Élections professionnelles du 27 novembre au 4 décembre 2014.

Roumégueur Ier a écrit:Une abstention pour l'instant comparable à 2011, soit 20 points de perdus par rapport à un scrutin classique sur papier.
Le ministère n'aura plus qu'à dire que les syndicats ne représentent finalement pas grand monde, et n'ont donc que peu de légitimité (bon, à part ceux qui le soutiendront dans son entreprise de casse de l'école, qui se confirme de jour en jour).
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/12/02122014Article635531021366135396.aspx

républicain a écrit:

Roumégueur Ier a écrit:Une abstention pour l'instant comparable à 2011, soit 20 points de perdus par rapport à un scrutin classique sur papier.
Le ministère n'aura plus qu'à dire que les syndicats ne représentent finalement pas grand monde, et n'ont donc que peu de légitimité (bon, à part ceux qui le soutiendront dans son entreprise de casse de l'école, qui se confirme de jour en jour).
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/12/02122014Article635531021366135396.aspx

De nombreux collègues ont été découragés par la complexité du vote. C'est du foutage de gueule absolu!
Ce que tu dis est absolument certain quand on sait que tous les autres fonctionnaires d'état iront voter de façon classique le 4 Décembre.

Il ne reste plus qu'à souhaiter que les "godillots" prennent au moins une bonne claque. :diable:

républicain a écrit:

Roumégueur Ier a écrit:Une abstention pour l'instant comparable à 2011, soit 20 points de perdus par rapport à un scrutin classique sur papier.
Le ministère n'aura plus qu'à dire que les syndicats ne représentent finalement pas grand monde, et n'ont donc que peu de légitimité (bon, à part ceux qui le soutiendront dans son entreprise de casse de l'école, qui se confirme de jour en jour).
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/12/02122014Article635531021366135396.aspx

De nombreux collègues ont été découragés par la complexité du vote. C'est du foutage de gueule absolu!
Ce que tu dis est absolument certain quand on sait que tous les autres fonctionnaires d'état iront voter de façon classique le 4 Décembre.

Il ne reste plus qu'à souhaiter que les "godillots" prennent au moins une bonne claque. :diable:

arcenciel a écrit:
+1 (J'ai failli lâché l'affaire puis me suis reprise, j'ai toujours les rythmes en travers de la gorge!)

Roumégueur Ier a écrit:

républicain a écrit:

Roumégueur Ier a écrit:Une abstention pour l'instant comparable à 2011, soit 20 points de perdus par rapport à un scrutin classique sur papier.
Le ministère n'aura plus qu'à dire que les syndicats ne représentent finalement pas grand monde, et n'ont donc que peu de légitimité (bon, à part ceux qui le soutiendront dans son entreprise de casse de l'école, qui se confirme de jour en jour).
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/12/02122014Article635531021366135396.aspx

De nombreux collègues ont été découragés par la complexité du vote. C'est du foutage de gueule absolu!
Ce que tu dis est absolument certain quand on sait que tous les autres fonctionnaires d'état iront voter de façon classique le 4 Décembre.

Il ne reste plus qu'à souhaiter que les "godillots" prennent au moins une bonne claque. :diable:

Je n'imagine pas une remise en cause des 'godillots', loin de là avec un tel taux de participation : eux savent très bien mobiliser leurs ouailles. Tout au plus, on peut envisager une petite percée du SNALC qui a très bien su se mettre en avant sur le plan de la communication (communiqués, interviews, débats, articles de presse) et qui devrait bénéficier de cette exposition.
Pour le reste, le rapport de force sera sensiblement le même à cause du vote électronique, peu mobilisateur, de la grande inertie de nombreux collègues qui se plaignent mais pensent que le vote syndical ne sert à rien. Il y a même une catégorie de personnel qui vote automatiquement pour tel ou tel syndicat sans trop savoir quelle ligne est défendue (si, si, j'ai croisé un jour un collègue qui venait de lire la profession de foi du syndicat auquel il adhérait depuis 15 ans et qui s'est aperçu que c'était l'antithèse de l'école qu'il voulait défendre!).
Bref, toute une "conscience de classe" qui s'effondre et des revendications 'corporatistes' qui n'ont aucune chance d'aboutir, au moment où il faudrait faire corps et leur rentrer dans le lard. Là, on va gentiment regarder l'édifice s'effondrer sur nos pieds et on dira 'Ouille'.

