- DanskaOracle
amour a écrit:Merci Danska, c'est intéressant. Mais effectivement nous ne savons pas sur quoi s'appuie le rapport avec la baisse du niveau scolaire. Bizarre, ce truc.
A priori, et sans avoir l'honneur de connaître cet homme, je pense surtout qu'il a énoncé une belle ânerie, et que son "raisonnement" n'a rien de flatteur pour lui, étant donné son manque total de rigueur...
PY :
- ZagaraGuide spirituel
Je trouve un peu bizarres les commentaires qui cherchent des excuses à cette phrase au prétexte qu'on n'a pas le contexte exact ou que les témoins, étudiants donc par nature "ne comprenant rien" (?), auraient nécessairement déformé.
Comme si il était étonnant, dans l'atmosphère générale actuelle, de voir ressurgir des phrases et des attitudes qui, auparavant, pendant quelques années, faisaient suffisamment honte à la personne qui les prononçait pour éviter de les dire. Ce qui a changé, ce n'est pas la qualité de pensée des gens (des racistes, des sexistes, il y en a dans tous les métiers et à tous les niveaux de qualification et il y en aura toujours car nous sommes des singes répétiteurs. Les préjugés, notre cerveau adore les répéter), c'est la pression sociale sur ces racistes et sexistes. Pendant un temps, la sanction sociale était suffisamment forte pour donner honte à ces gens. Aujourd'hui que la droite, de Sarkozy à Le Pen, est devenue vulgaire et porte son racisme et sexisme en bandoulière, les petits idiots du terrain se croient tout permis, y compris de cracher leur bile face à une classe ou un amphi.
Il me semble donc que c'est par la fermeté de la sanction sociale qu'on fait taire les racistes et sexistes, car ceux-ci sont irréformables, mais peuvent être contraints à respecter la loi.
Il est donc très sain que des étudiants fassent péter les réseaux sociaux à chaque fois qu'ils sont témoins de ce genre de phrases. Ne manque qu'une chose : un nom. Qui est ce professeur ? Car une honte anonyme ne vaut pas grand chose.
Comme si il était étonnant, dans l'atmosphère générale actuelle, de voir ressurgir des phrases et des attitudes qui, auparavant, pendant quelques années, faisaient suffisamment honte à la personne qui les prononçait pour éviter de les dire. Ce qui a changé, ce n'est pas la qualité de pensée des gens (des racistes, des sexistes, il y en a dans tous les métiers et à tous les niveaux de qualification et il y en aura toujours car nous sommes des singes répétiteurs. Les préjugés, notre cerveau adore les répéter), c'est la pression sociale sur ces racistes et sexistes. Pendant un temps, la sanction sociale était suffisamment forte pour donner honte à ces gens. Aujourd'hui que la droite, de Sarkozy à Le Pen, est devenue vulgaire et porte son racisme et sexisme en bandoulière, les petits idiots du terrain se croient tout permis, y compris de cracher leur bile face à une classe ou un amphi.
Il me semble donc que c'est par la fermeté de la sanction sociale qu'on fait taire les racistes et sexistes, car ceux-ci sont irréformables, mais peuvent être contraints à respecter la loi.
Il est donc très sain que des étudiants fassent péter les réseaux sociaux à chaque fois qu'ils sont témoins de ce genre de phrases. Ne manque qu'une chose : un nom. Qui est ce professeur ? Car une honte anonyme ne vaut pas grand chose.
- timousseNiveau 3
Je ne sais plus où j'ai entendu ses propos radio? il mettait en cause les PE sur le fait que si les petits français étaient des billes en maths c'était la faute des instits qui étaient pour la plupart des femmes et donc plus littéraires que scientifiques :diablecontent: :diablecontent:
Faut bien trouver des coupables...
Faut bien trouver des coupables...
- DanskaOracle
Zagara a écrit:Je trouve un peu bizarres les commentaires qui cherchent des excuses à cette phrase au prétexte qu'on n'a pas le contexte exact ou que les témoins, étudiants donc par nature "ne comprenant rien" (?), auraient nécessairement déformé.
