- ThisCharmingManNiveau 1
Bonjour à tout le monde,
traducteur depuis très longtemps et contractuel pour l'allemand dans le privé et le public depuis 5 ans, je veux passer le Capes cette année.
Le hic est que mon cœur balance entre l'allemand avec une situation d'enseignement épouvantable et l'anglais avec plus de postes mais peut-être moins d'élus au final.
J'ai les compétences linguistiques dans les 2 langues mais l'allemand et sa culture me sont plus intimes et familiers.
Je n'arrive pas à me décider entre cœur et raison...
Je suis preneur de tout avis avisé pour m'aider à me décider, merci d'avance.
traducteur depuis très longtemps et contractuel pour l'allemand dans le privé et le public depuis 5 ans, je veux passer le Capes cette année.
Le hic est que mon cœur balance entre l'allemand avec une situation d'enseignement épouvantable et l'anglais avec plus de postes mais peut-être moins d'élus au final.
J'ai les compétences linguistiques dans les 2 langues mais l'allemand et sa culture me sont plus intimes et familiers.
Je n'arrive pas à me décider entre cœur et raison...
Je suis preneur de tout avis avisé pour m'aider à me décider, merci d'avance.
- CasparProphète
Je pense que je ne serai pas le seul à te conseiller le choix de la raison car la situation de l'allemand est comme tu le dis épouvantable et je n'ai pas l'impression que ça va aller en s'arrangeant.
- M le MauditNiveau 9
Alors par expérience des établissements dans lesquels je suis passé l'allemand c'est l'enfer. Je connais un collègue qui avait le capes d'allemand et qui a finalement passé le capes de lettres tellement il n'en pouvait plus de se sentir sur un siège éjectable. Il y a beaucoup plus de postes en anglais.
- ThisCharmingManNiveau 1
En même temps, j'ai l'impression d'avoir bossé pour rien pendant ces 5 ans même si ce que j'ai appris me sera utile pour le concours.
Et j'ai l'impression de laisser une part de moi-même. Dur comme décision.
Et j'ai l'impression de laisser une part de moi-même. Dur comme décision.
- M le MauditNiveau 9
Quand tu prends en compte le système des mutations nationales qui est déjà un enfer en soi si tu ajoute à ça une discipline pour laquelle la demande est faible tu risques de vraiment te retrouver dans une situation très difficile. L'anglais te permettra d'avoir plus de latitude en terme de postes et de lieux géographiques.
- ThisCharmingManNiveau 1
En même temps, je comprends pas. A part être sur 2 établissements, qu'est-ce qui se passe s'il n'y a plus d'heures pour toi ? On te propose quoi alors ?
- CasparProphète
ThisCharmingMan a écrit:En même temps, j'ai l'impression d'avoir bossé pour rien pendant ces 5 ans même si ce que j'ai appris me sera utile pour le concours.
Et j'ai l'impression de laisser une part de moi-même. Dur comme décision.
Rien ne t'empêche de continuer à faire de l'allemand pendant ton temps libre (lectures, voyages...) mais enseigner l'anglais est à mon sens beaucoup plus confortable: tu as de très grandes chances d'être sur un seul établissement, et dans la tête des parents et des élèves "l'anglais, c'est important" (ça ne se traduit pas toujours par un travail intensif hein...). Les élèves sont plus familiers avec l'anglais à travers les chansons, les films et les séries, je trouve que l'allemand est plus difficile à "vendre" (mais je précise que j'aime beaucoup cette langue et je suis allé plusieurs fois en Allemagne avec grand plaisir). L'anglais a aussi plus de poids en tant que LVA (cas le plus fréquent), pour l'enseignement supérieur etc
- CasparProphète
ThisCharmingMan a écrit:En même temps, je comprends pas. A part être sur 2 établissements, qu'est-ce qui se passe s'il n'y a plus d'heures pour toi ? On te propose quoi alors ?
