- BabayagaGrand sage
Oui, c'est ce qu'il faut faire maintenant. Moi je ne l'ai pas fait, mais si ça se trouve il fallait déjà le faire avant (j'ai eu 13, si ça se trouve j'aurais pu avoir plus ?).
Si j'avais dû me projeter sur un poste, ça n'aurait pas été à la com, c'était le dernier truc qui me faisait rêver.
Si j'avais dû me projeter sur un poste, ça n'aurait pas été à la com, c'était le dernier truc qui me faisait rêver.
- AnimusNiveau 2
CarmenLR a écrit:Tu sembles contente de ton choix.
Je trouve que faire le sacrifice de sa discipline, qu'il s'agisse des langues, de la littérature,de l'histoire, de la géographie, de la physique, bref, de sa discipline, est vraiment quelque chose dont il faut mesurer les conséquences pour voir si cela vaut la peine pour soi.
L'amour de sa discipline, ça compte souvent beaucoup...
En même temps, au collège et aussi au lycée, c'est quand même souvent le massacre (organisé ??) de cette fameuse discipline.
Une amie prof me parlant d'une oeuvre littéraire qu'elle adore, moi lui disant "alors tu vas l'étudier avec tes classes" et elle répondant "Sûrement pas, je ne veux pas qu'ils me la bousillent !", ça en dit long.
Et les dialogues ubuesques entre différentes disciplines: comment font les profs d'histoire pour ne pas avoir des crises cardiaques à répétition au vu de l'absence des savoirs les plus élémentaires ? eux à leur tour interrogeant les profs de français sur leur résilience face aux multiples problèmes de lecture-écriture....et nos collègues de maths éclatant de rire quand on leur demande si leurs élèves connaissent les tables de multiplication ou autres savoirs là aussi élémentaires,
etc etc etc
- faustine62Érudit
Lors de mon dernier passage au lycée (en 2017), on ne pouvait plus faire lire L'Ecole des femmes en 2nde (sauf aux classes de germanistes, ce qui représentait une seconde sur 8 dans ce lycée). Les autres classes de 2nde n'y comprenaient rien. Le problème c'est que matériellement je n'avais pas le temps de passer des heures à expliquer ce qui se passe scène après scène, en gros faire de la traduction littérale. Le sacrifice de sa discipline, on y est déjà, entièrement d'accord avec Animus.
- BabayagaGrand sage
Je n'ai pas eu ce genre de problème. Dans l'enseignement de l'allemand, ce que j'aimais c'était apprendre les bases et la grammaire, faire aimer la langue aux enfants et la faire pratiquer en organisant des échanges.
Je quitte l'Éducation nationale et avec de beaux souvenirs. Je me demande si je vais être radiée, maintenant que j'ai été intégrée au MTE ? Danstous les cas, j'ai encore un compte i-prof, et l'Éducation nationale continue de m'écrire
Je quitte l'Éducation nationale et avec de beaux souvenirs. Je me demande si je vais être radiée, maintenant que j'ai été intégrée au MTE ? Danstous les cas, j'ai encore un compte i-prof, et l'Éducation nationale continue de m'écrire
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Je ne gère plus la rubrique en accès restreint, adressez-vous à Hermione, merci
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Animus a écrit:CarmenLR a écrit:Tu sembles contente de ton choix.
Je trouve que faire le sacrifice de sa discipline, qu'il s'agisse des langues, de la littérature,de l'histoire, de la géographie, de la physique, bref, de sa discipline, est vraiment quelque chose dont il faut mesurer les conséquences pour voir si cela vaut la peine pour soi.
L'amour de sa discipline, ça compte souvent beaucoup...
En même temps, au collège et aussi au lycée, c'est quand même souvent le massacre (organisé ??) de cette fameuse discipline.
Une amie prof me parlant d'une oeuvre littéraire qu'elle adore, moi lui disant "alors tu vas l'étudier avec tes classes" et elle répondant "Sûrement pas, je ne veux pas qu'ils me la bousillent !", ça en dit long.
Et les dialogues ubuesques entre différentes disciplines: comment font les profs d'histoire pour ne pas avoir des crises cardiaques à répétition au vu de l'absence des savoirs les plus élémentaires ? eux à leur tour interrogeant les profs de français sur leur résilience face aux multiples problèmes de lecture-écriture....et nos collègues de maths éclatant de rire quand on leur demande si leurs élèves connaissent les tables de multiplication ou autres savoirs là aussi élémentaires,
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Peut-être, mais cela reste un contact avec une discipline que l'on chérit et défend et on peut préférer cela à la "note parapluie" qu'évoque @sophiette74 dans son premier message...
