- ElaïnaDevin
On parle d'une heure de bagnole, donc. Pas de trois heures de TGV. La réponse est claire : tu n'as pas vraiment de raison de te dispenser d'y assister, sauf gros je m'en foutisme ou grosse flemme.
- InvitéInvité
Flagada_28 a écrit:On va recadrer le sujet et repréciser que ce n'est pas les conseils en eux même que je n'aime pas mais la distance. Ce n'est pas la même chose.
Et étant aspirant sociologue je serais curieux de lire ceux dont vous parlez qui donnent des jugements de valeur...ce n'est pas très professionnel.
Moi c'est surtout la route de nuit dans des routes de campagnes pendant 1h qui me terrifie en fait.
Je n'ai rien contre participer aux conseils etc...
Les conseils de classes font partie des obligations de service, tu es payé pour y aller.
Sans aucun jugement de valeur.
- Flagada_28Niveau 7
Will.T a écrit:Flagada_28 a écrit:On va recadrer le sujet et repréciser que ce n'est pas les conseils en eux même que je n'aime pas mais la distance. Ce n'est pas la même chose.
Et étant aspirant sociologue je serais curieux de lire ceux dont vous parlez qui donnent des jugements de valeur...ce n'est pas très professionnel.
Moi c'est surtout la route de nuit dans des routes de campagnes pendant 1h qui me terrifie en fait.
Je n'ai rien contre participer aux conseils etc...
Les conseils de classes font partie des obligations de service, tu es payé pour y aller.
Sans aucun jugement de valeur.
Aurais-je le droit de me plaindre sur Neoprofs si je vois des enseignants titulaires non présent aux conseils?
- Ajonc35Sage
J'ai oublié.
Petit ajonc qui travaille depuis un certain temps, sa compagne de même, et dans un tout autre secteur, me disaient récemment que leurs jeunes collègues, nouvellement entrés, n'avaient pas le même mordant, la même envie de s'investir dans leur boulot. Cela m'a interpelé, mais pas tant que cela. Ces jeunes diplômés ont souvent eu leur diplôme avec peu d'investissement, souvent bordé par leurs enseignants, formateurs, parents et autres ont vraiment beaucoup de mal à appréhender le monde du travail. Je rappelle que lorsqu'on est absent en classe, à l'université même souvent, il n'y a pas de conséquence et rares sont ceux qui rattrapent ( "vous pouvez me faire une photocopie?"). Dans le monde du travail ce n'est pas tout à fait pareil.
Petit ajonc qui travaille depuis un certain temps, sa compagne de même, et dans un tout autre secteur, me disaient récemment que leurs jeunes collègues, nouvellement entrés, n'avaient pas le même mordant, la même envie de s'investir dans leur boulot. Cela m'a interpelé, mais pas tant que cela. Ces jeunes diplômés ont souvent eu leur diplôme avec peu d'investissement, souvent bordé par leurs enseignants, formateurs, parents et autres ont vraiment beaucoup de mal à appréhender le monde du travail. Je rappelle que lorsqu'on est absent en classe, à l'université même souvent, il n'y a pas de conséquence et rares sont ceux qui rattrapent ( "vous pouvez me faire une photocopie?"). Dans le monde du travail ce n'est pas tout à fait pareil.
- blancoNiveau 6
Je fais 1h30 minimum par jour pour aller au lycée, 3h par jour les années passées et je n'ai loupé aucun conseil de classe sauf maladie (fracture) ou jury d'examen. Je précise le tout en voiture que j'ai flingué en plus. Après on connait les règles et les contraintes de ce travail mais comme dit précédemment chacun voit midi à sa porte et assume les conséquences...
- InvitéInvité
Venant de quelqu'un qui l'envisage avant même d'être prof, ce serait saugrenu.Flagada_28 a écrit:
Aurais-je le droit de me plaindre sur Neoprofs si je vois des enseignants titulaires non présent aux conseils?
Qu'un prof qui a plus d'une dizaine de classe ne fasse pas tous les conseils me semble normal, ca l'est beaucoup moins quand tu n'en as que quelques unes.
- Flagada_28Niveau 7
De toute manière je ferais certainement profil-bas...
