- SlinkyNiveau 10
scot69 a écrit:Cela dit, je ne sais pas si c'est parce que j'étais dans une fac vraiment nulle, mais je n'ai pas l'impression d'avoir progressé en anglais pendant mes 3 années de fac. Heureusement que j'étais bon en terminale et que j'ai passé beaucoup de temps dans les pays anglophones.
Ce n'est pas totalement faux. A part des connaissances très pointues, de la méthodologie et un bagage culturel, ce n'est pas réellement ce qui sert une fois sur place dans un pays anglophone.
Les terminales sont doués pour baragouiner sur des notions mais ce n'est pas ce que j'appelle parler anglais.
- ErgoModérateur
Ce ne serait pas un peu le but de l'intitulé langues, littératures et civilisations ?Slinky75 a écrit:scot69 a écrit:Cela dit, je ne sais pas si c'est parce que j'étais dans une fac vraiment nulle, mais je n'ai pas l'impression d'avoir progressé en anglais pendant mes 3 années de fac. Heureusement que j'étais bon en terminale et que j'ai passé beaucoup de temps dans les pays anglophones.
Ce n'est pas totalement faux. A part des connaissances très pointues, de la méthodologie et un bagage culturel, ce n'est pas réellement ce qui sert une fois sur place dans un pays anglophone.
Les terminales sont doués pour baragouiner sur des notions mais ce n'est pas ce que j'appelle parler anglais.
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- pseudo-intelloSage
J'ai beaucoup progressé en prépa, alors que j'étais LC. Une petite quinzaine de jours dans le Kent entre les deux années a été bénéfique aussi, mais je crois que c'est le mélange des deux qui a été vraiment bénéfique.
- RogerMartinBon génie
Tout dépend de la fac, j'imagine, et aussi de l'énergie déployée par les étudiants. On a un certain nombre de cours qui sont très axés sur la langue orale et écrite, prononciation/intonation/correction et fluidité de la rédaction. On corrige aussi les erreurs de langue (tant orale qu'écrite) dans les TD des cours à contenu, surtout dans les options où on a des groupes un peu plus petits. En option, je leur fais préparer un exposé et ils rendent des textes écrits, dont deux assez longs, ça permet de corriger pas mal la langue.
Et en L2 on a maintenant des TD de litté de 2h30, là aussi les collègues ramassent pas mal de travaux.
Et en L2 on a maintenant des TD de litté de 2h30, là aussi les collègues ramassent pas mal de travaux.
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- New ZealandNiveau 9
Un prof (linguistique) nous avait expliqué que notre Deug ne servait pas à apprendre à PARLER la langue, ça, c'était en LEA. J'avais été étonnée, mais j'ai compris plus tard pourquoi. De toute façon, pour bien parler, il faut habiter dans un pays anglophone pendant quelques temps, ne serait-ce que pendant les vacances. Et avec l'avènement d'Internet, on a vraiment accès à de nombreux documents authentiques audios et vidéos. L’idéal serait en fait que les étudiants parlent ensemble en anglais, mais je sais qu'on avait tellement honte de parler anglais qu'on ne l'aurait jamais fait, même si on nous l'avait suggéré ! C'est toujours un problème, parmi les lycéens et étudiants ? Cette honte de parler anglais si on n'a pas un bon accent ?
- SulfolobusÉrudit
New Zealand a écrit:Un prof (linguistique) nous avait expliqué que notre Deug ne servait pas à apprendre à PARLER la langue, ça, c'était en LEA. J'avais été étonnée, mais j'ai compris plus tard pourquoi. De toute façon, pour bien parler, il faut habiter dans un pays anglophone pendant quelques temps, ne serait-ce que pendant les vacances. Et avec l'avènement d'Internet, on a vraiment accès à de nombreux documents authentiques audios et vidéos. L’idéal serait en fait que les étudiants parlent ensemble en anglais, mais je sais qu'on avait tellement honte de parler anglais qu'on ne l'aurait jamais fait, même si on nous l'avait suggéré ! C'est toujours un problème, parmi les lycéens et étudiants ? Cette honte de parler anglais si on n'a pas un bon accent ?