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Babayaga a écrit:Je n'ai pas eu ce genre de problème. Dans l'enseignement de l'allemand, ce que j'aimais c'était apprendre les bases et la grammaire, faire aimer la langue aux enfants et la faire pratiquer en organisant des échanges.
Je quitte l'Éducation nationale et avec de beaux souvenirs. Je me demande si je vais être radiée, maintenant que j'ai été intégrée au MTE ? Danstous les cas, j'ai encore un compte i-prof, et l'Éducation nationale continue de m'écrire
Oui, tu seras radiée. Le retour en arrière ne sera plus possible une fois que tu auras intégré ton nouveau corps. @lefteris évoque souvent cette question : pas de retour en arrière possible après cette étape et pas de double carrière ; ce n'est pas un détachement.
- AnimusNiveau 2
Babayaga, tu conseillerais quelle prépa ? j'hésite entre le CNED, a priori très inégal selon les matières, et l'IEPrépa de Saint Germain en ligne (plus cher).
Je suis aussi intéressée par les livres d'occase si récents.
Autre question: c'est quoi l'âge de la retraite pour les Irarques. Il faut y penser dans mon cas car j'ai déjà eu plusieurs vies, comme les chats.
Je suis aussi intéressée par les livres d'occase si récents.
Autre question: c'est quoi l'âge de la retraite pour les Irarques. Il faut y penser dans mon cas car j'ai déjà eu plusieurs vies, comme les chats.
- faustine62Érudit
Pour info il y a un groupe privé Facebook très réactif sur les IRA. https://m.facebook.com/groups/332412676943102/?multi_permalinks=1686323364885353%2C1685116938339329%2C1685112888339734%2C1685044708346552%2C1684329931751363¬if_t=group_activity¬if_id=1616281462334223&ref=m_notif
- Lisak40Expert spécialisé
Question hier à mes 2des pro : comment dit-on avoir (il a) en anglais. Aucun des relous qui répondent sans lever la main (16 sur 20) ne m'a sorti la bonne réponse : j'ai eu "be" et "go". 2 des gentils qui lèvent la main avant de répondre, ne le savaient pas mieux que les autres... Le pire ? Si je leur demande 5 min après comment on dit "être" (que je leur ai donc dit juste avant) ils vont me sortir "do", et non ils ne le font pas exprès pour m'agacer (pas tous en tous les cas). Ils sont en 2de ils ne connaissent pas les verbes de base. Donc l'amour de ma matière, comment dire... Et il y a peu je me suis faite piquer un 4 couleurs rose métallisé par des grands mecs de 1ere. Je ne cherche plus à comprendre, je sais juste que je dois partir : je pensais aux douanes, mais peut-être que l'IRA est aussi intéressant, à voir... Par contre, je vois que qqun a parlé ici du Minefi, ce sont pas plutôt des concours réservés aux matheux ?Animus a écrit:CarmenLR a écrit:Tu sembles contente de ton choix.
Je trouve que faire le sacrifice de sa discipline, qu'il s'agisse des langues, de la littérature,de l'histoire, de la géographie, de la physique, bref, de sa discipline, est vraiment quelque chose dont il faut mesurer les conséquences pour voir si cela vaut la peine pour soi.
L'amour de sa discipline, ça compte souvent beaucoup...
En même temps, au collège et aussi au lycée, c'est quand même souvent le massacre (organisé ??) de cette fameuse discipline.
Une amie prof me parlant d'une oeuvre littéraire qu'elle adore, moi lui disant "alors tu vas l'étudier avec tes classes" et elle répondant "Sûrement pas, je ne veux pas qu'ils me la bousillent !", ça en dit long.