Par exemple une certaine culpabilisation: "qu'allez-vous faire pour attirer de nouveaux élèves", "attention nous risquons de supprimer un groupe", on peut aussi te proposer des cours en vision, et on sait tous depuis le confinement à quel point c'est génial...
- M le MauditNiveau 9
Tu risques aussi par exemple de perdre ton poste. Dans ce cas tu bénéficies d'une mesure de carte scolaire c'est à dire que tu as 1500 points de bonification. Mais........... Faut-il encore qu'il y ait un poste disponible dans la zone géographique où tu te trouveras.Caspar a écrit:ThisCharmingMan a écrit:En même temps, je comprends pas. A part être sur 2 établissements, qu'est-ce qui se passe s'il n'y a plus d'heures pour toi ? On te propose quoi alors ?
Par exemple une certaine culpabilisation: "qu'allez-vous faire pour attirer de nouveaux élèves", "attention nous risquons de supprimer un groupe", on peut aussi te proposer des cours en vision, et on sait tous depuis le confinement à quel point c'est génial...
- ThisCharmingManNiveau 1
Oui, je vois bien que la LVA est prise au sérieux, j'imagine bien que mon rôle ne serait plus le même aux yeux des parents (et collègues :-)
Quant au travail... quand je leur demande de faire appel à leurs connaissances en anglais pour retrouver un mot allemand, les connexions se font rarement ! Et quand à mes étudiants soit-disant bilingues, j'ai plus de vocabulaire anglais qu'eux...
Je vais commencer de me faire doucement à l'idée... Merci.
Quant au travail... quand je leur demande de faire appel à leurs connaissances en anglais pour retrouver un mot allemand, les connexions se font rarement ! Et quand à mes étudiants soit-disant bilingues, j'ai plus de vocabulaire anglais qu'eux...
Je vais commencer de me faire doucement à l'idée... Merci.
- Panta RheiExpert
Pour les heures, le rectorat te trouvera bien quelque chose quitte à ce que les 2 ou 3 établissements soient géographiquement plus éloignés. Au sein d'un seul collège, il est possible de regrouper 7 élèves de 5ème avec 8 de 4ème et disons 10 de 3ème. Cela permet d'économiser 5 HP !
J'ai un contre exemple : le collègue *très* investi (et habile courtisan) qui arrive à dire "Ouin ouin, cette année, j'ai 27 élèves en 6ème bilangue, c'est troooooop duuuuur ! J'ai besoin de 2 groupes en 5ème." Et bien, ça passe crèèèème (et pendant ce temps,nous mes collègues ne font pas de bruit et acceptent tout !)
J'ai un contre exemple : le collègue *très* investi (et habile courtisan) qui arrive à dire "Ouin ouin, cette année, j'ai 27 élèves en 6ème bilangue, c'est troooooop duuuuur ! J'ai besoin de 2 groupes en 5ème." Et bien, ça passe crèèèème (et pendant ce temps,
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- Signature:
- 'Don't you find yourself getting bored?' she asked of her sister. 'Don't you find, that things fail to materialise? NOTHING MATERIALISES! Everything withers in the bud.'
'What withers in the bud?' asked Ursula.
'Oh, everything—oneself—things in general.'First Page of Women in Love, D. H. Lawrence
- eleonore69Érudit
ThisCharmingMan a écrit:Bonjour à tout le monde,
traducteur depuis très longtemps et contractuel pour l'allemand dans le privé et le public depuis 5 ans, je veux passer le Capes cette année.
Le hic est que mon cœur balance entre l'allemand avec une situation d'enseignement épouvantable et l'anglais avec plus de postes mais peut-être moins d'élus au final.
J'ai les compétences linguistiques dans les 2 langues mais l'allemand et sa culture me sont plus intimes et familiers.
Je n'arrive pas à me décider entre cœur et raison...
Je suis preneur de tout avis avisé pour m'aider à me décider, merci d'avance.
anglais, il ya beaucoup de poste. Si tu choisis allemand, tu vas te retrouver dans une situation difficile: tzr sur plusieurs établissements.
