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- CleroliDoyen
Comme d'habitude, c'est un "plaisir" de lire les propositions de la Cour des Comptes, décidément nous vivons dans 2 mondes différents !
Café pédagogique a écrit:Que faire pour améliorer les remplacements de courte durée dans le second degré ? Tout casser, répond la Cour des Comptes dans un nouveau rapport. Il suffit de revenir sur les obligations réglementaires de service en commençant par annualiser les services d'enseignement. Puis installer la bivalence, supprimer les accords PPCR et faire évaluer les enseignants par les chefs d'établissement pour qu'ils se plient aux besoins des établissements. Aurait-on pour autant résolu tous les problèmes quand on sait que la moitié des absences non remplacées viennent de demandes institutionnelles (jury, examens , formations etc.) et l'autre... du manque de remplaçants ? Sans doute pas. Mais ce missile lancé en début de campagne des présidentielles pourrait toucher sa cible. Même si JM Blanquer semble mettre peu de zèle à remettre en question la situation actuelle.
Que sait-on des absences non remplacées dans le second degré ?
"À moyen terme, il conviendrait d’alléger les barrières liées aux rigidités de gestion des enseignants (obligations de service trop strictement hebdomadaires, monovalence, rôle trop limité du chef d’établissement) et d’introduire une plus grande souplesse, faisant appel aux bonnes pratiques développées au sein de certains établissements". Le rapport sur " la gestion des absences des enseignants" apporte de nombreuses informations sur les absences des enseignants et évalue pour la première fois leur coût. Pour autant il aboutit aux mêmes préconisations de la Cour depuis une décennie.
Si dans le premier degré la gestion des absences des enseignants est assez transparente et bien documentée, il n'en va pas de même dans le second degré, assure la Cour. Elle déplore le manque d'indicateurs. Selon elle, un tiers des absences sont liées à des congé maladie, 20% pour la formation continue, 12% pour garde d'enfant malade, 3% pour des absences autorisées dans le cadre des REP, 2% pour des réunions pédagogiques et autant pour des sorties pédagogiques. Autrement dit une bonne partie de ces absences de professeurs correspondent à des missions d'enseignement et au fonctionnement normal du système éducatif. Ces absences là représentent de 20 à 40% de toutes les absences de courte durée. C'est pour cela que la Cour, on le verra, veut changer le système dans le second degré.
- CleroliDoyen
Les pistes proposées :
Café pédagogique a écrit:Ce que demande la Cour c'est l'annualisation des temps de service. " L’absence d’annualisation partielle du temps de service […] réduit les possibilités de redistribution du temps d’enseignement sur l’ensemble de l’année scolaire, et renchérit notamment le coût des heures de remplacement". Elle se félicite d'ailleurs des évolutions récentes comme l'article 38 de la loi Blanquer qui prévoit des expérimentations permettant cette annualisation.
La Cour veut "étendre le champ des ORS à de nouvelles missions". " La Cour avait recommandé en 2017 d’annualiser les obligations de service des enseignants du second degré, en prévoyant notamment un contingent d’heures effectuées au sein de l’établissement au titre des missions liées à l’enseignement, en réservant dans un premier temps ce cadre aux nouveaux enseignants devant être titularisés. Cette recommandation reste d’actualité. Enfin, pour améliorer le remplacement des absences de courte durée, par exemple à l’occasion des voyages et des sorties scolaires, le remplacement de courte durée devrait être intégré aux obligations réglementaires de service des enseignants selon un volume horaire plafonné compatible avec leurs autres missions".
Une autre piste est la bivalence qui permet de gérer plus facilement les remplacements. " L’obtention d’une mention complémentaire pour enseigner dans une seconde discipline introduirait de la souplesse dans les emplois du temps et augmenterait le vivier de remplaçants en cas d’absence d’un enseignant".
