- thrasybuleProphète
en plus, je me souviens l'avoir fait avec une troisième, je devrais me renier!
- User5899Dieu de l'Olympe
Tu m'étonnes@Rendash a écrit:J'ai encore un souvenir ému de mes cours de français de primaire, lorsqu'au détour d'un Je lis seul, Tu lis seul j'ai découvert les textes de Brassens.

Vous n'avez jamais fait lire/écouter "Le 22 septembre" après une étude du romantisme ?@thrasybule a écrit:franchement, je crois que j'aurais détesté entendre expliquer Ferré, Brel, Sylvestre, Barbara et je ne parle pas du rap. Mettre en grille une émotion (sans oublier le fait qu'il faudrait faire une analyse musicologique que les profs de lettres n'ont pas), la réduire à des "champs lexicaux" ou à un impressionnisme affectif hyperglucidé m'aurait exaspéré.
- SeiferÉrudit
J'avoue que je vais débuter la poésie avec mes 6èmes. Pour ma première année d'enseignement, je me suis tâté sur la javanaise justement. Mais hormis faire écouter une musique et parler de versification, je ne sais vraiment pas quoi faire. Et en musique, les textes sont bien plus longs, je préfère faire découvrir un poème que j'apprécie plutôt que de me rallier à un thème spécifique comme les saisons ou les animaux, ce n'est pas l'essence de la poésie...
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De tout cimetière naît un champ de fleurs.
- mamieprofNeoprof expérimenté
J'utilise un titre de rap pour expliquer l'Habitus aux élèves je le trouve très clair sur cette notion parfois difficile à comprendre.
- thrasybuleProphète
J'ai honte, mais j'ai déjà écouté cette chanson de Brassens mais je ne m'en souviens plus.Cripure a écrit:Tu m'étonnes@Rendash a écrit:J'ai encore un souvenir ému de mes cours de français de primaire, lorsqu'au détour d'un Je lis seul, Tu lis seul j'ai découvert les textes de Brassens.Vous n'avez jamais fait lire/écouter "Le 22 septembre" après une étude du romantisme ?@thrasybule a écrit:franchement, je crois que j'aurais détesté entendre expliquer Ferré, Brel, Sylvestre, Barbara et je ne parle pas du rap. Mettre en grille une émotion (sans oublier le fait qu'il faudrait faire une analyse musicologique que les profs de lettres n'ont pas), la réduire à des "champs lexicaux" ou à un impressionnisme affectif hyperglucidé m'aurait exaspéré.
J'avais une fois clos un groupement sur l'autobiographie par Mon Enfance de Barbara, parce-qu'il est très littéraire, proustien et que la mélodie accompagne et sublime sans cesse le texte.
- User5899Dieu de l'Olympe
Ah, s'occuper de l'habitus de Joey Starr@mamieprof a écrit:J'utilise un titre de rap pour expliquer l'Habitus aux élèves je le trouve très clair sur cette notion parfois difficile à comprendre.

- JPhMMDemi-dieu
Pas même sur du Vian ?@thrasybule a écrit:franchement, je crois que j'aurais détesté entendre expliquer Ferré, Brel, Sylvestre, Barbara et je ne parle pas du rap. Mettre en grille une émotion (sans oublier le fait qu'il faudrait faire une analyse musicologique que les profs de lettres n'ont pas), la réduire à des "champs lexicaux" ou à un impressionnisme affectif hyperglucidé m'aurait exaspéré.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. D'ailleurs, il n'y a point de meilleur moyen pour mettre en vogue ou pour défendre des doctrines étranges et absurdes, que de les munir d'une légion de mots obscurs, douteux , et indéterminés. Ce qui pourtant rend ces retraites bien plus semblables à des cavernes de brigands ou à des tanières de renards qu'à des forteresses de généreux guerriers. Que s'il est malaisé d'en chasser ceux qui s'y réfugient, ce n'est pas à cause de la force de ces lieux-là, mais à cause des ronces, des épines et de l'obscurité des buissons dont ils sont environnés. Car la fausseté étant par elle-même incompatible avec l'esprit de l'homme, il n'y a que l'obscurité qui puisse servir de défense à ce qui est absurde. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- User5899Dieu de l'Olympe
https://www.dailymotion.com/video/x1wrio_brassens-le-22-septembre_music
- ProvenceBon génie
@Pascal a écrit:C'est quand même bizarre qu'aux dernières présidentielles les profs aient majoritairement voté Hollande, mais que sur le terrain ça n'apparaisse pas. Quant à l'individualisme, il est parfois présent, mais certains enseignants sont aussi isolés quand des groupuscules de droite, de gauche ou d'extrême gauche (pas d'extrême-droite encore j'espère) verrouillent tout dans un établissement et qu'ils ne partagent pas leur manière d'être ou de penser.
Que viendrait faire la politique dans une salle des profs?

