- BaldredSage
Sarah 28 a écrit:Honchamp a écrit:Sarah 28 a écrit:
Je n'ai pas non plus eu le sentiment que le chef avait beaucoup de pouvoir, mais plutôt qu'il se pliait à la personne qui est censée représenter le pouvoir, le savoir, à savoir l'inspecteur. Et quand l'inspecteur n'est pas à la hauteur, tout le système s'écroule, parce que les critères d'évaluation sont opaques et que le chef, quand il a 150 professeurs à gérer, ne sait pas bien ce que chacun fait et que l'inspecteur qui se balade dans toute l'académie et qui ne connait pas chaque établissement, chaque professeur au quotidien n'a pas une vue juste en une heure. Donc, il y a ceux qui font le cours qui plait le jour de l'inspection et les autres...Voilà mon sentiment.
J'ai tout de même l'impression que le chef d'établissement peut sacrément savonner la planche à ses profs, en influençant l'IPR sur certains sujets concernant le professeur.
Pour peu que ce chef d'établissement soit apprécié de l'IPR, il aura de l'influence.
Se pose quoi qu'il en soit la question de l'objectivité de l'IPR et du chef, en l'absence de critères précis. C'est une évaluation à l'aveugle. De plus, ce que j'ai trouvé fort de café, c'est que l'esprit qui devait animer le PPCR: à savoir faire le bilan de notre carrière et nous encourager, s'est transformé en déstabilisation, injustice et manque de respect. Dans mon cas, c'est l'IPR qui est la cause principale du problème. Il y a bien sûr d'autres cas...où le chef d'établissement se comporte mal. Et le souci, c'est que nous n'avons plus que d'autres chefs dans l'administration pour dire qu'il y a souci. Le système étant abscons, on finit par laisser tomber...Mais cela peut créer de l'amertume et nous laisser ce sentiment d'injustice.
Il est clair que le système actuel n'est pas satisfaisant. Mais je pense qu'une meilleure évaluation ne me parait pas réaliste au vu du nombre d'inspecteurs. Moi, je serai favorable à un avancement le même pour tous, sauf peut-être dans certains cas bien précis avec des critères très carrés pour garder la classe exceptionnelle. Nous ne serons pas forcément d'accord sur les cas, mais il faudrait trancher. Ex: 10 ans dans un établissement difficile etc... A penser, comme une récompense pour certaines personnes qui ont fait des choix parfois difficiles, couteux en temps et en énergie. Ce serait forcément une minorité. Et arrêter de geler le point d'indice pour la reconnaissance du travail de tous!
Bonsoir,
D'une certaine manière, même avant le PPCR, les inspections se sont toujours jouées en partie dans le bureau du Cde. Tu as raison, il peut envoyer dans la boue ou bien dans les étoiles, et l'inspecteur peut en tenir compte, ou pas ( je connais des cas où un prof vanté par le Cde a été torpillé par l'inspecteur, c'est donc un critère pour le moins mouvant).
Je n'aurais pas trop confiance dans "l'esprit qui devait animer le PPCR". L'inspection a été et reste même sous son nouveau nom un moment très ambigu. D'abord, on en a déjà parlé, par sa double fonction d'évaluer et de classer qui est la source de la plupart des malentendus/aberrations sur la somme des items qui ne correspond pas à l'avis Recteur.
Mais aussi sur le contenu même de l'évaluation par quelqu'un qui n'est pas un conseiller pédagogique mais un inspecteur. Cette "inspection", cette "visite" a toujours été mal vécue, à commencer par ceux qui prétendent s'en moquer. En dehors de considérations d'avancement, j'ai ouvert le champagne quand j'ai compris que PPCR dans mon cas signifiait : FIN DES INSPECTIONS. Je n'ai jamais eu à m'en plaindre mais j'ai pourtant eu l'impression de mettre fin à un long supplice.
L'ancien et le nouveau système sont également déstabilisants et la juste évaluation des profs reste à inventer pour ne plus être un "bon ou "mauvais" profs jugé par un "bon" ou "mauvais" inspecteur avec l'aide d'un "bon" ou "mauvais" Cde.
Une fois titularisé nous n'avons plus besoin d'être évalués, mais d'avoir accès à une vraie formation continue pour toujours mieux prendre en main un métier qui évolue.
- JennyMédiateur
J’ai vécu l’inverse. Ma CDE y avait été un peu fort, je pense.Baldred a écrit:
D'une certaine manière, même avant le PPCR, les inspections se sont toujours jouées en partie dans le bureau du Cde. Tu as raison, il peut envoyer dans la boue ou bien dans les étoiles, et l'inspecteur peut en tenir compte, ou pas ( je connais des cas où un prof vanté par le Cde a été torpillé par l'inspecteur, c'est donc un critère pour le moins mouvant).
