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- Roumégueur IerÉrudit
FO a écrit à la FSU :
http://www.fo-snfolc.fr/IMG/pdf/16-11-29-hr-fsu.pdf
(Désolé, impossible de citer un extrait)
http://www.fo-snfolc.fr/IMG/pdf/16-11-29-hr-fsu.pdf
(Désolé, impossible de citer un extrait)
- Roumégueur IerÉrudit
Quelques prises de position :
http://www.fo-snfolc.fr/IMG/pdf/note_no15_evaluation.pdf
http://www.fo-snfolc.fr/IMG/pdf/note_no15_evaluation.pdf
- Madame_ProfEsprit sacré
VicomteDeValmont a écrit:Le SNES, contrairement aux autres syndicats, laisse s'exprimer des tendances qui sont plus ou moins fortes et rarement d'accord.
Les dissensions internes ne sont pas forcément liées aux tendances... Elles sont également liées à des prises de position différentes au niveau des académies. Certaines suivent de moins en moins le SNES National. Ce dernier va peut-être se rendre compte de quelques erreurs...
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2017-2025 - 10ème établissement, en poste fixe ! Et, militante (encore, malgré tout...) !
2013-2017 - TZR en expérimentation au gré des établissements, et militante !
2012-2013 - Année de stage en collège
- HérodouteGrand sage
Excusez-moi de vous demander pardon et d'arriver comme un cheveu sur la soupe... (tiens, je crois que j'ai mélangé pas mal d'expressions en une seule là...) mais je voulais savoir si le PPCR avait été finalement signé par les syndicats. Il m'a semblé lire que les derniers points de discussion devaient être actés début décembre.
Alors ? Tout est acté ? On s'est ... avoir ?
Alors ? Tout est acté ? On s'est ... avoir ?
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"Le réchauffement climatique ? Deux degrés de plus, c'est que dalle, non ?", philosophe anonyme de la télé-réalité.
- LefterisEsprit sacré
Dernier espoir en effet, même si le CTM peut encore s'asseoir sur l'avis.Roumégueur Ier a écrit:
Le SnFOlc a reçu de très nombreuses prises de position des collèges contre le projet d'évaluation, le protocole PPCR et aussi la réforme du collège (dont le LSU, qui occupe une grande partie des conversations), ils en ont plusieurs centaines et beaucoup sont intersyndicales avec notamment les sections SNES locales (avec aussi Sud, la CGT... ).
La FSU envisage très sérieusement de voter pour le projet du gouvernement, mais je sens qu'en se rendant compte que la base se mobilise très fortement, ils pourraient changer d'avis, enfin, c'est vraiment ce que j'espère. On saura demain, c'est ça?
Sinon, bienvenue dans le monde managérial, avec la pression permanente, l'insécurité de la carrière, le système "proposé = promu, non proposé = non promu", que connaissent déjà certains fonctionnaires (et que j'ai connu). Le métier va vraiment être transformé en métier d'exécution, soumis à contraintes locales variables, tâches, procédures, le disciplinaire passant au dernier plan.
Il y a beaucoup de prises de position , certes, mon établissement en fait partie, mais beaucoup de collègues ne voient pas encore ce qui va leur dégringoler sur la tête.
La dislocation de leur métier et de leur statut va avec celle de l'école nationale et républicaine.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- CeladonDemi-dieu
... ou au premier, selon le sens que l'on accorde au mot.Lefteris a écrit:Dernier espoir en effet, même si le CTM peut encore s'asseoir sur l'avis.Roumégueur Ier a écrit:
Le SnFOlc a reçu de très nombreuses prises de position des collèges contre le projet d'évaluation, le protocole PPCR et aussi la réforme du collège (dont le LSU, qui occupe une grande partie des conversations), ils en ont plusieurs centaines et beaucoup sont intersyndicales avec notamment les sections SNES locales (avec aussi Sud, la CGT... ).
La FSU envisage très sérieusement de voter pour le projet du gouvernement, mais je sens qu'en se rendant compte que la base se mobilise très fortement, ils pourraient changer d'avis, enfin, c'est vraiment ce que j'espère. On saura demain, c'est ça?
