DNB Sujet d'histoire géo EMC : qu'en avez-vous pensé ?

Elyas a écrit:
Là, ils ont réduit avec le fait de ne raconter que l'exemple. Or, ce type de travail demande qu'en classe, le professeur travaille un exemple de façon complète afin de nourrir une question demandant 20 lignes sur cet exemple. La réalité des pratiques sur le terrain, la compression du temps d'enseignement en classe de 3e avec l'impératif de finir le programme et le manque de formation font que ce n'est pas toujours le cas. Ce paragraphe sera révélateur, en partie, des pratiques réelles sur le terrain et de leur changement depuis neuf ans. Je suis très curieux de lire les retours sur cet exercice.

+1. Pour ma part, j'ai procédé à une typologie des décolonisations, qui me semblait pertinente, en développant trois exemples plutôt qu'un, mais sans doute pas assez pour en nourrir un paragraphe. Les bons s'en tireront, avec l'introduction dans les règles et la mise en perspective, en trente ou quarante lignes, mais les autres pondront leurs dix à quinze lignes habituelles en mélangeant allègrement Indochine, Inde et Algérie.

Je rajoute un élément. Au-delà de la controverse sur le sujet d'EMC (j'ai déjà donné mon avis de fond), je suis catastrophé par ce qui a été fait pour l'analyse et compréhension de document. J'ai déjà formulé mes critiques sur la formulation des questions mais les programmes demandent de ne pas se content d'un questionnement de prélèvement d'information mais de compréhension du document dans son explicite et dans ses implicites. En géographie, pour moi, il faut une carte et poser des questions sur les choix de projection, des seuils de discrétion, des chiffres apparaissent et compagnie. En histoire, il faut interroger sur le sens du document par rapport à son contexte, ses non-dits et son impact.
Là... le vide.

@Rendash Pareil, j'ai fait l'Inde et l'Algérie. Ça me semblait plus pertinent que de me limiter à 1 seul exemple.

monseigneur a écrit:@Rendash Pareil, j'ai fait l'Inde et l'Algérie. Ça me semblait plus pertinent que de me limiter à 1 seul exemple.

Personnellement, je développe en une heure un exemple à fond (du genre vous avez 5 documents, racontez la décolonisation de l'Inde à partir ce ceux-ci) puis dans une deuxième heure, je présente d'autres exemples et fait une contextualisation et une mise en perspective de tout cela.

Rien que pour l'Algérie, je mets 1h1/2... Et il faut aussi parler d'une décolonisation négociée pour faire bonne mesure ! On n'a tout simplement pas le temps de traiter ce sujet comme il le mériterait.

monseigneur a écrit:Rien que pour l'Algérie, je mets 1h1/2... Et il faut aussi parler d'une décolonisation négociée pour faire bonne mesure ! On n'a tout simplement pas le temps de traiter ce sujet comme il le mériterait.

Oui d'où ce que j'écrivais plus haut.

Elyas a écrit:

monseigneur a écrit:@Rendash Pareil, j'ai fait l'Inde et l'Algérie. Ça me semblait plus pertinent que de me limiter à 1 seul exemple.

Personnellement, je développe en une heure un exemple à fond (du genre vous avez 5 documents, racontez la décolonisation de l'Inde à partir ce ceux-ci) puis dans une deuxième heure, je présente d'autres exemples et fait une contextualisation et une mise en perspective de tout cela.

Oui, c'est à peu près ce que j'ai fait également : une heure sur l'Inde à partir de documents, puis quinze minutes sur l'Indochine en cours magistral pour faire le lien avec la guerre froide et le VietNam + émergence de la Chine, et la guerre d'Algérie détaillée ensuite en quarante minutes. Puis contextualisation pour finir. La question posée au DNB est assez frustrante, en faite.

Rendash a écrit:

Elyas a écrit:

monseigneur a écrit:@Rendash Pareil, j'ai fait l'Inde et l'Algérie. Ça me semblait plus pertinent que de me limiter à 1 seul exemple.