La Cour demande de "renforcer les prérogatives de l'encadrement" pour "donner aux chefs d'établissement de réels moyens de limiter les absences de courte durée". Pour cela il faut que les chefs d'établissement puissnet davantage estimer l'intensité du travail de chaque enseignant. " Pour s’orienter dans cette voie, l’actuel dispositif d’évaluation des enseignants, aujourd’hui limité aux trois rendez-vous de carrière définis lors de la mise en oeuvre du parcours professionnels, carrières et rémunérations (PPCR) en 2017, pourrait évoluer". On rejoint là aussi une recommandation du Grenelle de l'éducation. Remplacer l'avancement à l'ancienneté par un avancement au mérite évalué par le chef direct est demandé par le Grenelle.
- Clecle78Bon génie
Bon ben c'est pas comme ça qu'on va revivifier les troupes....
- TangledingGrand Maître
Que le ministère commence par assurer les remplacements de longue durée. On a des collégiens qui n'ont pas eu espagnol pendant 2 mois.
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- Ramanujan974Érudit
Je propose de supprimer le Sénat, la Cour des Comptes, le Conseil Constitutionnel, la moitié des députés, les 2/3 des élus des échelons intermédiaires (région, département, commune, etc..), 90 % des voitures de fonctions avec chauffeur, ainsi que tous les systèmes spéciaux de retraites des hommes politiques.
Et que tous ces gens "libérés" soient affectés comme remplaçants dans les collèges REP+ de France.
Et que tous ces gens "libérés" soient affectés comme remplaçants dans les collèges REP+ de France.
- BaldredSage
Le rapport note aussi que les profs sont moins absents que les salariés du privé et que dans les autres ministères. Je nous salue, magnifiques héros, puisque semble-t-il on a oublié de le faire
- JennyMédiateur
On pourrait augmenter les salaires et recruter plus pour avoir un vivier suffisant de TZR.
- IphigénieProphète
Et supprimer la cour des comptes, ce think tank libéral payé par le contribuable .
- IphigénieProphète
S’ils en sont capables.Ramanujan974 a écrit:Je propose de supprimer le Sénat, la Cour des Comptes, le Conseil Constitutionnel, la moitié des députés, les 2/3 des élus des échelons intermédiaires (région, département, commune, etc..), 90 % des voitures de fonctions avec chauffeur, ainsi que tous les systèmes spéciaux de retraites des hommes politiques.
Et que tous ces gens "libérés" soient affectés comme remplaçants dans les collèges REP+ de France.
- Ajonc35Sage
Quelles bonnes idées! Le Sénat oui le conseil constitutionnel aussi ( machines à reclasser), on garde les députés mais avec un contrôle d'une Cour des Comptes citoyenne, les élus départementaux ( les élus régionaux le sont déjà au niveau des départements, donc pas de souci. Je rappelle que 2 élus par canton c'est désormais la norme. Le canton à la campagne a sans doute du sens, mais à la grande ville proche, 0 sens), les voitures avec chauffeur ( d'autant que pour les députés et sénateurs, les frais de mandat font doublettes). Supprimons aussi les fonction de sous prefets, à l'ere d'internet, utilité zéro. Perso, je ne lis jamais rien ou si peu sur les sous prefets dans mon département. Un directeur des services le remplacerait sans probleme) et je ne parle pas des prefets hors cadre sans affectation ( une idee: lui donner l'emc). Oui un mille feuilles auquel personne ne comprend rien y compris ceux qui y travaillent ! Et je n'oublie pas les agences de ci où de ça qui prennent un peu de pognon en passant.Ramanujan974 a écrit:Je propose de supprimer le Sénat, la Cour des Comptes, le Conseil Constitutionnel, la moitié des députés, les 2/3 des élus des échelons intermédiaires (région, département, commune, etc..), 90 % des voitures de fonctions avec chauffeur, ainsi que tous les systèmes spéciaux de retraites des hommes politiques.
Et que tous ces gens "libérés" soient affectés comme remplaçants dans les collèges REP+ de France.
Sans compter les retraités extraordinairement avantageuse et sans pénalité.