Sinon, bienvenue dans le monde managérial, avec la pression permanente, l'insécurité de la carrière, le système "proposé = promu, non proposé = non promu", que connaissent déjà certains fonctionnaires (et que j'ai connu). Le métier va vraiment être transformé en métier d'exécution, soumis à contraintes locales variables, tâches, procédures, le disciplinaire passant au dernier plan.
Il y a beaucoup de prises de position , certes, mon établissement en fait partie, mais beaucoup de collègues ne voient pas encore ce qui va leur dégringoler sur la tête.
La dislocation de leur métier et de leur statut va avec celui de l'école nationale et républicaine.
Et la dislocation du métier, c'est la modernité. Lefteris, actualise !!
- LefterisEsprit sacré
Oui j"oubliais les mantras : "le monde a changé" "les élèves ont changé" "le métier doit changer"...Celadon a écrit:
Et la dislocation du métier, c'est la modernité. Lefteris, actualise !!
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- Moses2Niveau 5
Un autre point de vue sur le PPCR : https://www.snes.edu/Halte-a-l-intox.html
- MéluEmpereur
Oui, il faut bien tenter de se justifier... Ils ont sorti le gravier aussi ?
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"Pourquoi sommes-nous au monde, sinon pour amuser nos voisins et rire d'eux à notre tour ?"
[ Jane Austen ] - Extrait de Orgueil et préjugés
- XIIINeoprof expérimenté
Je garde cette page du SNES au chaud...Je la ressortirai dans quelques années...Moses2 a écrit:Un autre point de vue sur le PPCR : https://www.snes.edu/Halte-a-l-intox.html
- barègesÉrudit
Pour les enseignants de statut secondaire dans le supérieur, c'était le silence radio, jusqu'à un mail reçu par voie syndicale aujourd'hui : même système, sauf que la "grille d'évaluation" à remplir lors des "entretiens de carrière" n'est pas encore définie.
On se demande bien avec qui auront lieu ces entretiens.
Quant à la "grille" et au "référentiel de compétences"... Il va falloir mettre en avant des initiatives d'innovation pédagogique et d'utilisation du numérique, je suppose.
Bref un avenir radieux.
On se demande bien avec qui auront lieu ces entretiens.
Quant à la "grille" et au "référentiel de compétences"... Il va falloir mettre en avant des initiatives d'innovation pédagogique et d'utilisation du numérique, je suppose.
Bref un avenir radieux.
- kerangeloNiveau 7
J'ai toujours pensé que les syndicats auraient dû proposer de passer de 18 h à 20h hebdo et de 15h à 16h sans augmentation de salaire quand c'était encore temps. Résultat on a eu des dégradations des conditions de travail sans précédent (suppression du mouvement national, des dédoublements automatiques, réforme du statut, réforme du collège qui sape de l'intérieur l'égalité de traitement des élèves et des professeurs, suppressions de matières entières dans les STI, quasi en langues anciennes et en allemand, maintenant l'évaluation pour encore mieux nous tenir sous la coulpe du local) ET on aura les augmentations de temps de service. A l'origine le statut de fonctionnaire était fait pour nous protéger des pressions et nous conférer ainsi une autorité. C'est ce statut là qui est progressivement détruit, et nous sommes de plus en plus anesthésiés par ce déluge de nouveautés qui nous tombe dessus.Lefteris a écrit:Oui j"oubliais les mantras : "le monde a changé" "les élèves ont changé" "le métier doit changer"...Celadon a écrit:
Et la dislocation du métier, c'est la modernité. Lefteris, actualise !!
Sauf ici et heureusement, grâce à des collègues comme toi Lefteris.
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Sapere aude
- cignusNiveau 5
Soit il manque des mots et/ou Kerangelo s'est trompé dans ce qu'il voulais dire.... ou alors c'est moi qui ne comprends pas ...kerangelo a écrit:J'ai toujours pensé que les syndicats auraient dû proposer de passer de 18 h à 20h hebdo et de 15h à 16h sans augmentation de salaire quand c'était encore temps. (...)
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2014-20xx : Maths Tx Je m'éclate au collège...
