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- datatttNiveau 3
Dans le privé ils ne se privent de prendre leurs enfants dans l'entreprise pour les stages. Mais nous on ne peut pas avoir officiellement cet avantage c'est dommage. Egalité pour tous et surtout pour nous !!
- ProvençalLeGauloisExpert
Ce n'est pas parce qu'il est de la même école que le motif de la dérogation est le même.
Il suffit que le gamin soit boursier, ait un problème médical, un handicap ou un frère/une sœur déjà scolarisé(e) dans l'établissement pour faire partie des motifs prioritaires.
Il suffit que le gamin soit boursier, ait un problème médical, un handicap ou un frère/une sœur déjà scolarisé(e) dans l'établissement pour faire partie des motifs prioritaires.
- mathmaxExpert spécialisé
N'oublie surtout pas de demander ta demi-journée le jour de la rentrée de ton fils !
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« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- Thalia de GMédiateur
Ben oui. Nous sommes dans le public, je ne vois pas pourquoi tu aurais des privilèges.datattt a écrit:Dans le privé ils ne se privent de prendre leurs enfants dans l'entreprise pour les stages. Mais nous on ne peut pas avoir officiellement cet avantage c'est dommage. Egalité pour tous et surtout pour nous !!
Les miens sont allés dans le collège de secteur, pas très côté, mais c'est le jeu ma pauvre lucette !
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- ProvençalLeGauloisExpert
Surtout qu'on a autant de demandes de professeurs qui veulent leurs enfants dans leur établissement que pour ceux qui ne les veulent pas.
Les demandes sont traitées de la même façon que les autres, en fonction des motifs nationaux et surtout en fonction des places disponibles.
Et scolariser ses enfants dans l'établissement où l'on travaille, ça relève de la convenance personnelle, et ce n'est pas plus prioritaire que des parents qui font valoir des horaires de travail étendus, des familles monoparentales, des problèmes de garde, etc.
Pas de places, pas de dérogation, ce n'est pourtant pas bien compliqué...
(Oui, je suis fatiguée d'avoir dû expliquer toute la journée à des gens que si on a refusé leur dérogation (et leur recours et leur re-recours etc), ce n'est pas parce que ça nous amuse d'avoir 4 courriers/mails de plaintes puis d'insultes par dérogation refusée, mais parce qu'il n'y a pas la place là où ils veulent à tout prix aller sans raison valable 99% du temps pour couronner le tout )
Les demandes sont traitées de la même façon que les autres, en fonction des motifs nationaux et surtout en fonction des places disponibles.
Et scolariser ses enfants dans l'établissement où l'on travaille, ça relève de la convenance personnelle, et ce n'est pas plus prioritaire que des parents qui font valoir des horaires de travail étendus, des familles monoparentales, des problèmes de garde, etc.
Pas de places, pas de dérogation, ce n'est pourtant pas bien compliqué...
(Oui, je suis fatiguée d'avoir dû expliquer toute la journée à des gens que si on a refusé leur dérogation (et leur recours et leur re-recours etc), ce n'est pas parce que ça nous amuse d'avoir 4 courriers/mails de plaintes puis d'insultes par dérogation refusée, mais parce qu'il n'y a pas la place là où ils veulent à tout prix aller sans raison valable 99% du temps pour couronner le tout )
- RogerMartinBon génie
Je suis tout de même surprise par ce refus catégorique de prendre dans l'établissement un enfant du personnel.
J'ai vu foule d'enseignants demander et obtenir cette facilité (ne serait-ce parfois que pour pouvoir commencer eux-même à l'heure), tant en primaire qu'en collège.
Et tout récemment à Paris, j'ai pu constater qu'un principal, s'il le souhaite, peut inscrire dans son collège surpeuplé un 6e hors secteur, sans rien avoir à justifier à qui que ce soit.
J'ai vu foule d'enseignants demander et obtenir cette facilité (ne serait-ce parfois que pour pouvoir commencer eux-même à l'heure), tant en primaire qu'en collège.
Et tout récemment à Paris, j'ai pu constater qu'un principal, s'il le souhaite, peut inscrire dans son collège surpeuplé un 6e hors secteur, sans rien avoir à justifier à qui que ce soit.