Quand la France du haut tape sur la France du bas, la France du bas a des idees, mais pas de moyens pour les réaliser.
Oui, en tapant encore sur les enseignants, ON va recruter toujours plus en rognant sur ce qui reste.
- Isis39Enchanteur
Une des solutions proposées : que le professeur enregistre son cours pour le diffuser aux élèves.
Les gens de la cour des comptes voient les cours comme des cours magistraux de fac.
Les gens de la cour des comptes voient les cours comme des cours magistraux de fac.
- IphigénieProphète
S’il est malade?Isis39 a écrit:Une des solutions proposées : que le professeur enregistre son cours pour le diffuser aux élèves.
Les gens de la cour des comptes voient les cours comme des cours magistraux de fac.
S’il encadre une sortie pédagogique?
S’il est en formation?
Bon s’il a pris trois jours pour convenance personnelle au club med, avec l’ordinateur de fonction, d’accord: mais ça ne va pas bcp améliorer le taux de remplacement.
- ElyasEsprit sacré
Haha.
La seule solution réaliste mais qui n'est pas évoquée, c'est l'équivalent des brigades de remplacements du 1er Degré. Ils n'en veulent pas, donc ils ne proposent pas. Déjà que pour le 1er Degré, ils sont bloqués par la loi sinon ils les supprimeraient pour ensuite se plaindre.
Pour détail, dans les Yvelines, c'est 70 professeurs des écoles manquants car on n'arrive pas à recruter. Dans ma ville des Yvelines, on a déjà 15 professeurs des écoles aujourd'hui malades du COVID, donc par de remplaçants.
C'est la fête !
La seule solution réaliste mais qui n'est pas évoquée, c'est l'équivalent des brigades de remplacements du 1er Degré. Ils n'en veulent pas, donc ils ne proposent pas. Déjà que pour le 1er Degré, ils sont bloqués par la loi sinon ils les supprimeraient pour ensuite se plaindre.
Pour détail, dans les Yvelines, c'est 70 professeurs des écoles manquants car on n'arrive pas à recruter. Dans ma ville des Yvelines, on a déjà 15 professeurs des écoles aujourd'hui malades du COVID, donc par de remplaçants.
C'est la fête !
- ProtonExpert
On ne recrute pas assez de prof des écoles ? Faisons comme en maths, les cours à l'école primaire deviennent une spécialité pour les motivés et les autres pourront s'amuser au bac à sable toute la journée.
Dire que l'on risque d'avoir encore Macron 5 ans de plus, avec si ça se trouve encore pire que Blanquer pour nous achever définitivement.
Dire que l'on risque d'avoir encore Macron 5 ans de plus, avec si ça se trouve encore pire que Blanquer pour nous achever définitivement.
- Ajonc35Sage
En effet hors sol. Il y a quelques années j'ai été complètement aphone pendant 5 jours, puis progressivement j'ai remis le son.Iphigénie a écrit:S’il est malade?Isis39 a écrit:Une des solutions proposées : que le professeur enregistre son cours pour le diffuser aux élèves.
Les gens de la cour des comptes voient les cours comme des cours magistraux de fac.
S’il encadre une sortie pédagogique?
S’il est en formation?
Bon s’il a pris trois jours pour convenance personnelle au club med, avec l’ordinateur de fonction, d’accord: mais ça ne va pas bcp améliorer le taux de remplacement.
Quand j'ai repris mes études, je suivais le cursus à distance avec cours photocopies, regroupements le samedi et il était possible d'acheter des cassettes ( ) . C'était intéressant avec deux intervenants. Un enseignant intervebait, l'autre posait des questions. Malgré tout il fallait avoir envie.
