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Travail : avez-vous un jour songé au suicide dans votre carrière ?
- zeprofGrand sage
fullmetalchemist a écrit:Cath a écrit:Le nombre de réponses positives est effrayant.
En effet, près d'un tiers des sondés y ont déjà pensé, ne serait-ce que fugacement! :shock: C'est énorme...
je trouve aussi.
- Philomène87Grand sage
stench a écrit:Philomène87 a écrit:Pourtant le RSA ce n'est pas marrant. C'est source d'exclusion sociale et de dépression, alors qu'y gagne-t-on finalement... ?
Entre le suicide et ça, c'est toujours encore mieux, non ? Au moins, tu as une chance de rebondir, ce qui est rarement le cas avec le suicide...
En fait tout dépend des personnes.
- InvitéInvité
stench a écrit:Philomène87 a écrit:Pourtant le RSA ce n'est pas marrant. C'est source d'exclusion sociale et de dépression, alors qu'y gagne-t-on finalement... ?
Entre le suicide et ça, c'est toujours encore mieux, non ? Au moins, tu as une chance de rebondir, ce qui est rarement le cas avec le suicide...
Exactement.
- InvitéInvité
Philomène87 a écrit:stench a écrit:Philomène87 a écrit:Pourtant le RSA ce n'est pas marrant. C'est source d'exclusion sociale et de dépression, alors qu'y gagne-t-on finalement... ?
Entre le suicide et ça, c'est toujours encore mieux, non ? Au moins, tu as une chance de rebondir, ce qui est rarement le cas avec le suicide...
En fait tout dépend des personnes.
Si tu arrives à remonter la pente, tant mieux. Si tu peux toujours te suicider. Donc tu n'as rien à perdre.
- Philomène87Grand sage
Ce que je voulais dire, c'est qu'il y a des personnes très fortes moralement, avec un contexte familial aidant, qui n'ont aucun doute sur le fait qu'elles vont rebondir. Et heureusement, elles sont en majorité.
Et il y en a d'autres qui se sont fait tellement déprécier qu'elles se disent qu'elles ne retrouveront rien d'autre, ou alors, qui n'ont pas la force ni le courage de retourner à la case chômage, de reprendre des études et de re-subir des entretiens d'embauche par centaines. En plus de cela, il y a l'image qu'on donne de soi à sa famille, quand vos parents ont été fiers d'annoncer à leur entourage que vous aviez réussi le concours.
Et il y en a d'autres qui se sont fait tellement déprécier qu'elles se disent qu'elles ne retrouveront rien d'autre, ou alors, qui n'ont pas la force ni le courage de retourner à la case chômage, de reprendre des études et de re-subir des entretiens d'embauche par centaines. En plus de cela, il y a l'image qu'on donne de soi à sa famille, quand vos parents ont été fiers d'annoncer à leur entourage que vous aviez réussi le concours.
- stenchMonarque
Philomène87 a écrit:stench a écrit:Philomène87 a écrit:Pourtant le RSA ce n'est pas marrant. C'est source d'exclusion sociale et de dépression, alors qu'y gagne-t-on finalement... ?
Entre le suicide et ça, c'est toujours encore mieux, non ? Au moins, tu as une chance de rebondir, ce qui est rarement le cas avec le suicide...
En fait tout dépend des personnes.
Je crois personne ne remonte la pente après un suicide... Tout, dans un premier temps, est mieux que ça.
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"Nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend." Yannis Youlountas
"Ils veulent dessiner l'apartheid, on dessinera le maquis."
- lalilalaEmpereur
Oui mais quand tu en es à envisager le suicide, tu ne réfléchis plus comme quelqu'un de raisonnable. Évidemment qu'il vaut mieux démissionner. Mais tu ne l'envisages même pas quand tu es au fond du trou. Tu n'entends pas non plus ce que les gens autour de toi te disent.
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Nuestra vida es un círculo dantesco.
Mon blog
- Philomène87Grand sage
stench a écrit:Philomène87 a écrit:stench a écrit:Philomène87 a écrit:Pourtant le RSA ce n'est pas marrant. C'est source d'exclusion sociale et de dépression, alors qu'y gagne-t-on finalement... ?
Entre le suicide et ça, c'est toujours encore mieux, non ? Au moins, tu as une chance de rebondir, ce qui est rarement le cas avec le suicide...
En fait tout dépend des personnes.
Je crois personne ne remonte la pente après un suicide...
Je crois que nous ne sommes pas sur la même longueur d'onde.
- Philomène87Grand sage
lalilala a écrit:Oui mais quand tu en es à envisager le suicide, tu ne réfléchis plus comme quelqu'un de raisonnable. Évidemment qu'il vaut mieux démissionner. Mais tu ne l'envisages même pas quand tu es au fond du trou. Tu n'entends pas non plus ce que les gens autour de toi te disent.
