Le Neo-défi lecture 2018 - Ici, on papote !

Miettes a écrit:

fifi51 a écrit:

Miettes a écrit:
Pour le défi 36, le feu, j'entame Le Feu de Barbusse. Quel à propos ! C'est beau, pour l'instant. J'avais peur de m'ennuyer car les récits de guerre ne sont pas ma tasse de thé, mais ici, on entend les soldats, on les voit et les sent.

Quand tu l'auras fini, je t'invite à rechercher ou lire ce qu'en pense Norton Cru.

J'ai fait une petite recherche mais n'ai pas trouvé de texte proprement dit, juste des paroles rapportées. Tu aurais une référence à me conseiller ? Car si je comprends bien ses accusations, il accuse Barbusse de déformer la réalité pour "faire des effets". Je n'ai pas été soldat en 14, alors je peux difficilement en juger, mais Barbusse a tout de même vécu ce dont il parle, et je ne vois pour l'instant pas d'héroïsation dans ce qu'il raconte. Mais je connais mal le chef d'accusation de Norton Cru !

J'avais lu un compte rendu assez détaillé (idéalement, il faudrait que lise 'Témoins'). Je pense que je relirai le Feu, mais aussi peut être le Colonel Campagne (voire Gabriel Chevalier la peur ou Jean Galtier Boissière la fleur au fusil).
Un peu en vrac:
Il y a de grosses invraisemblances dans certains épisodes, il pointait ,également, une ignorance manifeste de la part de l'auteur de certaines situations (ce qui le faisait douter de la participation de Barbusse au front). Il reprochait aussi le manque de profondeur psychologique des personnages.
Le meilleur résumé semble être celui ci: www.memoire-ardeche.com/libre_acces/101_barbe.pdf

Oui, vous êtes en train de pulvériser le record de Dimka, il vous faudrait presque un défi du genre 1 livre = 1 jour !

Moi, j'avance bien, même si bien moins vite quand même, je suis venue à bout de mon livre audio (défi 43), que j'ai tout simplement détesté, La bibliothèques des cœurs cabossés de Katarina Bivald, choisi un peu trop au hasard, et qui même pour un livre de chicklit ou feelgood, est écrit avec les pieds. À fuir !

Pour le défi 42 (dont le titre est une question), j'ai lu une petite nouvelle de littérature de jeunesse avec ou sans celte ? de Yann Mens, où comment la découverte d'un manuscrit sur leurs ancêtres mène à une mini-guerre civile entre deux communes bretonnes. J'ai bien aimé.

Pour le défi 41(catastrophe naturelle), je suis restée dans la littérature de jeunesse (ou "ado") avec Les vivants de Matt de la Pena, cela suit l'histoire d'un jeune qui travaille sur un paquebot qui fait face à un tsunami après la survenue du "big one" en Californie avec en toile de fond une maladie mortelle et mystérieuse qui se propage dans la région. Je me suis laissée prendre par la lecture, j'ai même lu avec plaisir la suite Les proies. Ce n'est pas de la grand littérature, certes, mais pour le genre, c'est plutôt réussi.

Pour le défi 40 (date dans le titre), j'ai lu Montana 1948 de Larry Watson, où comment une famille est déchirée par les révélations d'une jeune indienne sur les agissements de l'un de leurs membres. J'ai bien aimé.

Pour le défi 39 (BD historique), j'ai lu le premier tome de 14-18, le petit soldat, il faut que je me trouve les suites.

Pour le défi 38 (né dans l'empire colonial), j'ai choisi un livre de Kipling, Au bout du voyage, difficile de me faire une impression, je suis un peu mitigée.

Pour le défi 37 (science), j'ai lu Mathématique du crime de Guillermo Martinez, avec pour toile de fond Oxford, un tueur en série envoie des énigmes mathématiques à la police tout en commettant ses crimes. Finalement assez convenu et parfois trop explicatif. Mitigée, ce n'est ni bon ni mauvais.

Pour le défi 36 (feu), j'ai prévu de lire la deuxième partie de L'épreuve, de James Dashner, La terre brûlée.