J'ai toujours les cassettes mais plus rien pour les lire.🥴
- bas-médiévisteNiveau 9
Cleroli a écrit:Les pistes proposées :Café pédagogique a écrit:Ce que demande la Cour c'est l'annualisation des temps de service. " L’absence d’annualisation partielle du temps de service […] réduit les possibilités de redistribution du temps d’enseignement sur l’ensemble de l’année scolaire, et renchérit notamment le coût des heures de remplacement". Elle se félicite d'ailleurs des évolutions récentes comme l'article 38 de la loi Blanquer qui prévoit des expérimentations permettant cette annualisation.
La Cour veut "étendre le champ des ORS à de nouvelles missions". " La Cour avait recommandé en 2017 d’annualiser les obligations de service des enseignants du second degré, en prévoyant notamment un contingent d’heures effectuées au sein de l’établissement au titre des missions liées à l’enseignement, en réservant dans un premier temps ce cadre aux nouveaux enseignants devant être titularisés. Cette recommandation reste d’actualité. Enfin, pour améliorer le remplacement des absences de courte durée, par exemple à l’occasion des voyages et des sorties scolaires, le remplacement de courte durée devrait être intégré aux obligations réglementaires de service des enseignants selon un volume horaire plafonné compatible avec leurs autres missions".
Une autre piste est la bivalence qui permet de gérer plus facilement les remplacements. " L’obtention d’une mention complémentaire pour enseigner dans une seconde discipline introduirait de la souplesse dans les emplois du temps et augmenterait le vivier de remplaçants en cas d’absence d’un enseignant".
La Cour demande de "renforcer les prérogatives de l'encadrement" pour "donner aux chefs d'établissement de réels moyens de limiter les absences de courte durée". Pour cela il faut que les chefs d'établissement puissnet davantage estimer l'intensité du travail de chaque enseignant. " Pour s’orienter dans cette voie, l’actuel dispositif d’évaluation des enseignants, aujourd’hui limité aux trois rendez-vous de carrière définis lors de la mise en oeuvre du parcours professionnels, carrières et rémunérations (PPCR) en 2017, pourrait évoluer". On rejoint là aussi une recommandation du Grenelle de l'éducation. Remplacer l'avancement à l'ancienneté par un avancement au mérite évalué par le chef direct est demandé par le Grenelle.
Considérée isolément chacune de ces mesures constitue déjà une abomination, alors réunies ensemble... n'en parlons pas ! C'est un casus belli à ce niveau-là, non ?
Heureusement que les rapports de la cour des comptes finissent la plupart du temps par prendre la poussière sur les rayonnages des archives d'Etat. Ne peut-on pas convier quelques-uns de ces éminents conseillers dans nos établissements à venir partager le lot quotidien des collègues. Qui sont-ils pour décider du saccage de notre profession ? Ne l'a-t-elle pas suffisamment été par la constellation de réformes ineptes qui se sont succédé ?
Je suis très en colère ce matin.
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"Les instructions émanant des socio-pédagogues infestant les cabinets ministériels depuis plusieurs années sont un charabia dont le pathos infernal mériterait d'être traduit en français afin d'en saisir tout le sel lorsque l'on sait qu'il vise un enseignement destiné, je vous le rappelle, à des enfants." (Goubert, 1984)
- JennyMédiateur
Je viens d'imaginer la scène avec mes STMG.Isis39 a écrit:Une des solutions proposées : que le professeur enregistre son cours pour le diffuser aux élèves.
Les gens de la cour des comptes voient les cours comme des cours magistraux de fac.
- User16619Niveau 6
Baldred a écrit:Le rapport note aussi que les profs sont moins absents que les salariés du privé et que dans les autres ministères. Je nous salue, magnifiques héros, puisque semble-t-il on a oublié de le faire
Une du Figaro ce matin : ”La Cour des comptes pointe l'absentéisme des enseignants dans l'Éducation nationale"
Gaguesque.
- Isis39Enchanteur
En tout cas cette histoire de remplacement, c'est vraiment pour la garderie. La perte d'heures de cours pour des prétextes divers et variés (qui peuvent être légitimes) comme la sécurité dans les bus, le passage de PIX, des évaluations de 6e, le projet en français, etc., ça ne gêne personne.