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Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
Strange how paranoia can link up with reality now and then.
- ProvençalLeGauloisExpert
Ben c'est possible et c'est souvent le cas quand il y a la place, on ne s'oppose pas à une dérogation par plaisir mais quand il n'y a pas la place, l'Inspection académique ne va pas affecter des gamins alors qu'ils ont une place dans leur collège de secteur.
Et un principal peut bien ne pas respecter les textes, hein, dans ce cas là ça ne va pas gêner les professeurs... mais il n'a pas intérêt à aller réclamer des moyens supplémentaires alors qu'il a inscrit des gamins qui ne lui ont pas été affectés sans rien demander à personne et surtout à refuser des gamins de son secteur en cours d'année parce qu'il n'a plus la place.
Et un principal peut bien ne pas respecter les textes, hein, dans ce cas là ça ne va pas gêner les professeurs... mais il n'a pas intérêt à aller réclamer des moyens supplémentaires alors qu'il a inscrit des gamins qui ne lui ont pas été affectés sans rien demander à personne et surtout à refuser des gamins de son secteur en cours d'année parce qu'il n'a plus la place.
- Thalia de GMédiateur
D'autant plus que les élèves acceptés alors qu'ils ne sont pas du secteur ne sont pas comptabilisés par la DSDEN (ex IA) et voilà comment on se retrouve avec des effectifs qui explosent dans certains collèges.ProvençalLeGaulois a écrit:Ben c'est possible et c'est souvent le cas quand il y a la place, on ne s'oppose pas à une dérogation par plaisir mais quand il n'y a pas la place, l'Inspection académique ne va pas affecter des gamins alors qu'ils ont une place dans leur collège de secteur.
Et un principal peut bien ne pas respecter les textes, hein, dans ce cas là ça ne va pas gêner les professeurs... mais il n'a pas intérêt à aller réclamer des moyens supplémentaires alors qu'il a inscrit des gamins qui ne lui ont pas été affectés sans rien demander à personne et surtout à refuser des gamins de son secteur en cours d'année parce qu'il n'a plus la place.
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- archebocEsprit éclairé
ProvençalLeGaulois a écrit:Et scolariser ses enfants dans l'établissement où l'on travaille, ça relève de la convenance personnelle, et ce n'est pas plus prioritaire que des parents qui font valoir des horaires de travail étendus, des familles monoparentales, des problèmes de garde, etc.
Oui, le problème n°1 de l'EN, c'est de caser les élèves sur une chaise. Ce n'est pas du tout de recruter des enseignants de qualité pour leur faire des cours.
Evidemment, s'il y avait une crise du recrutement, les RH du ministère mettraient en place une politique d'avantages ciblées au bénéfice des enseignants. Mais comme on croule sous les candidats surqualifiés, ce n'est pas grave de les dégoutter de cette boîte.
- BoubouleDoyen
À mon humble avis, sur le principe et quand c'est possible, un principal ou un proviseur a tout intérêt à accepter une dérogation pour l'enfant d'un collègue pour convenances personnelles. Faciliter la vie personnelle de ses employés, c'est favoriser la qualité de leur travail. Et cela me paraît plus simple que d'accorder des emplois du temps extravagantsqui ne sont pas "dans l'intérêt des enfants".
- datatttNiveau 3
Je comprends la règle. On me dit il n'y a pas de place ok. mais premièrement, je n'ai même pas reçu un courrier pour me donner la réponse. Je le sais car mon fils n'était pas dans la liste des 6ièmes. Et ensuite , il y a des élèves qui sont acceptés en étant pas du tout du secteur et en étant à la même école que mon fils et ne sont même pas inscrits comme "dérogation". La je voudrais bien comprendre ... La pour le coup je trouve cela anormal. Ces personnes sont passées par une voie parallèle ?? le piston probablement. Je trouve quand même que quand il y a de la place il faudrait qu'on soit prioritaire. Cela ne me semble pas un scandale !!
Encore une fois, vous pouvez essayer de trouver un Job d'été dans une boite. Les enfants du personnel sont prioritaires.. et cela me semble normal.
Encore une fois, vous pouvez essayer de trouver un Job d'été dans une boite. Les enfants du personnel sont prioritaires.. et cela me semble normal.
