Résultats PPCR

Scandaleux, il n'y a rien à ajouter ... Le minimum que tu puisses faire c'est utiliser ton droit de réponse (qui est limité à quelques lignes) le mieux possible pour mettre en évidence les contradictions évidentes lors de tes deux inspections. Préciser que tu n'as pas besoin de "mesures d'accompagnement" et comme cela à peu d'impact voire pas sur la "carrière", tu ne risques absolument rien. Tu es LIBRE maintenant, il faut réussir à encaisser les écrits malveillants et à conserver l'envie d'enseigner auprès des élèves ce qui reste le coeur de notre métier. Je n'ai que du courage te souhaiter pour surmonter "l'évaluation bienveillante de l'école de la confiance" ! Le gros point positif dans ce que tu relates, c'est le retour des élèves et c'est déjà beaucoup.

@gauvain31 : Ce sont bien les questions que je me pose, justement...

@IsMat : merci pour ton message. Je me suis peut être mal exprimée mais c'est un courrier du Recteur que je viens de recevoir, mon évaluation / rapport d'inspection, je l'ai déjà eu il y a plusieurs mois sur Iprof et je n'ai pas eu le courage de contester ou de répondre à ce moment là. Donc je pense que je ne peux rien faire à ce niveau.

Toutes ces expériences d'acharnement irrationnel sur ceux qui travaillent au quotidien sur le terrain font penser aux périodes de crépuscule d'une idéologie. Plus les preuves d'échec complet de celle-ci se multiplient et ne peuvent plus être dissimulées, plus la rage se déchaîne chez ses idéologues.
Bon courage à vous, bon courage à nous tous

Madame Rose a écrit:@gauvain31 :  Ce sont bien les questions que je me pose, justement...

@IsMat :  merci pour ton message. Je me suis peut être mal exprimée mais c'est un courrier du Recteur que je viens de recevoir, mon évaluation / rapport d'inspection, je l'ai déjà eu il y a plusieurs mois sur Iprof et je n'ai pas eu le courage de contester ou de répondre à ce moment là. Donc je pense que je ne peux rien faire à ce niveau.

Tu peux contester l'appréciation finale dans les 30 jours suivant sa notification, recours gracieux dans un premier temps, puis saisine de la CAPA.Il faut vraiment le faire si ce n'est pas trop tard, avec l'appui d'un syndicat pour la CAPA.

Le témoignage de Madame Rose me fait m'interroger : j'ai aussi eu l'avis le plus négatif de ma carrière quand j'ai été inspectée l'année qui a suivi la naissance de ma fille cadette (avec toutes les difficultés et les hospitalisations consécutives à sa maladie orpheline).

Bref.

Y a-t-il moyen de savoir si les inspections les plus destructrices sanctionnent des personnes qui viennent d'avoir un enfant, de subir un décès (c'est arrivé à une collègue...), de divorcer... et donc sont déjà fragilisées avant d'être inspectées ?

Inspectée deux mois après ma reprise, un bébé qui avait cessé ses nuits, des nuits blanches et beaucoup trop de temps passé à préparer projets, cours différenciés... bien entendu que je n'étais pas au top. Suite à l'entretien avec l'IPR, dépression et sentiment d'être une prof de merde.
Par ailleurs, je n'ai pas compris pourquoi l'avis final était "très satisfaisant" (Plusieurs "excellents" de mon chef, ça a dû faire la moyenne).
Un an plus tard : l'avantage, j'ai cessé d'attendre quelque reconnaissance de l'institution ou quoi que ce soit. Toujours du temps sur la grammaire et l'orthographe et beaucoup de rédactions. Mais moins de remise en question permanente, de torture mentale. Et ne pas ouvrir son cartable chaque soir. Je ne serai jamais classe exceptionnelle, hors-classe, je serai juste une prof normale (enfin, s'il est aujourd'hui normal de faire beaucoup de grammaire et une dictée par semaine et deux rédac/mois, de corriger des postures d'écriture. Ce n'est pas à la mode, mais je m'en fiche, ils progressent). Et tout le reste pour ma famille (mi-temps).

