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- Lowpow29Fidèle du forum
Je suis en cours de bilan de compétences ici en Allemagne et c'est fou car au début de chaque séance je choisis un grand domaine (exemple : organiser, transmettre, informer, conseiller...) et je me dis hm qu'est-ce qu'on va bien pouvoir trouver d'intéressant, et à la fin de la séance on a toute une liste de compétences utiles dans tous les domaines !
Si quelqu'un est intéressé pour lire mes tableaux, je suis ok pour les envoyer par email, c'est certes personnel mais finalement il n'y a pas mon nom et je trouve que ça donne une idée de l'étendue des compétences qu'on possède mais auxquelles on ne pense pas car on les a développées de manière indirecte.
Rien que tout ce qui est capacité d'empathie, de cerner les besoins, de savoir s'adapter, d'organiser un apprentissage... Ce sont aussi les compétences d'un ingénieur pédagogique par exemple ou d'un formateur en entreprise, ou d'un chef de projet, ou d'un conseiller/coach...
Je pense qu'avant de se dire "je ne sais rien faire d'autre", il faudrait se forcer à répondre, même de manière très fouillis, à la question "qu'est-ce que j'aimerais faire? dans quel nouveau domaine aimerais-je me développer?" et là on voit comment on peut transposer nos connaissances/compétences à ce domaine.
J'ai cru voir que les bilans de compétences sont assez chers, j'ai la chance de le faire gratuitement dans un programme d'aide aux étrangers, et avec une bonne méthode et une conseillère avec qui je m'entends bien (la méthode est : ProfilPASS, on peut d'ailleurs remplir le bilan de compétences soi-même mais je pense que le résultat n'est pas du tout aussi complet qu'avec un conseiller) mais si vous voulez vous reconvertir, je recommande vraiment de parler par là, ça remotive, moi j'ai commencé au moment où j'ai démissionné de mon école et où je me voyais déjà être contrainte de revenir en France et ça m'a beaucoup aidée !
Si quelqu'un est intéressé pour lire mes tableaux, je suis ok pour les envoyer par email, c'est certes personnel mais finalement il n'y a pas mon nom et je trouve que ça donne une idée de l'étendue des compétences qu'on possède mais auxquelles on ne pense pas car on les a développées de manière indirecte.
Rien que tout ce qui est capacité d'empathie, de cerner les besoins, de savoir s'adapter, d'organiser un apprentissage... Ce sont aussi les compétences d'un ingénieur pédagogique par exemple ou d'un formateur en entreprise, ou d'un chef de projet, ou d'un conseiller/coach...
Je pense qu'avant de se dire "je ne sais rien faire d'autre", il faudrait se forcer à répondre, même de manière très fouillis, à la question "qu'est-ce que j'aimerais faire? dans quel nouveau domaine aimerais-je me développer?" et là on voit comment on peut transposer nos connaissances/compétences à ce domaine.
J'ai cru voir que les bilans de compétences sont assez chers, j'ai la chance de le faire gratuitement dans un programme d'aide aux étrangers, et avec une bonne méthode et une conseillère avec qui je m'entends bien (la méthode est : ProfilPASS, on peut d'ailleurs remplir le bilan de compétences soi-même mais je pense que le résultat n'est pas du tout aussi complet qu'avec un conseiller) mais si vous voulez vous reconvertir, je recommande vraiment de parler par là, ça remotive, moi j'ai commencé au moment où j'ai démissionné de mon école et où je me voyais déjà être contrainte de revenir en France et ça m'a beaucoup aidée !
- VolubilysGrand sage
Lowpow29 a écrit:Je suis en cours de bilan de compétences ici en Allemagne et c'est fou car au début de chaque séance je choisis un grand domaine (exemple : organiser, transmettre, informer, conseiller...) et je me dis hm qu'est-ce qu'on va bien pouvoir trouver d'intéressant, et à la fin de la séance on a toute une liste de compétences utiles dans tous les domaines !
Si quelqu'un est intéressé pour lire mes tableaux, je suis ok pour les envoyer par email, c'est certes personnel mais finalement il n'y a pas mon nom et je trouve que ça donne une idée de l'étendue des compétences qu'on possède mais auxquelles on ne pense pas car on les a développées de manière indirecte.
Rien que tout ce qui est capacité d'empathie, de cerner les besoins, de savoir s'adapter, d'organiser un apprentissage... Ce sont aussi les compétences d'un ingénieur pédagogique par exemple ou d'un formateur en entreprise, ou d'un chef de projet, ou d'un conseiller/coach...
Je pense qu'avant de se dire "je ne sais rien faire d'autre", il faudrait se forcer à répondre, même de manière très fouillis, à la question "qu'est-ce que j'aimerais faire? dans quel nouveau domaine aimerais-je me développer?" et là on voit comment on peut transposer nos connaissances/compétences à ce domaine.
