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neoSage
Répartition des collègues de Lettres Modernes et Lettres Classiques par académie
6 juin 2011
La proportion des enseignants de lettres classiques par rapport à l’ensemble des professeurs de Lettres est très variable d’une académie à l’autre. Si la moyenne est de 20,6%, elle est très faible dans les académies ultramarines (inférieure à 14%) quand elle atteint 30 % à Paris.
Le tableau comparatif ci-dessous (tableau 1), concernant l’ensemble des collègues, met bien en évidence ce phénomène.
Les tableaux 2 et 3, indiquant la répartition respectivement pour les certifiés et les agrégés, montrent que la proportion des enseignants de lettres classiques est généralement plus favorable dans la catégorie des agrégés mais les inégalités académiques persistent.
http://www.snes.edu/Repartition-des-collegues-de.html
6 juin 2011
La proportion des enseignants de lettres classiques par rapport à l’ensemble des professeurs de Lettres est très variable d’une académie à l’autre. Si la moyenne est de 20,6%, elle est très faible dans les académies ultramarines (inférieure à 14%) quand elle atteint 30 % à Paris.
Le tableau comparatif ci-dessous (tableau 1), concernant l’ensemble des collègues, met bien en évidence ce phénomène.
Les tableaux 2 et 3, indiquant la répartition respectivement pour les certifiés et les agrégés, montrent que la proportion des enseignants de lettres classiques est généralement plus favorable dans la catégorie des agrégés mais les inégalités académiques persistent.
http://www.snes.edu/Repartition-des-collegues-de.html
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Human... https://www.youtube.com/watch?v=RIZdjT1472Y
henrietteMédiateur
Je viens de découvrir qu'à Aix-Marseille, à part les DOM et Créteil, on est derrière tout le monde, avec 17 et quelques %...
DerborenceModérateur
Ouf : au-dessus de la moyenne dans mon académie ! Pour une fois 
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"La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois
"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tête pendant qu’on se penche sur le vide, où il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."
Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence
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