Théoriquement, la hors classe est véritablement envisageable pour la grande majorité d'entre nous dans les premières années du 11 ème échelon.

Almaricu,

Je préfère ne rien attendre.

Elle aime a écrit:Inspectée deux mois après ma reprise, un bébé qui avait cessé ses nuits, des nuits blanches et beaucoup trop de temps passé à préparer projets, cours différenciés... bien entendu que je n'étais pas au top. Suite à l'entretien avec l'IPR, dépression et sentiment d'être une prof de merde.
Par ailleurs, je n'ai pas compris pourquoi l'avis final était "très satisfaisant" (Plusieurs "excellents" de mon chef, ça a dû faire la moyenne).
Un an plus tard : l'avantage, j'ai cessé d'attendre quelque reconnaissance de l'institution ou quoi que ce soit. Toujours du temps sur la grammaire et l'orthographe et beaucoup de rédactions. Mais moins de remise en question permanente, de torture mentale. Et ne pas ouvrir son cartable chaque soir. Je ne serai jamais classe exceptionnelle, hors-classe, je serai juste une prof normale (enfin, s'il est aujourd'hui normal de faire beaucoup de grammaire et une dictée par semaine et deux rédac/mois, de corriger des postures d'écriture. Ce n'est pas à la mode, mais je m'en fiche, ils progressent). Et tout le reste pour ma famille (mi-temps).

Moi je suis mithridatisé par quelques inspections passables. Je me contrefous royalement désormais des jugements et des conseils et je fais comme je les sens.
Depuis qu'un cde m'a salement pris la tête, j'ai pris pour décision de ne plus rien faire durant les vacances et au vu de la politique salariale en cours et de la réforme des retraites à venir, je men félicite sans vergogne. Travailler plus pour gagner moins...la "vocation" ne passera pas par moi.

lectiole a écrit:
Y a-t-il moyen de savoir si les inspections les plus destructrices sanctionnent des personnes qui viennent d'avoir un enfant, de subir un décès (c'est arrivé à une collègue...), de divorcer... et donc sont déjà fragilisées avant d'être inspectées ?

En fait je ne suis pas sûr de comprendre le sens de la question. Faut-il comprendre "sanctionne-t-on plutôt des gens que l'on sait fragilisés?" ou "la situation d'inspection est-elle plus destructrice pour des gens fragilisés?".

A temps partiel avec enfant de moins de 3 ans, lors du PPCR j'ai été massacrée par mon CDE. Avis final à l'opposé de tout ce que j'ai toujours entendu concernant mon enseignement. Dégoûtée, j'ai fait appel, évidemment refusé, et comme j'ai dépassé la date pour saisir les commissions, ben, tant pis.
J'espère juste ne pas avoir à subir moult formations à la noix, ou un accompagnement, alors que j'ai été moi-même tutrice après de bonnes inspections.
Ce système me donne envie, réellement, de tout quitter.

Cette institution m’afflige et me fait honte. Courage aux collègues qui font bien leur travail. Moi, ça fait bien longtemps que je ne donne à l’EN que ce qu’elle me donne en contre-partie, donc pas grand chose. J’ai fait l’hypocrite lors de mon inspection (actionnel, travail de groupe, ancrage culturel, bla-bla-bla...) et une fois l’inspecteur sorti, j’ai refait comme d’habitude. Ils ne savent pas mieux que nous ce qui est efficace. Alors,.... je m’arrête là car la colère me submerge de voir des collègues humiliés et infantilisés.

Yallahsabah a écrit:actionnel, travail de groupe, ancrage culturel, bla-bla-bla...

Des mots, voire des maux...
Dans moins de cinq ans, ça sera autre chose.
Ça n'empêche pas la Terre de tourner.