J'ai cru voir que les bilans de compétences sont assez chers, j'ai la chance de le faire gratuitement dans un programme d'aide aux étrangers, et avec une bonne méthode et une conseillère avec qui je m'entends bien (la méthode est : ProfilPASS, on peut d'ailleurs remplir le bilan de compétences soi-même mais je pense que le résultat n'est pas du tout aussi complet qu'avec un conseiller) mais si vous voulez vous reconvertir, je recommande vraiment de parler par là, ça remotive, moi j'ai commencé au moment où j'ai démissionné de mon école et où je me voyais déjà être contrainte de revenir en France et ça m'a beaucoup aidée !
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Je vous prie de m'excuser si mes messages contiennent des coquilles, je remercie les personnes qui me les signaleront par mp pour que je puisse les corriger.
- Luciano PoniatowskiNiveau 5
Pour les concours, il n'y a absolument rien d'infamant à en passer. Seulement dans ma perspective, j'envisage le jour où ma femme voudra rentrer dans son pays et là, je ne vois pas trop ce que je pourrais faire même avec une maîtrise correcte de la langue. Je réfléchis donc parfois à me réorienter immédiatement de le privé pour m'y préparer, quand bien même l'envie n'est pas vraiment là.
- AD_MoivreNiveau 4
Bonjour, j'ai le même ressenti sur le manque de développement de compétences. Les professeurs ont une mauvaise réputation sur le marché du travail car ils ne développent pas de compétences techniques. Cependant, nous développons des compétences transversales qu'on appelle des "soft skills". Il faut mettre en avant nos atouts qui selon moi sont : La curiosité et l’ouverture d’esprit pour mettre en place une réflexion constructive, être proactif et avoir un esprit de croissance. Nous sommes prêts à apprendre à apprendre afin de s’adapter à toutes les situations et aux changements.
La capacité à résoudre des problèmes favorise l’habilité à prendre une décision rapidement, à l’appliquer et à l’assumer. Toujours être proactif face aux problèmes et aux erreurs.
Confiance en soi pour aller de l’avant et confiance en l’autre pour délégué. Nous avons la capacité à identifier les personnes qui souhaitent donner le meilleur d’eux-mêmes.
Nous sommes dotés d’une forte intelligence émotionnelle. Nous savons gérer nos émotions et celles des autres. Nous sommes dotés d’un sens de l’empathie développer. Cela nous permet d’être efficace en équipe.
Gestion du temps et du stress. L’objectif étant de prioriser les tâches.
Nous savons communiquer, choisir les bons mots, faire passer le bon message aux bonnes personnes, au bon moment.
La capacité à résoudre des problèmes favorise l’habilité à prendre une décision rapidement, à l’appliquer et à l’assumer. Toujours être proactif face aux problèmes et aux erreurs.
Confiance en soi pour aller de l’avant et confiance en l’autre pour délégué. Nous avons la capacité à identifier les personnes qui souhaitent donner le meilleur d’eux-mêmes.
Nous sommes dotés d’une forte intelligence émotionnelle. Nous savons gérer nos émotions et celles des autres. Nous sommes dotés d’un sens de l’empathie développer. Cela nous permet d’être efficace en équipe.
Gestion du temps et du stress. L’objectif étant de prioriser les tâches.
Nous savons communiquer, choisir les bons mots, faire passer le bon message aux bonnes personnes, au bon moment.
- InvitéInvité
Bonjour,Luciano Poniatowski a écrit:Bonjour à tous,
Désolé pour le langage estampillé EN, mais vu que ça vient du privé à la base.
Je ne sais pas si beaucoup d'entre vous ressentent difficilement le fait d'être absolument inemployable sur le marché du travail. Ayant fait des études d'histoire, prof était une des seules options possibles pour moi. Ça tombe bien, c'est ce qui me tentait le plus.
Seulement après 10 ans de prof, je ressens une certaine lassitude, comme beaucoup au bout d'un moment je pense.
Mais quand je regarde autour de moi, mes amis, ma famille, je me rends compte qu'après 10 ans d'expérience en tant que prof, je n'ai développé aucune compétence qui me permettrait de bifurquer, que la seule solution est encore de passer un concours. Ma femme étant japonaise, la possibilité de s'expatrier m'est passée par la tête, mais je me rends compte là aussi que ça devient impossible, car je n'ai aucune plus value par rapport à un local.
Je réalise bien, surtout en période Covid, ne pas être le plus à plaindre, mais je cultive une sorte de frustration à ne pouvoir rien faire d'autre que prof. Je ne sais pas si ce message est très utile, mais si certains pensent la même chose et si vous avez des conseils pour surmonter ce défaitisme, je vous en serais gré.
je me faisais les mêmes réflexions ces derniers temps y compris celle sur la période covid. La situation actuelle m'a fait réfléchir et j'ai un peu moins envie de partir qu'il y a un an et demi par exemple.