Tu as raison. Rendons obligatoire l'étude du latin afin de n'exclure personne, j'y suis très favorable.@Pascal a écrit:
Par exemple organiser des voyages scolaires uniquement pour les latinistes et les bilangues anglais. Ca me paraît excluant.
- User5899Dieu de l'Olympe
C'est une blague ?@Provence a écrit:Que viendrait faire la politique dans une salle des profs?![]()
- thrasybuleProphète
tu sais, c'était un message très subjectif, les chansons françaises, que j'ai écoutées avec passion, beaucoup moins maintenant, je ne sais pas pourquoi, était un peu ma robinsonnade et j'aurais vécu comme une spoliation le fait qu'on l'"explique".@JPhMM a écrit:Pas même sur du Vian ?@thrasybule a écrit:franchement, je crois que j'aurais détesté entendre expliquer Ferré, Brel, Sylvestre, Barbara et je ne parle pas du rap. Mettre en grille une émotion (sans oublier le fait qu'il faudrait faire une analyse musicologique que les profs de lettres n'ont pas), la réduire à des "champs lexicaux" ou à un impressionnisme affectif hyperglucidé m'aurait exaspéré.
- JPhMMDemi-dieu
Dire que certains enseignants sont isolés quand des groupuscules verrouillent leur établissement, c'est presque une tautologie.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. D'ailleurs, il n'y a point de meilleur moyen pour mettre en vogue ou pour défendre des doctrines étranges et absurdes, que de les munir d'une légion de mots obscurs, douteux , et indéterminés. Ce qui pourtant rend ces retraites bien plus semblables à des cavernes de brigands ou à des tanières de renards qu'à des forteresses de généreux guerriers. Que s'il est malaisé d'en chasser ceux qui s'y réfugient, ce n'est pas à cause de la force de ces lieux-là, mais à cause des ronces, des épines et de l'obscurité des buissons dont ils sont environnés. Car la fausseté étant par elle-même incompatible avec l'esprit de l'homme, il n'y a que l'obscurité qui puisse servir de défense à ce qui est absurde. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- JPhMMDemi-dieu
Je comprends.@thrasybule a écrit:tu sais, c'était un message très subjectif, les chansons françaises, que j'ai écoutées avec passion, beaucoup moins maintenant, je ne sais pas pourquoi, était un peu ma robinsonnade et j'aurais vécu comme une spoliation le fait qu'on l'"explique".@JPhMM a écrit:Pas même sur du Vian ?@thrasybule a écrit:franchement, je crois que j'aurais détesté entendre expliquer Ferré, Brel, Sylvestre, Barbara et je ne parle pas du rap. Mettre en grille une émotion (sans oublier le fait qu'il faudrait faire une analyse musicologique que les profs de lettres n'ont pas), la réduire à des "champs lexicaux" ou à un impressionnisme affectif hyperglucidé m'aurait exaspéré.
Je ne supporte pas les explications de tableaux, pour ma part.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. D'ailleurs, il n'y a point de meilleur moyen pour mettre en vogue ou pour défendre des doctrines étranges et absurdes, que de les munir d'une légion de mots obscurs, douteux , et indéterminés. Ce qui pourtant rend ces retraites bien plus semblables à des cavernes de brigands ou à des tanières de renards qu'à des forteresses de généreux guerriers. Que s'il est malaisé d'en chasser ceux qui s'y réfugient, ce n'est pas à cause de la force de ces lieux-là, mais à cause des ronces, des épines et de l'obscurité des buissons dont ils sont environnés. Car la fausseté étant par elle-même incompatible avec l'esprit de l'homme, il n'y a que l'obscurité qui puisse servir de défense à ce qui est absurde. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- YoKonokéNeoprof expérimenté
Mais JPhMM, je ne comprends rien à ton histoire de groupuscule
. Quel rapport avec le sujet ?

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«Plus on partage, plus on possède, voilà le miracle.» Léonard Nimoy
- User5899Dieu de l'Olympe
Au sens propre, d'ailleurs, on n'explique pas un tableau, on tente de le lire, je pense. A la différence d'un texte, on peut appréhender le tableau d'un coup d'oeil dans son ensemble.
- User5899Dieu de l'Olympe
Hum... Je me demande si on n'aurait pas légèrement dévié du sujet 