C'est exactement ce que je voulais dire par "tout dépend des personnes", mais tu as été plus courageuse que moi en faisant une réponse plus détaillée
- BabaretteDoyen
Philomène87 a écrit:Tout pareil.
Ma 1ère année, je ne m'imaginais pas dans un autre boulot. Cela faisait des années que je rêvais d'être prof, je ne me voyais pas faire autre chose, ni n'en avait l'envie, et de plus, mon master d'histoire ne m'aurait rien donné d'autre. Il aurait fallu que je reprenne mes études mais j'avais déjà 27 ans et je n'avais rien pour les financer de toute façon.
Si j'ai pensé au suicide, c'est parce que j'avais peur de me faire virer définitivement, même avec le concours. J'étais désespérée en fait. Donc démissionner, non, c'était au contraire la perspective de quitter ce métier qui me rendait comme ça. Comme Lalilala, j'étais considérée comme une sous-merde, bonne à rien, pas même à tenir une classe "d'élèves faciles et polis" (sic), et à cause de moi et de ma persévérance pour réussir le concours et me faire titulariser, des générations d'élèves seraient pourries jusqu'à ma démission ou mon licenciement qui arriveraient de toute façon (selon ma tutrice).
Ta tutrice devait être la sœur jumelle de mon tuteur...
Ce qui me donnait des idées suicidaires, c'était la peur de ne pas être titularisée pour moi aussi, pas le comportement des élèves.
Un peu facile de dire "boh, suffit de démissionner": d'abord, parce qu'on peut avoir envie de se suicider justement par peur de ne plus avoir le droit d'enseigner, donc d'exercer le métier dont on rêve depuis des années, ensuite parce que quand on est désespéré, on a du mal à voir le bout du tunnel.
- laMissSage
Jamais !
- Spoiler:
- Il manque "Non, mais j'ai déjà eu des envies de meurtre !
_________________
Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- BabaretteDoyen
laMiss a écrit:Jamais !
- Spoiler:
Il manque "Non, mais j'ai déjà eu des envies de meurtre !
Ce n'est pas incompatible avec les pensées suicidaires.
- DaphnéDemi-dieu
laMiss a écrit:Jamais !
- Spoiler:
Il manque "Non, mais j'ai déjà eu des envies de meurtre !
+1
- Spoiler:
- Et pas que contre des élèves
- Philomène87Grand sage
Babarette a écrit:Philomène87 a écrit:Tout pareil.
Ma 1ère année, je ne m'imaginais pas dans un autre boulot. Cela faisait des années que je rêvais d'être prof, je ne me voyais pas faire autre chose, ni n'en avait l'envie, et de plus, mon master d'histoire ne m'aurait rien donné d'autre. Il aurait fallu que je reprenne mes études mais j'avais déjà 27 ans et je n'avais rien pour les financer de toute façon.
Si j'ai pensé au suicide, c'est parce que j'avais peur de me faire virer définitivement, même avec le concours. J'étais désespérée en fait. Donc démissionner, non, c'était au contraire la perspective de quitter ce métier qui me rendait comme ça. Comme Lalilala, j'étais considérée comme une sous-merde, bonne à rien, pas même à tenir une classe "d'élèves faciles et polis" (sic), et à cause de moi et de ma persévérance pour réussir le concours et me faire titulariser, des générations d'élèves seraient pourries jusqu'à ma démission ou mon licenciement qui arriveraient de toute façon (selon ma tutrice).
Ta tutrice devait être la sœur jumelle de mon tuteur...
Ce qui me donnait des idées suicidaires, c'était la peur de ne pas être titularisée pour moi aussi, pas le comportement des élèves.
Un peu facile de dire "boh, suffit de démissionner": d'abord, parce qu'on peut avoir envie de se suicider justement par peur de ne plus avoir le droit d'enseigner, donc d'exercer le métier dont on rêve depuis des années, ensuite parce que quand on est désespéré, on a du mal à voir le bout du tunnel.
C'est exactement ça.
- LombalgiaNiveau 10
En lien plus ou moins direct avec se sujet, ce document intéressant trouvé par le détour de je ne sais quelle recherche. Je ne crois pas l'avoir aperçu ailleurs.
Mémorandum sur la souffrance des enseignants et autres personnels de l’Education Nationale
https://snalc.fr/uploads/documents/national/cd42af8e3fc71b14393fef5667cac30fce41af36.pdf
Mémorandum sur la souffrance des enseignants et autres personnels de l’Education Nationale
https://snalc.fr/uploads/documents/national/cd42af8e3fc71b14393fef5667cac30fce41af36.pdf
- trompettemarineMonarque
Effectivement, je l'avais oublié. Le Snalc est un des rares (le seul) à s'interroger sur la souffrance réelle au travail, en dépit de la pénurie d'études que devrait mener le MEN.