Maintenant, je n'ai pas l'impression d'avoir développé de compétences (y compris humaines) en tant que prof. J'ai discuté avec une personne qui a fait des études dans le même domaine que moi et qui travaille dans le privé, et bien j'étais larguée. Ca m'a fait réalisé que pendant le temps où certains ont développés des compétences pour être embauchable et faire évoluer leur carrière moi j'ai seulement été prof. Si jamais je veux me reconvertir j'aurais beaucoup de retard et mon profil sera moins intéressant que celui d'un jeune qui sort des études.
Après on me parle des concours de la fonction publique oui mais franchement si un jour je pars une des principales motivations sera que je veux travailler dans le privé.
- Cléopatra2Guide spirituel
L'obstacle majeur pour moi n'est pas forcément le manque de compétences, mais la nécessité de devoir postuler ou de créer son emploi, et donc la rémunération.
- InvitéInvité
Je comprends mais vu la casse du statut qui s'annonce pour nous on risque d'être confronté à cet obstacle à plus ou moyen terme.Cléopatra2 a écrit:L'obstacle majeur pour moi n'est pas forcément le manque de compétences, mais la nécessité de devoir postuler ou de créer son emploi, et donc la rémunération.
- Marcelle DuchampExpert spécialisé
J’ai eu exactement cette conversation tout à l’heure avec un copain qui se trouve être le médecin qui s’occupait de moi après mon AVC. Il me disait de sortir de l’Education Nationale, de quitter ce bourbier qui ne comprend pas mon handicap.
Et je lui ai répondu que mon master 2 en arts plastiques, mon master 2 en sciences de l’éducation et mon CAPES ne pesaient pas grand chose sur le marché de l’emploi.
Pour lui, je serai apte à ouvrir une boutique de fringues car j’aime m’habiller, à enseigner aux enfants hospitalisés, à écrire des livres... Bref que des choses où je ne me sens pas de compétences apportées par mon métier pour lequel je n’ai quasiment que vécu jusqu’à mon accident.
Et je lui ai répondu que mon master 2 en arts plastiques, mon master 2 en sciences de l’éducation et mon CAPES ne pesaient pas grand chose sur le marché de l’emploi.
Pour lui, je serai apte à ouvrir une boutique de fringues car j’aime m’habiller, à enseigner aux enfants hospitalisés, à écrire des livres... Bref que des choses où je ne me sens pas de compétences apportées par mon métier pour lequel je n’ai quasiment que vécu jusqu’à mon accident.
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Je m’excuse par avance des fautes d’accord, de grammaire, de syntaxe et de conjugaison que je peux laisser passer dans mes écrits. Je suis aphasique suite à un AVC et je réapprends à écrire depuis presque 5 ans. J'ai un grand problème avec le subjonctif et le genre des mots!
- VolubilysGrand sage
Cela me fait faire la réflexion suivante, si ces gens devaient profs, ils seraient aussi largué que vous, non? Il faut bien être conscient que si on change de voie, on repart à zéro, que l'on démarre en tant que novice, que les fameuses compétences spécifiques dans leur domaine dont vous parlez sont liées à leur expérience dans ce domaine, expérience que vous n'avez pas car vous travaillez dans un autre domaine. Vous avez fait autre chose, normal que vous connaissiez autre chose.AmyR a écrit:Bonjour,Luciano Poniatowski a écrit:Bonjour à tous,
Désolé pour le langage estampillé EN, mais vu que ça vient du privé à la base.
Je ne sais pas si beaucoup d'entre vous ressentent difficilement le fait d'être absolument inemployable sur le marché du travail. Ayant fait des études d'histoire, prof était une des seules options possibles pour moi. Ça tombe bien, c'est ce qui me tentait le plus.
Seulement après 10 ans de prof, je ressens une certaine lassitude, comme beaucoup au bout d'un moment je pense.
Mais quand je regarde autour de moi, mes amis, ma famille, je me rends compte qu'après 10 ans d'expérience en tant que prof, je n'ai développé aucune compétence qui me permettrait de bifurquer, que la seule solution est encore de passer un concours. Ma femme étant japonaise, la possibilité de s'expatrier m'est passée par la tête, mais je me rends compte là aussi que ça devient impossible, car je n'ai aucune plus value par rapport à un local.
Je réalise bien, surtout en période Covid, ne pas être le plus à plaindre, mais je cultive une sorte de frustration à ne pouvoir rien faire d'autre que prof. Je ne sais pas si ce message est très utile, mais si certains pensent la même chose et si vous avez des conseils pour surmonter ce défaitisme, je vous en serais gré.
je me faisais les mêmes réflexions ces derniers temps y compris celle sur la période covid. La situation actuelle m'a fait réfléchir et j'ai un peu moins envie de partir qu'il y a un an et demi par exemple.