2013-2014 : Maths R2 - 2nde - 1STMG - TSTMG - BTS CGO
2012-2013 : Maths R1 - 6èmes + 4èmes
2011-2012 : SII-SIN - 1ère STI2D + T-STI
1995-2011 : G. Electronique - 2nde-1ère-Tales-BTS-Licence-Ecoles_ingé
- VicomteDeValmontGrand sage
cignus a écrit:Soit il manque des mots et/ou Kerangelo s'est trompé dans ce qu'il voulais dire.... ou alors c'est moi qui ne comprends pas ...kerangelo a écrit:J'ai toujours pensé que les syndicats auraient dû proposer de passer de 18 h à 20h hebdo et de 15h à 16h sans augmentation de salaire quand c'était encore temps. (...)
Sans parler du +2h et +1h selon la catégorie.
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Cette insigne faveur que votre coeur réclame
Nuit à ma renommée et répugne à mon âme.
- kerangeloNiveau 7
L'idée aurait été de prendre les devants à l'époque (environ 15 ans) pour faire faire des économies en contrepartie du maintien de nos conditions de travail (maintien du mouvement national, des dédoublement pas de "réforme" du lycée ni du collège etc...). Mais cela aurait été trop visible et trop franc pour que les collègues acceptent. Il y aurait eu sans doute une levée de boucliers.VicomteDeValmont a écrit:cignus a écrit:Soit il manque des mots et/ou Kerangelo s'est trompé dans ce qu'il voulais dire.... ou alors c'est moi qui ne comprends pas ...kerangelo a écrit:J'ai toujours pensé que les syndicats auraient dû proposer de passer de 18 h à 20h hebdo et de 15h à 16h sans augmentation de salaire quand c'était encore temps. (...)
Sans parler du +2h et +1h selon la catégorie.
Par contre, les mesures lancinantes, répétitives, pour saper notre moral et notre métier de l'intérieur ne déplacent pas les foules mais nous détruisent par strates successives. Jusqu'à la réforme de l'évaluation qui est en train de passer comme une lettre à feue la poste. Le résultat sera pire que la mesure qu'il aurait fallu prendre qui au moins avait l'avantage d'être clairement circonscrite et de mettre les profs à l'initiative avec les moyens de demander des contre parties.
On veut nous faire croire que le salut sera dans la monétisation de la moindre tâche avec les IMP ou dans la récompense de l'engagement professionnel dans des "projets" pour nous mettre en concurrence et laisser croire à chacun qu'il pourra s'en sortir mieux que son collègue en faisant plus de zèle. C'est une fausse piste que veulent nous faire prendre le ministère et certains syndicats car elle consiste à globaliser les moyens pour pouvoir les distribuer aux plus méritants-crédules-soumis tout en comprimant la taille du gâteau au fil du temps.
Je préférais largement le temps où il ne fallait pas "se battre" pour obtenir des dédoublements au détriment d'autres matières et/ou d'autres établissements où j'avais ma liberté pédagogique, sans qu'on vienne me faire miroiter des IMP, prises sur les DHG, ou des avancements sur critères dignes d'un pays totalitaire.
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Sapere aude
- Dr RaynalHabitué du forum
Et pour quelle obscure raison aurions nous du, il y a 15 ans, alors que la mode était plutôt à la réduction du temps de travail (dont nous n'avons pas bénéficié), consentir à une réduction de nos salaire de 11 % ?
Qui peut avoir la (charmante) naïveté de croire qu'un tel "sacrifice" eut été "récompensé" par la politicaillerie et nous aurait évité les réformes qui ne sont pas motivées par nos personnes (bien entendu) mais par "l'intérêt supérieur des élèves" (hihihi), lequel n'aurait certes pas varié, quelle qu'ait été notre propension à travailler plus pour gagner moins ?
Nous aurions simplement récolté et un appauvrissement général (nous sommes des catégories A payés B, ne l'oublions pas) et l'avalanche de réformes et remises en causes passés, présente et futures, encouragées même par cette attitude de paillasson volontaire...
Qui peut avoir la (charmante) naïveté de croire qu'un tel "sacrifice" eut été "récompensé" par la politicaillerie et nous aurait évité les réformes qui ne sont pas motivées par nos personnes (bien entendu) mais par "l'intérêt supérieur des élèves" (hihihi), lequel n'aurait certes pas varié, quelle qu'ait été notre propension à travailler plus pour gagner moins ?
Nous aurions simplement récolté et un appauvrissement général (nous sommes des catégories A payés B, ne l'oublions pas) et l'avalanche de réformes et remises en causes passés, présente et futures, encouragées même par cette attitude de paillasson volontaire...