- YazilikayaNeoprof expérimenté
Un des congrès de printemps du snalc portait d'ailleurs sur ce thème.
- abricotedapiExpert spécialisé
Jamais mais je débute et je n'ai pas vécu de situations vraiment pesantes jusqu'ici.
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- Spoiler:
- 2024-2025 : en poste fixe !!
2023-2024 (TZR) AFA : 2 classes de 6e (PP 6e)
2022-2023 (TZR) AFA : 1 classe de 5e, 2 classes de 4e, 1 classe de 3e (PP 5e)
2021-2022 (TZR) 2 remplacements : 2 classes de 5e, 1 classe de 6e / 3 classes de 6e
2020-2021 (TZR) AFA 2 collèges dont le RAD : 2 classes de 5e, 1 classe de 4e (PP 5e) + 1 classe de 6e
2019-2020 (TZR) AFA RAD : 2 classes de 6e, 2 classes de 5e (PP 6e)
2018-2019 (TZR) AFA : 4 classes de 6e
2014-2018 : quatre ans en poste fixe (8 classes de 6e, 4 classes de 4e, 3 classes de 5e, 2 classes de 3e et 4 x PP 6e)
2013-2014 (stagiaire) : 2 classes de 5e, 1 classe de 6e
- LagomorpheFidèle du forum
Ça m'est arrivé, pendant quelques mois. J'étais très investi, je travaillais beaucoup, les élèves et les parents étaient contents et me le faisaient savoir. J'étais élu au CA, je défendais mes collègues du mieux que je pouvais, quitte à batailler un peu avec le CDE avec l'assurance d'un prof qui connaît son boulot.
Puis vint un IPR, la séance et l'entretien se sont déroulés sans problèmes. On m'a juste reproché de "reproduire des modèles". Le rapport, arrivé un mois après, était très agressif, en partie mensonger, mon CDE pervers s'est fait un malin plaisir de me le faire lire dans son bureau sous son regard (et celui de son adjointe tout aussi malfaisante). Il a évoqué, sans précision, des plaintes de parents - dont j'ai su plus tard par le secrétariat qu'elles n'avaient soit jamais existé, soit jamais dépassé les échanges oraux. Il m'a menacé d'enquête administrative et autres joyeusetés. L'IPR et le CDE m'ont imposé un "accompagnement" auprès d'un collègue d'un autre établissement.
J'ai eu l'impression de passer brutalement d'un monde où je maîtrisais mon métier à un cauchemar où j'étais devenu un nul, malgré un investissement énorme. Je ne savais plus où j'en étais, mes collègues ont été compatissants mais sans plus, j'ai voulu sortir de ce cauchemar d'une manière radicale.
Ça m'a passé. J'ai arrêté de tout miser sur le boulot, a posteriori je me rend compte que c'était là mon erreur et que l'EN ne mérite pas plus que ce pour quoi elle paye. Je bosse correctement mais sans zèle (pour ce que ça m'a apporté, j'aurais tort d'en faire des tonnes). J'ai fait une croix sur tout projet / sortie / voyage / atelier / heures sup / coordo / PP dans mon établissement. J'ai plus de temps pour ma vie privée. Au fond je suis plus heureux aujourd'hui, même si je conserverai toujours un rancœur profonde envers l'institution.
Puis vint un IPR, la séance et l'entretien se sont déroulés sans problèmes. On m'a juste reproché de "reproduire des modèles". Le rapport, arrivé un mois après, était très agressif, en partie mensonger, mon CDE pervers s'est fait un malin plaisir de me le faire lire dans son bureau sous son regard (et celui de son adjointe tout aussi malfaisante). Il a évoqué, sans précision, des plaintes de parents - dont j'ai su plus tard par le secrétariat qu'elles n'avaient soit jamais existé, soit jamais dépassé les échanges oraux. Il m'a menacé d'enquête administrative et autres joyeusetés. L'IPR et le CDE m'ont imposé un "accompagnement" auprès d'un collègue d'un autre établissement.
J'ai eu l'impression de passer brutalement d'un monde où je maîtrisais mon métier à un cauchemar où j'étais devenu un nul, malgré un investissement énorme. Je ne savais plus où j'en étais, mes collègues ont été compatissants mais sans plus, j'ai voulu sortir de ce cauchemar d'une manière radicale.
Ça m'a passé. J'ai arrêté de tout miser sur le boulot, a posteriori je me rend compte que c'était là mon erreur et que l'EN ne mérite pas plus que ce pour quoi elle paye. Je bosse correctement mais sans zèle (pour ce que ça m'a apporté, j'aurais tort d'en faire des tonnes). J'ai fait une croix sur tout projet / sortie / voyage / atelier / heures sup / coordo / PP dans mon établissement. J'ai plus de temps pour ma vie privée. Au fond je suis plus heureux aujourd'hui, même si je conserverai toujours un rancœur profonde envers l'institution.
