- Karine B.Guide spirituel
ah, l'odeur des polycopies et des machines à alcool@boris vassiliev a écrit:Je ne me souviens pas de photocopies

- boris vassilievGrand sage
Non, ça c'était quelques années avant, à l'école... C'était l'odeur des contrôles !

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J'ai été ancien combattant, militant socialiste et bistrot, c'est vous dire si j'en ai entendu, des conneries ! Patouilloux/Robert Dalban, Un idiot à Paris, 1966, Michel Audiard)
- Karine B.Guide spirituel
en 1996, je tournais encore la manivelle : tu ne vas pas me faire croire que tu étais encore en primaire à 17 ans ?@boris vassiliev a écrit:Non, ça c'était quelques années avant, à l'école... C'était l'odeur des contrôles !![]()

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Le SNES, what else ?
Stagiaire agrégée à la rentrée 2015
Blog Maison Avant / Après Mise à jour en août 2013
- AuroreEsprit éclairé
Plus le cours du prof est clair et structuré - et le fait de suivre la chronologie et réduire au possible les "études de cas" y contribue grandement - , plus l'élève comprend vite et se révèle efficace dans son travail perso. Résultat : le prof avance plus vite et se donne plus de chances de terminer le programme...@kiwi a écrit:J'avoue ne pas trop saisir le rapport entre le respect ou non d'une chronologie et le fait de terminer le programme.@Aurore a écrit:
Voilà. Celeborn a évoqué les études de cas à foison... En d'autres termes, on ne prenait pas les élèves pour des historiens en puissance sous prétexte d'inclure à tout prix les apports de la recherche. Et en ce qui concerne le lycée, on maintenait une trame chronologique solide, ce qui est loin d'être le cas actuellement.
Je ne dis pas que c'est l'unique cause (kiwi a en listé d'autres) mais il serait contreproductif de nier de telles dérives.

- Isis39Bon génie
Ah ! Le retour d'Aurore spécialiste de l'enseignement de l'histoire.@Aurore a écrit:Plus le cours du prof est clair et structuré - et le fait de suivre la chronologie et réduire au possible les "études de cas" y contribue grandement - , plus l'élève comprend vite et se révèle efficace dans son travail perso. Résultat : le prof avance plus vite et se donne plus de chances de terminer le programme...@kiwi a écrit:J'avoue ne pas trop saisir le rapport entre le respect ou non d'une chronologie et le fait de terminer le programme.@Aurore a écrit:
Voilà. Celeborn a évoqué les études de cas à foison... En d'autres termes, on ne prenait pas les élèves pour des historiens en puissance sous prétexte d'inclure à tout prix les apports de la recherche. Et en ce qui concerne le lycée, on maintenait une trame chronologique solide, ce qui est loin d'être le cas actuellement.
Je ne dis pas que c'est l'unique cause (kiwi a en listé d'autres) mais il serait contreproductif de nier de telles dérives.
Si vous pouviez m'expliquez comment faire la guerre froide en 3h, évaluation comprise, cela m'arrangerait grandement... Parce que moi qui suis prof d'histoire, je n'y arrive pas....
- Karine B.Guide spirituel
1 h : le début, 1 h le milieu, 1 h la fin@Isis39 a écrit:Ah ! Le retour d'Aurore spécialiste de l'enseignement de l'histoire.@Aurore a écrit:Plus le cours du prof est clair et structuré - et le fait de suivre la chronologie et réduire au possible les "études de cas" y contribue grandement - , plus l'élève comprend vite et se révèle efficace dans son travail perso. Résultat : le prof avance plus vite et se donne plus de chances de terminer le programme...@kiwi a écrit:J'avoue ne pas trop saisir le rapport entre le respect ou non d'une chronologie et le fait de terminer le programme.
Si vous pouviez m'expliquez comment faire la guerre froide en 3h, évaluation comprise, cela m'arrangerait grandement... Parce que moi qui suis prof d'histoire, je n'y arrive pas....

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- JohnMédiateur

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- Isis39Bon génie
Raté, y a pas l'évaluation !@Karine B. a écrit:1 h : le début, 1 h le milieu, 1 h la fin@Isis39 a écrit:Ah ! Le retour d'Aurore spécialiste de l'enseignement de l'histoire.@Aurore a écrit:Plus le cours du prof est clair et structuré - et le fait de suivre la chronologie et réduire au possible les "études de cas" y contribue grandement - , plus l'élève comprend vite et se révèle efficace dans son travail perso. Résultat : le prof avance plus vite et se donne plus de chances de terminer le programme...
Si vous pouviez m'expliquez comment faire la guerre froide en 3h, évaluation comprise, cela m'arrangerait grandement... Parce que moi qui suis prof d'histoire, je n'y arrive pas....![]()

- User5899Dieu de l'Olympe
J'ai lesouvenir d'un programme de terminale A (4h hebdos) extrêmement lourd. On avait un monsieur excellent, qui prenait le temps d'expliquer certains points difficiles (relations internationales de l'entre-deux guerres par exemple),mais qui, sinon, parlait à toute allure pendant que nous notions comme des malades. Et l'épreuve...
3h30 pour une composition d'histoire (3 sujets au choix) + une composition de géographie (3 sujets au choix), chacune notée sur 10... 


- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
C'est surtout que ces concepteurs sont totalement ignorants de ce qui se passe dans une classe de collège ou de lycée.@Collier de Barbe a écrit:J'ai encore parfaitement en mémoire les tonnes de photocopie reçues toute mon année de terminale pour "boucler" le programme...
C'était en 1995.
Je crois que nos disciplines sont victimes d'une ambition démesurée des concepteurs de programmes. Espérons que le futur Conseil des Programmes fasse des choses plus modestes et plus réalistes.
Sinon, entièrement d'accord avec toi.
- neomathNeoprof expérimenté
De mon temps l'histoire s'arrêtait en 1945. Je suppose que cela facilitait le boulot des profs, non?
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You cannot reason people out of positions they didn’t reason themselves into. J. Swift
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Sortie de son contexte, cette phrase est géniale@neomath a écrit:De mon temps l'histoire s'arrêtait en 1945. Je suppose que cela facilitait le boulot des profs, non?

Plus sérieusement, au vu des attentes politiques et des positions de la plupart des collègues et des associations, il me semble illusoire d'espérer changer le caractère ultra-contemporain des programmes de lycée.
- Douglas ColvinNeoprof expérimenté
Tout est dit.@Marcel Khrouchtchev a écrit:
C'est surtout que ces concepteurs sont totalement ignorants de ce qui se passe dans une classe de collège ou de lycée.
- User5899Dieu de l'Olympe
On nous disait d'ailleurs, en 83, qu'étudier à l'époque la période post 2e GM serait des sciences po, mais pas de l'histoire, problèmes d'archives, entre autres. Vérité en-deçà des Pyrénées...@Marcel Khrouchtchev a écrit:Sortie de son contexte, cette phrase est géniale@neomath a écrit:De mon temps l'histoire s'arrêtait en 1945. Je suppose que cela facilitait le boulot des profs, non?![]()
Plus sérieusement, au vu des attentes politiques et des positions de la plupart des collègues et des associations, il me semble illusoire d'espérer changer le caractère ultra-contemporain des programmes de lycée.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Etant moderniste, je ne peux qu'appuyer cette remarque pleine de bon sensCripure a écrit:On nous disait d'ailleurs, en 83, qu'étudier à l'époque la période post 2e GM serait des sciences po, mais pas de l'histoire, problèmes d'archives, antre autres. Vérité en-deçà des Pyrénées...@Marcel Khrouchtchev a écrit:Sortie de son contexte, cette phrase est géniale@neomath a écrit:De mon temps l'histoire s'arrêtait en 1945. Je suppose que cela facilitait le boulot des profs, non?![]()
Plus sérieusement, au vu des attentes politiques et des positions de la plupart des collègues et des associations, il me semble illusoire d'espérer changer le caractère ultra-contemporain des programmes de lycée.

Mais pour des raisons éditoriales et donc pour des raisons de pognon et d'intérêt du public, l'histoire "du temps présent" est dominante dans le champ universitaire et, par ricochet, parmi les enseignants qui ont été formés par les universitaires. Position renforcée par l'appui qu'elle peut donner aux visées politiques (dont je ne nie pas la légitimité d'ailleurs) des autorités publiques qui fixent les programmes dans un sens "citoyen" et de découverte du monde environnant.
- InstructeurpublicFidèle du forum
Je suis pas sûr mais je crois bien qu'on appelle ça une brève de comptoir. Et une belle.@Marcel Khrouchtchev a écrit:Sortie de son contexte, cette phrase est géniale@neomath a écrit:De mon temps l'histoire s'arrêtait en 1945. Je suppose que cela facilitait le boulot des profs, non?![]()
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
@Instructeurpublic a écrit:Je suis pas sûr mais je crois bien qu'on appelle ça une brève de comptoir. Et une belle.@Marcel Khrouchtchev a écrit:Sortie de son contexte, cette phrase est géniale@neomath a écrit:De mon temps l'histoire s'arrêtait en 1945. Je suppose que cela facilitait le boulot des profs, non?![]()