- Isis39Enchanteur
Et pourquoi +1 pour les agrégés et +2 pour les certifiés ?kerangelo a écrit:L'idée aurait été de prendre les devants à l'époque (environ 15 ans) pour faire faire des économies en contrepartie du maintien de nos conditions de travail (maintien du mouvement national, des dédoublement pas de "réforme" du lycée ni du collège etc...). Mais cela aurait été trop visible et trop franc pour que les collègues acceptent. Il y aurait eu sans doute une levée de boucliers.VicomteDeValmont a écrit:cignus a écrit:Soit il manque des mots et/ou Kerangelo s'est trompé dans ce qu'il voulais dire.... ou alors c'est moi qui ne comprends pas ...kerangelo a écrit:J'ai toujours pensé que les syndicats auraient dû proposer de passer de 18 h à 20h hebdo et de 15h à 16h sans augmentation de salaire quand c'était encore temps. (...)
Sans parler du +2h et +1h selon la catégorie.
Par contre, les mesures lancinantes, répétitives, pour saper notre moral et notre métier de l'intérieur ne déplacent pas les foules mais nous détruisent par strates successives. Jusqu'à la réforme de l'évaluation qui est en train de passer comme une lettre à feue la poste. Le résultat sera pire que la mesure qu'il aurait fallu prendre qui au moins avait l'avantage d'être clairement circonscrite et de mettre les profs à l'initiative avec les moyens de demander des contre parties.
On veut nous faire croire que le salut sera dans la monétisation de la moindre tâche avec les IMP ou dans la récompense de l'engagement professionnel dans des "projets" pour nous mettre en concurrence et laisser croire à chacun qu'il pourra s'en sortir mieux que son collègue en faisant plus de zèle. C'est une fausse piste que veulent nous faire prendre le ministère et certains syndicats car elle consiste à globaliser les moyens pour pouvoir les distribuer aux plus méritants-crédules-soumis tout en comprimant la taille du gâteau au fil du temps.
Je préférais largement le temps où il ne fallait pas "se battre" pour obtenir des dédoublements au détriment d'autres matières et/ou d'autres établissements où j'avais ma liberté pédagogique, sans qu'on vienne me faire miroiter des IMP, prises sur les DHG, ou des avancements sur critères dignes d'un pays totalitaire.
- frdmNiveau 10
VicomteDeValmont a écrit:cignus a écrit:Soit il manque des mots et/ou Kerangelo s'est trompé dans ce qu'il voulais dire.... ou alors c'est moi qui ne comprends pas ...kerangelo a écrit:J'ai toujours pensé que les syndicats auraient dû proposer de passer de 18 h à 20h hebdo et de 15h à 16h sans augmentation de salaire quand c'était encore temps. (...)
Sans parler du +2h et +1h selon la catégorie.
Tu as raison, ce devrait être +2h et +15/9 h
- VicomteDeValmontGrand sage
Il faudra, au contraire, vendre très cher l'augmentation de notre temps de service quitte à la financer en partie (contrairement à ce que tu proposes) sur le statut des agrégés.
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Cette insigne faveur que votre coeur réclame
Nuit à ma renommée et répugne à mon âme.
- Graisse-BoulonsNiveau 10
frdm a écrit:VicomteDeValmont a écrit:cignus a écrit:Soit il manque des mots et/ou Kerangelo s'est trompé dans ce qu'il voulais dire.... ou alors c'est moi qui ne comprends pas ...kerangelo a écrit:J'ai toujours pensé que les syndicats auraient dû proposer de passer de 18 h à 20h hebdo et de 15h à 16h sans augmentation de salaire quand c'était encore temps. (...)
Sans parler du +2h et +1h selon la catégorie.
Tu as raison, ce devrait être +2h et +15/9 h
Hihihi : meuh non ! c'est parce qu'une heure d'agrégé coûte à l'état deux heures de certifié ! Logique comptable, quand tu nous tiens ! :aaq:
- kerangeloNiveau 7
Parcequ'on aurait été dans l'action et pas dans la réaction, dans le combat pour maintenir le même système car on faisait une concession forte. L'idée de combat pour tirer contrepartie d'un acte fort posé comme proposition nous aurait permis de garder la hargne de se battre alors que c'est le dépit qui nous envahit actuellement face au constat d'échec que tout nous file entre les mains.Dr Raynal a écrit:Et pour quelle obscure raison aurions nous du, il y a 15 ans, alors que la mode était plutôt à la réduction du temps de travail (dont nous n'avons pas bénéficié), consentir à une réduction de nos salaire de 11 % ?