- Lord StevenExpert
Bon tous les collègues d'allemand ne sont pas non plus sur plusieurs établissements, nous avons 5 postes complets. Mais la réforme Blanquer a continué à faire mal: avec le contrôle continu et autres âneries, notre section Abibac est désormais à la traîne alors qu'au temps du bac on se battait pour y entrer et les élèves y étaient à 90% excellents. Aujourd'hui c'est plus... enfin moins... bref vous voyez. Mais dans l'Est vous aurez toutes les chances d'avoir un poste à temps complet. Mais je crois que les barres d'entrée ont aussi remonté.
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If you play with a cat, you should mind his scratch
- SwanNiveau 8
Je crois que ça dépend beaucoup des régions en effet. Dans le sud, où l’allemand n’a jamais été très enseigné (proximité géographique avec l’Espagne et l’Italie), l’allemand ne survit que grâce aux classes bilangues, et encore ça ne fait souvent qu’un demi poste en collège (et risque de fermeture ou fusion de groupes si la demande n’est pas assez gorge car c’est pris sur la marge…). L’allemand n’est pas proposé en LVA et seulement dans moins de la moitié des collèges.
Par exemple, ma collègue d’allemand est à mi-temps en collège et à mi-temps en lycée. Les deux établissements sont très éloignés, et surtout comme c’est la seule enseignante de sa matière elle a évidemment tous les niveaux de la 6eme à la terminale, et change tout le temps de salle. Le seul avantage (qui est aussi une menace sur le long terme) : elle a des groupes aux effectifs très réduits (entre 5 et 12 au collège). Et comme elle est épuisée par son emploi du temps, elle n’a pas l’énergie de proposer des voyages, qui pourraient potentiellement l’aider à recruter… Quand elle partira à la retraite dans quelques années, je pense que les instances décisionnaires feront sauter son poste en collège…
Je suppose que c’est différent en région parisienne ou dans l’Est, où traditionnellement tous les collèges proposent de l’allemand et où il peut y avoir une offre LVA + LVB ou plusieurs groupes par niveau ? De même, si tu demandais à rester dans le privé, peut-être est-il plus facile d’enseigner dans un seul établissement car ils font souvent College + lycée.
Si tu souhaites rester en allemand, il faudrait donc que tu te renseignes plus précisément sur le système de mutation du public et du privé et sur la quantité de postes fixes à temps complet dans les académies dans lesquels tu es susceptible d’être affecté (et évidemment te poser la question de ta mobilité géographique). J’aurais tendance à dire que si tu apprenais que tu avais de fortes chances d’avoir un poste confortable, ça peut valoir le coup de rester en allemand (qui est ta langue de cœur et a l’avantage de compter des élèves en moyennes un peu plus travailleurs).
Autre solution : continuer à enseigner comme « contractuel », ce qui te donne plus de flexibilité pour les mutations (en tout cas par rapport à l’enseignement public)
Et enfin : demander une dérogation pour pouvoir compléter ton service en anglais (mais ça veut bien dire enseigner deux disciplines, donc ce n’est pas nécessairement plus confortable que d’être sur 2 établissements)
Bon courage !
Par exemple, ma collègue d’allemand est à mi-temps en collège et à mi-temps en lycée. Les deux établissements sont très éloignés, et surtout comme c’est la seule enseignante de sa matière elle a évidemment tous les niveaux de la 6eme à la terminale, et change tout le temps de salle. Le seul avantage (qui est aussi une menace sur le long terme) : elle a des groupes aux effectifs très réduits (entre 5 et 12 au collège). Et comme elle est épuisée par son emploi du temps, elle n’a pas l’énergie de proposer des voyages, qui pourraient potentiellement l’aider à recruter… Quand elle partira à la retraite dans quelques années, je pense que les instances décisionnaires feront sauter son poste en collège…
Je suppose que c’est différent en région parisienne ou dans l’Est, où traditionnellement tous les collèges proposent de l’allemand et où il peut y avoir une offre LVA + LVB ou plusieurs groupes par niveau ? De même, si tu demandais à rester dans le privé, peut-être est-il plus facile d’enseigner dans un seul établissement car ils font souvent College + lycée.