Maintenant, je n'ai pas l'impression d'avoir développé de compétences (y compris humaines) en tant que prof. J'ai discuté avec une personne qui a fait des études dans le même domaine que moi et qui travaille dans le privé, et bien j'étais larguée. Ca m'a fait réalisé que pendant le temps où certains ont développés des compétences pour être embauchable et faire évoluer leur carrière moi j'ai seulement été prof. Si jamais je veux me reconvertir j'aurais beaucoup de retard et mon profil sera moins intéressant que celui d'un jeune qui sort des études.
Après on me parle des concours de la fonction publique oui mais franchement si un jour je pars une des principales motivations sera que je veux travailler dans le privé.
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Je vous prie de m'excuser si mes messages contiennent des coquilles, je remercie les personnes qui me les signaleront par mp pour que je puisse les corriger.
- Fesseur ProGuide spirituel
roxanne a écrit:Et puis, il y a d'autres voies. Tu as aussi tes compétences propres. J'ai un collègue, 20 ans d'ancienneté, matière littéraire, pas de problèmes majeurs avec les gamins qui prépare un CAP plombier, son but est de s'installer à son compte. Evidemment, ça fait des années qu'il sait faire, qu'il fait chez lui, chez les copains. là, il a décidé de passer le cap.
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Pourvu que ça dure...
- InvitéInvité
Je ne suis pas sûre. En mathématiques on voit passé beaucoup de contractuel et certains s'en sortent bien. Je vois aussi que les collègues avec un ou deux ans d'expérience ne sont pas plus largués que moi.Volubilys a écrit:Cela me fait faire la réflexion suivante, si ces gens devaient profs, ils seraient aussi largué que vous, non? Il faut bien être conscient que si on change de voie, on repart à zéro, que l'on démarre en tant que novice, que les fameuses compétences spécifiques dans leur domaine dont vous parlez sont liées à leur expérience dans ce domaine, expérience que vous n'avez pas car vous travaillez dans un autre domaine. Vous avez fait autre chose, normal que vous connaissiez autre chose.AmyR a écrit:Bonjour,Luciano Poniatowski a écrit:Bonjour à tous,
Désolé pour le langage estampillé EN, mais vu que ça vient du privé à la base.
Je ne sais pas si beaucoup d'entre vous ressentent difficilement le fait d'être absolument inemployable sur le marché du travail. Ayant fait des études d'histoire, prof était une des seules options possibles pour moi. Ça tombe bien, c'est ce qui me tentait le plus.
Seulement après 10 ans de prof, je ressens une certaine lassitude, comme beaucoup au bout d'un moment je pense.
Mais quand je regarde autour de moi, mes amis, ma famille, je me rends compte qu'après 10 ans d'expérience en tant que prof, je n'ai développé aucune compétence qui me permettrait de bifurquer, que la seule solution est encore de passer un concours. Ma femme étant japonaise, la possibilité de s'expatrier m'est passée par la tête, mais je me rends compte là aussi que ça devient impossible, car je n'ai aucune plus value par rapport à un local.
Je réalise bien, surtout en période Covid, ne pas être le plus à plaindre, mais je cultive une sorte de frustration à ne pouvoir rien faire d'autre que prof. Je ne sais pas si ce message est très utile, mais si certains pensent la même chose et si vous avez des conseils pour surmonter ce défaitisme, je vous en serais gré.
je me faisais les mêmes réflexions ces derniers temps y compris celle sur la période covid. La situation actuelle m'a fait réfléchir et j'ai un peu moins envie de partir qu'il y a un an et demi par exemple.
Maintenant, je n'ai pas l'impression d'avoir développé de compétences (y compris humaines) en tant que prof. J'ai discuté avec une personne qui a fait des études dans le même domaine que moi et qui travaille dans le privé, et bien j'étais larguée. Ca m'a fait réalisé que pendant le temps où certains ont développés des compétences pour être embauchable et faire évoluer leur carrière moi j'ai seulement été prof. Si jamais je veux me reconvertir j'aurais beaucoup de retard et mon profil sera moins intéressant que celui d'un jeune qui sort des études.
Après on me parle des concours de la fonction publique oui mais franchement si un jour je pars une des principales motivations sera que je veux travailler dans le privé.
J'ai l'impression (peut-être fausse) que les personnes travaillant dans le privé peuvent bifurquer dans une autre voie sans tout reprendre de 0. Et même si ils changent totalement de voie je pense que leur expérience du monde du travail se vend mieux que celle d'un professeur.
- Luciano PoniatowskiNiveau 5
Volubilys a écrit:Cela me fait faire la réflexion suivante, si ces gens devaient profs, ils seraient aussi largué que vous, non?
J'ai envie de dire, comme tous les profs qui débutent, c'est un métier qu'on apprend globalement sur le tas et qu'on s'efforce de faire le mieux qu'on peut en étant très peu surveillé quant à ses pratiques. L'administration a bien assimilé que personne ne veut le faire et que globalement tout le monde s'en fiche du moment que les élèves ne sont pas sur les tables (et encore).