Etant donné que mes chances d'avoir un poste près de chez moi l'année prochaine sont plutôt grande, niveau postes disponibles, je serais bien bête de ne pas agir professionnellement cette année.
Evidemment.
Etant donné que mes chances d'avoir un poste près de chez moi l'année prochaine sont plutôt grande, niveau postes disponibles, je serais bien bête de ne pas agir professionnellement cette année.
Will.T a écrit:Venant de quelqu'un qui l'envisage avant même d'être prof, ce serait saugrenu.Flagada_28 a écrit:
Aurais-je le droit de me plaindre sur Neoprofs si je vois des enseignants titulaires non présent aux conseils?
Qu'un prof qui a plus d'une dizaine de classe ne fasse pas tous les conseils me semble normal, ca l'est beaucoup moins quand tu n'en as que quelques unes.
Evidemment.
- lisette83Érudit
Il y a de toute façon souvent une feuille d'émargement pour garder la trace des professeurs présents (ou pas).Flagada_28 a écrit:De toute manière je ferais certainement profil-bas...
Etant donné que mes chances d'avoir un poste près de chez moi l'année prochaine sont plutôt grande, niveau postes disponibles, je serais bien bête de ne pas agir professionnellement cette année.Will.T a écrit:Venant de quelqu'un qui l'envisage avant même d'être prof, ce serait saugrenu.Flagada_28 a écrit:
Aurais-je le droit de me plaindre sur Neoprofs si je vois des enseignants titulaires non présent aux conseils?
Qu'un prof qui a plus d'une dizaine de classe ne fasse pas tous les conseils me semble normal, ca l'est beaucoup moins quand tu n'en as que quelques unes.
Evidemment.
- Flagada_28Niveau 7
Si on en revient au 1er message du topic, je n'aurais aucun inconvenient à venir aux conseils en Juin personellement.
Comme je l'ai dis, c'est surtout le conseil du 1er trimestre et les rencontres parents-profs qui me créent une certaine angoisse...Rentrer de nuit pendant 1h avec des routes de campagnes... brr..
Comme je l'ai dis, c'est surtout le conseil du 1er trimestre et les rencontres parents-profs qui me créent une certaine angoisse...Rentrer de nuit pendant 1h avec des routes de campagnes... brr..
- lisette83Érudit
C'est une obligation professionnelle.
- User20827Niveau 8
Note bien que les routes de campagne me font moins flipper la nuit que le jour pour ma part : quand tu as la place pour une voiture 1/2 en largeur, et des virages, tu es contente d'avoir le faisceau des phares de celui arrivant en face.Flagada_28 a écrit:Si on en revient au 1er message du topic, je n'aurais aucun inconvenient à venir aux conseils en Juin personellement.
Comme je l'ai dis, c'est surtout le conseil du 1er trimestre et les rencontres parents-profs qui me créent une certaine angoisse...Rentrer de nuit pendant 1h avec des routes de campagnes... brr..
Joies de la campagne
Cependant, tu auras le temps de choisir tes axes, et pourquoi pas opter pour des routes un peu plus sûres quitte à exceptionnellement rallonger le trajet.
- Thalia de GMédiateur
Tous ceux qui conduisent de nuit ne terminent pas dans le fossé, voyons. J'ai descendu la côte de Laffrey clic en plein brouillard nocturne après un conseil de classe et je suis toujours là.
Bon, je reconnais que j'ai serré les fesses.
Bon, je reconnais que j'ai serré les fesses.
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- Dame JouanneÉrudit
Tu risques de conduire de nuit d'autres soirs que les conseils, et même des matins suivant tes horaires : en hiver, la nuit se lève tard et tombe vite. Donc je ne comprends pas pourquoi tu te focalises uniquement sur eux si la conduite te gêne. Quand ils arriveront tu auras en plus l'avantage de bien connaître ton itinéraire. Evidemment ce n'est pas agréable mais tu n'as pas vraiment le choix. Moi, c'était la conduite en région parisienne qui m'avait un peu stressée pour ma première mutation. Ben...on s'y fait!