Et les dialogues ubuesques entre différentes disciplines: comment font les profs d'histoire pour ne pas avoir des crises cardiaques à répétition au vu de l'absence des savoirs les plus élémentaires ? eux à leur tour interrogeant les profs de français sur leur résilience face aux multiples problèmes de lecture-écriture....et nos collègues de maths éclatant de rire quand on leur demande si leurs élèves connaissent les tables de multiplication ou autres savoirs là aussi élémentaires,
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- ElaïnaDevin
Lisak40 a écrit:Question hier à mes 2des pro : comment dit-on avoir (il a) en anglais. Aucun des relous qui répondent sans lever la main (16 sur 20) ne m'a sorti la bonne réponse : j'ai eu "be" et "go". 2 des gentils qui lèvent la main avant de répondre, ne le savaient pas mieux que les autres... Le pire ? Si je leur demande 5 min après comment on dit "être" (que je leur ai donc dit juste avant) ils vont me sortir "do", et non ils ne le font pas exprès pour m'agacer (pas tous en tous les cas). Ils sont en 2de ils ne connaissent pas les verbes de base. Donc l'amour de ma matière, comment dire...Animus a écrit:
Une amie prof me parlant d'une oeuvre littéraire qu'elle adore, moi lui disant "alors tu vas l'étudier avec tes classes" et elle répondant "Sûrement pas, je ne veux pas qu'ils me la bousillent !", ça en dit long.
Et les dialogues ubuesques entre différentes disciplines: comment font les profs d'histoire pour ne pas avoir des crises cardiaques à répétition au vu de l'absence des savoirs les plus élémentaires ? eux à leur tour interrogeant les profs de français sur leur résilience face aux multiples problèmes de lecture-écriture....et nos collègues de maths éclatant de rire quand on leur demande si leurs élèves connaissent les tables de multiplication ou autres savoirs là aussi élémentaires,
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Pour moi la question de "l'amour de la matière" est une fausse question. Je m'en fous de devoir reprendre des choses élémentaires avec des ados de 16 ans (après, je suis contente d'enseigner en milieu favorisé où les élèves vraiment à la rue sont globalement assez rares). Je m'en fous de devoir réexpliquer à certains que le roi c'est pas "Louis Ksive" mais "Louis Quatorze". D'ailleurs, chez nous, il y a clairement des classes de niveau, sans le dire, mais tu le sais très vite : t'as ceux qui ont la classe avec latin, ceux qui ont la classe avec chinois, ceux qui ont la classe avec euro... et les autres. L'autre jour, j'en parlais avec la CPE, qui me dit "mais bon on fait tourner, si tu veux, l'an prochain, on te donne la classe avec latin". Mais je m'en fous d'avoir la classe à latin, je veux bien la classe bulots, du moment qu'ils sont gentils. Je m'accommode très bien d'élèves qui en terminale placent la Russie et la Chine sur le continent africain (je ne déconne pas hein...), tant qu'ils sont un tant soit peu câblés et savent s'asseoir sur une chaise, écouter et tenter de réfléchir. L'amour de ma matière, il est là aussi. Ma foi, si j'ai réussi pendant quelques minutes à faire comprendre, un petit peu, les enjeux du naufrage de l'Ever Given à une petite terminale qui ne savait pas, un quart d'heure plus tôt, ce qu'était le canal de Suez, ça me va aussi.
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It took me forty years to realize this. But for guys like us... our lives aren't really our own. There's always someone new to help. Someone we need to protect. These past few years, I fought that fate with all I had. But I'm done fighting. It's time I accept the hand I was dealt. Too many people depend on us. Their dreams depend on us.
Kiryu Kazuma inYakuza 4 Remastered
Ma page Facebook https://www.facebook.com/Lire-le-Japon-106902051582639
- AnimusNiveau 2
Lisak40 a écrit:Question hier à mes 2des pro : comment dit-on avoir (il a) en anglais. Aucun des relous qui répondent sans lever la main (16 sur 20) ne m'a sorti la bonne réponse : j'ai eu "be" et "go". 2 des gentils qui lèvent la main avant de répondre, ne le savaient pas mieux que les autres... Le pire ? Si je leur demande 5 min après comment on dit "être" (que je leur ai donc dit juste avant) ils vont me sortir "do", et non ils ne le font pas exprès pour m'agacer (pas tous en tous les cas). Ils sont en 2de ils ne connaissent pas les verbes de base. Donc l'amour de ma matière, comment dire... Et il y a peu je me suis faite piquer un 4 couleurs rose métallisé par des grands mecs de 1ere. Je ne cherche plus à comprendre, je sais juste que je dois partir : je pensais aux douanes, mais peut-être que l'IRA est aussi intéressant, à voir... Par contre, je vois que qqun a parlé ici du Minefi, ce sont pas plutôt des concours réservés aux matheux ?Animus a écrit:CarmenLR a écrit:Tu sembles contente de ton choix.
Je trouve que faire le sacrifice de sa discipline, qu'il s'agisse des langues, de la littérature,de l'histoire, de la géographie, de la physique, bref, de sa discipline, est vraiment quelque chose dont il faut mesurer les conséquences pour voir si cela vaut la peine pour soi.