Je forme des scientifiques, la totalité de la science se fait en anglais avoir un bon anglais est indispensable. J'ai proposé à mes étudiants de faire les présentations de fin de L3 en anglais en leur signalant que je leur mettrais des points bonus parce que j'ai bien conscience qu'il n'est pas aussi facile de présenter en français qu'en anglais. Pas un n'a présenté en anglais. Pire, les étudiants français ont interdit aux étudiants étrangers de leur groupe de présenter en anglais alors même que ces étudiants étrangers se sentaient plus à l'aise en anglais qu'en français (à l'étranger certaines facs de sciences forment à la présentation en anglais dès la première année de licence.)
On avait aussi donné des articles en anglais et des articles en français en précisant de privilégier les articles en anglais. Je crois que moins de 20% des articles présentés étaient ceux écrits en langue anglaise.
J'ai fais des congrès plus ou moins internationaux où les étudiants en thèse français présentaient en français parce qu'ils avaient trop peur de présenter en anglais. C'est aussi assez classique lors des séminaires : certains ne veulent pas présenter en anglais, les étrangers n'ont qu'à pas venir.
Ce n'est même pas une question d'accents : je connais des tas de français qui parlent et écrivent un très bon anglais avec un accent à couper au couteau. Je connais des tas de chercheurs étrangers qui parlent et écrivent un très bon anglais avec un accent à couper au couteau. Non, c'est juste la peur d'ouvrir la bouche et de se planter le problème, ce n'est même pas l'accent. Autant je complexe sur mon accent (qui est pourtant loin d'être dégueux pour une française), mais la très grande majorité des natifs que je connais trouve l'accent des étrangers mignons (voir carrément sexy pour l'accent français ). Non le problème c'est dépasser l'idée que parler = faire des fautes et qu'en vrai on s'en fout complètement des fautes simplement parce que plus tu parles moins t'en fait. Bon forcément, si tu parles pas...
- RendashBon génie
Sulfolobus a écrit:Pire, les étudiants français ont interdit aux étudiants étrangers de leur groupe de présenter en anglais
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- SulfolobusÉrudit
Et ouais, tu comprends c'est une présentation de groupe, faut faire des efforts, tu vas pas faire c*** en présentant en anglais, ramasser les points bonus et pas nous et nous faire passer pour ces nouilles.Rendash a écrit:Sulfolobus a écrit:Pire, les étudiants français ont interdit aux étudiants étrangers de leur groupe de présenter en anglais
Ils avaient juste pas prévu du tout que le prof (moi quoi) apprécie pas du tout cela...
- Philomène87Grand sage
Et pourquoi les étudiants étrangers se sont-ils laissé faire par leurs pairs ? Il y a un souci de positionnement de leur part, là...
- InvitéInvité
Peut-être une question de poids !
- RendashBon génie
Oui, enfin, là n'est pas tellement la question. On ne va tout de même pas leur reprocher d'avoir cédé à la pression du groupe dans un pays qui n'est pas le leur, non plus.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- SulfolobusÉrudit
Tu m'ôtes les mots de la bouche.Rendash a écrit:Oui, enfin, là n'est pas tellement la question. On ne va tout de même pas leur reprocher d'avoir cédé à la pression du groupe dans un pays qui n'est pas le leur, non plus.
- Philomène87Grand sage
Oui, c'est sûr, ça dépend des personnes.
Pour en revenir à ce qui est dit plus haut, je trouve ça dramatique :
Pour en revenir à ce qui est dit plus haut, je trouve ça dramatique :
New Zealand a écrit:Un prof (linguistique) nous avait expliqué que notre Deug ne servait pas à apprendre à PARLER la langue, ça, c'était en LEA.
- Marie LaetitiaBon génie
Sulfolobus a écrit: Non le problème c'est dépasser l'idée que parler = faire des fautes et qu'en vrai on s'en fout complètement des fautes simplement parce que plus tu parles moins t'en fait. Bon forcément, si tu parles pas...
En même temps, si tous les élèves sortant du bac avaient un niveau solide en grammaire et un vocabulaire assez riche, j'ose croire qu'on lèverait une grande partie des réticences à parler en anglais... La peur de la faute vient, à mon sens, de là et non d'une culpabilisation éventuelle de la faute...