- JPhMMDemi-dieu
Là.@Provence a écrit:@Pascal a écrit:C'est quand même bizarre qu'aux dernières présidentielles les profs aient majoritairement voté Hollande, mais que sur le terrain ça n'apparaisse pas. Quant à l'individualisme, il est parfois présent, mais certains enseignants sont aussi isolés quand des groupuscules de droite, de gauche ou d'extrême gauche (pas d'extrême-droite encore j'espère) verrouillent tout dans un établissement et qu'ils ne partagent pas leur manière d'être ou de penser.
Que viendrait faire la politique dans une salle des profs?
Tu as raison. Rendons obligatoire l'étude du latin afin de n'exclure personne, j'y suis très favorable.@Pascal a écrit:
Par exemple organiser des voyages scolaires uniquement pour les latinistes et les bilangues anglais. Ca me paraît excluant.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. D'ailleurs, il n'y a point de meilleur moyen pour mettre en vogue ou pour défendre des doctrines étranges et absurdes, que de les munir d'une légion de mots obscurs, douteux , et indéterminés. Ce qui pourtant rend ces retraites bien plus semblables à des cavernes de brigands ou à des tanières de renards qu'à des forteresses de généreux guerriers. Que s'il est malaisé d'en chasser ceux qui s'y réfugient, ce n'est pas à cause de la force de ces lieux-là, mais à cause des ronces, des épines et de l'obscurité des buissons dont ils sont environnés. Car la fausseté étant par elle-même incompatible avec l'esprit de l'homme, il n'y a que l'obscurité qui puisse servir de défense à ce qui est absurde. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- JPhMMDemi-dieu
Vous avez raison, merci.Cripure a écrit:Au sens propre, d'ailleurs, on n'explique pas un tableau, on tente de le lire, je pense. A la différence d'un texte, on peut appréhender le tableau d'un coup d'oeil dans son ensemble.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. D'ailleurs, il n'y a point de meilleur moyen pour mettre en vogue ou pour défendre des doctrines étranges et absurdes, que de les munir d'une légion de mots obscurs, douteux , et indéterminés. Ce qui pourtant rend ces retraites bien plus semblables à des cavernes de brigands ou à des tanières de renards qu'à des forteresses de généreux guerriers. Que s'il est malaisé d'en chasser ceux qui s'y réfugient, ce n'est pas à cause de la force de ces lieux-là, mais à cause des ronces, des épines et de l'obscurité des buissons dont ils sont environnés. Car la fausseté étant par elle-même incompatible avec l'esprit de l'homme, il n'y a que l'obscurité qui puisse servir de défense à ce qui est absurde. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ProvenceBon génie
Cripure a écrit:C'est une blague ?@Provence a écrit:Que viendrait faire la politique dans une salle des profs?![]()
On cause politique avec les collègues parce qu'on a envie, mais on n'a pas à en faire forcément état. Comme n'importe quel sujet, en fait.
Et je n'ai pas à adapter mon comportement ou mes idées (je vois mal comment, d'ailleurs) à un vote réel ou supposé.
- User5899Dieu de l'Olympe
Non mais ça, OK. Mais s'il y a un endroit où j'entends parler sans cesse de politique, c'est bien la sdp.@Provence a écrit:Cripure a écrit:C'est une blague ?@Provence a écrit:Que viendrait faire la politique dans une salle des profs?![]()
On cause politique avec les collègues parce qu'on a envie, mais on n'a pas à en faire forcément état. Comme n'importe quel sujet, en fait.
Et je n'ai pas à adapter mon comportement ou mes idées (je vois mal comment, d'ailleurs) à un vote réel ou supposé.
- YoKonokéNeoprof expérimenté
Oui entre parler de politique et utiliser la salle des profs pour faire campagne, il y a une nuance.
Y a bien d'autres sujets que la politique dans une sdp et tant mieux !
Y a bien d'autres sujets que la politique dans une sdp et tant mieux !
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«Plus on partage, plus on possède, voilà le miracle.» Léonard Nimoy
- ClodoaldNeoprof expérimenté
Tout est politique.
Le rapport homme-femme est politique aussi!
Le rapport homme-femme est politique aussi!
- thrasybuleProphète
Et je vous dis pas le rapport que j'ai avec mes copies. L'idée platonicienne du conflit politique y est résumée
- YoKonokéNeoprof expérimenté
Disons qu'il faut différencier politique et politicien.
J'ai un collègue qui confond, c'est insupportable
!
J'ai un collègue qui confond, c'est insupportable

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«Plus on partage, plus on possède, voilà le miracle.» Léonard Nimoy
- JPhMMDemi-dieu

Que je hais les corrections de copies.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. D'ailleurs, il n'y a point de meilleur moyen pour mettre en vogue ou pour défendre des doctrines étranges et absurdes, que de les munir d'une légion de mots obscurs, douteux , et indéterminés. Ce qui pourtant rend ces retraites bien plus semblables à des cavernes de brigands ou à des tanières de renards qu'à des forteresses de généreux guerriers. Que s'il est malaisé d'en chasser ceux qui s'y réfugient, ce n'est pas à cause de la force de ces lieux-là, mais à cause des ronces, des épines et de l'obscurité des buissons dont ils sont environnés. Car la fausseté étant par elle-même incompatible avec l'esprit de l'homme, il n'y a que l'obscurité qui puisse servir de défense à ce qui est absurde. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- JPhMMDemi-dieu
Différencier ou différentier ?
(Pardon, blague de matheux)
(Pardon, blague de matheux)
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
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