Il n'est pas impossible qu'une traduction vaille exemple — mais il faut alors la choisir dans ce projet, et étudier son style aussi.
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Sites du grip et des gripiens :
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- cléoNiveau 9
@nlm76 a écrit:Eh bien... Nous avons des pratiques bien éloignées. Qu'est-ce que cela veut dire, faire découvrir les enjeux d'un texte ? Je n'ai jamais bien compris cette expression.@cléo a écrit:@earl grey a écrit:@faustine62 a écrit:J'aurai une STI l'an prochain, j'envisage Le Parfum de Süskind ; est-il possible de faire lire une oeuvre traduite ?
En lecture cursive, oui. En OI, cela me paraît problématique.
Quand même, nos lycéens ne font pas une thèse de stylistique...On peut leur faire découvrir les enjeux d'un texte, même traduit.
Nos élèves ne font pas de thèse en stylistique, mais ils apprennent à écrire, à s'exprimer à l'oral avec clarté, précision et efficacité. Or l'exemple des auteurs est pour ce faire essentiel. Il n'est pas impossible qu'une traduction vaille exemple — mais il faut alors la choisir dans ce projet, et étudier son style aussi.
Je ne dis pas le contraire. Mais prétendre qu'on ne peut pas faire de commentaire littéraire d'un extrait d'oeuvre étrangère me paraît fort de café. On le faisait à la fac ! J'ai passé un des mes oraux d'agreg sur Schnitzler, sans m'appuyer sur la traduction. Ce sont des lycéens, encore une fois.
Mais peu importe, chacun fait ce qu'il veut. Qu'on ne dise simplement pas aux collègues qui ont envie d'étudier une OI traduite qu'ils ne peuvent le faire qu'en lecture cursive, ce n'est pas vrai.
- NLM76Esprit éclairé
Tttt. Chacun ne fait pas ce qu'il veut. La mode aux traductions, c'est n'importe quoi. Quand j'étudie La Fontaine, je n'étudie pas Esope, j'étudie La Fontaine.
Au lycée, si on étudie un texte traduit, on n'étudie pas Schnitzler, mais Schnitzler traduit par X ou Y.
On a droit aux traductions, mais on étudie l'œuvre en tant que traduction.
Au lycée, si on étudie un texte traduit, on n'étudie pas Schnitzler, mais Schnitzler traduit par X ou Y.
On a droit aux traductions, mais on étudie l'œuvre en tant que traduction.
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- Invité ElExpert spécialisé
+1
Commenter un texte qui a été écrit par un traducteur, c'est renoncer à étudier un style, ça ne me paraît quand même pas extravagant comme idée. L'une des raisons, soyons honnêtes, c'est que pour étudier une traduction en tant que telle, il faut maîtriser le texte original: sincèrement, qui le fait?
Ergo (oui, oui), un commentaire sur une traduction est condamné soit à laisser de côté l'étude proprement littéraire et les élèves se gaufrent (comme nlm, lorsque j'ai mis des 20, c'était toujours sur des textes riches, patrimoniaux, classiques), soit on commente quelque chose qui n'est pas de l'auteur et donc, pour "l'enjeu d'un texte", séparé de sa langue, c'est tout de même difficile.
Enfin, non, on ne fait pas ce que l'on veut. Je crois que les textes qu'il faut étudier dans l'année doivent bien appartenir à la littérature française. Si le traducteur n'est pas un auteur, ce n'est pas légitime.
Enfin, comme dit Iphigénie: avons-nous donc à ce point trop peu de choix dans notre littérature?
Commenter un texte qui a été écrit par un traducteur, c'est renoncer à étudier un style, ça ne me paraît quand même pas extravagant comme idée. L'une des raisons, soyons honnêtes, c'est que pour étudier une traduction en tant que telle, il faut maîtriser le texte original: sincèrement, qui le fait?