Personnellement, je développe en une heure un exemple à fond (du genre vous avez 5 documents, racontez la décolonisation de l'Inde à partir ce ceux-ci) puis dans une deuxième heure, je présente d'autres exemples et fait une contextualisation et une mise en perspective de tout cela.

Oui, c'est à peu près ce que j'ai fait également : une heure sur l'Inde à partir de documents, puis quinze minutes sur l'Indochine en cours magistral pour faire le lien avec la guerre froide et le VietNam + émergence de la Chine, et la guerre d'Algérie détaillée ensuite en quarante minutes. Puis contextualisation pour finir. La question posée au DNB est assez frustrante, en faite.

Je ne trouve pas. Ils ne sont qu'en 3e et les récits de conceptualisation sont très peu pratiqués. Un récit sur un exemple développé, étayé et questionné sur ses causes, son déroulement, son contexte et ses conséquences et son impact, c'est déjà très bien.

Elyas a écrit:

Rendash a écrit:

Elyas a écrit:

monseigneur a écrit:@Rendash Pareil, j'ai fait l'Inde et l'Algérie. Ça me semblait plus pertinent que de me limiter à 1 seul exemple.

Personnellement, je développe en une heure un exemple à fond (du genre vous avez 5 documents, racontez la décolonisation de l'Inde à partir ce ceux-ci) puis dans une deuxième heure, je présente d'autres exemples et fait une contextualisation et une mise en perspective de tout cela.

Oui, c'est à peu près ce que j'ai fait également : une heure sur l'Inde à partir de documents, puis quinze minutes sur l'Indochine en cours magistral pour faire le lien avec la guerre froide et le VietNam + émergence de la Chine, et la guerre d'Algérie détaillée ensuite en quarante minutes. Puis contextualisation pour finir. La question posée au DNB est assez frustrante, en faite.

Je ne trouve pas. Ils ne sont qu'en 3e et les récits de conceptualisation sont très peu pratiqués. Un récit sur un exemple développé, étayé et questionné sur ses causes, son déroulement, son contexte et ses conséquences et son impact, c'est déjà très bien.

Oui, mais justement, ne faire porter la question que sur un exemple, quand on en a tous traité au moins deux, mais moins à fond, pour conceptualiser nous-même et proposer une typologie, c'est ce que je trouve frustrant. J'aurais justement préféré une question plus large, pour laisser la place à une typologie demandant d'aborder d'autres cas que l'exemple principalement développé, et à la mise en perspective indispensable à ce sujet.

Bon, ça reste au moins dans les bases de notre champ disciplinaire, contrairement à l'exercice d'éducation civique proposé. C'est toujours ça de pris.

Rendash a écrit:

Elyas a écrit:

Rendash a écrit:

Elyas a écrit:

Personnellement, je développe en une heure un exemple à fond (du genre vous avez 5 documents, racontez la décolonisation de l'Inde à partir ce ceux-ci) puis dans une deuxième heure, je présente d'autres exemples et fait une contextualisation et une mise en perspective de tout cela.

Oui, c'est à peu près ce que j'ai fait également : une heure sur l'Inde à partir de documents, puis quinze minutes sur l'Indochine en cours magistral pour faire le lien avec la guerre froide et le VietNam + émergence de la Chine, et la guerre d'Algérie détaillée ensuite en quarante minutes. Puis contextualisation pour finir. La question posée au DNB est assez frustrante, en faite.

Je ne trouve pas. Ils ne sont qu'en 3e et les récits de conceptualisation sont très peu pratiqués. Un récit sur un exemple développé, étayé et questionné sur ses causes, son déroulement, son contexte et ses conséquences et son impact, c'est déjà très bien.