Pour envisager le côté positif de la chose, tu peux voir ça comme un nouvel apprentissage: apprendre à conduire de nuit sur les routes de campagne. Ce n'est peut être pas obligatoire pour réussir sa vie mais peut se révéler utile à l'avenir!
Pour envisager le côté positif de la chose, tu peux voir ça comme un nouvel apprentissage: apprendre à conduire de nuit sur les routes de campagne. Ce n'est peut être pas obligatoire pour réussir sa vie mais peut se révéler utile à l'avenir!
- maikreeeesseGrand sage
La même que j'ai prise des années par tous les temps été comme hiver, de jour comme de nuit. Cela me fait penser à la discussion sur la conduite en cas de neige. Quand j'ai commencé, en cas de tempête de neige nous prenions nos dispositions pour dormir sur place, payer un hôtel partir 2 h en avance. Aujourd'hui on trouverait ces comportements idiots.
- CleroliDoyen
Même de jour je n'aime pas cette route alors de nuit avec du brouillard, dur, dur pour moi ....Thalia de G a écrit:Tous ceux qui conduisent de nuit ne terminent pas dans le fossé, voyons. J'ai descendu la côte de Laffrey clic en plein brouillard nocturne après un conseil de classe et je suis toujours là.
Bon, je reconnais que j'ai serré les fesses.
Flagada, parle de ta situation courant septembre à ton chef pour qu'il essaie de placer les 2 conseils que tu auras le lundi soir.
- MoutonNiveau 5
Elaïna a écrit:Mouton a écrit:Elaïna a écrit:Je vois aussi beaucoup de jeunes profs très consciencieux. Mais ça a été bien étudié par pas mal de sociologues, bien des jeunes travailleurs ont du mal avec les règles. Pour certains sociologues, c'est un bien (moins de soumission à l'entreprise, plus d'aspiration à l'épanouissement par le travail). Pour d'autres, c'est une catastrophe.
Je lisais il y a peu une étude sur les burn-out des jeunes travailleurs (moins de 30 ans). Entre les lignes, dans les témoignages, on voyait aussi que pour bien de ces jeunes en burn-out, c'était une incapacité (réelle, je ne dis pas le contraire) à faire face à des situations où, pour la première fois, on leur demandait de se sortir les doigts, être à l'heure, faire le boulot demandé selon les critères demandés dans le temps imparti, etc. Mais est-ce étonnant ? Pour bien des CDE par exemple un prof qui sanctionne les devoirs non faits ou rendus en retard est un facho de la pire espèce...
Penser qu'un burn-out c'est simplement ne pas réussir à être à l'heure ou à faire le boulot, c'est limite insultant envers ceux qui en souffrent...
Un travailleur en burn-out fait le travail. Il en fait même trop, d'où l'épuisement. Et il ne trouve ni sens ni reconnaissance dans son travail. D'où une forte responsabilité de la hiérarchie (et du marché du travail et son nombre hallucinant de bullshit jobs).
Bref, rien à voir avec l'âge...
Il faudrait que je retrouve le lien vers cet article en ligne (mais sur téléphone c'est compliqué). On y voyait bien que ces jeunes travailleurs étaient souvent totalement incapables de réagir face à la masse de travail, notamment incapables de s'organiser pour finir à des heures décentes par exemple. Ils n'étaient pas feignants. Juste pas armés par une société et une institution scolaire qui n'a jamais été exigeante, qui n'a jamais dit non (au grand dam des professeurs). Bien sûr il y avait des cas de patrons maltraitants, mais aussi beaucoup de jeunes qui souffraient (je ne minimise pas la souffrance !) d'être si peu armés face aux exigences du travail salarié. Ils étaient en vrai burn-out... parce qu'ils ne savaient pas faire vite et bien. Il faut dire que douze ans à l'école où l'on passe en pleurant au conseil de classe, ça laisse des traces. Parce qu'ils n'étaient pas félicités dès qu'ils avaient fait le boulot demandé - il faut dire que dans une éducation nationale où les élèves estiment que venir en cours est déjà preuve d'une grande bonté de leur part, ça doit être surprenant de ne plus être félicité à tout bout de champ.