Si tu souhaites rester en allemand, il faudrait donc que tu te renseignes plus précisément sur le système de mutation du public et du privé et sur la quantité de postes fixes à temps complet dans les académies dans lesquels tu es susceptible d’être affecté (et évidemment te poser la question de ta mobilité géographique). J’aurais tendance à dire que si tu apprenais que tu avais de fortes chances d’avoir un poste confortable, ça peut valoir le coup de rester en allemand (qui est ta langue de cœur et a l’avantage de compter des élèves en moyennes un peu plus travailleurs).
Autre solution : continuer à enseigner comme « contractuel », ce qui te donne plus de flexibilité pour les mutations (en tout cas par rapport à l’enseignement public)
Et enfin : demander une dérogation pour pouvoir compléter ton service en anglais (mais ça veut bien dire enseigner deux disciplines, donc ce n’est pas nécessairement plus confortable que d’être sur 2 établissements)
Bon courage !
- arunnerNiveau 5
ThisCharmingMan a écrit:J'ai les compétences linguistiques dans les 2 langues mais l'allemand et sa culture me sont plus intimes et familiers.
Ce qui est quand même extrêmement important, pour la réussite au concours mais surtout au-delà.
Enseigner une langue, c'est en premier lieu en enseigner la culture et transmettre ces connaissances.
De ce que j'ai lu, il te sera plus aisé de te diriger vers le CAPES d'allemand, vu que c'est aussi là que tes passions personnelles sont les plus fortes. La maîtrise des attendus sera d'autant meilleure avec cinq ans d'expérience derrière toi.
Après, la situation est ce qu'elle est, mais dans toutes les matières. C'est peut-être plus vrai en allemand, mais beaucoup de premiers postes en anglais sont des postes partagés ou des TZRiats. Il ne faut pas croire que ce serait forcément synonyme d'être logé à meilleure enseigne, avec des plus grands risques "géographiques" quand il s'agit des mutations.
- HocamSage
Il y a un écart très significatif entre les conditions de mutation en anglais et en allemand dans au moins certaines académies du « non-Est ». J'ai dans mon entourage un panel assez représentatif des deux dans l'académie d'Orléans-Tours, et très sincèrement la question ne se pose même pas. J'ai eu le même dilemme avec l'italien, que j'aurais fortement souhaité enseigner également ; je continue à faire beaucoup de choses en italien mais je ne regrette pas d'avoir opté pour l'anglais, car aucun des mes trois amis qui ont passé les concours d'italien l'année où j'ai passé le Capes d'anglais n'est encore en poste aujourd'hui tant leurs conditions d'affectation étaient dégradées (une démission sèche et deux reconversions au sein de l'ÉN). Alors certes, c'est une langue plus rare que l'allemand, mais dans certains coins les calvaires sont comparables. Le Capes d'anglais ne serait pas forcément synonyme d'être logé à meilleure enseigne, c'est vrai, mais statistiquement il y a juste beaucoup plus de chances dans certaines académies. On peut être passionné par plusieurs langues, n'en enseigner qu'une seule et bien le vivre malgré tout.
Comme dit plus haut, le choix dépendra surtout de la région concernée.
Comme dit plus haut, le choix dépendra surtout de la région concernée.
- HonchampDoyen
Même en région parisienne être professeur d'allemand est un sport de combat. J'aimerais savoir précisément combien de profs sont sur un seul établissement. Certainement en lycée. Mais en collège, il y a beaucoup de postes sur 2 établissements. Une majorité de postes ?
Ma belle-fille est restée TZR dans l'académie de Versailles 8 ans. Jamais sur un seul poste.
Et quand un poste entier s'est dégagé dans un lycée où elle a exercé 2 ans comme TZR, il a été obtenu par une prof' dont le poste avait été supprimé et qui avait donc une priorité.