Oui, mais justement, ne faire porter la question que sur un exemple, quand on en a tous traité au moins deux, mais moins à fond, pour conceptualiser nous-même et proposer une typologie, c'est ce que je trouve frustrant. J'aurais justement préféré une question plus large, pour laisser la place à une typologie demandant d'aborder d'autres cas que l'exemple principalement développé, et à la mise en perspective indispensable à ce sujet.

Bon, ça reste au moins dans les bases de notre champ disciplinaire, contrairement à l'exercice d'éducation civique proposé. C'est toujours ça de pris.

Je comprends ta position. Je n'ai pas trop envie de débattre aujourd'hui de ce sujet qui dépasse le DNB (en fait, je n'ai pas le temps ni l'humeur, j'ai mal au dos et je procrastine alors que je dois écrire un article) mais il y a énormément à dire sur ce que tu écris et, d'accord en théorie avec toi et plus circonspect sur la pratique, sur les ambitions de l'enseignement de l'HG et ses examens terminaux. Le sujet sur la décolonisation me convient parfaitement car il demande aux élèves d'avoir des connaissances et de connaître le raisonnement et le questionnement qui conduisent à la production d'un récit historique (cf ce que demande le programme sur la pratique des langages en HG). Je suis, en revanche, totalement désappointé devant la blague de l'analyse de document qui relève du niveau CM1 et qui est loin des ambitions du programme sur la question (ça, je l'ai déjà dit).

Les miens ont de la chance, avec ma collègue on avait du mal à trouver un sujet de développement satisfaisant pour notre 2è brevet blanc (entre ce qu'on avait traité en classe, ce qu'on avait déjà donné en évaluation et notre avancée décalée dans le programme) ... on avait fini par se mettre d'accord sur ce fameux sujet de brevet sur la décolonisation. Du coup, j'avais développé l'Inde en classe, je leur avais fait faire un développement sur le sujet, ils l'ont eu au brevet blanc et l'ont corrigé. Résultat j'en ai pas mal qui ont trouvé ça très facile (les sérieux, j'en ai aussi pas mal qui n'ont pas fait la question parce qu'il fallait écrire plus de 2 ligne et que ... même pas en rêve).

En géo, pareil on avait fait un truc assez proche ... avec quand même des questions moins "bas de plafond" ...

J'ai développé en détail l'Algérie en classe. Mais le temps commençant à être compté, les élèves avaient terminé leur récit à la maison. Les bons élèves s'en sortiront sur ce type de question.
Pour la question sur l'analyse de document, je suis d'accord avec Elyas. On dirait un sujet bâclé avec un document finalement très court alors que j'avais rabâché à mes élèves qu'ils auraient un texte long. Un texte avec de nombreuses coupes qui plus est. Les questions paraissaient simples avec de gros barème mais cela sera à double tranchant : on attend une réponse démographique pour la 1ére et spatiale pour la 2 ème. Ce sera la bérézina pour certains élèves...

Hugo78,

Hugo78 a écrit: [...] nous sommes aussi là pour former des citoyens, certes capables de réfléchir et d'avoir un esprit critique, mais des citoyens quand même !

vous ne pensez pas que le passage souligné par mes soins pose un "petit" problème?

Isis39 a écrit:

Fesseur Pro a écrit:

laMiss a écrit:

Fesseur Pro a écrit:les collègues "harmonisateurs" ne sont en rien responsables.

Je le sais bien, mais on peut espérer qu'ils transmettent le message non ?

La plupart l'auront déjà transmis lors de la réunion préparatoire.
Mais bon...

Je disais juste ça car chaque année, des collègues vocifèrent contre les harmonisateurs qui sont bien impuissants et tout aussi outrés que nous.

Oui, merci de ne pas accabler les harmonisateurs qui font un boulot ingrat et pas payé. J'ai fait ça de nombreuses années et merci bien :
- une année on te prend à partie car les consignes sont laxistes
- l'année d'après elles sont trop sévères
- et tu te fais aussi eng..... quand il n'y pas plus de café
- tu dois attendre la fin des corrections : y en a toujours un ou une qui met une heure de plus que les plus lents...