Et n’avait pas été fichue d’accompagner le chargé de mission jusqu’à ma salle, ni de lui filer le bon numéro de salle. Il faut dire que c’était vendredi aprem donc le week-end. J’ai fini par envoyer des élèves à sa recherche.
- A reboursEsprit éclairé
Honchamp a écrit:Sarah 28 a écrit:
Je n'ai pas non plus eu le sentiment que le chef avait beaucoup de pouvoir, mais plutôt qu'il se pliait à la personne qui est censée représenter le pouvoir, le savoir, à savoir l'inspecteur. Et quand l'inspecteur n'est pas à la hauteur, tout le système s'écroule, parce que les critères d'évaluation sont opaques et que le chef, quand il a 150 professeurs à gérer, ne sait pas bien ce que chacun fait et que l'inspecteur qui se balade dans toute l'académie et qui ne connait pas chaque établissement, chaque professeur au quotidien n'a pas une vue juste en une heure. Donc, il y a ceux qui font le cours qui plait le jour de l'inspection et les autres...Voilà mon sentiment.
J'ai tout de même l'impression que le chef d'établissement peut sacrément savonner la planche à ses profs, en influençant l'IPR sur certains sujets concernant le professeur.
Pour peu que ce chef d'établissement soit apprécié de l'IPR, il aura de l'influence.
Tout à fait d'accord, et j'en ai fait la triste expérience.
Les seules choses que l'inspecteur m'ait reprochées sont des points que mon CDE lui avait exposés au préalable. L'inspecteur ne pouvait les savoir à lui seul.
Mon CDE me déteste et veut plomber ma matière. Il ne m'a pas loupée pour le PPCR.
- Clecle78Bon génie
Moi je suis carrément allée la chercher. Elle papotait avec la chef et avait oublié l'heure.Jenny a écrit:J’ai vécu l’inverse. Ma CDE y avait été un peu fort, je pense.Baldred a écrit:
D'une certaine manière, même avant le PPCR, les inspections se sont toujours jouées en partie dans le bureau du Cde. Tu as raison, il peut envoyer dans la boue ou bien dans les étoiles, et l'inspecteur peut en tenir compte, ou pas ( je connais des cas où un prof vanté par le Cde a été torpillé par l'inspecteur, c'est donc un critère pour le moins mouvant).
Et n’avait pas été fichue d’accompagner le chargé de mission jusqu’à ma salle, ni de lui filer le bon numéro de salle. Il faut dire que c’était vendredi aprem donc le week-end. J’ai fini par envoyer des élèves à sa recherche.
- Sarah 28Niveau 3
Baldred,
Je trouve ton discours très sain et cela me fait du bien que tu mettes des mots sur ce que j'ai toujours eu le sentiment de vivre, que l'inspecteur soit cordial ou pas, je n'ai jamais eu l'impression d'avoir été soutenue par de bons conseils dans mon métier, mais plutôt qu'un couperet tombait sur moi, un peu comme la roulette russe, n'ayant jamais voulu faire un cours spécial inspection, ni suivre les marottes des inspecteurs, ce que certains faisaient. Pourtant, je pense bien faire mon travail, même si on peut toujours faire mieux.
J'ai une collègue super qui n'a jamais trouvé que les inspections lui avaient servi à quelque chose et qui était ravie d'être hors classe depuis longtemps, quand le PPCR est "sorti". Elle est proche de la retraite et investie jusqu'au bout. Elle trouve, comme moi, que les conseils sont déconnectés de la réalité. Sauf que dans le dernier cas que je cite, il y avait en plus de la malveillance et de l'incompétence, puisque les jugements acerbes (ce n'était même pas des conseils) ne correspondaient en rien au guide d'évaluation et n'ont aucun fondement dans les programmes, comme j'ai pu le montrer ici.
En fait, grâce à cette mauvaise expérience, j'ai compris ce que le fondateur de la Communication Nonviolente, M.Rosenberg insinuait lorsqu'il parlait des jugements moralisateurs et de la notion de mérite très pernicieuse. Voici une de ses citations: « La communication aliénante est également associée à l’idée selon laquelle certaines actions méritent récompense, tandis que d’autres méritent punition. Le verbe "mériter" ("Il mérite d’être puni pour ce qu’il a fait") est d’ailleurs tout à fait révélateur de cet état d’esprit, en ceci qu’il suppose un "tort" de la part de celui qui se comporte d’une certaine façon et appelle une punition pour l’obliger à se repentir et à amender son comportement. Je suis persuadé qu’il est dans l’intérêt de tous que les gens changent, non pour échapper au châtiment, mais parce que eux-mêmes perçoivent que ce changement leur sera bénéfique. »
Marshall B. Rosenberg, Les mots sont des fenêtres, ou bien ce sont des murs (Nonviolent Communication: A Language Of Life), Éd. La Découverte/Éd. Jouvence
Et j'ai vraiment senti une violence de la part de l'institution avec ce PPCR, une violence insidiueuse qui va bien au-delà d'un problème de reconnaissance.