Sans vouloir polémiquer sur le reste de ton message, sur lequel je te rejoins, certains commentaires ont simplement souligné que les propos de cet enseignant avaient pu être mal compris. Si c'est vrai, la citation est outrageante et lamentable ; mais il est possible également qu'elle ait effectivement été mal comprise ou sortie de son contexte.
Objectivement, si mes élèves s'amusaient à répéter certaines de mes phrases en dehors de tout contexte, il y aurait de quoi hurler
- DanskaOracle
timousse a écrit:Je ne sais plus où j'ai entendu ses propos radio? il mettait en cause les PE sur le fait que si les petits français étaient des billes en maths c'était la faute des instits qui étaient pour la plupart des femmes et donc plus littéraires que scientifiques :diablecontent: :diablecontent:
Faut bien trouver des coupables...
C'est tordu, quand même : il part sur deux éléments vrais (les femmes sont plus présentes en littérature qu'en sciences ; et il y a une très forte majorité de femmes parmi les PE)... pour aboutir à une conclusion parfaitement invalide. Juste assez bien tourné pour tromper le lecteur moyen, qui n'ira pas vérifier tous les détails du "raisonnement"
- User17706Bon génie
Comme je crois qu'il n'y a que mon propos qui puisse donner lieu à cette impressionnante déformation, je restitue ce que j'ai dit:Zagara a écrit:Je trouve un peu bizarres les commentaires qui cherchent des excuses à cette phrase au prétexte qu'on n'a pas le contexte exact ou que les témoins, étudiants donc par nature "ne comprenant rien" (?), auraient nécessairement déformé.
Loin d'avoir "nécessairement déformé", les étudiants ont pu mal comprendre; je n'en juge pas moins (dans la même phrase il me semble) probable, plus probable que simplement possible, que le type ait simplement sorti une énormité sexiste. Cela n'a strictement rien à voir avec une recherche d'excuses: on ne recherche d'excuses que pour des fautes avérées. Dans le cas où elle serait avérée, je ne vois pas comment la qualifier d'énormité sexiste pourrait passer pour une excuse.
- amourExpert
Moi j'aimerais croire que c'était un parallèle avec le paradoxe du menteur "tous les crétois sont des menteurs" qui aurait abouti à cette conclusion. Avec but caché de réveiller les étudiants, de leur expliquer ce qu'est un syllogisme, etc... qui réveillés, n'entendraient que la troisième phrase. Ce serait intéressant de connaître la discipline enseignée dans ce cours, quand même.
Danska a raison, sorties de leur contexte, les phrases au second degré peuvent sembler ignobles. Les miennes aussi. N'empêche, vu les régressions sexistes actuelles, faut pas laisser passer.
Danska a raison, sorties de leur contexte, les phrases au second degré peuvent sembler ignobles. Les miennes aussi. N'empêche, vu les régressions sexistes actuelles, faut pas laisser passer.
- Dr RaynalHabitué du forum
Zagara a écrit:Il me semble donc que c'est par la fermeté de la sanction sociale qu'on fait taire les racistes et sexistes, car ceux-ci sont irréformables, mais peuvent être contraints à respecter la loi.
Il est donc très sain que des étudiants fassent péter les réseaux sociaux à chaque fois qu'ils sont témoins de ce genre de phrases. Ne manque qu'une chose : un nom. Qui est ce professeur ? Car une honte anonyme ne vaut pas grand chose.
Parfois, je me dis que j'ai mal lu, que j'ai mal compris... Mais non... Les gardes rouges exigent des noms, pour que cet "expert" fasse son acte de contrition publique, des dazibao portant le portrait de l'infâme, et pourquoi ne pas l'affubler d'un bonnet d’âne, d’une pancarte autour du cou mentionnant "dissident, déviant, contre-révolutionnaire", et le balader en ville, entouré de ses étudiants rigolards, comme un trophée ?