Qui peut avoir la (charmante) naïveté de croire qu'un tel "sacrifice" eut été "récompensé" par la politicaillerie et nous aurait évité les réformes qui ne sont pas motivées par nos personnes (bien entendu) mais par "l'intérêt supérieur des élèves" (hihihi), lequel n'aurait certes pas varié, quelle qu'ait été notre propension à travailler plus pour gagner moins ?
Nous aurions simplement récolté et un appauvrissement général (nous sommes des catégories A payés B, ne l'oublions pas) et l'avalanche de réformes et remises en causes passés, présente et futures, encouragées même par cette attitude de paillasson volontaire...
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Sapere aude
- kerangeloNiveau 7
Si on commence à se bouffer le nez entre nous on est (encore plus) mal ! Les agrégés sont le seuls collègues à avoir un salaire décent (je suis certifié de base). Ce ne sont pas eux les ennemis !VicomteDeValmont a écrit:Il faudra, au contraire, vendre très cher l'augmentation de notre temps de service quitte à la financer en partie (contrairement à ce que tu proposes) sur le statut des agrégés.
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Sapere aude
- DaphnéDemi-dieu
Dr Raynal a écrit:Et pour quelle obscure raison aurions nous du, il y a 15 ans, alors que la mode était plutôt à la réduction du temps de travail (dont nous n'avons pas bénéficié), consentir à une réduction de nos salaire de 11 % ?
Qui peut avoir la (charmante) naïveté de croire qu'un tel "sacrifice" eut été "récompensé" par la politicaillerie et nous aurait évité les réformes qui ne sont pas motivées par nos personnes (bien entendu) mais par "l'intérêt supérieur des élèves" (hihihi), lequel n'aurait certes pas varié, quelle qu'ait été notre propension à travailler plus pour gagner moins ?
Nous aurions simplement récolté et un appauvrissement général (nous sommes des catégories A payés B, ne l'oublions pas) et l'avalanche de réformes et remises en causes passés, présente et futures, encouragées même par cette attitude de paillasson volontaire...
Voilà !
Je n'ai rien à rajouter.
- CathEnchanteur
kerangelo a écrit:Parcequ'on aurait été dans l'action et pas dans la réaction, dans le combat pour maintenir le même système car on faisait une concession forte. L'idée de combat pour tirer contrepartie d'un acte fort posé comme proposition nous aurait permis de garder la hargne de se battre alors que c'est le dépit qui nous envahit actuellement face au constat d'échec que tout nous file entre les mains.Dr Raynal a écrit:Et pour quelle obscure raison aurions nous du, il y a 15 ans, alors que la mode était plutôt à la réduction du temps de travail (dont nous n'avons pas bénéficié), consentir à une réduction de nos salaire de 11 % ?
Qui peut avoir la (charmante) naïveté de croire qu'un tel "sacrifice" eut été "récompensé" par la politicaillerie et nous aurait évité les réformes qui ne sont pas motivées par nos personnes (bien entendu) mais par "l'intérêt supérieur des élèves" (hihihi), lequel n'aurait certes pas varié, quelle qu'ait été notre propension à travailler plus pour gagner moins ?
Nous aurions simplement récolté et un appauvrissement général (nous sommes des catégories A payés B, ne l'oublions pas) et l'avalanche de réformes et remises en causes passés, présente et futures, encouragées même par cette attitude de paillasson volontaire...
Tu es bien optimiste.
Pour ma part, je dirais, comme Churchill, qu'on aurait eu les deux : l'augmentation de notre temps de travail et les réformes qui pourrissent le système (et j'ajoute qu'on augmenterait notre temps de travail quand même).
- frdmNiveau 10
VicomteDeValmont a écrit:Il faudra, au contraire, vendre très cher l'augmentation de notre temps de service quitte à la financer en partie (contrairement à ce que tu proposes) sur le statut des agrégés.
Alors toi tu fais vraiment un méchant complexe vis-à-vis des agrégés, ce n'est pas la première fois que tu fais ce genre de remarque mesquine et provocatrice. Je suppose que tu aimes la discorde.
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