Par ailleurs j'ai vu mon mari faire un burn out et vivre le harcèlement (reconnu en justice) donc je sais ce que c'est que la souffrance au travail, merci bien.
Là en l'occurrence on voit un collègue qui est déjà épouvanté d'avance de faire une heure de trajet et d'assister à des conseils de classe (deux fils pour évoquer ses angoisses). Il y a un autre fil où une jeune femme (future collègue ?) veut être prof, mais libre, mais dans une région sympa, en ayant du temps pour visiter, et pas en région parisienne parce que c'est tout pourri, etc. Sérieusement ??? Un peu de principe de réalité ne ferait pas de mal. Mais du coup, je comprends aussi bien pourquoi mes élèves sont révoltés par Parcoursup : c'est la première fois qu'on (un logiciel) leur dit NON. C'est insupportable pour des jeunes gens à qui l'on dit systématiquement oui depuis des années.
Pour faire court : je ne partage pas le constat caricatural sur le laxisme de l'éducation nationale, peut-être sur celui de l'orientation (bien que j'y vois surtout le laxisme des parents : quand on choisit une orientation inadaptée et que les parents insistent malgré les multiples alertes du PP/Psy-EN/Direction, je considère que ce n'est plus de la responsabilité du système), je ne peux donc pas y voir les conséquences sur quelques vingtenaires inadaptés au monde du travail.
Et comme ont dit quelques uns en rappelant Brassens, on est toujours le jeune con de quelqu'un, donc méfions nous des avis à l'emporte-pièce.
Je suis en revanche d'accord avec ta vision sur Parcoursup, qui d'ailleurs ne dit a priori pas plus non que APB, mais fait apparaitre des positions dans des listes d'attentes. Ce qui fait réaliser à certains que oui, petit chéri n'est pas aussi brillant qu'on voulait bien le croire, et qu'il y a en France des tas d'autres petits chéris qui ont un meilleur dossier. C'est pas agréable, mais c'est salutaire.
La même que j'ai prise des années par tous les temps été comme hiver, de jour comme de nuit. Cela me fait penser à la discussion sur la conduite en cas de neige. Quand j'ai commencé, en cas de tempête de neige nous prenions nos dispositions pour dormir sur place, payer un hôtel partir 2 h en avance. Aujourd'hui on trouverait ces comportements idiots.
Alors autant rouler de nuit ne me parait pas un bon argument pour refuser d'aller au travail, autant les tempêtes de neige je confirme, je trouve ça idiot. Hors de question de risquer sa vie (ou même de payer une nuit d’hôtel sur ses fonds propres!) pour aller travailler.
Je me revois cette année insister auprès d'une collègue TZR sur deux établissements pour l'empêcher d'aller à ses cours de l'après-midi un jour de grosse neige à 50 km de route de montagne...
- Fesseur ProGuide spirituel
Être "terrifiée" par l'idée de rouler une heure de nuit !
Haut les cœurs vingt dieux !
Haut les cœurs vingt dieux !
_________________
Pourvu que ça dure...
- maikreeeesseGrand sage
C'est que les mentalités changent. Il y a 20 ans c'était commun maintenant cela paraît impossible. J'ai toujours vécu dans des régions souvent enneigées ce qui induit peut être aussi mon comportement.
- CleroliDoyen
HS : salutaire, oui, mais trop tardivement puisque les vœux sont faits.Mouton a écrit:
Je suis en revanche d'accord avec ta vision sur Parcoursup, qui d'ailleurs ne dit a priori pas plus non que APB, mais fait apparaitre des positions dans des listes d'attentes. Ce qui fait réaliser à certains que oui, petit chéri n'est pas aussi brillant qu'on voulait bien le croire, et qu'il y a en France des tas d'autres petits chéris qui ont un meilleur dossier. C'est pas agréable, mais c'est salutaire.
- mamieprofEsprit éclairé
Fesseur Pro a écrit:Être "terrifiée" par l'idée de rouler une heure de nuit !
Haut les cœurs vingt dieux !
Chacun connait ses limites ! La nuit j'évite au maximum car je n'estime pas bien les distances, je me demande si tel truc illuminé roule ou pas, et je déteste les rues/voies non éclairées... bref je tiens à préserver les autres et moi-même... Sans être terrifiée je balise... :pleurs:
- Dame JouanneÉrudit
Certains problèmes de vision gênent en effet pour la conduite de nuit.