Ca me rappelle une chargée de mission qui m’avait dit qu’elle voulait voir du travail de groupe mais que d’ici ma prochaine inspection, il y aurait une autre mode ...

Yallahsabah a écrit:Cette institution m’afflige et me fait honte. Courage aux collègues qui font bien leur travail. Moi, ça fait bien longtemps que je ne donne à l’EN que ce qu’elle me donne en contre-partie, donc pas grand chose. J’ai fait l’hypocrite lors de mon inspection (actionnel, travail de groupe, ancrage culturel, bla-bla-bla...) et une fois l’inspecteur sorti, j’ai refait comme d’habitude. Ils ne savent pas mieux que nous ce qui est efficace. Alors,.... je m’arrête là car la colère me submerge de voir des collègues humiliés et infantilisés.

Je plussoie

Bonjour,

Je suis désolée pour tous ceux qui n'ont pas eu l'inspection qu'ils voulaient. Je ne comprends pas tout dans ces inspections, et je sais aussi que d'une mode à l'autre, d'une humeur à l'autre, tout change. Il n'y a pas vraiment de règles.
J'ai eu de la chance d'être du bon côté et d'avoir eu "excellent" à l'échelon 8. Je voudrais savoir à quoi me sert cet "excellent": cela fait un an, et je suis toujours à l'échelon 8. Un avancement normal me fait passer, d'après I-prof, à l'échelon 9 à la rentrée prochaine. Mais est-ce que l'inspection de l'échelon 8 peut faire accélérer le passage à l'échelon 9?
Si oui, quand vient l'inspection de l'échelon 9 à peu près? AU début de l'échelon? Au bout d'un an? 18 mois?
J'aimerais prendre un congé mais j'ai peur de revenir au moment d'une inspection, en fin d'année scolaire, avec des élèves que je ne connais pas, au milieu d'une séquence que je ne maîtrise pas. Et, comme vous le soulignez plus haut, une inspection semble venir de manière "automatique", même lors d'un retour de congé mater, même lors d'un veuvage, même en dehors de toute logique humaine.

L'inspection PPCR échelon 9 intervient dans la 2ème année au 9ème, si je ne m'abuse.

DaphNenya a écrit:L'inspection PPCR échelon 9 intervient dans la 2ème année au 9ème, si je ne m'abuse.

Oui.

L'inspection à l'échelon 8 permet un passage plus rapide à l'échelon 9. Maintenant, je crois que tu gagnes 6 mois.
Pour le 3e rdv de carrière, cela arrivera lors de ta 2e année de l'échelon 9 et te permettra éventuellement de passer à la HC plus vite une fois échelon 10.
Ex :
- A partir de l'échelon 10, tu gagnes 10 pts d'ancienneté par an.
- Du coup, avec l'avis final du Recteur et un plancher pour passer à la HC qui pourrait être de 175 pts dans telle académie :

--> tu as "Excellent" à l'avis final = 145 pts --> tu passes à la HC à l'échelon 10 + 3 ans je crois
--> " " "Très satisfaisant" = 125 pts --> " " " " 10 + 5 ans je crois.
...

Cela reste à vérifier.

Salsepareille a écrit:Bonjour,

Je suis désolée pour tous ceux qui n'ont pas eu l'inspection qu'ils voulaient. Je ne comprends pas tout dans ces inspections, et je sais aussi que d'une mode à l'autre, d'une humeur à l'autre, tout change. Il n'y a pas vraiment de règles.
J'ai eu de la chance d'être du bon côté et d'avoir eu "excellent" à l'échelon 8. Je voudrais savoir à quoi me sert cet "excellent": cela fait un an, et je suis toujours à l'échelon 8. Un avancement normal me fait passer, d'après I-prof, à l'échelon 9 à la rentrée prochaine. Mais est-ce que l'inspection de l'échelon 8 peut faire accélérer le passage à l'échelon 9?
Si oui, quand vient l'inspection de l'échelon 9 à peu près? AU début de l'échelon? Au bout d'un an? 18 mois?
J'aimerais prendre un congé mais j'ai peur de revenir au moment d'une inspection, en fin d'année scolaire, avec des élèves que je ne connais pas, au milieu d'une séquence que je ne maîtrise pas. Et, comme vous le soulignez plus haut, une inspection semble venir de manière "automatique", même lors d'un retour de congé mater, même lors d'un veuvage, même en dehors de toute logique humaine.