Le privé n'a par contre pas les mêmes attentes, on ne veut pas perdre du temps à former des gens, on veut qu'ils soient efficaces immédiatement. D'où les demandes à n'en plus finir de recruteurs qui exigent des diplômes mais aussi une expérience préalable (surtout quand on dépasse la trentaine). En lisant vos commentaires, je ne sais pas si c'est mon pessimisme qui s'exprime, mais j'ai encore en tête les entretiens d'embauche pour travailler dans une chaîne de fast food en travail étudiant dans laquelle on demandait lettre de motivation et expérience dans le métier. C'est aussi ça la réalité du marché du travail en France. Alors vous imaginez bien que les qualités relationnelles qu'on a pu développer en tant que prof au long de notre carrière ne vaudront pas grand chose sur un CV.
- VolubilysGrand sage
et peut-être qu'après 1 ou 2 ans dans le domaine des personnes dont vous parliez, vous ne seriez plus du tout largué. Peut-être qu'en vous y lançant, vous vous en sortiriez bien très vite... Il faut accepter l'idée que vous ne saurez pas tout lors du premier jour en poste, que vous serez novice et qu'il va falloir apprendre et vous adapter, mais cette adaptation peut avoir lieu très vite...AmyR a écrit:
Je ne suis pas sûre. En mathématiques on voit passé beaucoup de contractuel et certains s'en sortent bien. Je vois aussi que les collègues avec un ou deux ans d'expérience ne sont pas plus largués que moi.
Je suis la seule prof de mon entourage, et bien votre impression est assez fausse, lors de changement de voie, ils reprennent en tant que novice, de zéro.
J'ai l'impression (peut-être fausse) que les personnes travaillant dans le privé peuvent bifurquer dans une autre voie sans tout reprendre de 0. Et même si ils changent totalement de voie je pense que leur expérience du monde du travail se vend mieux que celle d'un professeur.
J'ai l'impression que les profs ont beaucoup de fantasmes sur le secteur privé...Luciano Poniatowski a écrit:Volubilys a écrit:Cela me fait faire la réflexion suivante, si ces gens devaient profs, ils seraient aussi largué que vous, non?
J'ai envie de dire, comme tous les profs qui débutent, c'est un métier qu'on apprend globalement sur le tas et qu'on s'efforce de faire le mieux qu'on peut en étant très peu surveillé quant à ses pratiques. L'administration a bien assimilé que personne ne veut le faire et que globalement tout le monde s'en fiche du moment que les élèves ne sont pas sur les tables (et encore).
Le privé n'a par contre pas les mêmes attentes, on ne veut pas perdre du temps à former des gens, on veut qu'ils soient efficaces immédiatement. D'où les demandes à n'en plus finir de recruteurs qui exigent des diplômes mais aussi une expérience préalable (surtout quand on dépasse la trentaine). En lisant vos commentaires, je ne sais pas si c'est mon pessimisme qui s'exprime, mais j'ai encore en tête les entretiens d'embauche pour travailler dans une chaîne de fast food en travail étudiant dans laquelle on demandait lettre de motivation et expérience dans le métier. C'est aussi ça la réalité du marché du travail en France. Alors vous imaginez bien que les qualités relationnelles qu'on a pu développer en tant que prof au long de notre carrière ne vaudront pas grand chose sur un CV.
Sinon, pour se reconvertir, il faut se former avant de postuler. C'est une drôle d'idée de partir du principe qu'une entreprise va prendre une personne qui n'a aucune notion du travail pour laquelle on l'engage. Si une entreprise embauche un boulanger elle s'attend à se qu'il sache faire du pain, c'est normal qu'elle ne le forme pas à la boulangerie.
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Je vous prie de m'excuser si mes messages contiennent des coquilles, je remercie les personnes qui me les signaleront par mp pour que je puisse les corriger.
- Isa5108Niveau 2
Volubilys a écrit:et peut-être qu'après 1 ou 2 ans dans le domaine des personnes dont vous parliez, vous ne seriez plus du tout largué. Peut-être qu'en vous y lançant, vous vous en sortiriez bien très vite... Il faut accepter l'idée que vous ne saurez pas tout lors du premier jour en poste, que vous serez novice et qu'il va falloir apprendre et vous adapter, mais cette adaptation peut avoir lieu très vite...AmyR a écrit:
Je ne suis pas sûre. En mathématiques on voit passé beaucoup de contractuel et certains s'en sortent bien. Je vois aussi que les collègues avec un ou deux ans d'expérience ne sont pas plus largués que moi.
Je suis la seule prof de mon entourage, et bien votre impression est assez fausse, lors de changement de voie, ils reprennent en tant que novice, de zéro.