On peut aussi décider que les "irréformables" sont des fous, et les enfermer dans des hôpitaux psychiatriques...
Il y a des moyens de lutte qui sont pires que ce contre quoi ont peut légitimement se dresser.
- ZagaraGuide spirituel
Je parlais surtout du post précédent celui de PY et de l'effet d'enchaînement. Ce que je trouvais bizarre c'était de sortir cet argument du "mal compris", qui peut être sorti pour tout témoignage (on ne peut pas préjuger de la véracité d'un témoignage quel qu'il soit) dans cette situation spécifique. Évidemment que tout témoignage peut être faux, partiel ou reconfiguré. Mais pourquoi lourdement insister là dessus dans ce cas précis alors que la remarque est universellement valable ?
L'enchaînement des posts donnait l'impression d'une recherche de dédouanement : "peut être a-t-il voulu dire ceci ou cela" (?). Et c'est nécessairement "maladroit", car on ne peut pas être pleinement sexiste, on l'est sans faire exprès, car au fond, on est quelqu'un de bien (?).
Non ce n'est pas "discutable", c'est un propos pénalement répréhensible, honteux et à humilier. C'est en disant que c'est "discutable", ou "maladroit" qu'on laisse le sexisme prospérer. Car si c'est discutable, alors on peut en discuter. Je dis, non, on ne peut pas discuter de si la femme est l'égale de l'homme ou si elle est son inférieure.
Dr Raynal - Bien sûr, c'est être "garde rouge" de refuser qu'on bafoue un principe constitutionnel qui humilie 51% de la population. Ton propos revient à dire que si quelqu'un vole un autre, il ne faut surtout pas savoir qui c'est ou le punir, car ce serait trop méchant de le faire. Ce n'est pas moins grave. C'est aussi un délit pénal. Et cela doit être confronté.
L'idée de l'égalité des humains, ce n'est pas une opinion politique, c'est notre base commune. Ou peut-être me diras-tu que, si, c'est contestable, et que je suis ton inférieure ? Puis-je te regarder dans les yeux, ou non ?
L'enchaînement des posts donnait l'impression d'une recherche de dédouanement : "peut être a-t-il voulu dire ceci ou cela" (?). Et c'est nécessairement "maladroit", car on ne peut pas être pleinement sexiste, on l'est sans faire exprès, car au fond, on est quelqu'un de bien (?).
Non ce n'est pas "discutable", c'est un propos pénalement répréhensible, honteux et à humilier. C'est en disant que c'est "discutable", ou "maladroit" qu'on laisse le sexisme prospérer. Car si c'est discutable, alors on peut en discuter. Je dis, non, on ne peut pas discuter de si la femme est l'égale de l'homme ou si elle est son inférieure.
Dr Raynal - Bien sûr, c'est être "garde rouge" de refuser qu'on bafoue un principe constitutionnel qui humilie 51% de la population. Ton propos revient à dire que si quelqu'un vole un autre, il ne faut surtout pas savoir qui c'est ou le punir, car ce serait trop méchant de le faire. Ce n'est pas moins grave. C'est aussi un délit pénal. Et cela doit être confronté.
L'idée de l'égalité des humains, ce n'est pas une opinion politique, c'est notre base commune. Ou peut-être me diras-tu que, si, c'est contestable, et que je suis ton inférieure ? Puis-je te regarder dans les yeux, ou non ?
- User17706Bon génie
Je ne sais pas si mon insistance était lourde (il ne m'a pas semblé, mais bon) ; quant à la question, ma réponse serait : de crainte de dépenser son indignation à mauvais escient, sur la foi d'une source trop partielle. J'ajoute que ce genre de remarques est fait non dans ce cas précis, mais dans tous les cas semblables (l'idée générale étant d'attendre une confirmation suffisante d'un fait avant de le considérer comme un fait, ce qui ne me semble pas totalement absurde).Zagara a écrit:Évidemment que tout témoignage peut être faux, partiel ou reconfiguré. Mais pourquoi lourdement insister là dessus dans ce cas précis alors que la remarque est universellement valable ?