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- SlinkyNiveau 10
Je dis toujours à ceux qui doutent de leur accent qu'ils n'ont pas vocation à devenir présentateur à la BBC donc tant que l'on comprend, that's fine .
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Her steps--slow, deliberate, and challenging, the set of her sleek head and her slender shoulders, the swing of her straight body, the slight swaying of her hips, are more deadly than all the leopard skins and languors of the old-time vampire. Here is Slinky!
- RogerMartinBon génie
Philomène87 a écrit:Oui, c'est sûr, ça dépend des personnes.
Pour en revenir à ce qui est dit plus haut, je trouve ça dramatique :New Zealand a écrit:Un prof (linguistique) nous avait expliqué que notre Deug ne servait pas à apprendre à PARLER la langue, ça, c'était en LEA.
Dans le cas de ma fac, je dirais que le L ne sert pas qu'à apprendre la langue. Nos meilleurs étudiants ont vraiment un anglais excellent en fin de L, les autres pas. Mais on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif.
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- New ZealandNiveau 9
Ah ! mais je suis tout à fait d'accord pour dire que l'accent n'a pas vraiment d'intérêt. Ce qui compte, c'est la prononciation et pour bien prononcer, il faut parler, parler et encore parler.
C'est vrai qu'en France, on a peur de faire des erreurs et pas uniquement en langue. Mais le fait d'avoir peur de mal prononcer rejoint la peur de faire une erreur (une erreur de prononciation). C'est plus marqué en Europe qu'aux USA, par exemple, mais je me demande si la France n'est pas le pire pays en Europe à ce sujet. Pas évident de faire comprendre ça aux élèves, pourtant c'est aussi le rôle des profs.
@RogerMartin : ils ont bien de la chance ! Cela dit, j'étais un peu glandeuse à la fac, pas sûre que j'aurais pleinement profité des outils proposés par ta fac.
C'est vrai qu'en France, on a peur de faire des erreurs et pas uniquement en langue. Mais le fait d'avoir peur de mal prononcer rejoint la peur de faire une erreur (une erreur de prononciation). C'est plus marqué en Europe qu'aux USA, par exemple, mais je me demande si la France n'est pas le pire pays en Europe à ce sujet. Pas évident de faire comprendre ça aux élèves, pourtant c'est aussi le rôle des profs.
@RogerMartin : ils ont bien de la chance ! Cela dit, j'étais un peu glandeuse à la fac, pas sûre que j'aurais pleinement profité des outils proposés par ta fac.
- RogerMartinBon génie
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- MoonchildSage
Ha@_x a écrit:Je passe sur la question des "conditions de travail", même si j'ai pu lire de nombreuses réflexions à ce sujet : entre un collège de centre-ville et un REP+ de cité, il y a tout de même un monde en termes de conditions de travail....( pour avoir fait les deux et continuer à faire le second ). Les parents ne sont pas tous invasifs partout (ils le sont le plus souvent dans les bons établissements, chez moi c'est une épreuve de les faire venir...).
Oui, il est vrai que le métier d'enseignant recouvre aujourd'hui des réalités très diverses. Mais quand on s'engage dans l'enseignement public, on n'a pendant plusieurs années que très peu de contrôle sur les endroits où on va tomber et les postes vraiment tranquilles se font de plus en plus rares : même dans des lycées de classe moyenne plutôt calmes, les classes de seconde sont parfois difficiles (la seconde est en quelque sorte devenue la cinquième année du collège qui est lui-même devenu une structure totalement bancale) et les sections de STMG peuvent souvent être très pénibles. Les perspectives en terme de conditions de travail sont donc généralement plus qu'incertaines.
Ha@_x a écrit:Et dans un collège ou lycée difficile, il suffit d'avoir une hiérarchie qui suive et qui soit réactive, pour que par enchantement les conditions de travail s'améliorent...
Diantre, pourquoi n'y avons-nous pas pensé plus tôt alors que c'était si simple ?
