- Aperçu par hasardFidèle du forum
Un article du Monde paru aujourd'hui sur notre nouvelle nouvelle nouvelle nouvelle nouvelle ministre:
https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/10/01/education-nationale-anne-genetet-les-debuts-mines-d-une-ministre-etroitement-encadree_6340353_3224.html
https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/10/01/education-nationale-anne-genetet-les-debuts-mines-d-une-ministre-etroitement-encadree_6340353_3224.html
Le Monde a écrit:« On a l’impression de quelqu’un qui non seulement n’y connaît rien, mais dont les valeurs semblent en plus très éloignées du service public et de la déontologie de l’Etat », soupire également un inspecteur général, qui souhaite garder l’anonymat.
Son premier déplacement annoncé le 26 septembre dans des établissements de Seine-et-Marne avait été annulé, officiellement en raison des incidents survenus dans un collège de Marseille qui l’ont conduite à convoquer une réunion sur la sécurité des établissements. [...] Avec la visite prévue d’un atelier de CAP pâtisserie et un moment d’échange avec les médias, cette première apparition avait tout du crash test pour Anne Genetet, alors que ses cours de cuisine pour les employés de maison à Singapour dix ans auparavant nourrissent la polémique.
« La plupart du temps, les ministres de l’éducation nationale ont soit une légitimité du fait de leur parcours professionnel, en tant qu’universitaire par exemple, soit un certain poids politique, observe l’ancien recteur Alain Boissinot. Anne Genetet n’a ni l’un ni l’autre. » D’où une interrogation : sa nomination permettra-t-elle à Gabriel Attal de garder la main sur le ministère ? Beaucoup voient en tout cas l’influence de l’ancien premier ministre, dont elle est proche, dans son arrivée. Plus encore à l’aune des premières nominations au sein de son cabinet.
- *Ombre*Grand sage
On avait cru le remarquer, qu'elle n'était que la voix de son maître...
- henrietteMédiateur
"Avec la visite prévue d’un atelier de CAP pâtisserie et un moment d’échange avec les médias"
Quel dommage, quelle belle occasion manquée, une belle rencontre, en plus à peu près sur le seul sujet où elle aurait pu être compétente : échange de recettes de brioche au sucre et de pain au raisin moelleux.
Quel dommage, quelle belle occasion manquée, une belle rencontre, en plus à peu près sur le seul sujet où elle aurait pu être compétente : échange de recettes de brioche au sucre et de pain au raisin moelleux.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- CasparProphète
henriette a écrit:"Avec la visite prévue d’un atelier de CAP pâtisserie et un moment d’échange avec les médias"
Quel dommage, quelle belle occasion manquée, une belle rencontre, en plus à peu près sur le seul sujet où elle aurait pu être compétente : échange de recettes de brioche au sucre et de pain au raisin moelleux.
Le choix de la pâtisserie n'est dans doute pas dû au hasard puisque c'est une discipline assez télégénique, on va se croire dans un nouvel épisode du Meilleur Pâtissier.
- zigmag17Guide spirituel
Je suppose qu'il s'agit d'apprentis en plus, histoire de bien enfoncer le clou. Parce que la formation initiale c'est le Mal.
- BaldredEsprit éclairé
*Ombre* a écrit:On avait cru le remarquer, qu'elle n'était que la voix de son maître...
Voix d'ailleurs assez discrète, sa com doit être bien verrouillée. Et puis nous en sommes à un tel point d'exasperation impuissante que sa parole est devaluée avant même d'être prononcée, ce qui est sans doute vrai pour tout ce gouvernement.
- PrezboGrand Maître
Baldred a écrit:*Ombre* a écrit:On avait cru le remarquer, qu'elle n'était que la voix de son maître...
Voix d'ailleurs assez discrète, sa com doit être bien verrouillée. Et puis nous en sommes à un tel point d'exasperation impuissante que sa parole est devaluée avant même d'être prononcée, ce qui est sans doute vrai pour tout ce gouvernement.
Ça serait un bon exercice pour un conseiller en communication : comme retrouver une parole performative quand votre discours est par les circonstances décrédibilisé a priori.
(A première vue, je dirais que la réponse est : on ne peut pas, il fallait refuser le poste et attendre des jours meilleurs, personne ne compatira.)
- beaverforeverNeoprof expérimenté
Ils ont sans doute un peu appris de l'accident industriel AOC. Donc la stratégie du silence est logique. En plus, elle n'a rien à dire parce qu'elle n'y connaît rien et parce qu'elle est censée continuer le choc des savoirs. La seule chose qu'elle pourrait annoncer ce serait sa stratégie pour réduire les dépenses... mais elle n'est pas Winston Churchill (ni dans la position de celui-ci) pour promettre "du sang et des larmes".Prezbo a écrit:Baldred a écrit:*Ombre* a écrit:On avait cru le remarquer, qu'elle n'était que la voix de son maître...