Ergo (oui, oui), un commentaire sur une traduction est condamné soit à laisser de côté l'étude proprement littéraire et les élèves se gaufrent (comme nlm, lorsque j'ai mis des 20, c'était toujours sur des textes riches, patrimoniaux, classiques), soit on commente quelque chose qui n'est pas de l'auteur et donc, pour "l'enjeu d'un texte", séparé de sa langue, c'est tout de même difficile.
Enfin, non, on ne fait pas ce que l'on veut. Je crois que les textes qu'il faut étudier dans l'année doivent bien appartenir à la littérature française. Si le traducteur n'est pas un auteur, ce n'est pas légitime.
Enfin, comme dit Iphigénie: avons-nous donc à ce point trop peu de choix dans notre littérature?
- cléoNiveau 9
elpenor a écrit:+1
Commenter un texte qui a été écrit par un traducteur, c'est renoncer à étudier un style, ça ne me paraît quand même pas extravagant comme idée. L'une des raisons, soyons honnêtes, c'est que pour étudier une traduction en tant que telle, il faut maîtriser le texte original: sincèrement, qui le fait?
Ergo (oui, oui), un commentaire sur une traduction est condamné soit à laisser de côté l'étude proprement littéraire et les élèves se gaufrent (comme nlm, lorsque j'ai mis des 20, c'était toujours sur des textes riches, patrimoniaux, classiques), soit on commente quelque chose qui n'est pas de l'auteur et donc, pour "l'enjeu d'un texte", séparé de sa langue, c'est tout de même difficile.
Enfin, non, on ne fait pas ce que l'on veut. Je crois que les textes qu'il faut étudier dans l'année doivent bien appartenir à la littérature française. Si le traducteur n'est pas un auteur, ce n'est pas légitime.
Enfin, comme dit Iphigénie: avons-nous donc à ce point trop peu de choix dans notre littérature?
A ce compte-là, le problème se pose aussi pour "notre" littérature (comme si Shakespeare ne faisait pas aussi partie de notre littérature, d'une certaine manière). J'ai travaillé sur une version modernisée du Discours sur la servitude volontaire de La Boétie dans une version modernisée, où des phrases entières étaient modifiées, remaniées. Je n'allais pas mettre les élèves en posture de philologues ! Il faut faire un peu confiance aux traducteurs, qui s'efforcent de transposer les effets de style voulus par l'auteur.
Je trouve qu'on ergote beaucoup, alors que le but que nous poursuivons est le même, j'en suis sûre.
- NLM76Esprit éclairé
Bah... Non. On ne fait pas lire La Boétie en traduction. On donne une version avec l'orthographe modernisée. Si c'est trop difficile, on met une "traduction" à côté. Ce sont des choses qui relevaient il y a vingt ans de l'évidence, qui aujourd'hui sont remises en cause avec des arguments comme "il faut faire confiance aux traducteurs". Non. Je fais confiance à tel traducteur. Et encore... Je juge sur pièces. S'il produit une œuvre, no problemo. Sinon, qu'il aille au diable avec sa traduction.@cléo a écrit:
A ce compte-là, le problème se pose aussi pour "notre" littérature (comme si Shakespeare ne faisait pas aussi partie de notre littérature, d'une certaine manière). J'ai travaillé sur une version modernisée du Discours sur la servitude volontaire de La Boétie dans une version modernisée, où des phrases entières étaient modifiées, remaniées. Je n'allais pas mettre les élèves en posture de philologues ! Il faut faire un peu confiance aux traducteurs, qui s'efforcent de transposer les effets de style voulus par l'auteur.
Je trouve qu'on ergote beaucoup, alors que le but que nous poursuivons est le même, j'en suis sûre.
Je dois reconnaître que je ne connais pas La Boétie. Mais quelle plaie d'interroger sur du Rabelais traduit. Rabelais "traduit", en général, c'est juste mauvais.
Vous savez, d'autre part, les élèves apprécient d'apprendre quelque chose: un texte écrit en moyen français, qui résiste, qu'on leur explique, ça c'est quelque chose.
