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- trompettemarineMonarque
Aujourd'hui 16 juin, ce matin, les chaînes en continu ne parlent pas de demain. Je regarderai les informations du midi et du soir sur les chaines dites nationales : est-ce l'effet du dimanche où seuls les sujets sans intérêt (sauf catastrophes) sont traités ou bien faut-il y voir une volonté délibérée de rendre invisible la grève des surveillances ?
Paranoïa ou logique médiatique de masse ?
Les principaux dirigeants des syndicats et mouvements grévistes ne devraient-ils pas être invités ce midi ou ce soir ?
EDIT : alors que les réseaux sociaux sont passés du bruissements aux hurlements !
Paranoïa ou logique médiatique de masse ?
Les principaux dirigeants des syndicats et mouvements grévistes ne devraient-ils pas être invités ce midi ou ce soir ?
EDIT : alors que les réseaux sociaux sont passés du bruissements aux hurlements !
- User17095Érudit
En général, elles ne parlent pas spécialement des actions à venir, sauf grève SNCF et encore.
- zigmag17Empereur
Pas de paranoïa: c'est toujours la même antienne. Sur France-Inter l'autre soir (je l'avoue je devrais changer de crèmerie ) il était question pour la énième fois du "stress des candidats avant le bac". Si j'ai bien tout suivi, rien sur le mouvement de grève, rien sur le malaise enseignant, rien sur le marécage - et les consignes poisseuses que l'on nous donne pour travailler/évaluer- dans lequel on s'enfonce chaque jour davantage. J'avais envie de téléphoner pour leur dire que de toute façon le stress c'est dépassé, tout le monde obtient son bac, c'est juste une question de mention maintenant pour les vrais bons élèves qui veulent poursuivre des études pas trop moches et dignes de ce nom.
Voilà
Voilà
- BalthamosDoyen
Paranoïa certainement. Quand on est directement concerné par une affaire, elle paraît tout de suite plus importante que ce qu'elle est.
Il faut aussi garder à l'esprit que le mouvement n'a pas encore eu lieu.
L'enjeu est avant tout avec le ministère et non les médias qui restent mal informés de nos conditions réelles.
Même si l'épreuve est peu perturbée grâce à la surveillance de suppléants ou d'administratifs, le ministère recevra le message. C'est comme les démissions de PP, invisible médiatiquement mais message porteur qui inquiète le ministère.
Il faut aussi garder à l'esprit que le mouvement n'a pas encore eu lieu.
L'enjeu est avant tout avec le ministère et non les médias qui restent mal informés de nos conditions réelles.
Même si l'épreuve est peu perturbée grâce à la surveillance de suppléants ou d'administratifs, le ministère recevra le message. C'est comme les démissions de PP, invisible médiatiquement mais message porteur qui inquiète le ministère.
- KilmenyEmpereur
Il y a pourtant de nombreux articles (il suffit de taper "grève bac" sur google) et tous les élèves sont au courant.
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Un petit clic pour les animaux : http://www.clicanimaux.com/catalog/accueil.php?sites_id=1
- LaotziSage
L'Humanité traite la question en soutenant le mouvement (ça ne surprendra pas mais quand même). L'article est réservé aux abonnés mais on peut le lire via Europresse si votre établissement en dispose sur son ENT :
- Éducation. Grève du bac : pourquoi il faut entendre les enseignants : https://www.humanite.fr/education-greve-du-bac-pourquoi-il-faut-entendre-les-enseignants-673604
- Éducation. Grève du bac : pourquoi il faut entendre les enseignants : https://www.humanite.fr/education-greve-du-bac-pourquoi-il-faut-entendre-les-enseignants-673604
Tout cela fait remonter un malaise de fond : la difficulté du métier qui n'a fait que s'accroître avec sa précarisation, sa paupérisation, le manque de moyens généralisé - et la tentation d'imposer un management autoritaire, traduite par la loi Blanquer et les tentatives d'intimidation (voire les sanctions) à l'encontre de certains des enseignants mobilisés depuis le début de l'année.
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"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- RogerMartinBon génie
L'Express : Le bac 2019 commence lundi, avec la menace qui plane d'une grève des surveillants
https://www.lexpress.fr/education/le-bac-2019-commence-lundi-avec-la-menace-qui-plane-d-une-greve-des-surveillants_2084396.html
Je suis lasse.
https://www.lexpress.fr/education/le-bac-2019-commence-lundi-avec-la-menace-qui-plane-d-une-greve-des-surveillants_2084396.html
Le ministre de l'Éducation, Jean-Michel Blanquer, a pour sa part voulu rassurer vendredi : "Nous nous sommes organisés pour que les choses se passent normalement". "Les professeurs sont des personnes responsables, qui amènent leurs élèves jusqu'au baccalauréat et qui n'ont aucune envie de saboter le moment pour lequel ils les ont préparés", a-t-il estimé.