Voix d'ailleurs assez discrète, sa com doit être bien verrouillée. Et puis nous en sommes à un tel point d'exasperation impuissante que sa parole est devaluée avant même d'être prononcée, ce qui est sans doute vrai pour tout ce gouvernement.
Ça serait un bon exercice pour un conseiller en communication : comme retrouver une parole performative quand votre discours est par les circonstances décrédibilisé a priori.
(A première vue, je dirais que la réponse est : on ne peut pas, il fallait refuser le poste et attendre des jours meilleurs, personne ne compatira.)
Il y a un monde dans lequel elle réfléchirait à une réorganisation du système pour en améliorer l'efficience (faire mieux avec moins), mais quand on voit la compréhension du système actuel par le cabinet (notamment avec l'épisode des "heures supplémentaires non utilisée en fin d'années que l'on va retirer du budget pour économiser trois sous") je ne pense pas qu'il fait parti de notre time line.
- Aperçu par hasardFidèle du forum
Sa parole est condamnée à l'inconsistance pour deux raisons: non seulement l'inadéquation de son profil, mais aussi (et ce quel que soit le ministre) l'hiatus constant entre les discours et les effets réels de la politique mise en œuvre dans l'EN.
- beaverforeverNeoprof expérimenté
Si elle confirme le budget actuel, on va les voir les effets réels. Peut-être qu'en ne disant rien, elle espère qu'on ne verra rien.Aperçu par hasard a écrit:Sa parole est condamnée à l'inconsistance pour deux raisons: non seulement l'inadéquation de son profil, mais aussi (et ce quel que soit le ministre) l'hiatus constant entre les discours et les effets réels de la politique mise en œuvre dans l'EN.
- Aperçu par hasardFidèle du forum
beaverforever a écrit:Si elle confirme le budget actuel, on va les voir les effets réels. Peut-être qu'en ne disant rien, elle espère qu'on ne verra rien.Aperçu par hasard a écrit:Sa parole est condamnée à l'inconsistance pour deux raisons: non seulement l'inadéquation de son profil, mais aussi (et ce quel que soit le ministre) l'hiatus constant entre les discours et les effets réels de la politique mise en œuvre dans l'EN.
Pas faux. Et voilà une forme intéressante de parole performative il me semble: l'absence de parole qui annulerait la possibilité du fait. Une sorte d'antiperformativité, ou de performativité par omission en somme... enfin, je laisse des gens mieux qualifiés que moi se prononcer sur le terme qui pourrait convenir.
- PrezboGrand Maître
beaverforever a écrit:Ils ont sans doute un peu appris de l'accident industriel AOC. Donc la stratégie du silence est logique. En plus, elle n'a rien à dire parce qu'elle n'y connaît rien et parce qu'elle est censée continuer le choc des savoirs. La seule chose qu'elle pourrait annoncer ce serait sa stratégie pour réduire les dépenses... mais elle n'est pas Winston Churchill (ni dans la position de celui-ci) pour promettre "du sang et des larmes".Prezbo a écrit:Baldred a écrit:
Voix d'ailleurs assez discrète, sa com doit être bien verrouillée. Et puis nous en sommes à un tel point d'exasperation impuissante que sa parole est devaluée avant même d'être prononcée, ce qui est sans doute vrai pour tout ce gouvernement.
Ça serait un bon exercice pour un conseiller en communication : comme retrouver une parole performative quand votre discours est par les circonstances décrédibilisé a priori.
(A première vue, je dirais que la réponse est : on ne peut pas, il fallait refuser le poste et attendre des jours meilleurs, personne ne compatira.)
Il y a un monde dans lequel elle réfléchirait à une réorganisation du système pour en améliorer l'efficience (faire mieux avec moins), mais quand on voit la compréhension du système actuel par le cabinet (notamment avec l'épisode des "heures supplémentaires non utilisée en fin d'années que l'on va retirer du budget pour économiser trois sous") je ne pense pas qu'il fait parti de notre time line.
Churchill promettait du sang, des larmes et la victoire. C'est la limite de notre ministre : elle n'a rien de bien transcendant à promettre.
Pour améliorer l'efficience, je crains (désolé) que ça n'intéresse politiquement personne.
Dans un autre fil, certains font remarquer que dans d'autres ministères (on cite l'environnement, on pourrait penser à la culture), lorsqu'il y a réduction des budgets, on abandonne certains projets et missions. Est-ce que c'est dommage ? Pour certains projets, sans doute. Mais dans l'EN, on va avoir la réduction de budget et le maintien de tout les dispositifs relevant de l'affichage, indépendamment de leur efficacité. Le maintient du SNU, celui de PIX et des évaluations nationale mais en diminuant la rétribution des référents numériques...