L'amour de sa discipline, ça compte souvent beaucoup...
En même temps, au collège et aussi au lycée, c'est quand même souvent le massacre (organisé ??) de cette fameuse discipline.
Une amie prof me parlant d'une oeuvre littéraire qu'elle adore, moi lui disant "alors tu vas l'étudier avec tes classes" et elle répondant "Sûrement pas, je ne veux pas qu'ils me la bousillent !", ça en dit long.
Et les dialogues ubuesques entre différentes disciplines: comment font les profs d'histoire pour ne pas avoir des crises cardiaques à répétition au vu de l'absence des savoirs les plus élémentaires ? eux à leur tour interrogeant les profs de français sur leur résilience face aux multiples problèmes de lecture-écriture....et nos collègues de maths éclatant de rire quand on leur demande si leurs élèves connaissent les tables de multiplication ou autres savoirs là aussi élémentaires,
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Il y a un fil dédié à ce concours pas réservé aux seuls profs de maths puisque différentes options hors maths dont économie, compta, plusieurs catégories en droit.
https://www.neoprofs.org/t113570-envie-de-changement-pour-integrer-un-ministere-lie-a-l-economie-ou-a-la-finance?highlight=envie+de
- AnimusNiveau 2
Elaïna a écrit:Lisak40 a écrit:Question hier à mes 2des pro : comment dit-on avoir (il a) en anglais. Aucun des relous qui répondent sans lever la main (16 sur 20) ne m'a sorti la bonne réponse : j'ai eu "be" et "go". 2 des gentils qui lèvent la main avant de répondre, ne le savaient pas mieux que les autres... Le pire ? Si je leur demande 5 min après comment on dit "être" (que je leur ai donc dit juste avant) ils vont me sortir "do", et non ils ne le font pas exprès pour m'agacer (pas tous en tous les cas). Ils sont en 2de ils ne connaissent pas les verbes de base. Donc l'amour de ma matière, comment dire...Animus a écrit:
Une amie prof me parlant d'une oeuvre littéraire qu'elle adore, moi lui disant "alors tu vas l'étudier avec tes classes" et elle répondant "Sûrement pas, je ne veux pas qu'ils me la bousillent !", ça en dit long.
Et les dialogues ubuesques entre différentes disciplines: comment font les profs d'histoire pour ne pas avoir des crises cardiaques à répétition au vu de l'absence des savoirs les plus élémentaires ? eux à leur tour interrogeant les profs de français sur leur résilience face aux multiples problèmes de lecture-écriture....et nos collègues de maths éclatant de rire quand on leur demande si leurs élèves connaissent les tables de multiplication ou autres savoirs là aussi élémentaires,
etc etc etc
Pour moi la question de "l'amour de la matière" est une fausse question. Je m'en fous de devoir reprendre des choses élémentaires avec des ados de 16 ans (après, je suis contente d'enseigner en milieu favorisé où les élèves vraiment à la rue sont globalement assez rares). Je m'en fous de devoir réexpliquer à certains que le roi c'est pas "Louis Ksive" mais "Louis Quatorze". D'ailleurs, chez nous, il y a clairement des classes de niveau, sans le dire, mais tu le sais très vite : t'as ceux qui ont la classe avec latin, ceux qui ont la classe avec chinois, ceux qui ont la classe avec euro... et les autres. L'autre jour, j'en parlais avec la CPE, qui me dit "mais bon on fait tourner, si tu veux, l'an prochain, on te donne la classe avec latin". Mais je m'en fous d'avoir la classe à latin, je veux bien la classe bulots, du moment qu'ils sont gentils. Je m'accommode très bien d'élèves qui en terminale placent la Russie et la Chine sur le continent africain (je ne déconne pas hein...), tant qu'ils sont un tant soit peu câblés et savent s'asseoir sur une chaise, écouter et tenter de réfléchir. L'amour de ma matière, il est là aussi. Ma foi, si j'ai réussi pendant quelques minutes à faire comprendre, un petit peu, les enjeux du naufrage de l'Ever Given à une petite terminale qui ne savait pas, un quart d'heure plus tôt, ce qu'était le canal de Suez, ça me va aussi.
Heureusement qu'on est nombreux/ses comme ça, mais les "gentils" élèves se trouvent submergés par d'autres, il en suffit d'un ou deux pour pourrir une classe. Nos classes reflètent & amplifient la société actuelle et toutes les tensions, ce n'est pas évident, je ne sais pas comment certains collègues font. Autre problème réel, le salaire, surtout comparé aux autres catégories A; enfin, rien de très nouveau, cela a déjà été dit et redit.