Par exemple, selon cette règle, il faudrait savoir si quelqu'un a dit que les étudiants avaient nécessairement déformé les propos de leur professeur, avant de se demander quelle attitude adopter face à cette déclaration.
- RogerMartinBon génie
J'attends toujours un lien vers tumblr.
_________________
Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
Strange how paranoia can link up with reality now and then.
- ChamilNiveau 9
alpha75 a écrit:Université de Technologie de Compiègne.
Ces propos ont été récemment prononcés par un professeur, hautement qualifié, à l'université où j'enseigne.
Plusieurs élèves l'ont mis sur un Tumblr pour dénoncer ce sexisme ordinaire et puant.
Je ne sais même plus quoi faire, quoi dire face à cette violence :|
C'est une affirmation qui court régulièrement chez certaines personnes du Ministère mais elle est aussi ancienne que privée de toute base scientifique.
Si la féminisation du corps enseignant (majoritaire depuis l'après première guerre mondiale dans le premier degré, majoritaire dans le second degré depuis les années 1950) était corrélée à une quelconque dégradation du niveau scolaire, on devrait se retrouver aujourd'hui entre l’Éthiopie et Haïti.
- wanaxFidèle du forum
Contre le nombre, il ne sert à rien d'avoir raison.Dr Raynal a écrit:Zagara a écrit:Il me semble donc que c'est par la fermeté de la sanction sociale qu'on fait taire les racistes et sexistes, car ceux-ci sont irréformables, mais peuvent être contraints à respecter la loi.
Il est donc très sain que des étudiants fassent péter les réseaux sociaux à chaque fois qu'ils sont témoins de ce genre de phrases. Ne manque qu'une chose : un nom. Qui est ce professeur ? Car une honte anonyme ne vaut pas grand chose.
Parfois, je me dis que j'ai mal lu, que j'ai mal compris... Mais non... Les gardes rouges exigent des noms, pour que cet "expert" fasse son acte de contrition publique, des dazibao portant le portrait de l'infâme, et pourquoi ne pas l'affubler d'un bonnet d’âne, d’une pancarte autour du cou mentionnant "dissident, déviant, contre-révolutionnaire", et le balader en ville, entouré de ses étudiants rigolards, comme un trophée ?
On peut aussi décider que les "irréformables" sont des fous, et les enfermer dans des hôpitaux psychiatriques...
Il y a des moyens de lutte qui sont pires que ce contre quoi ont peut légitimement se dresser.
- InvitéInvité
RogerMartin a écrit:J'attends toujours un lien vers tumblr.
Effectivement, c'est quand même très embêtant de discuter de tout cela sur un fil parti d'un post aussi peu précis. Si celui-ci ne vient pas rapidement je ne suis pas sûr que cette discussion puisse se poursuivre ici.
- Ali DevineNiveau 8
Tamerlan a écrit:RogerMartin a écrit:J'attends toujours un lien vers tumblr.
Effectivement, c'est quand même très embêtant de discuter de tout cela sur un fil parti d'un post aussi peu précis. Si celui-ci ne vient pas rapidement je ne suis pas sûr que cette discussion puisse se poursuivre ici.
Je crois que c'est
https://payetafac.tumblr.com/
dont j'avais entendu parler sur France Inter, mais je n'y ai pas retrouvé les propos mentionnés au départ de ce fil.
Ceci dit, on y trouve plein d'autres belles choses, je vous laisse découvrir...
_________________
Mon site
- OlympiasProphète
Effarant.
- DanskaOracle
Okaaay... Et on parle d'universitaires. De personnes qui sont censées être intelligentes. Et éduquées. Et appartenir à un milieu social relativement favorisées. Pire encore, qui sont en situation de transmettre ces c*** à leurs étudiants.