Je suis lasse.
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Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
Strange how paranoia can link up with reality now and then.
- EnaecoVénérable
Tant que la grève n'aura pas eu lieu avec de réelles conséquences, elle ne fera pas beaucoup de bruit. Pas plus que les autres.
A part l'annonce d'éventuelles perturbations (les établissements semblent avoir pris leur précautions), difficile d en dire plus, d autant que le mouvement n'est en apparence pas parti pour prendre...
A part l'annonce d'éventuelles perturbations (les établissements semblent avoir pris leur précautions), difficile d en dire plus, d autant que le mouvement n'est en apparence pas parti pour prendre...
- trompettemarineMonarque
Sur France 2, l'art de traiter le marronnier est plus important que celui de traiter l'information : aucune analyse, seulement des témoignages.
Faible et superficiel.
Une telle grève depuis 2003, soit 16 ans, ne semble pas interroger.
Faible et superficiel.
Une telle grève depuis 2003, soit 16 ans, ne semble pas interroger.
- Ramanujan974Érudit
En tout cas, Blanquer restera dans l'histoire de l'Education Nationale comme le ministre ayant connu la première grève pendant le bac.
On a connu plus glorieux, comme souvenir.
On a connu plus glorieux, comme souvenir.
- AudreyOracle
Ramanujan974 a écrit:En tout cas, Blanquer restera dans l'histoire de l'Education Nationale comme le ministre ayant connu la première grève pendant le bac.
On a connu plus glorieux, comme souvenir.
Ben non, y en avait eu une en 2003... même si elle n'avait pas trop marché.
- EnaecoVénérable
Et en 2016, il n'y avait pas eu un appel à la grève bac et brevet, contre la réforme des collèges?
- AudreyOracle
Enaeco a écrit:Et en 2016, il n'y avait pas eu un appel à la grève bac et brevet, contre la réforme des collèges?
J'ai aussi fait la grève de la correction en 2016...
- VicomteDeValmontGrand sage
A ma connaissance, la seule "vraie" grève du bac est celle de 1951.
Le ministre avait dû repousser les épreuves de 15 jours.
Seulement 5% des correcteurs avaient répondu à leurs convocations.
Les articles du Monde à l'époque:
Le ministre avait dû repousser les épreuves de 15 jours.
Seulement 5% des correcteurs avaient répondu à leurs convocations.
Les articles du Monde à l'époque:
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— Du pognon pour les profs! (@Ithyphallique) 15 juin 2019
Flashback: En septembre 1951 était décidée la grève de la surveillance de l'ensemble des examens. La grève, très suivie, contraignit le ministre à repousser les épreuves de 15 jours.
La grève continua pendant les corrections où moins de 5% des correcteurs se présentèrent. pic.twitter.com/1Oo09h3uAm
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Cette insigne faveur que votre coeur réclame
Nuit à ma renommée et répugne à mon âme.
- wilfried12Habitué du forum
95% de grévistes ça fait rêver
- PoupoutchModérateur
En même temps, le ministère n'est pas particulièrement inquiet et ne l'a été ni par les stylos rouges, ni par les démissions de PP, et ne le sera pas par la grève, car les épreuves auront lieu.Balthamos a écrit:xf
L'enjeu est avant tout avec le ministère et non les médias qui restent mal informés de nos conditions réelles.
Même si l'épreuve est peu perturbée grâce à la surveillance de suppléants ou d'administratifs, le ministère recevra le message. C'est comme les démissions de PP, invisible médiatiquement mais message porteur qui inquiète le ministère.
Je la ferai, hein, je vais perdre mon trentième et aller manifester mais bon dieu que c'est lassant, comme je l'exprimais ailleurs, d'entendre les raisons bien-pensantes des collègues qui reprennent à leur compte l'avis du ministre, à savoir qu'il est "irresponsable" de "prendre en otage les élèves". Le ministre est bien tranquille, car tant que nous serons aussi massivement individualistes (combien de profs de collège ne se mettront pas en grève car ça concerne le lycée, et à l'inverse combien n'ont pas fait grève en lycée contre la réforme du collège ?) et que nous culpabiliserons et nous inquieterons autant de notre image dans l'opinion, ils pourront passer tout ce qu'ils veulent et on se laissera bouffer par peur de nuire à 3 élèves ou d'avoir encore plus l'air de branleurs.
Le vrai problème c'est que ça fait bien longtemps qu'il n'y a plus de culture de la lutte dans notre profession, et ce qui fait que, par exemple, on parle en amont des grèves de la SNCF ou des routiers c'est qu'on sait qu'elles sont généralement suivies et très bloquantes. Pourquoi parler de nous, puisque nous ne bloquerons rien ?