Je ne suis pas sûr que la disparition de ces dispositifs permettrait de réaliser des économies d'échelles substantielles (on serait plus dans le raclage de fond de tiroir) mais au moins elle recentrerait sur l'essentiel une profession épuisée et blasée.
- julilibulleNiveau 10
Hier, je me posais la question : pourquoi Gabriel Attal est-il aussi arc-bouté sur la question du choc des savoirs ? Pourquoi veut-il absolument continuer cette réforme alors qu'il n'est plus au pouvoir et qu'elle a quand même un coût (il faut plus d'enseignants de français et de maths) ?
En général, quand on veut absolument garder une réforme (comme celle des retraites), c'est qu'elle rapporte de l'argent à quelqu'un (soi-même, un ami, un cabinet-conseil). Mais, je ne pense pas que ça soit le cas ici. D'où mon interrogation ...
En général, quand on veut absolument garder une réforme (comme celle des retraites), c'est qu'elle rapporte de l'argent à quelqu'un (soi-même, un ami, un cabinet-conseil). Mais, je ne pense pas que ça soit le cas ici. D'où mon interrogation ...
- Prosper de BaranteHabitué du forum
https://www.bfmtv.com/tech/actualites/reseaux-sociaux/je-n-ai-aucun-tabou-la-ministre-de-l-education-nationale-invite-le-tiktokeur-qui-veut-mettre-fin-aux-cours-a-12h_AV-202410010589.html
Le programme de notre ministre : de la communication ou plutôt de la com.
Le programme de notre ministre : de la communication ou plutôt de la com.
- BaldredEsprit éclairé
julilibulle a écrit:Hier, je me posais la question : pourquoi Gabriel Attal est-il aussi arc-bouté sur la question du choc des savoirs ? Pourquoi veut-il absolument continuer cette réforme alors qu'il n'est plus au pouvoir et qu'elle a quand même un coût (il faut plus d'enseignants de français et de maths) ?
En général, quand on veut absolument garder une réforme (comme celle des retraites), c'est qu'elle rapporte de l'argent à quelqu'un (soi-même, un ami, un cabinet-conseil). Mais, je ne pense pas que ça soit le cas ici. D'où mon interrogation ...
La rétribution n'est pas uniquement financière, ce serait d'ailleurs une grille d'analyse biaisée que de considérer qu'elle l'est d'abord ou exclusivement.
Attal construit, trop vite, un Attalisme, une doctrine supposée lui assurer un avenir présidentiel. Son passage météorique à l'EN lui a assuré une bonne place dans les sondages en jouant l'air du temps droitard : Abaya, retour de la sélection et fin programmée du collège unique, autorité. Assez pour devenir PM. Comme à l'EN assez peu de temps pour faire de la com', pas assez pour être évalué sur des résultats. Son double échec aux élections est un exemple de ce que @Apercu par hasard propose d'appeler l'antiperformativité : ce dont je ne parle pas n'existe pas.
Ce déni est dans l'air du temps politique. Attal a tout intérêt à capitaliser sur les "réformes" entreprises à l'EN, peu importe ce qu'elles deviendront, elles participent de cette parole politique pseudo performative qu'on peut appeler plus simplement un mensonge.
Et Attal n'a pas fini de pseudoperformer.
- Aperçu par hasardFidèle du forum
Prosper de Barante a écrit:https://www.bfmtv.com/tech/actualites/reseaux-sociaux/je-n-ai-aucun-tabou-la-ministre-de-l-education-nationale-invite-le-tiktokeur-qui-veut-mettre-fin-aux-cours-a-12h_AV-202410010589.html
Le programme de notre ministre : de la communication ou plutôt de la com.
Argh... mais pourquoi ai-je cliqué sur la vidéo de l'article? Pour entendre une nouille de tiktokeur m'expliquer que les arts ce n'est pas exigent (certes, quand on les réduit au travail manuel que l'on fait pour se délasser...), une activité "ludique" qui va bien quand on a envie de dormir... il faut croire qu'on n'en sortira jamais en France de cette idée qu'il n'y a ni vraie pensée ni exigence dans la compréhension et la pratique d'un art. Alors que pour la littérature, si, bizarrement... désolé mais j'ai beau avoir entendu ça 50 000 fois, ça m'énerve toujours autant.
Quant à la com, si c'est le programme de la ministre, vu les talents qu'elle a démontrés dans se domaine avant d'arriver à l'EN, on va bien s'amuser...
- Stel6584Niveau 7
julilibulle a écrit:Hier, je me posais la question : pourquoi Gabriel Attal est-il aussi arc-bouté sur la question du choc des savoirs ? Pourquoi veut-il absolument continuer cette réforme alors qu'il n'est plus au pouvoir et qu'elle a quand même un coût (il faut plus d'enseignants de français et de maths) ?