- OlympiasProphète
Situation vécue....comme élève !!!!!!!!!!@Marcel Khrouchtchev a écrit:@Instructeurpublic a écrit:Je suis pas sûr mais je crois bien qu'on appelle ça une brève de comptoir. Et une belle.![]()
Je pense qu'il y avait peut-être aussi un peu de plus de liberté pédagogique...sans les études de cas, l'EDD gnagnagna...
- Raoul VolfoniDoyen
J'ai dû déjà en parler mais l'année où j'ai été collée, l'inspectrice m'avait vertement reproché de n'avoir pas terminé le programme de 4ème. Ma classe était la plus avancée de tout le collège. J'avais ressenti cela comme une grande injustice, dans la mesure où, de notoriété publique, les programmes sont impossibles à terminer.
Sinon, je n'ai pas de réponse, mais une question. On dit, et nous constatons dans nos classes, que les élèves sont de plus en plus indisciplinés. Peut-on déterminer la cause de ce phénomène ? L'éducation qui en a fait des enfants-rois ? le culte de l'individu, de l'instantané ? Existe-t-il des travaux sur ce sujet ? Je ne suis pas très âgée, mais il y a un fossé entre ces générations et la mienne, et cela me laisse à la fois perplexe et inquiète (quant à la société qui se prépare). Merci d'avance.
Sinon, je n'ai pas de réponse, mais une question. On dit, et nous constatons dans nos classes, que les élèves sont de plus en plus indisciplinés. Peut-on déterminer la cause de ce phénomène ? L'éducation qui en a fait des enfants-rois ? le culte de l'individu, de l'instantané ? Existe-t-il des travaux sur ce sujet ? Je ne suis pas très âgée, mais il y a un fossé entre ces générations et la mienne, et cela me laisse à la fois perplexe et inquiète (quant à la société qui se prépare). Merci d'avance.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Moi j'explique cela (en partie) par l'incapacité qu'ont les jeunes d'aujourd'hui à se concentrer plus de 5 minutes sur la même activité, due au zapping permanent.
- AbraxasDoyen
Je suis si vieux que nous n'avions pas de photocopies — pas même en machines à alcool, découvertes quand j'ai commencé dans le métier, en 1976.
Nous avions en revanche des manuels lourds très complets.
Pas d'enseignements parasites, c'est vrai. Pas d'études de cas (?????). Nous avalions.
Et j'ai vraiment fait l'Egypte, la Mésopotamie, la Grèce et Rome entre Sixième et Cinquième (toute la Cinquième, si je me rappelle bien, était consacrée à Rome…).
En tout cas, merci à tous ceux / celles qui ont répondu à ma question initiale — merci aussi à celui / celle qui en a fait une question initiale…
Nous avions en revanche des manuels lourds très complets.
Pas d'enseignements parasites, c'est vrai. Pas d'études de cas (?????). Nous avalions.
Et j'ai vraiment fait l'Egypte, la Mésopotamie, la Grèce et Rome entre Sixième et Cinquième (toute la Cinquième, si je me rappelle bien, était consacrée à Rome…).
En tout cas, merci à tous ceux / celles qui ont répondu à ma question initiale — merci aussi à celui / celle qui en a fait une question initiale…
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Voilà, elle est là la différence: il n'y a plus beaucoup d'élèves capables d'avaler un tel flot d'informations. Mais je pose la question sans chercher à vous flatter: pensez-vous vraiment que vous étiez plus nombreux à en être capable à votre époque? N'êtes-vous pas un cas à part, assez peu représentatif de ce qu'était un élève des petites classes de lycée dans les années 1960?@Abraxas a écrit:Je suis si vieux que nous n'avions pas de photocopies — pas même en machines à alcool, découvertes quand j'ai commencé dans le métier, en 1976.
Nous avions en revanche des manuels lourds très complets.
Pas d'enseignements parasites, c'est vrai. Pas d'études de cas (?????). Nous avalions.
Et j'ai vraiment fait l'Egypte, la Mésopotamie, la Grèce et Rome entre Sixième et Cinquième (toute la Cinquième, si je me rappelle bien, était consacrée à Rome…).
En tout cas, merci à tous ceux / celles qui ont répondu à ma question initiale — merci aussi à celui / celle qui en a fait une question initiale…
- JPhMMDemi-dieu
Rhô que de souvenirs...
A mon époque, il y avait ça :

Ceux qui ont connu l'époque se souviendront.

A mon époque, il y avait ça :

Ceux qui ont connu l'époque se souviendront.