Bref, un boulot super ingrat. Et certains collègues te regardent comme si tu étais une groupie d'IPR...

Oui, je comprends parfaitement. C'est totalement injuste. Simplement, c'est une occasion pour les collègues de faire part de leur mécontentement pourvu qu'il ne soit pas dirigé contre le collègue harmonisateur, évidemment !

PauvreYorick a écrit:Hugo78,

Hugo78 a écrit: [...] nous sommes aussi là pour former des citoyens, certes capables de réfléchir et d'avoir un esprit critique, mais des citoyens quand même !

vous ne pensez pas que le passage souligné par mes soins pose un "petit" problème?

D'ailleurs, je ne comprends pas l'emploi du "certes / mais" dans cette phrase.

Je pense que c'est surtout la définition de citoyen qui pose question ici...

Puisqu'on vous dit qu'il est validé par l'inspecteur, bande de mélanchonnistes !

Zakalwe a écrit: Disons que le passage où elle assimile réacosphère et APHG fait plus que me gêner (bon, je suppose que là il doit y avoir des histoires de gueguerre idiote). (...)

+1.

Elyas a écrit:

monseigneur a écrit:@Rendash Pareil, j'ai fait l'Inde et l'Algérie. Ça me semblait plus pertinent que de me limiter à 1 seul exemple.

Personnellement, je développe en une heure un exemple à fond (du genre vous avez 5 documents, racontez la décolonisation de l'Inde à partir ce ceux-ci) puis dans une deuxième heure, je présente d'autres exemples et fait une contextualisation et une mise en perspective de tout cela.

J'ai fait ça aussi :
Etude sur l'Algérie (avec 2 petits extraits vidéos), puis élargissement/autres exemples/contextualisation.
Et piqure de rappel en traitant de Gaulle.

Mais je vois plus l'écrit de 3ème comme une amorce de composition, voire une composition, , avec donc causalité si le sujet s'y prête, que comme un simple récit (que je déteste ce mot, je ne me résoud pas à l'employer!) , qui induit l'idée de "raconter". Pas plus. Comme on disait dans le passé aux élèves en français "Raconte tes vacances"...

"Raconte l'indépendance de l'Algérie", c'est plus réducteur que de poser "L'indépendance de l'Algérie", qui attend du "pourquoi", du "comment", et du "conséquences", en plus du "où", du "quand", du "qui", et du "quoi".
Après, cela dépend de ce qu'on demande aux élèves et aussi de ce qu'on estime qu'ils sont capables de faire.
Mais ce vocabulaire "c.c.l la praline" dans un sujet de 3ème, bof.


Sinon, sur la géo : sur le thème : l'UE ne tombe jamais. Considéré comme trop difficile ? Idée que c'est traité en fin d'année et donc "mal traité/maltraité" par les profs ?

Honchamp a écrit:
Sinon, sur la géo : sur le thème : l'UE ne tombe jamais. Considéré comme trop difficile ? Idée que c'est traité en fin d'année et donc "mal traité/maltraité" par les profs ?

Pas sûr que ça entre en ligne de compte : après tout, la décolonisation est également traitée plutôt en fin d'année, et les thèmes sociétaux des sujets d'outre-mer étaient de toute fin de programme.
Pour l'UE, c'est dommage, parce que là il y a un vrai lien à faire entre histoire et géographie, et éventuellement éducation civique. Mais, bon, une possibilité de sujet complet et cohérent, ça a sans doute de quoi faire flipper l'institution

Honchamp a écrit:

Elyas a écrit:

monseigneur a écrit:@Rendash Pareil, j'ai fait l'Inde et l'Algérie. Ça me semblait plus pertinent que de me limiter à 1 seul exemple.

Personnellement, je développe en une heure un exemple à fond (du genre vous avez 5 documents, racontez la décolonisation de l'Inde à partir ce ceux-ci) puis dans une deuxième heure, je présente d'autres exemples et fait une contextualisation et une mise en perspective de tout cela.