Mais on n'est pas toujours soi même capable de bien estimer nos limites et parfois il s'agit d'un manque de pratique et d'habitude.
Pour exemple, beaucoup de personnes déclarent être sujettes au vertige. Certaines le sont vraiment, mais pour la majorité c'est juste l'appréhension face à une situation (vide, être en hauteur) à laquelle elles ne sont dans la vie de tous les jours quasiment jamais confrontées. Ce type d'appréhension disparait progressivement avec la pratique et le sentiment de maîtriser la situation.
Mais on n'est pas toujours soi même capable de bien estimer nos limites et parfois il s'agit d'un manque de pratique et d'habitude.
Pour exemple, beaucoup de personnes déclarent être sujettes au vertige. Certaines le sont vraiment, mais pour la majorité c'est juste l'appréhension face à une situation (vide, être en hauteur) à laquelle elles ne sont dans la vie de tous les jours quasiment jamais confrontées. Ce type d'appréhension disparait progressivement avec la pratique et le sentiment de maîtriser la situation.
- Marie LaetitiaBon génie
mamieprof a écrit:Fesseur Pro a écrit:Être "terrifiée" par l'idée de rouler une heure de nuit !
Haut les cœurs vingt dieux !
Chacun connait ses limites ! La nuit j'évite au maximum car je n'estime pas bien les distances, je me demande si tel truc illuminé roule ou pas, et je déteste les rues/voies non éclairées... bref je tiens à préserver les autres et moi-même... Sans être terrifiée je balise... :pleurs:
Cela peut aussi dépendre du fait de porter des lunettes (avec teinte adaptée) ou pas, de la teinte du pare-brise. Au lieu de voir des feux nets, en face, on est ébloui par des sortes de disques lumineux dont les contours sont flous (je ne dis pas que c'est ton cas mais ça joue aussi dans le fait d'être rassuré ou pas).
_________________
Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Isis39Enchanteur
maikreeeesse a écrit:C'est que les mentalités changent. Il y a 20 ans c'était commun maintenant cela paraît impossible. J'ai toujours vécu dans des régions souvent enneigées ce qui induit peut être aussi mon comportement.
Dans ma région de montagne, ne pas aller bosser parce qu'il y a de la neige, ça ne passe pas. Sauf circonstances exceptionnelles, et encore. Le jour où j'ai fini dans un ravin, j'ai juste raté ma première heure de cours.
- CatalunyaExpert spécialisé
Si faire une heure de route te terrifie, tu ne devrais pas avoir le permis de conduire.Flagada_28 a écrit:Si on en revient au 1er message du topic, je n'aurais aucun inconvenient à venir aux conseils en Juin personellement.
Comme je l'ai dis, c'est surtout le conseil du 1er trimestre et les rencontres parents-profs qui me créent une certaine angoisse...Rentrer de nuit pendant 1h avec des routes de campagnes... brr..
- henrietteMédiateur
Et si c'est à ce point ingérable pour toi ce trajet - tu as tout de même ouvert rien moins que deux topics pour t'en plaindre ! - la solution est simple : tu te trouves une piaule sur place. Je l'ai eu fait une année quand, TZR, je me suis retrouvée en remplacement d'octobre à juin à l'autre bout de l'académie, et je connais d'autres personnes aussi qui l'ont fait plutôt que de devoir assumer les trajets quotidiens.Will.T a écrit:Flagada_28 a écrit:On va recadrer le sujet et repréciser que ce n'est pas les conseils en eux même que je n'aime pas mais la distance. Ce n'est pas la même chose.
Et étant aspirant sociologue je serais curieux de lire ceux dont vous parlez qui donnent des jugements de valeur...ce n'est pas très professionnel.
Moi c'est surtout la route de nuit dans des routes de campagnes pendant 1h qui me terrifie en fait.
Je n'ai rien contre participer aux conseils etc...
Les conseils de classes font partie des obligations de service, tu es payé pour y aller.
Sans aucun jugement de valeur.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
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