Pour le défi 14 : Le koala tueur et autres histoires du bush de Kenneth Cook, 1986 (205 pages). Un bon moment de lecture, facile et sympathique.
Livre qui « réchauffe » au sens propre, un peu : ces nouvelles ont toutes pour cadre le bush australien et on y rencontre toutes sortes de bestioles exotiques.
Livre qui « réchauffe » au sens figuré, c’est-à-dire qui fait se sentir bien : oui car ces histoires sont amusantes, plaisamment racontées. Mon conjoint les a jugées un peu répétitives mais je trouve au contraire que la répétition des types de situation participe au comique : le narrateur n’a vraiment pas de chance...

J'ai lu uniquement celle sur le koala : un bon moment de poilade, effectivement

Pour le défi 50. Un livre qui parle des bibliothèques, j'hésitais, j'ai écarté Joshua HAMMER, The Bad-Ass Librarians of Timbuktu: And Their Race to Save the World’s Most Precious Manuscripts (2016), Genevieve COGMAN, The Invisible Library (2014), Mikhail ELIZAROV, The Librarian (2015) qui me tombaient des mains (dommage, je voulais vraiment lire celui sur les manuscrits de Tombouctou, mais le style était insupportable). J'ai fini par commencer le roman policier de John ROWLAND, Murder in the Museum (1938), qui se déroule en grande partie dans la British Library -- autrefois installée à l'intérieur même du British Museum.

RogerMartin a écrit:Pour le défi 50. Un livre qui parle des bibliothèques, j'hésitais, j'ai écarté Joshua HAMMER, The Bad-Ass Librarians of Timbuktu: And Their Race to Save the World’s Most Precious Manuscripts (2016), Genevieve COGMAN, The Invisible Library (2014), Mikhail ELIZAROV, The Librarian (2015) qui me tombaient des mains (dommage, je voulais vraiment lire celui sur les manuscrits de Tombouctou, mais le style était insupportable). J'ai fini par commencer le roman policier de John ROWLAND, Murder in the Museum (1938), qui se déroule en grande partie dans la British Library -- autrefois installée à l'intérieur même du British Museum.

Alberto Manguel est ton ami, et il a le bon goût d'écrire en anglais (The Library at Night).

Caspar a écrit:

RogerMartin a écrit:Pour le défi 50. Un livre qui parle des bibliothèques, j'hésitais, j'ai écarté Joshua HAMMER, The Bad-Ass Librarians of Timbuktu: And Their Race to Save the World’s Most Precious Manuscripts (2016), Genevieve COGMAN, The Invisible Library (2014), Mikhail ELIZAROV, The Librarian (2015) qui me tombaient des mains (dommage, je voulais vraiment lire celui sur les manuscrits de Tombouctou, mais le style était insupportable). J'ai fini par commencer le roman policier de John ROWLAND, Murder in the Museum (1938), qui se déroule en grande partie dans la British Library -- autrefois installée à l'intérieur même du British Museum.

Alberto Manguel est ton ami, et il a le bon goût d'écrire en anglais  (The Library at Night).

Mais hélas, déjà lu , et j'essaie de ne pas faire trop de relectures.

Pour le défi 29 "Un livre écrit par un auteur allemand du XXe siècle", j'ai lu - grâce à Babarette qui m'a rappelé qu'il était dans ma PAL - Le nazi et le barbier d'Edgar Hilsenrath. J'aime beaucoup Hilsenrath. De lui, j'avais déjà lu Fuck America et Orgasme à Moscou, et j'avais acheté Le nazi et le barbier dans la foulée, mais je l'ai gardé des années sans l'ouvrir. Ce fut l'occasion grâce au défi ! J'y ai trouvé quelques longueurs mais j'ai quand même beaucoup aimé.

Défi 8 ( conseillé par un autre participant ) et défi 30 ( roman graphique)
Le journal d'Anne Franck en BD.

J'ai redécouvert ce texte grâce à cette BD et je me suis rendue compte que la BD permet de se rappeler que ce sont les mots d'une jeune fille de 14 ans, même si elle est très mûre pour son âge ( on grandit vite, quand on vit une épreuve de ce genre...).
Ma fille de 15 ans l'a beaucoup apprécié également ( elle avait déjà lu le journal auparavant et elle a dévoré cette version).

Je ne suis pas très BD, mais j'ai apprécié les différentes techniques employées qui permettent de casser le rythme classique du genre.

Merci Agrippina furiosa de cette belle découverte.

