[EAF] Oral barème pour la partie 2 (présentation de l'œuvre)

Telenn-Ys a écrit:Bonjour tout le monde,

je suis en train de m'arracher les cheveux (va plus m'en rester beaucoup) pour essayer de produire un barème cohérent pour cette deuxième partie.

Voici les attendus de cette partie de l'épreuve orale :

- Présentation synthétique de l’œuvre retenue
- Expression pertinente, justifiée, convaincante d’un choix personnel
- Entrée véritable dans l’échange tirant profit des éléments de relance pour approfondir sa propre
réflexion
- Mobilisation pertinente des connaissances culturelles et artistiques en lien avec le propos

Etant donné qu'il y a quatre points vous faites comment ? Vous mettez chaque attendu /2 ? Vous donnez plus d'importance à l'un ou l'autre de ces critères ?

Est-ce qu'on peut par exemple envisager que l'élève présente l’œuvre et explique son choix pendant 4 minutes et ensuite il y a un petit entretien pendant 4 minutes sur tout ce qui touche au contexte de cette œuvre ? Ou est-ce qu'on s'en moque un peu du chrono et on leur dit de faire comme ils le sentent ?
Est-ce qu'un élève peut décider de tenir les 8 minutes en monologue sur l’œuvre qu'il présente ? On l'arrête pour pouvoir lui poser des questions ?

Enfin bref.... Késkonfé ?

Isidoria a écrit:Dans mon académie, on nous impose la présentation de l’œuvre choisie en 2 minutes, pour dégager 6 minutes pour l'entretien. Pas de barème détaillé.

Dorine a écrit:Le sujet a déjà été abordé sur un autre fil.
Lors de la journée de formation on nous a expliqué qu'il ne fallait pas chronométrer. Le candidat peut parler plus de 4 minutes s'il le désire.
Voici le barème proposé : 
Présentation de l'oeuvre choisie : capacité à expliquer, justifier ses choix : /2
Qualité de l'expression, aptitude au dialogue : /2
Qualité d'analyse, d'argumentation , de communication et de persuasion : /2
Capacité à élargir, à établir des liens avec le programme, le parcours associé... : /2
Comme pour l'écrit, le discours varie en fonction des académies, des formateurs...

Le candidat présente brièvement l’œuvre qu'il a retenue et expose les raisons de son choix.

Le candidat présente brièvement l’œuvre qu'il a retenue et expose les raisons de son choix.

Sinon, pour le barème que personne ne connaîtra à part vous-mêmes, vos formateurs devraient aussi prévoir des demi-points ou des sous-parties pour que ce soit encore plus compliqué et plus long de noter.

Persuade-moi, cher élève, et tu auras deux points ! Rhaaa...

Dorine a écrit:Le sujet a déjà été abordé sur un autre fil.
Lors de la journée de formation on nous a expliqué qu'il ne fallait pas chronométrer. Le candidat peut parler plus de 4 minutes s'il le désire.
Voici le barème proposé : 
Présentation de l'oeuvre choisie : capacité à expliquer, justifier ses choix : /2
Qualité de l'expression, aptitude au dialogue : /2
Qualité d'analyse, d'argumentation , de communication et de persuasion : /2
Capacité à élargir, à établir des liens avec le programme, le parcours associé... : /2
Comme pour l'écrit, le discours varie en fonction des académies, des formateurs...

Isidoria a écrit:Je suis fatiguée de discuter sur les "barèmes". Je suis incapable de remplir pendant un oral une grille avec 50 critères et sous points de je ne sais pas quoi. On évalue un tout, non?
Je trouve déjà bien suffisant désormais de décomposer en trois parties cet oral: première partie /10, grammaire /2, deuxième partie /8.
Pour ma part je n'irai pas plus loin, et de toute façon les bordereaux ne demandent rien de plus..

Isidoria a écrit:Je suis fatiguée de discuter sur les "barèmes". Je suis incapable de remplir pendant un oral une grille avec 50 critères et sous points de je ne sais pas quoi. On évalue un tout, non?
Je trouve déjà bien suffisant désormais de décomposer en trois parties cet oral: première partie /10, grammaire /2, deuxième partie /8.
Pour ma part je n'irai pas plus loin, et de toute façon les bordereaux ne demandent rien de plus.

Mais je présume que c'est plutôt bon signe pour le gouvernement, tant qu'on discute de couper les cheveux en 72000 sur des pseudos barèmes, on laisse passer des réformes qui sapent notre travail...