Je trouve ton discours très sain et cela me fait du bien que tu mettes des mots sur ce que j'ai toujours eu le sentiment de vivre, que l'inspecteur soit cordial ou pas, je n'ai jamais eu l'impression d'avoir été soutenue par de bons conseils dans mon métier, mais plutôt qu'un couperet tombait sur moi, un peu comme la roulette russe, n'ayant jamais voulu faire un cours spécial inspection, ni suivre les marottes des inspecteurs, ce que certains faisaient. Pourtant, je pense bien faire mon travail, même si on peut toujours faire mieux.
J'ai une collègue super qui n'a jamais trouvé que les inspections lui avaient servi à quelque chose et qui était ravie d'être hors classe depuis longtemps, quand le PPCR est "sorti". Elle est proche de la retraite et investie jusqu'au bout. Elle trouve, comme moi, que les conseils sont déconnectés de la réalité. Sauf que dans le dernier cas que je cite, il y avait en plus de la malveillance et de l'incompétence, puisque les jugements acerbes (ce n'était même pas des conseils) ne correspondaient en rien au guide d'évaluation et n'ont aucun fondement dans les programmes, comme j'ai pu le montrer ici.
En fait, grâce à cette mauvaise expérience, j'ai compris ce que le fondateur de la Communication Nonviolente, M.Rosenberg insinuait lorsqu'il parlait des jugements moralisateurs et de la notion de mérite très pernicieuse. Voici une de ses citations: « La communication aliénante est également associée à l’idée selon laquelle certaines actions méritent récompense, tandis que d’autres méritent punition. Le verbe "mériter" ("Il mérite d’être puni pour ce qu’il a fait") est d’ailleurs tout à fait révélateur de cet état d’esprit, en ceci qu’il suppose un "tort" de la part de celui qui se comporte d’une certaine façon et appelle une punition pour l’obliger à se repentir et à amender son comportement. Je suis persuadé qu’il est dans l’intérêt de tous que les gens changent, non pour échapper au châtiment, mais parce que eux-mêmes perçoivent que ce changement leur sera bénéfique. »
Marshall B. Rosenberg, Les mots sont des fenêtres, ou bien ce sont des murs (Nonviolent Communication: A Language Of Life), Éd. La Découverte/Éd. Jouvence
Et j'ai vraiment senti une violence de la part de l'institution avec ce PPCR, une violence insidiueuse qui va bien au-delà d'un problème de reconnaissance.
- Isis39Enchanteur
J'ai toujours bien mal vécu les inspections. Cette impression d'être jugée seulement sur une heure de cours tous les 5-6 ans. Un gros stress qui me faisait peaufiner maladivement ma séance, sans pour autant changer ma façon de faire.
Ma dernière inspection a eu lieu alors que j'étais HC depuis un an. Elle n'avait donc aucun enjeu. Mais j'étais aussi stressée que pour les autres.
Quel soulagement que le PPCR qui veut dire que je ne suis plus inspectée ! D'un autre côté c'est étrange que personne ne vérifie que je fasse correctement mon boulot d'ici la retraite...
Ma dernière inspection a eu lieu alors que j'étais HC depuis un an. Elle n'avait donc aucun enjeu. Mais j'étais aussi stressée que pour les autres.
Quel soulagement que le PPCR qui veut dire que je ne suis plus inspectée ! D'un autre côté c'est étrange que personne ne vérifie que je fasse correctement mon boulot d'ici la retraite...
- Sarah 28Niveau 3
Isis39 a écrit:J'ai toujours bien mal vécu les inspections. Cette impression d'être jugée seulement sur une heure de cours tous les 5-6 ans. Un gros stress qui me faisait peaufiner maladivement ma séance, sans pour autant changer ma façon de faire.
Ma dernière inspection a eu lieu alors que j'étais HC depuis un an. Elle n'avait donc aucun enjeu. Mais j'étais aussi stressée que pour les autres.
Quel soulagement que le PPCR qui veut dire que je ne suis plus inspectée ! D'un autre côté c'est étrange que personne ne vérifie que je fasse correctement mon boulot d'ici la retraite...