- MelanieSLBDoyen
J'ai répondu un peu. 2 fois en fait, à cause d'une tutrice harceleuse puis d'un chef harceleur. J'avais déjà pensé au suicide plus tôt dans ma vie et avais décidé (à la Sheldon Cooper) que ce n'était pas une décision rationnelle et que ce n'êtait pas une chose à faire. Sans ces réflexions antérieures, je ne sais pas trop quelle aurait pu être ma réponse aujourd'hui.
Vous remarquez à quel point penser au suicide est rarement lié à des élèves pour ceux qui parlent ici?
Vous remarquez à quel point penser au suicide est rarement lié à des élèves pour ceux qui parlent ici?
_________________
La réforme du collège en clair : www.reformeducollege.fr .
Et pour ceux qui voudraient en comprendre quelques fondements idéologiques:
De l’école, Jean-Claude Milner, visionnaire en 1984 (ça ne s'invente pas!) de ce qui nous arrive: "On ne dira pas que les enseignants sont l'appendice inutile d'une institution dangereuse et presque criminelle; on dira seulement qu'ils doivent devenir Autres: animateurs, éducateurs, grands frères, nourrices, etc. La liste est variable. Que, par là, les enseignants cessent d’être ce qu'ils doivent être, c'est encore une fois sortir de la question. On ne dira pas que les enseignants n'ont pas à exister, mais qu'ils ont à exister Autrement. Que cette Autre existence consiste à renoncer à soi-même pour disparaître dans la nuit éducative et s'y frotter, tous corps et tous esprits confondus, avec les partenaires de l'acte éducatif - manutentionnaires, parents, élèves, etc. -, seul un méchant pourrait en prendre ombrage." (page 24)
- FiatLuxFidèle du forum
C'est immonde. Je n'en reviens pas.Lagomorphe a écrit:mon CDE pervers s'est fait un malin plaisir de me le faire lire dans son bureau sous son regard (et celui de son adjointe tout aussi malfaisante)
- Philomène87Grand sage
FiatLux a écrit:C'est immonde. Je n'en reviens pas.Lagomorphe a écrit:mon CDE pervers s'est fait un malin plaisir de me le faire lire dans son bureau sous son regard (et celui de son adjointe tout aussi malfaisante)
J'ai été choquée moi aussi de lire ce passage.
Sans vouloir faire de la psychologie de comptoir, en voilà deux qui doivent avoir un sérieux problème d'estime personnelle.
- scot69Modérateur
C'est un parfait exemple de harcèlement: un acte d'apparence anodin (lire un texte), sans témoin (ou un témoin complice), sans preuve, qui une fois relaté peut sembler sans importance mais qui est effectué ici, dans ce contexte, dans un but destructeur. IGNOBLE
- BabaretteDoyen
FiatLux a écrit:C'est immonde. Je n'en reviens pas.Lagomorphe a écrit:mon CDE pervers s'est fait un malin plaisir de me le faire lire dans son bureau sous son regard (et celui de son adjointe tout aussi malfaisante)
J'ai lu le rapport de mon inspectrice devant elle, elle était accompagnée d'une gestionnaire du rectorat. Le rapport était écrit avec une dent de crotale plongée dans du vitriol, et il était en partie mensonger. Et elle a eu le culot de me demander: "Alors, qu'est-ce que vous en pensez?".
J'ai eu l'impression d'être face à ça :
C'est à cette occasion que mon IPR m'a dit: "Mais démissionnez! Vous vous rendez compte de ce que vous coûtez à la société? De toutes façons, ça va vous revenir cher en frais de psy".
- User21929Expert
J'aimerai tant avoir ce genre de CdE en face de moi, juste pour voir le temps qu'il tiendrait. La plupart du temps ce sont des lâches qui ne s'attaquent pas à tout le monde.
- FiatLuxFidèle du forum
Déjà que j'hallucinais avec le CDE pervers, là, je n'ai même plus de mots. J'aurais tendance à demander si on ne peut pas signaler ce genre de propos mais je suppose que c'est parole contre parole et que, quand bien même, pour le dire poliment : tout le monde s'en fout.Barbarette a écrit:C'est à cette occasion que mon IPR m'a dit: "Mais démissionnez! Vous vous rendez compte de ce que vous coûtez à la société? De toutes façons, ça va vous revenir cher en frais de psy".
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- Avez-vous participé au"jour le plus court" ?
- DP3 et droit du travail. Avez vous des cas concrets ?
- Avez-vous déjà été victime de sexisme dans le cadre de votre travail ?
- avez-vous vos "têtes", l'élève qui vous insupporte, vous donne de l'uricaire...
- Est-ce qu'il vous arrive de contester quand vous avez trop de surveillance d'examens ?
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