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- Invité ElExpert spécialisé
+1, encore. J'ai mis du La Boétie dans ma liste cette année (tu pourrais essayer, il est vraiment possible de faire quelque chose, et c'est tellement essentiel!), seulement en version légèrement modernisée pour l'orthographe (edit, je me suis emmêlé les pinceaux). Rabelais est aussi un excellent exemple: que peut-on vraiment commenter en français "moderne"?@nlm76 a écrit:Bah... Non. On ne fait pas lire La Boétie en traduction. On donne une version avec l'orthographe modernisée. Si c'est trop difficile, on met une "traduction" à côté. Ce sont des choses qui relevaient il y a vingt ans de l'évidence, qui aujourd'hui sont remises en cause avec des arguments comme "il faut faire confiance aux traducteurs". Non. Je fais confiance à tel traducteur. Et encore... Je juge sur pièces. S'il produit une œuvre, no problemo. Sinon, qu'il aille au diable avec sa traduction.@cléo a écrit:
A ce compte-là, le problème se pose aussi pour "notre" littérature (comme si Shakespeare ne faisait pas aussi partie de notre littérature, d'une certaine manière). J'ai travaillé sur une version modernisée du Discours sur la servitude volontaire de La Boétie dans une version modernisée, où des phrases entières étaient modifiées, remaniées. Je n'allais pas mettre les élèves en posture de philologues ! Il faut faire un peu confiance aux traducteurs, qui s'efforcent de transposer les effets de style voulus par l'auteur.
Je trouve qu'on ergote beaucoup, alors que le but que nous poursuivons est le même, j'en suis sûre.
Je dois reconnaître que je ne connais pas La Boétie. Mais quelle plaie d'interroger sur du Rabelais traduit. Rabelais "traduit", en général, c'est juste mauvais.
Vous savez, d'autre part, les élèves apprécient d'apprendre quelque chose: un texte écrit en moyen français, qui résiste, qu'on leur explique, ça c'est quelque chose.
- cléoNiveau 9
@nlm76 a écrit:Bah... Non. On ne fait pas lire La Boétie en traduction. On donne une version avec l'orthographe modernisée. Si c'est trop difficile, on met une "traduction" à côté. Ce sont des choses qui relevaient il y a vingt ans de l'évidence, qui aujourd'hui sont remises en cause avec des arguments comme "il faut faire confiance aux traducteurs". Non. Je fais confiance à tel traducteur. Et encore... Je juge sur pièces. S'il produit une œuvre, no problemo. Sinon, qu'il aille au diable avec sa traduction.@cléo a écrit:
A ce compte-là, le problème se pose aussi pour "notre" littérature (comme si Shakespeare ne faisait pas aussi partie de notre littérature, d'une certaine manière). J'ai travaillé sur une version modernisée du Discours sur la servitude volontaire de La Boétie dans une version modernisée, où des phrases entières étaient modifiées, remaniées. Je n'allais pas mettre les élèves en posture de philologues ! Il faut faire un peu confiance aux traducteurs, qui s'efforcent de transposer les effets de style voulus par l'auteur.
Je trouve qu'on ergote beaucoup, alors que le but que nous poursuivons est le même, j'en suis sûre.
Je dois reconnaître que je ne connais pas La Boétie. Mais quelle plaie d'interroger sur du Rabelais traduit. Rabelais "traduit", en général, c'est juste mauvais.
Vous savez, d'autre part, les élèves apprécient d'apprendre quelque chose: un texte écrit en moyen français, qui résiste, qu'on leur explique, ça c'est quelque chose.
Evidemment, si on ne fait pas lire La Boétie en version modernisée, je m'incline.
- NLM76Esprit éclairé
D'ailleurs, ce sont les cas où vraiment je ne peux pas et n'interroge pas : textes traduits et affadis du XVIe siècle. Je préfère encore Nothomb.