C'est juste... :censure: :censure: :censure:
C'est juste... :censure: :censure: :censure:
- User17706Bon génie
On trouve page 6 la phrase en question. (Et aussi page 9, dans une version plus explicite et plus claire, qui semble bien militer pour la thèse de la pure et simple stupidité.)
- gauvain31Empereur
A la fac de droit à Pau, ma sœur m'a raconté une histoire dans le même style. Une fille saignait du nez et a dû prendre congé précipitamment . A ce moment, le professeur a dit devant tout l'amphithéâtre : "mais c'est bizarre, ce n'est pourtant pas par là que ça saigne les filles ! "
No comment
No comment
- DanskaOracle
A ce niveau-là, PY, on est loin, très loin de la simple stupidité
- SphinxProphète
Eh bien, au vu du site, il y a pas mal d'enseignants qui sont des gros machos et/ou des plats de nouille (chose qu'on savait déjà). Il y a aussi pas mal de ces citations qui sont présentées comme le fait d'intervenants extérieurs, d'étudiants (le bon esprit fin et subtil des soirées étudiantes ou des élèves d'école d'ingé ) ou de "chargés de cours" dont on ne sait pas bien ce que ça recouvre au juste. Bref, c'est moins un tableau préoccupant de l'université française que de la société française, tout en montrant que des gens (a priori cultivés et) diplômés peuvent se montrer très bas de plafond. Rien de neuf là non plus (coucou les politiques !)
Je mesure ma chance d'avoir été dans des filières/des départements où je n'ai jamais entendu tenir ce genre de propos.
Je mesure ma chance d'avoir été dans des filières/des départements où je n'ai jamais entendu tenir ce genre de propos.
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- gauvain31Empereur
Ben Laurent Wauquiez a bien été reçu premier à l'agrégation d'Histoire .....
- User17706Bon génie
Transmettre, on peut espérer que non, mais en revanche, en faisant ces remarques de leur position, ils encouragent, légitiment et décomplexent. Effectivement c'est plus grave de leur part et dans le cadre de leurs cours / colloques / examens / soutenances / etc. que de la part du premier venu.Danska a écrit:Okaaay... Et on parle d'universitaires. De personnes qui sont censées être intelligentes. Et éduquées. Et appartenir à un milieu social relativement favorisées. Pire encore, qui sont en situation de transmettre ces c*** à leurs étudiants.
C'est juste... :censure: :censure: :censure:
Malheureusement la plupart de ces remarques ne m'étonnent pas vraiment, si choquantes soient-elles.
- RendashBon génie
Assistez à un cours de P1 ou de P2 (médecine, donc), vous frémirez.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- BabsieNiveau 10
gauvain31 a écrit:A la fac de droit à Pau, ma sœur m'a raconté une histoire dans le même style. Une fille saignait du nez et a dû prendre congé précipitamment . A ce moment, le professeur a dit devant tout l'amphithéâtre : "mais c'est bizarre, ce n'est pourtant pas par là que ça saigne les filles ! "
No comment
Ça, c'est de l'humour cracra et puéril, mais ce n'est pas bien grave.
- RendashBon génie
Babsie a écrit:gauvain31 a écrit:A la fac de droit à Pau, ma sœur m'a raconté une histoire dans le même style. Une fille saignait du nez et a dû prendre congé précipitamment . A ce moment, le professeur a dit devant tout l'amphithéâtre : "mais c'est bizarre, ce n'est pourtant pas par là que ça saigne les filles ! "
No comment
Ça, c'est de l'humour cracra et puéril, mais ce n'est pas bien grave.
Mais rien n'est foncièrement grave, tout relève d'un humour puéril et cracra, et ce ne sont que des paroles ; ce n'est pas comme si les cons cernés avaient cambriolé quelqu'un, auquel cas on eût peut-être pu se poser la question de la légitimité d'une embuscade en vue d'un assassinat, n'est-ce pas.
_________________
"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
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