Je te comprends. Renvoyer systématiquement le prof à sa responsabilité c'est induire que la grève est irresponsable alors que pour moi, l'irresponsable, c'est celui qui estime qu'on peut fonctionner avec les lois qui ont été votées cette année et qu'il ne faut pas se battre. Mais évidemment, c'est sur a faire entendre quand on n'a aucune existence médiatique.RogerMartin a écrit:L'Express : Le bac 2019 commence lundi, avec la menace qui plane d'une grève des surveillants
https://www.lexpress.fr/education/le-bac-2019-commence-lundi-avec-la-menace-qui-plane-d-une-greve-des-surveillants_2084396.html
Le ministre de l'Éducation, Jean-Michel Blanquer, a pour sa part voulu rassurer vendredi : "Nous nous sommes organisés pour que les choses se passent normalement". "Les professeurs sont des personnes responsables, qui amènent leurs élèves jusqu'au baccalauréat et qui n'ont aucune envie de saboter le moment pour lequel ils les ont préparés", a-t-il estimé.
Je suis lasse.
_________________
Lapin Émérite, celle qui Nage en Lisant ou Inversement, Dompteuse du fauve affamé et matutinal.
"L'intelligence est une maladie qui peut se transmettre très facilement mais dont on peut guérir très rapidement et sans aucune séquelle"
- Ramanujan974Érudit
wilfried12 a écrit:95% de grévistes ça fait rêver
Il faut quand même voir combien cela représentait de personnes à l'époque, peut-être quelques milliers seulement.
A une époque où le métier d'enseignant devait être plus homogène (un seul corps il me semble) que maintenant.
- Ramanujan974Érudit
Poupoutch a écrit: car tant que nous serons aussi massivement individualistes (combien de profs de collège ne se mettront pas en grève car ça concerne le lycée, et à l'inverse combien n'ont pas fait grève en lycée contre la réforme du collège ?)
Il faut aussi être lucide, on n'obtiendra rien à 800000, surtout que les problématiques sont souvent différentes (primaire, collège, lycée, lycée pro, CPGE, fac et agrégés, certifiés, PLP, PE, MCF, contractuels)
Les revendications catégorielles seraient sûrement plus mobilisatrices.
- trompettemarineMonarque
J'ai certains très bons amis en CPGE , d'autres pas ; cela me ferait plaisir de voir ces derniers qui nous critiquent tout le temps être obligés d'assurer nos surveillances...
Feront-ils grève ????
Cessons de dire des bêtises, mais
95 % de grève des surveillances, ce serait beau à voir !
On savait résister à l'époque !
Feront-ils grève ????
Cessons de dire des bêtises, mais
95 % de grève des surveillances, ce serait beau à voir !
On savait résister à l'époque !
- PoupoutchModérateur
Une partie au moins des revendications (revalorisations salariales/dégel du point d'indice ; retrait de certains articles de la loi "confiance" ; protection du statut) sont communes à la plupart des enseignants.Ramanujan974 a écrit:Poupoutch a écrit: car tant que nous serons aussi massivement individualistes (combien de profs de collège ne se mettront pas en grève car ça concerne le lycée, et à l'inverse combien n'ont pas fait grève en lycée contre la réforme du collège ?)
Il faut aussi être lucide, on n'obtiendra rien à 800000, surtout que les problématiques sont souvent différentes (primaire, collège, lycée, lycée pro, CPGE, fac et agrégés, certifiés, PLP, PE, MCF, contractuels)
Les revendications catégorielles seraient sûrement plus mobilisatrices.
Par ailleurs, si vraiment on veut categoriser les luttes, les profs du supérieur (MCF et PU, ATER, PRCE et PRAG) relèvent d'un autre ministère.
À mon sens ceci dit, il faut éviter de trop categoriser. Comme je le disais au temps de la réforme du collège à mes collegues du lycée, une réforme, même à un niveau, reflète une logique qui concerne l'ensemble du système et ne fait généralement qu'annoncer une réforme à suivre pour un autre niveau (la preuve...). Je ne crois donc pas tant que ça à la catégorisation des luttes car nous relevons tous, pour l'instant, de la notion d'éducation nationale et pour moi, nationale n'est pas un vain mot et nous savons depuis la réforme du collège que nous allons vers moins d'égalité suivant les territoires.
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Lapin Émérite, celle qui Nage en Lisant ou Inversement, Dompteuse du fauve affamé et matutinal.
"L'intelligence est une maladie qui peut se transmettre très facilement mais dont on peut guérir très rapidement et sans aucune séquelle"
- Ramanujan974Érudit
Poupoutch a écrit:Une partie au moins des revendications (revalorisations salariales/dégel du point d'indice ; retrait de certains articles de la loi "confiance" ; protection du statut) sont communes à la plupart des enseignants.Ramanujan974 a écrit:Poupoutch a écrit: car tant que nous serons aussi massivement individualistes (combien de profs de collège ne se mettront pas en grève car ça concerne le lycée, et à l'inverse combien n'ont pas fait grève en lycée contre la réforme du collège ?)