J'ai l'impression (peut-être fausse) que les personnes travaillant dans le privé peuvent bifurquer dans une autre voie sans tout reprendre de 0. Et même si ils changent totalement de voie je pense que leur expérience du monde du travail se vend mieux que celle d'un professeur.J'ai l'impression que les profs ont beaucoup de fantasmes sur le secteur privé...Luciano Poniatowski a écrit:Volubilys a écrit:Cela me fait faire la réflexion suivante, si ces gens devaient profs, ils seraient aussi largué que vous, non?
J'ai envie de dire, comme tous les profs qui débutent, c'est un métier qu'on apprend globalement sur le tas et qu'on s'efforce de faire le mieux qu'on peut en étant très peu surveillé quant à ses pratiques. L'administration a bien assimilé que personne ne veut le faire et que globalement tout le monde s'en fiche du moment que les élèves ne sont pas sur les tables (et encore).
Le privé n'a par contre pas les mêmes attentes, on ne veut pas perdre du temps à former des gens, on veut qu'ils soient efficaces immédiatement. D'où les demandes à n'en plus finir de recruteurs qui exigent des diplômes mais aussi une expérience préalable (surtout quand on dépasse la trentaine). En lisant vos commentaires, je ne sais pas si c'est mon pessimisme qui s'exprime, mais j'ai encore en tête les entretiens d'embauche pour travailler dans une chaîne de fast food en travail étudiant dans laquelle on demandait lettre de motivation et expérience dans le métier. C'est aussi ça la réalité du marché du travail en France. Alors vous imaginez bien que les qualités relationnelles qu'on a pu développer en tant que prof au long de notre carrière ne vaudront pas grand chose sur un CV.
Sinon, pour se reconvertir, il faut se former avant de postuler. C'est une drôle d'idée de partir du principe qu'une entreprise va prendre une personne qui n'a aucune notion du travail pour laquelle on l'engage. Si une entreprise embauche un boulanger elle s'attend à se qu'il sache faire du pain, c'est normal qu'elle ne le forme pas à la boulangerie.
La formation...
Selon mon conjoint (qui lui n'est pas prof): "On vous prend et puis après, on vous immobilise".
- choup78Habitué du forum
Après l'éducation nationale ne va pas te former à autre chose qu'enseignant (ok les formations ne sont pas toujours supers), mais si tu souhaites te reconvertir dans autre chose, c'est à toi de faire la démarche et de te former à cet autre chose.
Il est vrai que le métier de professeur restreint quand même pas mal les possibilités de reconversion, j'imagine en plus que cela dépend des matières, mais rien n'est impossible.
Il est vrai que le métier de professeur restreint quand même pas mal les possibilités de reconversion, j'imagine en plus que cela dépend des matières, mais rien n'est impossible.
- VolubilysGrand sage
En suivant une ou des formations, je ne vois pas en quoi le choix est restreint. Tout dépend de vos goûts et de ce que vous voulez faire. Vous pouvez faire boulanger ou avocat ou médecine ou comptable si ça vous chante... Mais c'est sûr que si vous refusez toute idée de formation, à part des métiers directement en lien avec prof ou sans qualification, vous ne trouverez pas grand chose.
Et en effet, l'EN ne va pas vous former à autre chose qu'au métier pour lequel elle vous paye. Aucune entreprise ne va le faire d'ailleurs. Par contre vous avez un compte formation, comme tout le monde.
Et en effet, l'EN ne va pas vous former à autre chose qu'au métier pour lequel elle vous paye. Aucune entreprise ne va le faire d'ailleurs. Par contre vous avez un compte formation, comme tout le monde.
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Je vous prie de m'excuser si mes messages contiennent des coquilles, je remercie les personnes qui me les signaleront par mp pour que je puisse les corriger.
- roxanneOracle
Oui..Allez, on va dire que je l'ai fait exprès.Fesseur Pro a écrit:roxanne a écrit:Et puis, il y a d'autres voies. Tu as aussi tes compétences propres. J'ai un collègue, 20 ans d'ancienneté, matière littéraire, pas de problèmes majeurs avec les gamins qui prépare un CAP plombier, son but est de s'installer à son compte. Evidemment, ça fait des années qu'il sait faire, qu'il fait chez lui, chez les copains. là, il a décidé de passer le cap.
- Spoiler:
- décidemment, je deviens l'amuseur officiel du forum en ce moment..
- roxanneOracle
Peut-être pour y être manager, mais sinon, je connais tout un tas d'élèves sortant du bac et même avant engagés dans ces chaines , il y a d'ailleurs des contrats spécifiques pour les étudiants. Et une boite privée un peu sérieuse forme aussi ses employés, si elle veut qu'ils soient opérationnels.Luciano Poniatowski a écrit:Volubilys a écrit:Cela me fait faire la réflexion suivante, si ces gens devaient profs, ils seraient aussi largué que vous, non?