Tu ne me rassures pas en me disant qu'on peut encore être inspecté en hors classe...La grande question que posent les discussions sur le forum, c'est: est-ce que les inspecteurs voient vraiment si nous faisons correctement notre boulot? Pour moi, la réponse est NON. Le système est tellement mal fait qu'ils servent surtout à nous stresser...
J'avais, cela dit, passé des heures à imprimer tout ce que l'inspectrice m'avait demandée...Une liste qui n'en finissait pas! Pour quels résultats? Piétinement de mon travail, aucun respect et fatigue mentale ensuite...
Je pense que nous savons tous dans un établissement qui fait ou pas son travail correctement. Aujourd'hui, les élèves sont devenus difficiles, avec des classes parfois surchargées. Le terrain nous en apprend beaucoup et ceux qui survivent, font progresser les élèves, ont des résultats au brevet, au bac etc...font correctement leur boulot, pour peu qu'en plus les parents soient contents et les élèves heureux de venir en classe, c'est la cerise sur la gâteau!
Au vu de ma dernière inspection, je peux te dire que je connais mieux les programmes qu'elle! J'ai donné quelques exemples dans le fil de cette discussion pour le prouver...
Quand j'ai des questions sur mon travail, je demande tout bonnement à mes collègues (ayant la chance d'être dans une super équipe de lettres) ou à une amie qui est agrégée et chargée d'inspection (et qui fait très bien son travail d'ailleurs!). Je n'ai pas besoin d'avoir quelqu'un de malveillant qui vient me voir...Sinon, je lis des livres ou des articles sur ma discipline pour me perfectionner.
- Isis39Enchanteur
Sarah 28 a écrit:Isis39 a écrit:J'ai toujours bien mal vécu les inspections. Cette impression d'être jugée seulement sur une heure de cours tous les 5-6 ans. Un gros stress qui me faisait peaufiner maladivement ma séance, sans pour autant changer ma façon de faire.
Ma dernière inspection a eu lieu alors que j'étais HC depuis un an. Elle n'avait donc aucun enjeu. Mais j'étais aussi stressée que pour les autres.
Quel soulagement que le PPCR qui veut dire que je ne suis plus inspectée ! D'un autre côté c'est étrange que personne ne vérifie que je fasse correctement mon boulot d'ici la retraite...
Tu ne me rassures pas en me disant qu'on peut encore être inspecté en hors classe...La grande question que posent les discussions sur le forum, c'est: est-ce que les inspecteurs voient vraiment si nous faisons correctement notre boulot? Pour moi, la réponse est NON. Le système est tellement mal fait qu'ils servent surtout à nous stresser...
J'avais, cela dit, passé des heures à imprimer tout ce que l'inspectrice m'avait demandée...Une liste qui n'en finissait pas! Pour quels résultats? Piétinement de mon travail, aucun respect et fatigue mentale ensuite...
Je pense que nous savons tous dans un établissement qui fait ou pas son travail correctement. Aujourd'hui, les élèves sont devenus difficiles, avec des classes parfois surchargées. Le terrain nous en apprend beaucoup et ceux qui survivent, font progresser les élèves, ont des résultats au brevet, au bac etc...font correctement leur boulot, pour peu qu'en plus les parents soient contents et les élèves heureux de venir en classe, c'est la cerise sur la gâteau!
Au vu de ma dernière inspection, je peux te dire que je connais mieux les programmes qu'elle! J'ai donné quelques exemples dans le fil de cette discussion pour le prouver...
Quand j'ai des questions sur mon travail, je demande tout bonnement à mes collègues (ayant la chance d'être dans une super équipe de lettres) ou à une amie qui est agrégée et chargée d'inspection (et qui fait très bien son travail d'ailleurs!). Je n'ai pas besoin d'avoir quelqu'un de malveillant qui vient me voir...Sinon, je lis des livres ou des articles sur ma discipline pour me perfectionner.
C'était avant le PPCR.
Et je n'ai jamais fourni toute la liste demandée par les IPR (au début de ma carrière on ne fournissait rien sinon le cahier de texte papier et éventuellement un cahier d'élève).
- HonchampDoyen
Ce qu'on se disait avec quelques copines qui avaient connu la note administrative, c'est qu'elle avait bien des défauts, c'était souvent de l'eau tiède, en fait.
Mais quand un chef voulait descendre la note d'un enseignant, il devait motiver sa décision.
Le torchon a brûlé entre le chef et moi pendant mes 3 dernières années.
Avec un entretien à caractère professionnel, sans conséquence autre toutefois.
Mais j'aurais alors brandi les appréciations de mes 38 années de note administrative, globalement positives, voire très positives.
Et mes 6 rapports d'inspection, inégaux, mais convenables dans l'ensemble.
Bref, j'avais de quoi argumenter si on m'avait jugée tout d'un coup "personne à problème".