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- cléoNiveau 9
@nlm76 a écrit:D'ailleurs, ce sont les cas où vraiment je ne peux pas et n'interroge pas : textes traduits et affadis du XVIe siècle. Je préfère encore Nothomb.
Bien sûr.
- ysabelDevin
@nlm76 a écrit:Bah... Non. On ne fait pas lire La Boétie en traduction. On donne une version avec l'orthographe modernisée. Si c'est trop difficile, on met une "traduction" à côté. Ce sont des choses qui relevaient il y a vingt ans de l'évidence, qui aujourd'hui sont remises en cause avec des arguments comme "il faut faire confiance aux traducteurs". Non. Je fais confiance à tel traducteur. Et encore... Je juge sur pièces. S'il produit une œuvre, no problemo. Sinon, qu'il aille au diable avec sa traduction.@cléo a écrit:
A ce compte-là, le problème se pose aussi pour "notre" littérature (comme si Shakespeare ne faisait pas aussi partie de notre littérature, d'une certaine manière). J'ai travaillé sur une version modernisée du Discours sur la servitude volontaire de La Boétie dans une version modernisée, où des phrases entières étaient modifiées, remaniées. Je n'allais pas mettre les élèves en posture de philologues ! Il faut faire un peu confiance aux traducteurs, qui s'efforcent de transposer les effets de style voulus par l'auteur.
Je trouve qu'on ergote beaucoup, alors que le but que nous poursuivons est le même, j'en suis sûre.
Je dois reconnaître que je ne connais pas La Boétie. Mais quelle plaie d'interroger sur du Rabelais traduit. Rabelais "traduit", en général, c'est juste mauvais.
Vous savez, d'autre part, les élèves apprécient d'apprendre quelque chose: un texte écrit en moyen français, qui résiste, qu'on leur explique, ça c'est quelque chose.
bien d'accord. Cela fait 2 ans que je fais La Boétie et c'est en orthographe modernisée. Je n'ai trouvé aucune traduction qui respecte le texte et c'est normal car la syntaxe a bien trop évolué. si on utilise une version traduite on perd tout le côté rhétorique de son texte.
Cette année ce sera Montaigne, en orthographe modernisée...
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- Écusette de NoireuilÉrudit
Pour revenir au sujet du fil:Montaigne ou la Boétie en STMG cela me paraît audacieux
Souvent les élèves de ces sections sont découragés part la longueur du roman. J'ai proposé plusieurs fois Le diable au corps qui est plus ardu qu'il n'y paraît mais dont le thème les intéresse.

Souvent les élèves de ces sections sont découragés part la longueur du roman. J'ai proposé plusieurs fois Le diable au corps qui est plus ardu qu'il n'y paraît mais dont le thème les intéresse.
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" Les mots servent à libérer une matière silencieuse qui est bien plus vaste que les mots" (Sarraute)
- ysabelDevin
Ah, mais l'an passé je l'avais fait en STMG et franchement, cela avait bcp plu. Ce que dit La Boétie interpelle vraiment les élèves.
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« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- Écusette de NoireuilÉrudit
J'ai l'impression que selon les établissements le niveau des STMG est très différent. ..pour avoir vu ma fille pourtant plutôt douée en lettres peiner sur la compréhension lors de son année de première L, je me dis que dans ces sections (STMG), je pourrais éventuellement lire le texte avec eux mais de là à les envoyer au bac avec. .. pas sûre. Chez nous ce sont des classes plutôt faibles.
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" Les mots servent à libérer une matière silencieuse qui est bien plus vaste que les mots" (Sarraute)
- ysabelDevin
Classes très faibles aussi, mais il suffit de prendre le temps, bcp de temps... Je commence l'année par les textes les plus complexes, justement parce qu'on a du temps à cette période (et que les élèves sont encore plein de bonne volonté jusqu'à la Toussaint).
Et je ne les laisse jamais seuls face à ces textes, je les guide pas à pas.
Et je ne les laisse jamais seuls face à ces textes, je les guide pas à pas.
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