Elle est désormais en poste fixe, proche du périph et donc de Paris, mais complète son service dans un collège voisin.
On ne redira jamais assez combien le ministériat de Najat Vallaud-Belkacem a diminué drastiquement les classes bilangues, anglais + autre langue dès la 6ème. Elles n'ont jamais été rétablies à l'identique .
Et dans pas mal de collège où il y a bilangue anglais-allemand dès la 6ème donc, les chefs d'établissement refusent d'ouvrir la 2ème langue allemand en 5ème. Sous prétexte qu' ceux qui voulaient faire allemand l'ont choisi dès la 6ème.
Un autre jeune de mon entourage est prof d'allemand dans le privé, académies parisiennes. La donne est différente, le privé a des collèges-lycées. Et là, un poste entier sur l'établissement est possible. De plus, il semble que le privé soit soucieux de conserver une offre d'allemand. Dans le collège-lycée auquel je pense, il y a aussi italien. Je pense que c'est en partie pour présenter un beau menu.
Bref, quand on choisit l'allemand, il faut être conscient que cela sera difficile.
Les postes d'anglais sont évidemment beaucoup plus nombreux.
Ma belle-fille est restée TZR dans l'académie de Versailles 8 ans. Jamais sur un seul poste.
Et quand un poste entier s'est dégagé dans un lycée où elle a exercé 2 ans comme TZR, il a été obtenu par une prof' dont le poste avait été supprimé et qui avait donc une priorité.
Elle est désormais en poste fixe, proche du périph et donc de Paris, mais complète son service dans un collège voisin.
On ne redira jamais assez combien le ministériat de Najat Vallaud-Belkacem a diminué drastiquement les classes bilangues, anglais + autre langue dès la 6ème. Elles n'ont jamais été rétablies à l'identique .
Et dans pas mal de collège où il y a bilangue anglais-allemand dès la 6ème donc, les chefs d'établissement refusent d'ouvrir la 2ème langue allemand en 5ème. Sous prétexte qu' ceux qui voulaient faire allemand l'ont choisi dès la 6ème.
Un autre jeune de mon entourage est prof d'allemand dans le privé, académies parisiennes. La donne est différente, le privé a des collèges-lycées. Et là, un poste entier sur l'établissement est possible. De plus, il semble que le privé soit soucieux de conserver une offre d'allemand. Dans le collège-lycée auquel je pense, il y a aussi italien. Je pense que c'est en partie pour présenter un beau menu.
Bref, quand on choisit l'allemand, il faut être conscient que cela sera difficile.
Les postes d'anglais sont évidemment beaucoup plus nombreux.
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- lulucastagnetteEmpereur
Même dans l'Est la situation des profs d'allemand est compliquée. Dans mon établissement, ils ne survivent que grâce à la bilangue et à des dédoublements de groupe (au détriment de l'anglais, il faut le dire, qui tourne avec de gros effectifs). Et même avec ça, le 2e prof d'alld est sur deux établissements (distants de 35 km).
Pour moi, il n'y a pas à hésiter : anglais !
Pour moi, il n'y a pas à hésiter : anglais !
- ThisCharmingManNiveau 1
Je pense que ma décision est en grande partie prise. Je suis dans le sud-est et de plus, on vient de me proposer des heures de BTS en anglais technique juste ce matin, ça va me permettre de voir aussi si ça me plaît et j'avoue que je ne suis pas mécontent de m'y mettre ! Et même si l'Est m'attire, je ne peux pas trop m'éloigner pour des raisons familiales.
C'est dur quand on aime tant les langues, je pratique aussi l'italien et je vois bien les difficultés de mes collègues et je me bats autant pour l'allemand que l'italien.
Bonne rentrée à tous et merci pour vos conseils.
C'est dur quand on aime tant les langues, je pratique aussi l'italien et je vois bien les difficultés de mes collègues et je me bats autant pour l'allemand que l'italien.
Bonne rentrée à tous et merci pour vos conseils.
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