J'ai fait ça aussi :
Etude sur l'Algérie (avec 2 petits extraits vidéos), puis élargissement/autres exemples/contextualisation.
Et piqure de rappel en traitant de Gaulle.

Mais je vois plus l'écrit de 3ème comme une amorce de composition, voire une composition, , avec donc causalité si le sujet s'y prête, que comme un simple récit (que je déteste ce mot, je ne me résoud pas à l'employer!) , qui induit l'idée de "raconter". Pas plus. Comme on disait dans le passé aux élèves en français  "Raconte tes vacances"...

"Raconte l'indépendance de l'Algérie", c'est plus réducteur que de poser "L'indépendance de l'Algérie", qui attend du "pourquoi", du "comment", et du "conséquences", en plus du "où", du "quand", du "qui", et du "quoi".
Après, cela dépend de ce qu'on demande aux élèves et aussi de ce qu'on estime qu'ils sont capables de faire.
Mais ce vocabulaire "c.c.l la praline" dans un sujet de 3ème, bof.


Sinon, sur la géo : sur le thème : l'UE ne tombe jamais. Considéré comme trop difficile ? Idée que c'est traité en fin d'année et donc "mal traité/maltraité" par les profs ?

Je ne suis pas d'accord sur ta vision du "raconter" et du récit qui, en histoire, incluent le pourquoi, le comment, les conséquences.

Si le récit inclut tout ça, d'accord.

Honchamp a écrit:Si le récit inclut tout ça, d'accord.

Bah, le récit historique inclut tout cela... Veyne, Ricoeur, Marrou, Cariou, Lautier, Arthog, Boucheron, Bloch, Duby et compagnie l'ont bien établi.

J'aime bien faire raconter à l'oral par un volontaire avant la mise l'écrit.

Aloorrs? de retour de correction... et bien ce ne fut pas la Bérézina, mais ce ne fut par Arcole... bref "a suivant !" comme dirais l'ami Brel.
Nous avons eu des indications de correction nationales et des indications "locales" académiques. est ce identique partout?
perso j'ai fait à ma sauce car sans la question 3 d'EMC les notes ne parvenaient que rarement au delà de la moyenne. donc 5 + 5 attribuées aux deux premières questions, allez cette année c'est cadeau ! la dernière non notée au titre du " consigne non comprise"... bref j'ai éludé cette :diable: :diable: :diable: de 3ème question  ! je vous joint les indications de correction que l'on nous a distribué ce matin...

pfiou ! je me demande quand même si les correcteurs ont tous appliqués à la lettre ce correctif académique ou si ils ont été moins obéissants...

J'ai eu à peu près les mêmes consignes de correction. Je n'ai pas appliqué ce correctif à la lettre

Isis39 a écrit:

Fesseur Pro a écrit:

laMiss a écrit:

Fesseur Pro a écrit:les collègues "harmonisateurs" ne sont en rien responsables.

Je le sais bien, mais on peut espérer qu'ils transmettent le message non ?

La plupart l'auront déjà transmis lors de la réunion préparatoire.
Mais bon...

Je disais juste ça car chaque année, des collègues vocifèrent contre les harmonisateurs qui sont bien impuissants et tout aussi outrés que nous.

Oui, merci de ne pas accabler les harmonisateurs qui font un boulot ingrat et pas payé. J'ai fait ça de nombreuses années et merci bien :
- une année on te prend à partie car les consignes sont laxistes
- l'année d'après elles sont trop sévères
- et tu te fais aussi eng..... quand il n'y pas plus de café
- tu dois attendre la fin des corrections : y en a toujours un ou une qui met une heure de plus que les plus lents...

Bref, un boulot super ingrat. Et certains collègues te regardent comme si tu étais une groupie d'IPR...

En général, on râle mais on sait très bien que les chefs de centre n'y sont pour rien. Mais c'est vrai que certains collègues sont de vrais c... !!