Après avoir conquis le primaire et le secondaire, le pédagogisme arrive dans l'enseignement supérieur.

Qu'ils soient les ouvriers du désastre ou complices par passivité, ils récoltent ce qu'ils ont semé.

Cependant, il est aussi vrai que les universitaires n'ont plus de liberté intellectuelle. Ils sont des fonctionnaires d'état, avec pour seules possibilités l'obéissance ou la démission. Comme les universités sont toutes soumises aux mêmes injonctions du ministère, ils n'ont pas, ou peu, de concurrence à faire jouer.

Pierre-Henri a écrit:Qu'ils soient les ouvriers du désastre ou complices par passivité, ils récoltent ce qu'ils ont semé.

Euh... explique-moi comment un maître de conférence en biologie, en géologie, en mathématiques, etc... peut être accusé de "passivité" face à ce qui s'est passé dans les cycles précédant l'université?

Quand on voit déjà avec quoi nombre d'enseignants-chercheurs ont dû se débattre ses derniers temps (baisse des crédits, manque de postes, réforme des universités...), je te trouve quand même dur, là!

K

Igniatius a écrit:J'adore !

On va voir les tronches en maths, physique, lettres ou histoire aller suivre des modules dirigés par les anciens cancres, devenus docteurs en sciences de l'éducation.
Ca va grogner sec.

Oh purée...Voilà déjà une fac à éviter