En général, quand on veut absolument garder une réforme (comme celle des retraites), c'est qu'elle rapporte de l'argent à quelqu'un (soi-même, un ami, un cabinet-conseil). Mais, je ne pense pas que ça soit le cas ici. D'où mon interrogation ...
Ils veulent sans doute garder absolument la réforme car elle est la 1ère marche vers l'autonomie des établissements qui est voulue par notre président. Finalement, ça ne marche pas si mal pour lui : chaque établissement fonctionne différemment même si c'est le gros bordel. Et puis, l'année prochaine sera la mise en place de la réforme en 4e-3e avec toutes les conséquences qu'elle aura sur l'organisation des établissements et de notre enseignement.
L'autre point qui les intéresse, c'est sans doute le problème des non-remplacements. On en a parlé ces derniers jours ici, on risque de voir des collègues prendre les groupes des collègues arrêtés ou absents.
Et puis pour finir, il y a sans doute aussi une volonté de péter encore plus le public... Pourquoi les établissements privés n'ont-ils pas pu recevoir des dotations supplémentaires pour mettre en place la réforme? Et pourquoi ne les oblige-t-on pas à appliquer la réforme?
À moins qu'Attal soit un grand idéologue convaincu par le bienfait de sa réforme pour faire progresser nos collegiens, les raisons de son obstination sont sans doute à chercher ailleurs. Il y a peut-être aussi l'ambition personnelle...mais finalement, Attal ne fait qu'appliquer les lubies du président.
- TrucOuBiduleHabitué du forum
Stel6584 a écrit:julilibulle a écrit:Hier, je me posais la question : pourquoi Gabriel Attal est-il aussi arc-bouté sur la question du choc des savoirs ? Pourquoi veut-il absolument continuer cette réforme alors qu'il n'est plus au pouvoir et qu'elle a quand même un coût (il faut plus d'enseignants de français et de maths) ?
En général, quand on veut absolument garder une réforme (comme celle des retraites), c'est qu'elle rapporte de l'argent à quelqu'un (soi-même, un ami, un cabinet-conseil). Mais, je ne pense pas que ça soit le cas ici. D'où mon interrogation ...
Ils veulent sans doute garder absolument la réforme car elle est la 1ère marche vers l'autonomie des établissements qui est voulue par notre président. Finalement, ça ne marche pas si mal pour lui : chaque établissement fonctionne différemment même si c'est le gros bordel. Et puis, l'année prochaine sera la mise en place de la réforme en 4e-3e avec toutes les conséquences qu'elle aura sur l'organisation des établissements et de notre enseignement.
L'autre point qui les intéresse, c'est sans doute le problème des non-remplacements. On en a parlé ces derniers jours ici, on risque de voir des collègues prendre les groupes des collègues arrêtés ou absents.
Et puis pour finir, il y a sans doute aussi une volonté de péter encore plus le public... Pourquoi les établissements privés n'ont-ils pas pu recevoir des dotations supplémentaires pour mettre en place la réforme? Et pourquoi ne les oblige-t-on pas à appliquer la réforme?
À moins qu'Attal soit un grand idéologue convaincu par le bienfait de sa réforme pour faire progresser nos collegiens, les raisons de son obstination sont sans doute à chercher ailleurs. Il y a peut-être aussi l'ambition personnelle...mais finalement, Attal ne fait qu'appliquer les lubies du président.
Totalement d'accord avec ce que j'ai graissé.
La communication autour de la réforme s'est faite sur la forme (différenciation/tri, nombre différent d'élèves par groupe etc) mais le but de la réforme est essentiellement organisationnel : on casse les groupes classes (au passage on impose une progression commune aux collègues), on fait des barrettes pour deux disciplines "dites fondamentales" - alors qu'elles ne le sont plus.. dès qu'il y a un "simple" congé mater à remplacer par exemple
(et vos collègues de sciences/techno ont pourtant déjà tenté de négocier des barrettes 3 groupes pour 2 classes quand il y a eu moins de financement pour dédoubler, mais comme à l'époque cela pouvait faire des grosses contraintes d'EDT pour tous, cela a tendu à disparaître pour amener à uniquement des heures en classe entière...)
On les met quasi en opposition avec les autres disciplines, qui soit se débrouillent, soit se verront encore réduire à peu
(parole de prof de techno : il ne faut pas oublier que dans "tous ces moyens", l'heure de techno perdue en 6è en 2023 est devenue une heure de moins tout court en 2024, cela a contribué à "financer" une partie des heures français/maths demandé par le fameux choc des savoirs).
Ce truc est passé et maintenant, c'est terminé.
Avec le Pacte, il n'y a quasiment plus rien à faire pour casser le statut.
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