Nos jeunes collègues n'auront plus ce matelas d'appréciations, souvent tièdes, c'est vrai, mais pouvant servir à relativiser les appréciations plus négatives.
Ils sont bien nus avec leurs seules évaluations de 6ème et 9ème échelon et pour la hors classe (je crois).
Mais quand un chef voulait descendre la note d'un enseignant, il devait motiver sa décision.
Le torchon a brûlé entre le chef et moi pendant mes 3 dernières années.
Avec un entretien à caractère professionnel, sans conséquence autre toutefois.
Mais j'aurais alors brandi les appréciations de mes 38 années de note administrative, globalement positives, voire très positives.
Et mes 6 rapports d'inspection, inégaux, mais convenables dans l'ensemble.
Bref, j'avais de quoi argumenter si on m'avait jugée tout d'un coup "personne à problème".
Nos jeunes collègues n'auront plus ce matelas d'appréciations, souvent tièdes, c'est vrai, mais pouvant servir à relativiser les appréciations plus négatives.
Ils sont bien nus avec leurs seules évaluations de 6ème et 9ème échelon et pour la hors classe (je crois).
_________________
"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- EnaecoVénérable
Le PPCR ne dispense pas de visites conseil et ne se résume pas à 11 croix sur une feuille. Un rapport d'inspection y est joint.
Le PPCR a été mis en place quand j'ai atteint le 6ème échelon. Avant ça, je n'avais pas vu l'ombre d'un inspecteur depuis ma titularisation. C'est donc bien l'ancien système qui m'a laissé bien nu, sans la moindre évaluation (si ce n'est ma note administrative, similaire à celle de 90% des collègues)
J'ai eu une visite conseil l'année qui a précédé celle du PPCR. Avec un rapport dans l'esprit de celui que j'ai eu lors du PPCR.
La prochaine inspection est prévue pour le 8 ème échelon (donc dans pas si longtemps que ça). Et la suivante sera tout aussi rapprochée, au 9ème échelon.
J'ai donc un peu de mal à comprendre comment j'aurai pu être plus nu que dans l'ancien système. J'ai au contraire des certitudes sur ma prochaine inspection.
Le PPCR a été mis en place quand j'ai atteint le 6ème échelon. Avant ça, je n'avais pas vu l'ombre d'un inspecteur depuis ma titularisation. C'est donc bien l'ancien système qui m'a laissé bien nu, sans la moindre évaluation (si ce n'est ma note administrative, similaire à celle de 90% des collègues)
J'ai eu une visite conseil l'année qui a précédé celle du PPCR. Avec un rapport dans l'esprit de celui que j'ai eu lors du PPCR.
La prochaine inspection est prévue pour le 8 ème échelon (donc dans pas si longtemps que ça). Et la suivante sera tout aussi rapprochée, au 9ème échelon.
J'ai donc un peu de mal à comprendre comment j'aurai pu être plus nu que dans l'ancien système. J'ai au contraire des certitudes sur ma prochaine inspection.
- JennyMédiateur
Il y a effectivement un rapport d’inspection (ainsi qu’un du chef, qui est plus détaillé que l’avis de l’ancienne note administrative).
- HonchampDoyen
Enaeco a écrit:Le PPCR ne dispense pas de visites conseil et ne se résume pas à 11 croix sur une feuille. Un rapport d'inspection y est joint.
Le PPCR a été mis en place quand j'ai atteint le 6ème échelon. Avant ça, je n'avais pas vu l'ombre d'un inspecteur depuis ma titularisation. C'est donc bien l'ancien système qui m'a laissé bien nu, sans la moindre évaluation (si ce n'est ma note administrative, similaire à celle de 90% des collègues)
J'ai eu une visite conseil l'année qui a précédé celle du PPCR. Avec un rapport dans l'esprit de celui que j'ai eu lors du PPCR.
La prochaine inspection est prévue pour le 8 ème échelon (donc dans pas si longtemps que ça). Et la suivante sera tout aussi rapprochée, au 9ème échelon.
J'ai donc un peu de mal à comprendre comment j'aurai pu être plus nu que dans l'ancien système. J'ai au contraire des certitudes sur ma prochaine inspection.
Je parlais des notes administratives et des appréciations qui allaient avec.
Quand on avait pendant plusieurs années (puisque souvent, c'était de la recopie) "professeur investi dans son métier", ou "enseignant très sérieux", ou toute autre semi-banalité, on avait de quoi contre-argumenter quand un chef tout d'un coup estimait que le prof ne participait pas assez à la vie de l'établissement.
Je parle donc des items complétés par les chefs.
Je ne parle pas des IPR.