Je repars préparer un concours et suis dispo pour échanger sur les possibilités et/ ou travailler en binôme. Merci ++ pour l'info facebook.
- CarmenLRNeoprof expérimenté
@elaïna, pour moi, ce que tu racontes relève de l'attachement à sa discipline, justement.
- BabayagaGrand sage
Animus a écrit:Babayaga, tu conseillerais quelle prépa ? j'hésite entre le CNED, a priori très inégal selon les matières, et l'IEPrépa de Saint Germain en ligne (plus cher).
Je suis aussi intéressée par les livres d'occase si récents.
Autre question: c'est quoi l'âge de la retraite pour les Irarques. Il faut y penser dans mon cas car j'ai déjà eu plusieurs vies, comme les chats.
Je suis passée par l'IPAG et ils étaient très bien. Je sais qu'ils font aussi en distanciel et que ça continue d'être bien.
Pour ma part j'ai passé une LAP (licence d'administration publique) pendant mon congé de formation professionnelle et ça m'a vraiment aidée, mais j'étais "surqualifiée", tout ça n'était pas indispensable.
Pour les livres d'occase, il faut se méfier, ceux que j'ai ne sont déjà plus d'actualité, car les matières peuvent changer d'une année sur l'autre, même si les fondamentaux demeurent.
L'âge de la retraite est la même pour tous les fonctionnaires, et d'ailleurs je pense qu'on est alignés sur le droit du travail. Ça aussi ça évolue, de mémoire on est à 42 annuités, départ possible à 62 ans avec décote, départ normal à 67 ans en fonction de ton année de naissance. Plus tu es âgé, plus tu peux partir tôt. Mais c'est vraiment très approximatif, tu trouveras bien plus détaillé sur vie.publique par exemple (qui est une mine pour ma prépa concours, au passage).
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Je ne gère plus la rubrique en accès restreint, adressez-vous à Hermione, merci
- CarmenLRNeoprof expérimenté
42 annuités, actuellement, c'est si vous êtes né(e) entre 1961 et 1963. Sinon, c'est plus, et avec la décote qui va avec, of course...
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F35063
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F35063
- AnimusNiveau 2
Merci pour vos réponses, c'est très utile ! Je m'interroge sur quel type de voie choisir pour le concours puisque je peux choisir parmi les 3 (externe/interne/ 3e c.). Les écrits sont identiques mais les taux d'admission sont plus élevés en externe et plus faibles en interne ; la différence peut aussi jouer à l'oral ?
La formation à l'IPAG ne démarre pas tout de suite, il faut d'abord s'inscrire courant avril, donc cela risque de traîner, contrairement au CNED.
La formation à l'IPAG ne démarre pas tout de suite, il faut d'abord s'inscrire courant avril, donc cela risque de traîner, contrairement au CNED.
- Lola-ValérieNiveau 9
Les inscriptions sont ouvertes depuis quelques jours pour la prochaine session ! J'ai l'impression qu'il y avait moins d'enseignants sur ces dernières sessions que les années précédentes, à Lille en tout cas.
Animus, ta réponse date, mais je te confirme que l'admission est sûrement plus aisée en interne.
Animus, ta réponse date, mais je te confirme que l'admission est sûrement plus aisée en interne.
- BabayagaGrand sage
J'ai l'impression que ça s'est inversé d'ailleurs. Au niveau des statistiques, avant il y avait beaucoup plus de chances d'avoir l'externe, mais ce n'est plus le cas. Mais je ne parle que de chiffres car je n'ai pas de visuel sur le niveau des candidats à l'oral, contrairement à Lola-Valérie.
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Je ne gère plus la rubrique en accès restreint, adressez-vous à Hermione, merci
- Lola-ValérieNiveau 9
La réforme du concours change quand même beaucoup la donne, l’épreuve de QCM est quasiment une épreuve éliminatoire pour l’interne et la 3e voie et ceux qui n’ont pas la note éliminatoire vont à l’oral. A l’inverse les internes sont un peu mieux préparés à ce type d’exercice. Pour l’oral je pense que les internes sont aussi moins bien préparés, même si les externes sont complètement formatés et rarement très convaincants. Dans tous les cas c’est hallucinant le nombre de candidats qui arrivent les mains dans les poches.
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