Il faut aussi être lucide, on n'obtiendra rien à 800000, surtout que les problématiques sont souvent différentes (primaire, collège, lycée, lycée pro, CPGE, fac et agrégés, certifiés, PLP, PE, MCF, contractuels)
Les revendications catégorielles seraient sûrement plus mobilisatrices.
Par ailleurs, si vraiment on veut categoriser les luttes, les profs du supérieur (MCF et PU, ATER, PRCE et PRAG) relèvent d'un autre ministère.
À mon sens ceci dit, il faut éviter de trop categoriser. Comme je le disais au temps de la réforme du collège à mes collegues du lycée, une réforme, même à un niveau, reflète une logique qui concerne l'ensemble du système et ne fait généralement qu'annoncer une réforme à suivre pour un autre niveau (la preuve...). Je ne crois donc pas tant que ça à la catégorisation des luttes car nous relevons tous, pour l'instant, de la notion d'éducation nationale et pour moi, nationale n'est pas un vain mot et nous savons depuis la réforme du collège que nous allons vers moins d'égalité suivant les territoires.
Sauf que le gouvernement, lui, a bien compris que pour arriver à ses fins il faut y aller progressivement. Un coup le collège, puis le primaire, après le lycée, etc. Petit à petit.
- User17095Érudit
Un exemple d'un article qui ne sent pas le black-out médiatique, dans la dépêche du midi à propos de Toulouse :
https://www.ladepeche.fr/amp/2019/06/15/baccalaureat-2019-le-risque-dune-greve-de-la-surveillance,8258314.php?__twitter_impression=true
Je le cite parce que je suis interpellé par un passage :
Alors si on veut que les candidats réussissent, il faut déjà qu'ils puissent composer... sinon moi je comprends pas comment ils font.
https://www.ladepeche.fr/amp/2019/06/15/baccalaureat-2019-le-risque-dune-greve-de-la-surveillance,8258314.php?__twitter_impression=true
Je le cite parce que je suis interpellé par un passage :
La grève de la surveillance, cela veut dire concrètement des salles d'examens sans surveillants, ce qui peut être un motif d'annulation de l'épreuve. Les enseignants remontés contre les réformes du lycée et du baccalauréat portées par le ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer confient pour autant qu'ils ne veulent nullement nuire à la réussite des candidats.
Alors si on veut que les candidats réussissent, il faut déjà qu'ils puissent composer... sinon moi je comprends pas comment ils font.
- BalthamosDoyen
pogonophile a écrit:Un exemple d'un article qui ne sent pas le black-out médiatique, dans la dépêche du midi à propos de Toulouse :
https://www.ladepeche.fr/amp/2019/06/15/baccalaureat-2019-le-risque-dune-greve-de-la-surveillance,8258314.php?__twitter_impression=true
Je le cite parce que je suis interpellé par un passage :
La grève de la surveillance, cela veut dire concrètement des salles d'examens sans surveillants, ce qui peut être un motif d'annulation de l'épreuve. Les enseignants remontés contre les réformes du lycée et du baccalauréat portées par le ministre de l'Education nationale Jean-Michel Blanquer confient pour autant qu'ils ne veulent nullement nuire à la réussite des candidats.
Alors si on veut que les candidats réussissent, il faut déjà qu'ils puissent composer... sinon moi je comprends pas comment ils font.
Pour qu'ils réussissent, ne faut il pas déjà fournir un enseignement de qualité avec des personnels formés et motivés ?
D'où l'intérêt du mouvement.
L'objectif est de signaler notre mécontentement et d'envoyer un signal au ministère, et non de nuire à la réussite des candidats, donc oui c'est bien le cas.
- User17095Érudit
Je ne parle pas des revendications, mais de la forme de l'action.
On ne peut pas dans le même temps refuser de surveiller l'épreuve, donc l'empêcher sciemment d'avoir lieu, et vouloir que les candidats la réussissent.
Que le mouvement porte sur la réussite des élèves en général, soit (encore qu'on en parle peu mais bref), mais là on parle de celle des candidats de demain lundi.
On ne peut pas dans le même temps refuser de surveiller l'épreuve, donc l'empêcher sciemment d'avoir lieu, et vouloir que les candidats la réussissent.
Que le mouvement porte sur la réussite des élèves en général, soit (encore qu'on en parle peu mais bref), mais là on parle de celle des candidats de demain lundi.
- keroGrand sage
En tout cas, sur France Info (que j'ai la mauvaise habitude d'écouter presque en continu, au désespoir de ma chère et tendre), ils ont en parlé plusieurs fois, aujourd'hui. Ainsi que ces derniers jours.
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