Mama a écrit:Je ne suis pas syndiquée, mais j'ai voté pour le syndicat dont les convictions sont les plus proches de celles qui sont pour moi les plus importantes, à savoir qu'une école réellement républicaine nécessite :
- rigueur auprès de l'élève (laquelle n'empêche nullement l'humour et la bienveillance, contrairement à ce que les tenants de la sensiblerie essaient de faire croire) ;
-considération des enseignants mais aussi exigence concernant leurs connaissances ;
- prise en compte de la diversité des élèves, au lieu de vouloir les faire avancer ensemble jusqu'au brevet à toute force, et au mépris de toute logique humaine et pédagogique, et de faire croire qu'un enseignant qui ne vit que 24 heures par jour peut tout différencier et assurer un suivi individuel permanent.

Je vous laisse déduire mon choix.  Tout ne me convient pas, mais comme cela a été dit dans les pages précédentes, je me concentre sur les priorités. Et vu la tendance actuelle de l'EN, ces choix ne sont plus conservateurs, depuis un bon moment... Ils sont révolutionnaires !

Mama a écrit:Je ne suis pas syndiquée, mais j'ai voté pour le syndicat dont les convictions sont les plus proches de celles qui sont pour moi les plus importantes, à savoir qu'une école réellement républicaine nécessite :
- rigueur auprès de l'élève (laquelle n'empêche nullement l'humour et la bienveillance, contrairement à ce que les tenants de la sensiblerie essaient de faire croire) ;
-considération des enseignants mais aussi exigence concernant leurs connaissances ;
- prise en compte de la diversité des élèves, au lieu de vouloir les faire avancer ensemble jusqu'au brevet à toute force, et au mépris de toute logique humaine et pédagogique, et de faire croire qu'un enseignant qui ne vit que 24 heures par jour peut tout différencier et assurer un suivi individuel permanent.

Je vous laisse déduire mon choix.  Tout ne me convient pas, mais comme cela a été dit dans les pages précédentes, je me concentre sur les priorités. Et vu la tendance actuelle de l'EN, ces choix ne sont plus conservateurs, depuis un bon moment... Ils sont révolutionnaires ! Une révolution, par définition, ça peut revenir au point de départ, non ?

pmuller a écrit:Si tu as voté autrement, c'est que tu te seras laissée berner. Mais ainsi va la politique... syndicale.

Mama a écrit:Je ne suis pas syndiquée, mais j'ai voté pour le syndicat dont les convictions sont les plus proches de celles qui sont pour moi les plus importantes, à savoir qu'une école réellement républicaine nécessite :
- rigueur auprès de l'élève (laquelle n'empêche nullement l'humour et la bienveillance, contrairement à ce que les tenants de la sensiblerie essaient de faire croire) ;
-considération des enseignants mais aussi exigence concernant leurs connaissances ;
- prise en compte de la diversité des élèves, au lieu de vouloir les faire avancer ensemble jusqu'au brevet à toute force, et au mépris de toute logique humaine et pédagogique, et de faire croire qu'un enseignant qui ne vit que 24 heures par jour peut tout différencier et assurer un suivi individuel permanent.

Je vous laisse déduire mon choix.  Tout ne me convient pas, mais comme cela a été dit dans les pages précédentes, je me concentre sur les priorités. Et vu la tendance actuelle de l'EN, ces choix ne sont plus conservateurs, depuis un bon moment... Ils sont révolutionnaires ! Une révolution, par définition, ça peut revenir au point de départ, non ?

arcenciel a écrit:A voté.