- datatttNiveau 3
Mon principal me dit qu'il n'y aura pas de piston et refuse d'appuyer ma demande mais d'un autre côté accepte que des élèves arrivent sans être du secteur sans aucune raison particulière. Ca me dégoute quand même
- ProvençalLeGauloisExpert
L'affectation en collège ne dépend pas de l'école où est scolarisé l'élève mais de l'adresse réelle des parents.
Dans mon académie, deux numéros d'une même rue peuvent ne pas dépendre du même établissement.
Pour les jobs d'été, embaucher les gamins du personnel de l'entreprise, on appelle cela du piston, et non je ne trouve pas cela normal du tout même si très courant, c'est même profondément injuste.
Vous auriez dû recevoir une notification d'affectation imprimée par le collège, mais vous pouviez également connaître la réponse en demandant à l'école qui a aussi accès aux résultats d'Affelnet.
Archeboc, dans 99% des cas, les enfants de professeurs obtiennent leur dérogation parce que justement on n'est pas là pour leur mettre des bâtons dans les roues et que quand les places le permettent il n'y a pas de problème mais bien sûr ce sont les quelques cas isolés (qui sont souvent dans des établissements où l'on est obligés de refuser des situations bien plus délicates) qui expliquent la crise du recrutement des professeurs.
Dans mon académie, deux numéros d'une même rue peuvent ne pas dépendre du même établissement.
Pour les jobs d'été, embaucher les gamins du personnel de l'entreprise, on appelle cela du piston, et non je ne trouve pas cela normal du tout même si très courant, c'est même profondément injuste.
Vous auriez dû recevoir une notification d'affectation imprimée par le collège, mais vous pouviez également connaître la réponse en demandant à l'école qui a aussi accès aux résultats d'Affelnet.
Archeboc, dans 99% des cas, les enfants de professeurs obtiennent leur dérogation parce que justement on n'est pas là pour leur mettre des bâtons dans les roues et que quand les places le permettent il n'y a pas de problème mais bien sûr ce sont les quelques cas isolés (qui sont souvent dans des établissements où l'on est obligés de refuser des situations bien plus délicates) qui expliquent la crise du recrutement des professeurs.
- VinteuilNiveau 5
datattt a écrit:Suis je naïve de croire que c'est un avantage de notre métier et pas un "passe-droit"
Mon mari dans sa société voit passer tous les fils de ses collègues pendant les stages de 3ième,ou pendant les jobs d'été ...
Merci de me dire ce que vous en pensez ?
Non, ce n'est pas un avantage mais, effectivement, un passe-droit. Ce qui se passe dans le privé ne devrait pas se passer dans le secteur public. Sur ce plan, j'assiste tous les ans à des choses qui me semblent parfaitement anormales, comme ces collègues qui choisissent, à l'école élémentaire, l'enseignant de leur enfant, sans que, apparemment, cela leur pose le moindre problème...
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"Un homme est toujours assez beau quand il ne fait pas peur à son cheval."
- CathEnchanteur
Moi ce qui m étonne le plus n' est pas que le fils de notre collègue ne soit pas pris mais qu on lui dise qu'il se serait agi d'un passe droit absolument scandaleux...
- ProvençalLeGauloisExpert
Cath a écrit:Moi ce qui m étonne le plus n' est pas que le fils de notre collègue ne soit pas pris mais qu on lui dise qu'il se serait agi d'un passe droit absolument scandaleux...
Notez que je n'ai pas parlé de passe-droits, j'ai seulement expliqué que les dérogations qui ont été acceptées ont sûrement un motif prioritaire que n'a pas le professeur en question.
Notons aussi qu'il s'agit d'un professeur dont le Principal refuse de soutenir la demande (ce qui est assez rare, quoique si la demande est présentée comme une exigence, ça peut avoir le don d'agacer et donc d'obtenir exactement le contraire de l'effet escompté) mais qui lui donne quand même l'accès aux listes Affelnet où apparaîtraient qui est venu en dérogation et qui est du secteur... Pour moi, le professeur a eu accès aux listes d'élèves simples et en a tiré ses conclusions, d'autant plus qu'au risque de me répéter, même école ne veut pas dire même secteur et qu'on peut aussi être inscrit dans une école primaire par dérogation (accordée cette fois-ci par les mairies).