Tu devrais gagner une année et donc passer à l'échelon 9 plus rapidement.
Sur I-prof/perspectives/promotions, tu dois trouver deux avancements possibles de carrière avec les dates exactes. Donc si tu dois passer au 9 à la rentrée 2020 avec un avancement normal, ça devrait vouloir dire que tu y es déjà depuis la rentrée 2019. C'est possible car il y a des procédures de reclassement et du retard (y compris dans le traitement).

Tamerlan a écrit:

lectiole a écrit:
Y a-t-il moyen de savoir si les inspections les plus destructrices sanctionnent des personnes qui viennent d'avoir un enfant, de subir un décès (c'est arrivé à une collègue...), de divorcer... et donc sont déjà fragilisées avant d'être inspectées ?

En fait je ne suis pas sûr de comprendre le sens de la question. Faut-il comprendre "sanctionne-t-on plutôt des gens que l'on sait fragilisés?" ou "la situation d'inspection est-elle plus destructrice pour des gens fragilisés?".

Je pense qu'elle est forcément plus destructrice pour des gens fragilisés. Mais je me demande si on ne sanctionne pas plutôt, même sans le vouloir, des gens déjà fragilisés.
Un enseignant TZR sur plusieurs établissements, une jeune maman ou une personne qui a des difficultés dans sa vie privée va forcément moins s'investir dans sa vie professionnelle. Or le PPCR prend en compte l'investissement de l'enseignant dans son établissement à des dates fixes. Il doit donc sanctionner davantage les personnels déjà fragilisés et ne pouvant pas, par la force des choses, s'investir à 100 % dans leur travail au moment de l'inspection.

lectiole a écrit:
Un enseignant TZR sur plusieurs établissements, une jeune maman ou une personne qui a des difficultés dans sa vie privée va forcément moins s'investir dans sa vie professionnelle. Or le PPCR prend en compte l'investissement de l'enseignant dans son établissement à des dates fixes. Il doit donc sanctionner davantage les personnels déjà fragilisés et ne pouvant pas, par la force des choses, s'investir à 100 % dans leur travail au moment de l'inspection.

Ce ne sont pas des critères qui impliquent ton "forcément"...C'est quand on se sent mal par ailleurs, qu'on a pas envie de bosser. Quand on a un enfant ou qu'on travaille à plusieurs endroits c'est certes fatiguant mais ça n'engendre pas forcément de souffrance !

Quand on vient d'avoir un enfant, c'est tout de même fatigant : j'ai bien précisé "jeune maman".
Je n'ai pas non plus parlé de souffrance. J'ai parlé de fragilité (ça peut être lié à la fatigue, à des soucis extérieurs... pas forcément à la souffrance).

Une de mes collègues qui mène beaucoup de projets a été interrogée par le CDE : "Où donc trouvez-vous le temps de vous investir autant ?"
Et elle lui a répondu : "C'est simple ! Je suis célibataire et mes enfants sont grands."

Mais avec de jeunes enfants, c'est de toute évidence moins évident, et de même pour le/la collègue sur plusieurs établissements.
Or ce sont des critères qui ne sont pas pris en compte par le PPCR, mais puisqu'il mesure l'investissement des collègues... est-ce qu'il ne sanctionne pas doublement des collègues déjà fragilisés (et pas "en souffrance" (je précise)) ?

olive-in-oil a écrit:

Salsepareille a écrit:Bonjour,

Je suis désolée pour tous ceux qui n'ont pas eu l'inspection qu'ils voulaient. Je ne comprends pas tout dans ces inspections, et je sais aussi que d'une mode à l'autre, d'une humeur à l'autre, tout change. Il n'y a pas vraiment de règles.
J'ai eu de la chance d'être du bon côté et d'avoir eu "excellent" à l'échelon 8. Je voudrais savoir à quoi me sert cet "excellent": cela fait un an, et je suis toujours à l'échelon 8. Un avancement normal me fait passer, d'après I-prof, à l'échelon 9 à la rentrée prochaine. Mais est-ce que l'inspection de l'échelon 8 peut faire accélérer le passage à l'échelon 9?
Si oui, quand vient l'inspection de l'échelon 9 à peu près? AU début de l'échelon? Au bout d'un an? 18 mois?
J'aimerais prendre un congé mais j'ai peur de revenir au moment d'une inspection, en fin d'année scolaire, avec des élèves que je ne connais pas, au milieu d'une séquence que je ne maîtrise pas. Et, comme vous le soulignez plus haut, une inspection semble venir de manière "automatique", même lors d'un retour de congé mater, même lors d'un veuvage, même en dehors de toute logique humaine.

Tu devrais gagner une année et donc passer à l'échelon 9 plus rapidement.
Sur I-prof/perspectives/promotions, tu dois trouver deux avancements possibles de carrière avec les dates exactes. Donc si tu dois passer au 9 à la rentrée 2020 avec un avancement normal, ça devrait vouloir dire que tu y est déjà depuis la rentrée 2019. C'est possible car il y a des procédures de reclassement et du retard (y compris dans le traitement).

Tu POURRAIS gagner une année. Ce n'est pas certain du tout.

lectiole a écrit:

Tamerlan a écrit:

lectiole a écrit:
Y a-t-il moyen de savoir si les inspections les plus destructrices sanctionnent des personnes qui viennent d'avoir un enfant, de subir un décès (c'est arrivé à une collègue...), de divorcer... et donc sont déjà fragilisées avant d'être inspectées ?

En fait je ne suis pas sûr de comprendre le sens de la question. Faut-il comprendre "sanctionne-t-on plutôt des gens que l'on sait fragilisés?" ou "la situation d'inspection est-elle plus destructrice pour des gens fragilisés?".

Je pense qu'elle est forcément plus destructrice pour des gens fragilisés. Mais je me demande si on ne sanctionne pas plutôt, même sans le vouloir, des gens déjà fragilisés.
Un enseignant TZR sur plusieurs établissements, une jeune maman ou une personne qui a des difficultés dans sa vie privée va forcément moins s'investir dans sa vie professionnelle. Or le PPCR prend en compte l'investissement de l'enseignant dans son établissement à des dates fixes. Il doit donc sanctionner davantage les personnels déjà fragilisés et ne pouvant pas, par la force des choses, s'investir à 100 % dans leur travail au moment de l'inspection.

Je me permets une modeste intervention sous forme de contradiction. Une inspection peut très bien avoir un effet positif et dynamisant alors que l'inspecté(e) se sentait peut-être fragilisé(e) à cette période. L'entretien peut apporter beaucoup. J'ai le souvenir d'une inspection qui m'a totalement encouragé et poussé à m'investir encore plus et à varier les pratiques pédagogiques. Elle m'a permis de ne pas rester enfermé dans un discours maladroit "anti-inspection/sanction" que des collègues martelaient, bien au contraire. Je pense que la posture de l'IA-IPR (esprit d'ouverture / dynamisme / encouragements...) y est pour beaucoup. Depuis, les inspections suivantes se sont toujours très bien déroulées. Je percevais cela vraiment comme un temps d'échanges avec parfois des points de désaccord qui ne remettaient rien en question. Il est vrai que mon académie actuelle possède des inspecteurs / trices très professionnels. Je ne crois pas que cela soit une exception.

Quand j'étais néo-titulaire dans un collège lointain et découragée, j'avais en effet eu un IPR humain qui m'avait remonté le moral, mais je pensais qu'il n'y en avait plus.