J'ai envie de dire, comme tous les profs qui débutent, c'est un métier qu'on apprend globalement sur le tas et qu'on s'efforce de faire le mieux qu'on peut en étant très peu surveillé quant à ses pratiques. L'administration a bien assimilé que personne ne veut le faire et que globalement tout le monde s'en fiche du moment que les élèves ne sont pas sur les tables (et encore).
Le privé n'a par contre pas les mêmes attentes, on ne veut pas perdre du temps à former des gens, on veut qu'ils soient efficaces immédiatement. D'où les demandes à n'en plus finir de recruteurs qui exigent des diplômes mais aussi une expérience préalable (surtout quand on dépasse la trentaine). En lisant vos commentaires, je ne sais pas si c'est mon pessimisme qui s'exprime, mais j'ai encore en tête les entretiens d'embauche pour travailler dans une chaîne de fast food en travail étudiant dans laquelle on demandait lettre de motivation et expérience dans le métier. C'est aussi ça la réalité du marché du travail en France. Alors vous imaginez bien que les qualités relationnelles qu'on a pu développer en tant que prof au long de notre carrière ne vaudront pas grand chose sur un CV.
- Luciano PoniatowskiNiveau 5
roxanne a écrit:Peut-être pour y être manager, mais sinon, je connais tout un tas d'élèves sortant du bac et même avant engagés dans ces chaines , il y a d'ailleurs des contrats spécifiques pour les étudiants.
Non, c'était bien pour être en caisse. Autre exemple, j'ai accompagné cette année ma femme à une session de job dating dans le centre commercial à proximité. Il y avait des queues immenses, des candidats qui avaient préparé CV et lettres de motivation, étaient habillés en costume...pour des postes de saisonniers. C'est ça la réalité de vivre dans un pays à plus de 10% de chômage.
Volubilys a écrit:C'est une drôle d'idée de partir du principe qu'une entreprise va prendre une personne qui n'a aucune notion du travail pour laquelle on l'engage.
En étant provocateur, c'est un peu ce qui se passe avec certains contractuels dans l'EN.
Je pense bien sûr qu'il faut se former, mais on s'oriente vite sur des limites pratiques. Il y a des différences notables entre suivre quelques formations et repartir à 0 niveau études. S'il est théoriquement possible de tout laisser tomber et commencer les études de médecine à 40 ans passés, dans la pratique la vie familiale limite quand même pas mal ce genre d'aventures.
- InvitéInvité
Ce qui m'inquiète ce n'est pas tant d'être larguée car je sais que je peux apprendre mais plutôt que ma candidature ne soit pas regardé car on préférera soit prendre quelqu'un qui a déjà l'expérience, soit un jeune qui sort de l'école soit à la limite quelqu'un qui a au moins l'expérience du privé (car au contraire de vous, j'ai surtout eu des profs dans mon entourage et je connais donc très mal le privé).Volubilys a écrit:et peut-être qu'après 1 ou 2 ans dans le domaine des personnes dont vous parliez, vous ne seriez plus du tout largué. Peut-être qu'en vous y lançant, vous vous en sortiriez bien très vite... Il faut accepter l'idée que vous ne saurez pas tout lors du premier jour en poste, que vous serez novice et qu'il va falloir apprendre et vous adapter, mais cette adaptation peut avoir lieu très vite...AmyR a écrit:
Je ne suis pas sûre. En mathématiques on voit passé beaucoup de contractuel et certains s'en sortent bien. Je vois aussi que les collègues avec un ou deux ans d'expérience ne sont pas plus largués que moi.
Je suis la seule prof de mon entourage, et bien votre impression est assez fausse, lors de changement de voie, ils reprennent en tant que novice, de zéro.
J'ai l'impression (peut-être fausse) que les personnes travaillant dans le privé peuvent bifurquer dans une autre voie sans tout reprendre de 0. Et même si ils changent totalement de voie je pense que leur expérience du monde du travail se vend mieux que celle d'un professeur.
Edit : je précise que je ne suis pas contre le fait de me former. Je ne sais juste pas par où commencer. J'espère pouvoir valoriser mon bac +5 car si il faut en refaire un, ça va être compliqué. Même ne pas travailler pendant un an, avec ma paie actuelle ce n'est pas envisageable dans les années à venir.
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Volubilys a écrit:En suivant une ou des formations, je ne vois pas en quoi le choix est restreint. Tout dépend de vos goûts et de ce que vous voulez faire. Vous pouvez faire boulanger ou avocat ou médecine ou comptable si ça vous chante... Mais c'est sûr que si vous refusez toute idée de formation, à part des métiers directement en lien avec prof ou sans qualification, vous ne trouverez pas grand chose.
Et en effet, l'EN ne va pas vous former à autre chose qu'au métier pour lequel elle vous paye. Aucune entreprise ne va le faire d'ailleurs. Par contre vous avez un compte formation, comme tout le monde.