_________________
"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- EnaecoVénérable
Ah oui d'accord.
Après un chef, pour peu qu'il y mettre un peu de mauvaise foi, peut confirmer ce bel investissement par le passé et ajouter qu'il regrette que ça ait bien changé depuis et que la participation à la vie de l'établissement n'est clairement plus à la hauteur. Montrant par la même occasion que c'est bien un manque de volonté de ta part.
Après un chef, pour peu qu'il y mettre un peu de mauvaise foi, peut confirmer ce bel investissement par le passé et ajouter qu'il regrette que ça ait bien changé depuis et que la participation à la vie de l'établissement n'est clairement plus à la hauteur. Montrant par la même occasion que c'est bien un manque de volonté de ta part.
- Sarah 28Niveau 3
Toutes ces discussions prouvent bien une chose: que ce soit avec l'ancien ou le nouveau système, nous sommes évalués de façon arbitraire. En effet, nous avons un chef qui parfois ne connait pas ses profs (ex: des TZR), qui dans les lycées peut avoir plus de 150 profs à noter. De l'autre, quand nous tombons sur une IPR malveillante, les modes de contestation sont là aussi biaisés: un collègue rappelait le cas d'une IPR qui était juge et partie.
Pensez-vous que vous pourriez juger de la qualité du travail d'un élève en une heure? Pensez-vous qu'on puisse faire progresser un élève en quelques conseils prodigués en une heure (encore faut-il qu'ils soient bien ciblés)? Pour ma part, je n'y crois pas du tout et c'est pour cela que notre système d'évaluation ne fonctionne pas. Alors, certes, quand ce rapport a été bon, on est content, tranquille; quand il ne l'a pas été, on est amer. Voilà tout... Mais on ne peut pas dire que ce système est juste et efficace. Il est absurde, même si on pourrait considérer en effet qu'il faille quelqu'un pour savoir si notre travail est bien fait ou non. Dans les faits, cela n'est pas le cas. Et nous pouvons voir ici le nombre de problèmes mis en avant, d'incohérences etc...
La seule chose positive du nouveau système, c'est qu'en effet, on sait quand on va être inspecté et apparemment, dans le pire des cas, on avance au choix (si j'ai bien compris). Sur l'évaluation en elle-même, je ne vois rien de mieux (et c'est peut-être pire) et je pense en effet qu'un seul avis d'un chef à un moment donné n'est pas constructif. Les multiples avis chaque année permettaient d'avoir un retour plus objectif, avec différents regards si nous changions d'établissement.
Sur une fois, l'IPR ou le chef peuvent s'influencer...sans compter le calcul aberrant à la fin. Avec 7 satisfaisants et 4 à consolider, on ne sait même pas pourquoi le résultat est à consolider...Et avec un "à consolider", quel est le résultat? Puisque c'était la question de départ...A partir de combien on bascule? Personne n'a su me répondre: ni le chef, ni l'inspectrice, ni le doyen. Tous ont mis cela sur le dos du recteur qui ne nous connait pas...Voir du bon là-dedans, j'ai du mal... Le calcul, niveau maternel, est aberrant. Comment peut-on défendre cela?
Pensez-vous que vous pourriez juger de la qualité du travail d'un élève en une heure? Pensez-vous qu'on puisse faire progresser un élève en quelques conseils prodigués en une heure (encore faut-il qu'ils soient bien ciblés)? Pour ma part, je n'y crois pas du tout et c'est pour cela que notre système d'évaluation ne fonctionne pas. Alors, certes, quand ce rapport a été bon, on est content, tranquille; quand il ne l'a pas été, on est amer. Voilà tout... Mais on ne peut pas dire que ce système est juste et efficace. Il est absurde, même si on pourrait considérer en effet qu'il faille quelqu'un pour savoir si notre travail est bien fait ou non. Dans les faits, cela n'est pas le cas. Et nous pouvons voir ici le nombre de problèmes mis en avant, d'incohérences etc...
La seule chose positive du nouveau système, c'est qu'en effet, on sait quand on va être inspecté et apparemment, dans le pire des cas, on avance au choix (si j'ai bien compris). Sur l'évaluation en elle-même, je ne vois rien de mieux (et c'est peut-être pire) et je pense en effet qu'un seul avis d'un chef à un moment donné n'est pas constructif. Les multiples avis chaque année permettaient d'avoir un retour plus objectif, avec différents regards si nous changions d'établissement.