- KrilinXV3Neoprof expérimenté
Fils de prof, prof moi-même (mais enseignant dans un établissement où il est impossible de vouloir mettre ses gosses quand on connaît un peu l'envers du décor), je découvre pas mal de choses sur ce fil.
Je n'imaginais pas que tant de collègues trouvaient souhaitable d'avoir leur progéniture dans le même établissement. Je n'imaginais pas que tant de collègues en faisaient la demande, et que tant étaient acceptées. Je n'imaginais pas que ceci constituait un droit (un "passe-droit" plutôt), estimé "inaliénable" par beaucoup.
On en apprend tous les jours.
Je n'imaginais pas que tant de collègues trouvaient souhaitable d'avoir leur progéniture dans le même établissement. Je n'imaginais pas que tant de collègues en faisaient la demande, et que tant étaient acceptées. Je n'imaginais pas que ceci constituait un droit (un "passe-droit" plutôt), estimé "inaliénable" par beaucoup.
On en apprend tous les jours.
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Asinus asinum fricat
- datatttNiveau 3
arth75 a écrit:Fils de prof, prof moi-même (mais enseignant dans un établissement où il est impossible de vouloir mettre ses gosses quand on connaît un peu l'envers du décor), je découvre pas mal de choses sur ce fil.
Je n'imaginais pas que tant de collègues trouvaient souhaitable d'avoir leur progéniture dans le même établissement. Je n'imaginais pas que tant de collègues en faisaient la demande, et que tant étaient acceptées. Je n'imaginais pas que ceci constituait un droit (un "passe-droit" plutôt), estimé "inaliénable" par beaucoup.
On en apprend tous les jours.
Les autres familles peuvent faire jouer leurs relations voire même tricher sur l'adresse de leur domicile , mais nous enseignants devons être toujours exemplaires.
J'ai un voisin qui est dans la même situation que mon fils qui est accepté dans le fameux collège. Alors qu'on m'avait dit "aucune dérogation" .. Donc il n'est pas du secteur ... et n'est pas noté comme dérogation ... comment est ce possible .. sinon par piston....
S'il reste de la place quand on a placé les familles qui ont de bonnes raisons .. il me semble que ce n'est pas un scandale de placer les personnes qui y travaillent ... que ce soit profs, ou cuisiniers etc ...
- VerduretteModérateur
Personnellement je n'ai jamais souhaité être dans le même établissement que mes enfants, au nom du "chacun sa vie", mais je ne vois pas au nom de quoi on refuserait de faciliter l'organisation familiale de son personnel, surtout quand il y a du transport. Je ne trouve pas que ce soit un "passe-droit" ni un privilège abusif ... c'est juste du bon sens .
Mais les cadres de l'Education nationale ne sont pas réputés pour en avoir, donc ce n'est pas surprenant.
Mais les cadres de l'Education nationale ne sont pas réputés pour en avoir, donc ce n'est pas surprenant.
- leboncoinNiveau 2
La bonne nouvelle, c'est que le fils en question n'aura pas à subir le fait d'être le fifils à maman prof pendant quatre ans; il n'en sera que plus épanoui à la sortie du collège. Je ne vois pas en quoi un enseignant serait prioritaire sur les parents lambdas...
- datatttNiveau 3
Je ne demande pas un jugement sur le fait d'avoir ma enfant dans mon collège. Nous devons nous enseignants être moralement parfaits or les autres familles ne se privent pas sur le changement d'adresse ou le piston .. cela ne vous choque pas que x élèves ont eu un passe droit par contre .. mais si c'est moi alors que j'y travaille c'est un scandale !! Si c'est cela votre justice , merci
- Jean-charlesNiveau 6
datattt a écrit:Je ne demande pas un jugement sur le fait d'avoir ma enfant dans mon collège. Nous devons nous enseignants être moralement parfaits or les autres familles ne se privent pas sur le changement d'adresse ou le piston .. cela ne vous choque pas que x élèves ont eu un passe droit par contre .. mais si c'est moi alors que j'y travaille c'est un scandale !! Si c'est cela votre justice , merci
Donc votre argument, c'est certains "fraudent" donc moi aussi j'ai le droit de "frauder" ???