En théorie, peut-être, dans les faits, plus c'est éloigné de la discipline d'enseignement et des compétences EN, plus c'est impossible.
Un professeur de lettres modernes qui souhaite se reconvertir pour devenir médecin ou avocat à la quarantaine doit compter sur le loto pour financer ses 5 à 8 années d'étude à temps plein, parce qu'on ne devient pas mêdecin ou avocat en prenant des cours du soir.
Je comprends que tu valorises la volonté, mais laréalité et l'âge restreignent aussi fortement les possibles tout court.
Je ne serai jamais astronaute, avocate, archéologue, même si je décide aujourd'hui de tout mettre en œuvre pour ça...
- faustine62Érudit
Moi-même qui me suis reconvertie depuis 2019 dans un domaine pas trop étranger à mon parcours, eh bien je trouve ça rude de se reconvertir. Je n'ai pas démissionné pour avoir un parachute au cas où et je sais qu'à 5 ans près je ne l'aurais pas fait. Je ne suis pas encore arrivée au bout de mes peines et psychologiquement il faut tenir le coup (montagnes russes). Alors je ne préfère pas imaginer l'angoisse quand les problèmes financiers se rajoutent à tout ça. Donc oui, il y a le désir et le principe de réalité, qui est souvent violent.
- VolubilysGrand sage
C'est sûr que si on part perdant, on ne fait rien et on arrive nul part.
Autant aller tout de suite s'acheter une corde.
Certains des ces emplois sont plus recherchés que d'autres. Pour faire les saisons agricoles, nul besoin de CV ou de lettre de motivation, par chez moi les vergers et les maraîchers manquent cruellement de bras! Si t'es dispo de mai à novembre (ou même juste de août à mi-septembre...) les producteurs de pommes seront ravis de t'avoir. Si c'est de juin à septembre, tu intéresses aussi les producteurs de melons, et de mi-juillet à mi-août les producteurs de maïs semence...
Mais c'est des boulots difficiles et payé au smic horaire.
Autant aller tout de suite s'acheter une corde.
Il y a saisonnier et saisonnier.Luciano Poniatowski a écrit:roxanne a écrit:Peut-être pour y être manager, mais sinon, je connais tout un tas d'élèves sortant du bac et même avant engagés dans ces chaines , il y a d'ailleurs des contrats spécifiques pour les étudiants.
Non, c'était bien pour être en caisse. Autre exemple, j'ai accompagné cette année ma femme à une session de job dating dans le centre commercial à proximité. Il y avait des queues immenses, des candidats qui avaient préparé CV et lettres de motivation, étaient habillés en costume...pour des postes de saisonniers. C'est ça la réalité de vivre dans un pays à plus de 10% de chômage.
Certains des ces emplois sont plus recherchés que d'autres. Pour faire les saisons agricoles, nul besoin de CV ou de lettre de motivation, par chez moi les vergers et les maraîchers manquent cruellement de bras! Si t'es dispo de mai à novembre (ou même juste de août à mi-septembre...) les producteurs de pommes seront ravis de t'avoir. Si c'est de juin à septembre, tu intéresses aussi les producteurs de melons, et de mi-juillet à mi-août les producteurs de maïs semence...
Mais c'est des boulots difficiles et payé au smic horaire.
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Je vous prie de m'excuser si mes messages contiennent des coquilles, je remercie les personnes qui me les signaleront par mp pour que je puisse les corriger.
- urbancyclistNiveau 3
A relire :
(...)
(...)
TOPAZE - Marcel Pagnol - 1928
SUZY
Est-ce que vous tenez beaucoup à rester dans l'enseignement ?TOPAZE
À rester dans l'enseignement ? Mon Dieu, oui, madame.SUZY
Pourquoi ?TOPAZE
Parce que c'est une profession très considérée, peu fatigante et assez lucrativeCASTEL-BÉNAC (coup d’œil vers Suzy)
Assez lucrative. Fort bien. (...) Oh ! C'est fort ce vin !...(...)
TOPAZE
Justement, madame. Je suis professeur. C'est à dire que, hors d'une classe, je ne suis bon à rien.(...)
CASTEL-BÉNAC
Allons, réfléchissez. Sans moi, vous seriez encore à la pension Muche. C'est moi qui vous ai tout appris.TOPAZE
Mais vous avez touché sept cent quatre-vingt cinq mille francs. Jamais un élève ne m'a rapporté autant.TOPAZE - Marcel Pagnol - 1928
- VolubilysGrand sage
Je vous laisse vous prélasser dans l'inaction et pleurer sur votre triste sort. J'ai un concours à préparer.
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- pseudo-intelloSage
Volubilys a écrit:Je vous laisse vous prélasser dans l'inaction et pleurer sur votre triste sort. J'ai un concours à préparer.
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