[Le Figaro] Nouvelle alerte sur la dégradation de la santé mentale des jeunes

Eliette, courage, je ne sais pas quoi dire d’autre, ton message m’a mis larmes aux yeux.

Je ne sais que dire, @Eliette, si ce n'est que je suis vraiment bouleversée par ton message, et de tout cœur avec toi. Vous avez fait tout ce que vous pouviez, mais la vie est parfois tellement injuste.

Et aussi, merci d'avoir bien voulu partager ce terrible drame avec nous. Ton témoignage rappelle avec acuité combien le mal-être des adolescents peut être profond et grave alors même que tout semble réuni pour que ça aille bien, et ne doit pas être balayé d'un revers de la main.
Je t'envoie ton mon soutien.

Je vous remercie pour vos mots. Et oui c'est difficile de ne pas culpabiliser, même si la psychiatre nous a bien répété qu'on avait fait tout ce qu'on pouvait.
Et oui, si j'ai écrit ici, c'est en espérant transmettre ce message qu'on ne peut réduire le sujet à de la psychologie de comptoir, pas lue ici, mais beaucoup ailleurs (s'ils faisaient du sport/une bonne guerre/qu'ils se remuaient un peu...).
Et que contrairement à ce que je pensais, nous, parents, ne sommes pas les meilleurs connaisseurs de nos ados.

Je pense à ton message depuis que j'en ai pris connaissance, Eliette.

La culpabilité touche tout le monde, lors d'un suicide, les plus proches, comme les plus éloignés.
Pourtant, il y a des décisions qui ne nous appartiennent pas, qui nous sont si étrangères...

Bien que nous ne nous connaissons pas, je t'exprime mon entière, absolue compassion.

Eliette... Personne ne voit tout, ne maîtrise tout. Ce que tu as vécu est l'épouvante. Merci d'avoir ainsi rappelé qu'hélas même avoir des parents aimants et attentifs ne protège pas les adolescents de la vraie dépression.
Je t'embrasse si tu le veux bien, faute de mots qui ne seraient pas dérisoires.

Je pense bien à toi Eliette et je te souhaite plein de courage.

Une membre de ma famille a aussi sombré suite à une dépression il y a 1 an et demi. Tout est allé trop vite. On n'a rien pu faire.

Je pense comme UneOdyssée que la maladie provoque le geste et que nous, l'entourage, avons fait notre possible pour entourer nos proches, malgré toutes les questions que nous nous posons encore.

Je ne peux donc que compatir et t'envoyer tout mon soutien.

Eliette, toute ma compassion. C'est terrible. Je me rappelle que tu avais parlé de l'histoire l'exclusion du voyage. J'espérais que ta fille allait mieux... quelle tristesse.

Iridiane a écrit:Eliette, courage, je ne sais pas quoi dire d’autre, ton message m’a mis larmes aux yeux.

Pareil. Je pense bien fort à toi.

Eliette, toute mes condoléances. Je me rappelle aussi de la discussion sur le voyage auquel ta fille n'avait pas pu participer.

Eliette, je t'envoie tout mon soutien et vous souhaite beaucoup de courage dans cette épreuve terrible.

Eliette des pensées. Je ne sais quoi te dire non plus.

Je suis bouleversée par la lecture de ton message, Éliette.
La dépression de notre fils à l âge de 17 ans nous a beaucoup éprouvés.
De tout cœur avec toi et tes proches dans cette épreuve.

Je suis bouleversée par ton message, Eliette et je n'ose imaginer le drame que cela a été pour toi et ta famille. Je t'envoie toutes mes pensées.

Eliette, mes plus sincères condoléances.

On parlait encore aujourd'hui au lycée de la quantité d'élèves qui vont mal.
Tentatives de suicide, antidépresseurs, crises d'angoisse... un de mes élèves me disait cette après-midi "tout le monde va mal".
Être adolescent n'a jamais été facile mais je pense que c'est de plus en difficile.

Toutes mes condoléances Eliette. La dépression est une sordide affaire qui prend le contrôle, ravage tout, et nul n'en est responsable, encore moins coupable. Tout mon soutien et un immense merci pour ton témoignage si fort et généreux, car partager sa tristesse est toujours extrêmement difficile.

Eliette, je découvre ton message et je suis vraiment désolée pour vous. Je t'envoie toutes mes pensées.

Toutes mes pensées Eliette. Ce que tu décris du parcours de ta fille me fait penser à ce que m'a confié ma collègue inquiète pour sa fille et démunie également.

Merci pour l'immense courage de ce message, la souffrance d'un enfant nous accable tellement que nous n'osons rien en partager. Mais ce que vous vivez est au delà des mots. Mes plus sincères pensées.