Sur une fois, l'IPR ou le chef peuvent s'influencer...sans compter le calcul aberrant à la fin. Avec 7 satisfaisants et 4 à consolider, on ne sait même pas pourquoi le résultat est à consolider...Et avec un "à consolider", quel est le résultat? Puisque c'était la question de départ...A partir de combien on bascule? Personne n'a su me répondre: ni le chef, ni l'inspectrice, ni le doyen. Tous ont mis cela sur le dos du recteur qui ne nous connait pas...Voir du bon là-dedans, j'ai du mal... Le calcul, niveau maternel, est aberrant. Comment peut-on défendre cela?
- maikreeeesseGrand sage
Pour la dernière partie de ta question (la réponse à peut être déjà été donnée) , tout simplement parce qu'il 'y a pas de règles prédéfinies, ou de moyennes. Les dossiers sont classés puis il y une harmonisation et des quotas à respecter. Une année 5 "à consolider" et 4 "satisfaisant" donneront un "satisfaisant" car le quota n' est pas atteint, une autre année il en résultera un "à consolider". Avec mon avis je passe 2 ans avant mes collègues à la hors classes ce n'est pas non plus la folie.
- TangledingGrand Maître
C'est vrai que la discussion prend des proportions étonnantes. Sachant qu'on est tous d'accord avec le fait qu'il y a une bonne part de loterie et à plusieurs niveaux. On ferait mieux de se mobiliser contre la destruction des concours de recrutement.
_________________
"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
Point et grille.
Point et grille.
Point et grille.
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- Isis39Enchanteur
Tangleding a écrit:C'est vrai que la discussion prend des proportions étonnantes. Sachant qu'on est tous d'accord avec le fait qu'il y a une bonne part de loterie et à plusieurs niveaux. On ferait mieux de se mobiliser contre la destruction des concours de recrutement.
Alors là j'avoue ne pas comprendre le rapport.
- A reboursEsprit éclairé
On peut toujours passer à l'ancienneté : en mars je suis passée à l'ancienneté au 9° échelon.
- roxanneOracle
Ce qu'il y a c'est qu'à la fin, il y a juste l'avis. Et cet avis regroupe tellement de cas différents. Pour reprendre le message de maikreeeesse , un "satisfaisant" a pu être constitué avec même un ou deux "à consolider". Mais , désolée de ramener à moi' mon "satisfaisant" final c'est quand même 5 E et 6 TS, aucun satisfaisant dans les grilles et encore moins "à consolider". J'ai même eu une meilleure grille que certains collègues ici qui ont eu TS au final (et tant mieux pour eux). Donc, au final, à vie puisque c'était mon dernier PPCR je reste satisfaisant . Alors, en dehors de l'avancement, il y a une rancœur j'avoue.
- gp20Niveau 9
Elle existe toujours, mais c'est une misère, une cacahuète jetée au visage. Non revalorisée depuis 1988. L'education nationale qui se moque de ses agents à fond les ballons. Assieds-toi, tu risques de tomber de ta chaise.462€ annuels si tu fais 18h en segpa. Si tu fais 2h par semaine, ça te fait du 462÷9. 50€ annuels.TrucOuBidule a écrit:Bonjour,mafalda16 a écrit:Mathador a écrit:Lorsqu'on voit le barème des ISSR (Indemnités de Sujétions Spéciales de Remplacement), peut-être que cela oblitère le fondement, mais cela peut aussi rapporter plus gros que le reste.
Oui enfin ça concerne seulement les TZR et seulement une petite partie des TZR.
il y a (avait ?) aussi une ISS (indemnité de sujétion spéciale) pour les certifiés intervenant en SEGPA.
Et il est vrai que ce montant rien à voir avec ceux de l'ISSR...
Troubadours
- TangledingGrand Maître
Le rapport c'est qu'on se focalise sur un truc sans importance par rapport à l'évaluation de l'expertise professionnelle alors que la réforme de la formation initiale démolit le fondement disciplinaire de notre expertise.Isis39 a écrit:Tangleding a écrit:C'est vrai que la discussion prend des proportions étonnantes. Sachant qu'on est tous d'accord avec le fait qu'il y a une bonne part de loterie et à plusieurs niveaux. On ferait mieux de se mobiliser contre la destruction des concours de recrutement.
Alors là j'avoue ne pas comprendre le rapport.
Donc il y a un rapport.
Si on s'intéresse à la progression de carrière, le ppcr est assez anecdotique par rapport aux nécessités de revalorisation.
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
Point et grille.
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- Sarah 28Niveau 3
maikreeeesse a écrit:Pour la dernière partie de ta question (la réponse à peut être déjà été donnée) , tout simplement parce qu'il 'y a pas de règles prédéfinies, ou de moyennes. Les dossiers sont classés puis il y une harmonisation et des quotas à respecter. Une année 5 "à consolider" et 4 "satisfaisant" donneront un "satisfaisant" car le quota n' est pas atteint, une autre année il en résultera un "à consolider". Avec mon avis je passe 2 ans avant mes collègues à la hors classes ce n'est pas non plus la folie.