- ErgoModérateur
8 min avec Philippe Watrelot.Alors que le ministre de l’Education Nationale envisage de réformer la formation des enseignants, la Cour des Comptes rendait public, en début de semaine, un référé recommandant de baisser le niveau de recrutement des futurs enseignants à BAC + 3.
https://www.franceculture.fr/emissions/la-question-du-jour/recherche-profs-a-bac-3-pourquoi-baisser-le-niveau-de-recrutement
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- Lord StevenExpert
Slinky75 a écrit:Je dis toujours à ceux qui doutent de leur accent qu'ils n'ont pas vocation à devenir présentateur à la BBC donc tant que l'on comprend, that's fine .
Je leur dis un peu le contraire en leur demandant s'ils se préparent pour participer aux Anges ou à Pékin Express.....
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If you play with a cat, you should mind his scratch
- User20401Vénérable
En ETLV, j'avais montré à mes élèves une vidéo de François Barré-Sinoussi. Son accent est aléatoire, mais on la comprend bien. J'ai donc expliqué à mes élèves que c'était l'essentiel.Slinky75 a écrit:Je dis toujours à ceux qui doutent de leur accent qu'ils n'ont pas vocation à devenir présentateur à la BBC donc tant que l'on comprend, that's fine .
- User20159Esprit éclairé
Moonchild a écrit:Mais quand on s'engage dans l'enseignement public, on n'a pendant plusieurs années que très peu de contrôle sur les endroits où on va tomber et les postes vraiment tranquilles se font de plus en plus rares
C'est la règle du jeu, quand t'as pas de points tu vas là où on a besoin de toi, quand on passe le concours on signe aussi pour ça...
Moonchild a écrit:même dans des lycées de classe moyenne plutôt calmes, les classes de seconde sont parfois difficiles (la seconde est en quelque sorte devenue la cinquième année du collège qui est lui-même devenu une structure totalement bancale)
Oui, surtout à 36 par classe....je me souviens encore d'un lycée parisien, type "poubelle nord" , où ils avaient conservés des secondes à 24....
ce ne sont que de grands 3e après tout, et quand tu vois la tronche de mes 3e...
Moonchild a écrit:et les sections de STMG peuvent souvent être très pénibles.
dans mon département, la STMG, c'est la poubelle post 2de GT...
Moonchild a écrit:Diantre, pourquoi n'y avons-nous pas pensé plus tôt alors que c'était si simple ?
Tu peux poser la question aux perdirs présents sur néoprofs, il paraît qu'il y en a...
- LefterisEsprit sacré
Ils avaient pas mieux à interroger ? Un type qui cause français correctement par exemple ? Un type qui serait capable de faire le lien entre la chute des recrutements et la "refondation" qu'il a lui-même soutenue ?Ergo a écrit:8 min avec Philippe Watrelot.Alors que le ministre de l’Education Nationale envisage de réformer la formation des enseignants, la Cour des Comptes rendait public, en début de semaine, un référé recommandant de baisser le niveau de recrutement des futurs enseignants à BAC + 3.
https://www.franceculture.fr/emissions/la-question-du-jour/recherche-profs-a-bac-3-pourquoi-baisser-le-niveau-de-recrutement
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- Lord StevenExpert
Cicyle a écrit:En ETLV, j'avais montré à mes élèves une vidéo de François Barré-Sinoussi. Son accent est aléatoire, mais on la comprend bien. J'ai donc expliqué à mes élèves que c'était l'essentiel.Slinky75 a écrit:Je dis toujours à ceux qui doutent de leur accent qu'ils n'ont pas vocation à devenir présentateur à la BBC donc tant que l'on comprend, that's fine .
Un français comprend parfaitement l'accent français dans un discours anglais. Mais j'ai beau être agrégé et être fourré tous les sans cesse aux États Unis, j'ai énormément de mal à comprendre un non anglophone parlant l'anglais avec un accent autochtone caricatural, le pire étant l'accent asiatique. Donc ne doute qu'on puisse se contenter d'un accent approximatif pour se faire universellement comprendre.
Cela étant dit nous nous eloignons du sujet initial!!!!
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- User20159Esprit éclairé
Lefteris a écrit:Ils avaient pas mieux à interroger ? Un type qui cause français correctement par exemple ? Un type qui serait capable de faire le lien entre la chute des recrutements et la "refondation" qu'il a lui-même soutenue ?
Mais tout va bien, Watrelot veut "redonner du pouvoir aux enseignants".....
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