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Marie: Dis p'pa, tu crois qu'il en a vu des singes en hiver ? Gabriel: Je pense qu'il en a vu au moins un.
- CleroliDoyen
Je trouve aussi cette situation injuste. Il y a deux ans, pour des diverses raisons, nous avons songé scolariser l'un de nos enfants dans le collège de leur père. Le CDE était d'accord sur le principe et finalement nous n'avons pas eu besoin de le faire.datattt a écrit:Je ne demande pas un jugement sur le fait d'avoir ma enfant dans mon collège. Nous devons nous enseignants être moralement parfaits or les autres familles ne se privent pas sur le changement d'adresse ou le piston .. cela ne vous choque pas que x élèves ont eu un passe droit par contre .. mais si c'est moi alors que j'y travaille c'est un scandale !! Si c'est cela votre justice , merci
Peut-être que tu pourras renouveler cette demande pour l'entrée en 5ème (dans le cas de ma fille, c'était pour ce niveau et il me semble que ça ne dépendait pas d'Afflenet).
- JaneMonarque
datattt a écrit:Mon principal me dit qu'il n'y aura pas de piston et refuse d'appuyer ma demande mais d'un autre côté accepte que des élèves arrivent sans être du secteur sans aucune raison particulière. Ca me dégoute quand même
Je ne lui avais même pas posé la question, sachant que j'aurais eu une réponse identique.
Curieusement, et alors que nous sommes en limite de secteur (plus d'une demi-heure pour l'établissement de secteur, moins de 10 pour l'établissement le plus proche), on a refusé mon voeu 1 et accepté mon voeu 2 (mon établissement, donc).
Leboncoin a écrit:La bonne nouvelle, c'est que le fils en question n'aura pas à subir le fait d'être le fifils à maman prof pendant quatre ans; il n'en sera que plus épanoui à la sortie du collège. Je ne vois pas en quoi un enseignant serait prioritaire sur les parents lambdas...
Mes "grands" ont également fréquenté le collège dans lequel je travaillais; ils n'ont jamais souffert d'être les enfants de Mme Jane J'ai même eu les enfants de mes collègues (et même de trois de mes PA), et ils avaient l'air d'aller plutôt bien aussi (de même que leurs parents). Mais cela dépend peut-être de l'enseignant que nous sommes ou des personnalités des enfants.
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- CleroliDoyen
leboncoin a écrit:La bonne nouvelle, c'est que le fils en question n'aura pas à subir le fait d'être le fifils à maman prof pendant quatre ans; il n'en sera que plus épanoui à la sortie du collège. Je ne vois pas en quoi un enseignant serait prioritaire sur les parents lambdas...
Parce que justement, ce n'est pas un parent lambda mais un personnel qui travaille dans cette structure. Je trouverai anormal d'avoir le droit d'envoyer mes enfants dans n'importe quel établissement scolaire au motif que je suis prof mais par contre bénéficier d'une bonif dans l'établissement dans lequel je travaille me semble logique.
Dans mon ancien lotissement, qq familles avaient pu obtenir une dérogation pour scolariser leur enfant dans le collège de la ville voisine, collège très renommé, alors que d'autres avaient eu un refus et il ne s'agissait pas d'une question de côté de rue (je le sais car je suis très proche d'une des familles en question et nous en avions discuté).
Enfin, je rejoins Jane, j'ai régulièrement des enfants de collègues dans mes classes et ils ne vivent pas mal cette situation.
- VinteuilNiveau 5
arth75 a écrit:Fils de prof, prof moi-même (mais enseignant dans un établissement où il est impossible de vouloir mettre ses gosses quand on connaît un peu l'envers du décor), je découvre pas mal de choses sur ce fil.
Je n'imaginais pas que tant de collègues trouvaient souhaitable d'avoir leur progéniture dans le même établissement. Je n'imaginais pas que tant de collègues en faisaient la demande, et que tant étaient acceptées. Je n'imaginais pas que ceci constituait un droit (un "passe-droit" plutôt), estimé "inaliénable" par beaucoup.
On en apprend tous les jours.
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