Comment sais-tu que ce choix est lié au quota? L'as-tu lu quelque part? Comment sais-tu que tu n'as que 2 ans de différence avec ton avis par rapport à ceux qui ont "à consolider"? Les choix me paraissent tellement aléatoires et les textes non en conformité avec les pratiques que je m'interroge. C'est assez opaque finalement!
- Sarah 28Niveau 3
roxanne a écrit:Ce qu'il y a c'est qu'à la fin, il y a juste l'avis. Et cet avis regroupe tellement de cas différents. Pour reprendre le message de maikreeeesse , un "satisfaisant" a pu être constitué avec même un ou deux "à consolider". Mais , désolée de ramener à moi' mon "satisfaisant" final c'est quand même 5 E et 6 TS, aucun satisfaisant dans les grilles et encore moins "à consolider". J'ai même eu une meilleure grille que certains collègues ici qui ont eu TS au final (et tant mieux pour eux). Donc, au final, à vie puisque c'était mon dernier PPCR je reste satisfaisant . Alors, en dehors de l'avancement, il y a une rancœur j'avoue.
Je te remercie de donner ton avis qui montre une fois de plus les incohérences. C'est ubuesque! Tu n'avais aucun satisfaisant et ce fut ta note finale. Là, c'est le pompon! Bien sûr que le problème est lié à la justice de la notation...Je comprends ta rancoeur. Et c'est normal qu'on réagisse.
- cocktailFidèle du forum
Ubuesque, ça, il l'est, ce PPCR. Sans avoir été vue par l'inspecteur et ayant déserté mon établissement depuis un petit moment (car en congé parental) j'ai obtenu un avis "satisfaisant" par défaut. Ce système permettant d'évaluer professionnellement une personne en position d'inactivité, pourquoi ne lui permettrait-il pas aussi de calculer que 5E et 6TS donnent 1S ? On se moque de nous.
- TrucOuBiduleHabitué du forum
gp20 a écrit:Elle existe toujours, mais c'est une misère, une cacahuète jetée au visage. Non revalorisée depuis 1988. L'education nationale qui se moque de ses agents à fond les ballons. Assieds-toi, tu risques de tomber de ta chaise.462€ annuels si tu fais 18h en segpa. Si tu fais 2h par semaine, ça te fait du 462÷9. 50€ annuels.TrucOuBidule a écrit:Bonjour,mafalda16 a écrit:Mathador a écrit:Lorsqu'on voit le barème des ISSR (Indemnités de Sujétions Spéciales de Remplacement), peut-être que cela oblitère le fondement, mais cela peut aussi rapporter plus gros que le reste.
Oui enfin ça concerne seulement les TZR et seulement une petite partie des TZR.
il y a (avait ?) aussi une ISS (indemnité de sujétion spéciale) pour les certifiés intervenant en SEGPA.
Et il est vrai que ce montant rien à voir avec ceux de l'ISSR...
Troubadours
Bonjour,
mon propos initial était lié à la notion de "sujétion" :
- Spoiler:
- Pourquoi 3,14159 a écrit:Mathador a écrit:Minefi = Ministère de l'économie et des finances
RIFSEEP = régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des sujétions, de l'expertise et de l'engagement professionnel
qui est désormais le régime indemnitaire de beaucoup de fonctionnaires non enseignants.
Sinon, cher gp20, mon pseudo, ça demeure TrucOuBidule et bien que n'ayant rien contre les troubadours... je trouve un peu limite de déformer ce nom (ou un nom quel qu’il soit).
Étant en techno, il m'est arrivé ou m'arrive d'intervenir en SEGPA, et je crois que c'est là que j'ai entendu ce terme de sujétion pour la 1ère fois (j'ai d'ailleurs enseigné au moins 4-5 ans sans toucher cette ISS, ne connaissant pas son existence... après, la question suivante est : pourquoi devoir réclamer même si c'est très très peu, ce qui est dans les VS ?).
TrucOuBidule
- A reboursEsprit éclairé
cocktail a écrit:Ubuesque, ça, il l'est, ce PPCR. Sans avoir été vue par l'inspecteur et ayant déserté mon établissement depuis un petit moment (car en congé parental) j'ai obtenu un avis "satisfaisant" par défaut. Ce système permettant d'évaluer professionnellement une personne en position d'inactivité, pourquoi ne lui permettrait-il pas aussi de calculer que 5E et 6TS donnent 1S ? On se moque de nous.
Est-ce à dire qu'on peut être évalué pendant une absence ??? Je croyais qu'en ce cas le PPCR était reporté...
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