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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. D'ailleurs, il n'y a point de meilleur moyen pour mettre en vogue ou pour défendre des doctrines étranges et absurdes, que de les munir d'une légion de mots obscurs, douteux , et indéterminés. Ce qui pourtant rend ces retraites bien plus semblables à des cavernes de brigands ou à des tanières de renards qu'à des forteresses de généreux guerriers. Que s'il est malaisé d'en chasser ceux qui s'y réfugient, ce n'est pas à cause de la force de ces lieux-là, mais à cause des ronces, des épines et de l'obscurité des buissons dont ils sont environnés. Car la fausseté étant par elle-même incompatible avec l'esprit de l'homme, il n'y a que l'obscurité qui puisse servir de défense à ce qui est absurde. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- AbraxasDoyen
Flatteur ! Vil flatteur !@Marcel Khrouchtchev a écrit:Voilà, elle est là la différence: il n'y a plus beaucoup d'élèves capables d'avaler un tel flot d'informations. Mais je pose la question sans chercher à vous flatter: pensez-vous vraiment que vous étiez plus nombreux à en être capable à votre époque? N'êtes-vous pas un cas à part, assez peu représentatif de ce qu'était un élève des petites classes de lycée dans les années 1960?@Abraxas a écrit:Je suis si vieux que nous n'avions pas de photocopies — pas même en machines à alcool, découvertes quand j'ai commencé dans le métier, en 1976.
Nous avions en revanche des manuels lourds très complets.
Pas d'enseignements parasites, c'est vrai. Pas d'études de cas (?????). Nous avalions.
Et j'ai vraiment fait l'Egypte, la Mésopotamie, la Grèce et Rome entre Sixième et Cinquième (toute la Cinquième, si je me rappelle bien, était consacrée à Rome…).
En tout cas, merci à tous ceux / celles qui ont répondu à ma question initiale — merci aussi à celui / celle qui en a fait une question initiale…
Le critère, c'était les passages — ça balançait pas mal. Particulièrement fin Troisième. Mais je n'étais quand même pas le seul — j'ai tout fait dans le même lycée — à commencer en Sixième et à aller au bout. Et les "compositions trimestrielles" étaient également de redoutables examens de passage internes à l'année en cours.
- Douglas ColvinNeoprof expérimenté
Voilà une question qui mérite un sujet à elle seule !@Raoul Volfoni a écrit:J'ai dû déjà en parler mais l'année où j'ai été collée, l'inspectrice m'avait vertement reproché de n'avoir pas terminé le programme de 4ème. Ma classe était la plus avancée de tout le collège. J'avais ressenti cela comme une grande injustice, dans la mesure où, de notoriété publique, les programmes sont impossibles à terminer.
Sinon, je n'ai pas de réponse, mais une question. On dit, et nous constatons dans nos classes, que les élèves sont de plus en plus indisciplinés. Peut-on déterminer la cause de ce phénomène ? L'éducation qui en a fait des enfants-rois ? le culte de l'individu, de l'instantané ? Existe-t-il des travaux sur ce sujet ? Je ne suis pas très âgée, mais il y a un fossé entre ces générations et la mienne, et cela me laisse à la fois perplexe et inquiète (quant à la société qui se prépare). Merci d'avance.
- Raoul VolfoniDoyen
Ma mère, qui n'a que le certificat d'études, tient à peu près les mêmes propos qu'Abraxas : ils avalaient un programme assez dense, et ceux qui avaient du mal restaient le soir avec le maître pour bosser davantage. Elle a, en ayant arrêté ses études à quatorze ans, une maîtrise du français, des mathématiques et une culture générale que beaucoup de bacheliers pourraient lui envier, et elle n'est pas une exception parmi les anciens lauréats du CEP. Sans doute était-on plus exigeant (ou exigeant tout court) avec les élèves de cette époque, sans chercher à "valoriser" à tout prix...@Marcel Khrouchtchev a écrit:Voilà, elle est là la différence: il n'y a plus beaucoup d'élèves capables d'avaler un tel flot d'informations. Mais je pose la question sans chercher à vous flatter: pensez-vous vraiment que vous étiez plus nombreux à en être capable à votre époque? N'êtes-vous pas un cas à part, assez peu représentatif de ce qu'était un élève des petites classes de lycée dans les années 1960?@Abraxas a écrit:Je suis si vieux que nous n'avions pas de photocopies — pas même en machines à alcool, découvertes quand j'ai commencé dans le métier, en 1976.
Nous avions en revanche des manuels lourds très complets.
Pas d'enseignements parasites, c'est vrai. Pas d'études de cas (?????). Nous avalions.
Et j'ai vraiment fait l'Egypte, la Mésopotamie, la Grèce et Rome entre Sixième et Cinquième (toute la Cinquième, si je me rappelle bien, était consacrée à Rome…).
En tout cas, merci à tous ceux / celles qui ont répondu à ma question initiale — merci aussi à celui / celle qui en a fait une question initiale…

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