- CeladonDemi-dieu
Je crois que c'est une spécialité française que de laisser déblatérer (et hélas souvent prendre des décisions ou en influencer) des "experts" qui ne connaissent rien à la matière qu'ils remuent...Isis39 a écrit:Une des solutions proposées : que le professeur enregistre son cours pour le diffuser aux élèves.
Les gens de la cour des comptes voient les cours comme des cours magistraux de fac.
- Ajonc35Sage
On est d'accord. Dans mon lep, mes ex- collègues ont été mobilisés pour une information en direction des collèges locaux pendant une journée ( hop, 7 heures de cours perdues), puis une journée sur l'orientation ( hop encore 7 heures) . Pour cette dernière, je ne doute pas de son utilité mais quand j'y étais, on le faisait sur un temps de cours avec des heures dédiées ( deux ou trois après midi avec 2 enseignants). Et je ne vous parle pas des heures perdues car une personnalité vient dans l'etbt, donc les élèves terminent plus tôt ou commencent plus tard ou encore ne peuvent accéder aux salles spécialisées.Isis39 a écrit:En tout cas cette histoire de remplacement, c'est vraiment pour la garderie. La perte d'heures de cours pour des prétextes divers et variés (qui peuvent être légitimes) comme la sécurité dans les bus, le passage de PIX, des évaluations de 6e, le projet en français, etc., ça ne gêne personne.
Poursuivez la liste.
- DaphnéDemi-dieu
Encore un énième rapport qui finira en classement vertical - ou horizontal - comme les autres...
Je vois circuler ce type de rapport qui ne débouche sur rien depuis que j'ai commencé à travailler, au début des années 70, c'est vous dire
Il faut bien qu'ils s'occupent un peu à la CC, pour justifier leurs émoluments mirobolants... on va encore laisser pis...le mérinos
Je vois circuler ce type de rapport qui ne débouche sur rien depuis que j'ai commencé à travailler, au début des années 70, c'est vous dire
Il faut bien qu'ils s'occupent un peu à la CC, pour justifier leurs émoluments mirobolants... on va encore laisser pis...le mérinos
- MatteoNiveau 10
Je suis surpris de voir leur confiance dans leur capacité à trouver un filon infini de corvéables pour répondre à leurs exigences impossibles. Personnellement je deviens un peu mélancolique en constatant que le SMIC va bientôt rattraper le salaire des enseignants stagiaires.
- jeromebrNiveau 6
[quote="Elyas"]Haha.
La seule solution réaliste mais qui n'est pas évoquée, c'est l'équivalent des brigades de remplacements du 1er Degré. Ils n'en veulent pas, donc ils ne proposent pas. Déjà que pour le 1er Degré, ils sont bloqués par la loi sinon ils les supprimeraient pour ensuite se plaindre.
Pour détail, dans les Yvelines, c'est 70 professeurs des écoles manquants car on n'arrive pas à recruter. Dans ma ville des Yvelines, on a déjà 15 professeurs des écoles aujourd'hui malades du COVID, donc par de remplaçants.
C'est la fête ![/quote]
Comment sais tu que 15 sont malades du covid?
La seule solution réaliste mais qui n'est pas évoquée, c'est l'équivalent des brigades de remplacements du 1er Degré. Ils n'en veulent pas, donc ils ne proposent pas. Déjà que pour le 1er Degré, ils sont bloqués par la loi sinon ils les supprimeraient pour ensuite se plaindre.
Pour détail, dans les Yvelines, c'est 70 professeurs des écoles manquants car on n'arrive pas à recruter. Dans ma ville des Yvelines, on a déjà 15 professeurs des écoles aujourd'hui malades du COVID, donc par de remplaçants.
C'est la fête ![/quote]
Comment sais tu que 15 sont malades du covid?
- A TuinVénérable
Les brigades c'est très bien oui. Je me suis toujours demandée pourquoi il n'y avait pas ce système dans le secondaire.
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