Mamzelle Libellule a écrit:Pour le défi 29 "Un livre écrit par un auteur allemand du XXe siècle", j'ai lu - grâce à Babarette qui m'a rappelé qu'il était dans ma PAL - Le nazi et le barbier d'Edgar Hilsenrath. J'aime beaucoup Hilsenrath. De lui, j'avais déjà lu Fuck America et Orgasme à Moscou, et j'avais acheté Le nazi et le barbier dans la foulée, mais je l'ai gardé des années sans l'ouvrir. Ce fut l'occasion grâce au défi ! J'y ai trouvé quelques longueurs mais j'ai quand même beaucoup aimé.

Quelqu'un lit grâce à moi? Je suis une bonne bibliothécaire alors.

Je lirai Fuck America plus tard, je voulais lire celui-là en fait, mais il n'y avait que Le Nazi et le Barbier à la bibliothèque. Je ne sais pas si je les achèterai en français, j'aimerais mieux les trouver en allemand.

Prochain sur la pile: L'Archipel du Goulag, il y aura moins de joie de vivre... Je pense que je vais en lire un autre en même temps.

J'ai fini de lire le La vie selon Juan Salvador, palmipède d'Uruguay et je suis définitivement déçue!
Il s'agit d'un gars qui part bosser en Argentine et qui recueille un manchot lors d'un voyage touristique en Uruguay.
J'envisageais de valider le défi 14 (qui réchauffe) mais non, il n'y a rien de réchauffant dans ce récit. Défi 16? Qui évoque la liberté? Bof...en fait, ce livre est inclassable!
Je vais voir si je peux trouver un autre livre pour valider ces défis!
J'attaque un Thilliez pour le défi 13 qui donne froid. Je ne devrais pas être déçue, j'adore cet auteur qui me donne toujours des sueurs froides dans le dos!

Babarette a écrit:Quelqu'un lit grâce à moi? Je suis une bonne bibliothécaire alors.

Oui, et merci beaucoup ! Je n'aurais pas su quoi lire pour ce défi si je n'avais pas vu ton post
Pour le défi 46, "Un livre dont la couverture est bleue ou rouge", j'ai lu un roman graphique de Jonathan Ames, Alcoolique, que j'avais vu passer sur Babelio. Je n'étais pas spécialement intéressée par les romans graphiques, mais depuis que j'ai lu Pyongyang de Guy Delisle, j'ai changé de point de vue sur ce genre. J'ai beaucoup aimé le roman de Jonathan Ames. Le narrateur, Jonathan A., raconte comment il a commencé à boire (très jeune), comment l'alcool, puis les drogues, sont devenus une addiction, comment il a tenté à plusieurs reprises de s'en sortir... le tout avec beaucoup d'auto-dérision. C'est vraiment très intéressant.


Pour le défi 48, "Un récit de déportation", je viens de commencer Si c'est un homme de Primo Levi.

Pour le défi 23 (un livre qui n'a pas été adapté au cinéma ni à la télévision) : Danser d’Astrid Eliard, 2016 (184 pages).
Un roman facile à lire et assez touchant. Trois narrateurs alternent, trois adolescents (deux filles et un garçon) internes à l’école de danse de Paris ; ils racontent leur passion de la danse, le dur apprentissage à base de répétition, l’espoir (incertain) d’un avenir, mais aussi leurs relations avec les autres internes (amitiés, premiers émois) et avec leurs parents (et la façon dont chacun vit cet éloignement). La fin est poignante.

https://www.neoprofs.org/t115438-neo-defi-lecture-2018-listes-des-participants#4310267

Ce weekend, je me suis plongée dans la lecture de Murena, tomes 1 à 9. Une série qui retrace l'arrivée de Néron au pouvoir grâce (à cause?) des meurtres commis par sa mère.
J'ai beaucoup aimé. Les dessins sont chouettes, l'histoire bien menée, et un petit lexique permet de mieux comprendre les subtilités de l'Histoire. Il ne me reste plus qu'à me procurer le tome 10!

L'invasion divine, de Philip K. Dick : Dieu se réincarne dans un jeune garçon pour sauver une nouvelle fois le monde des griffes de Bélial, l'Adversaire. Herb Asher est chargé d'accompagner la venue de l'enfant sur Terre et découvre avec lui que le monde n'est qu' une illusion toute entière livrée au Mal.
Le récit est évidemment plus riche et intéressant que mon modeste résumé, je suis ravie d'approfondir ma connaissance de l’œuvre du maitre de la SF mystique.

Mamzelle Libellule a écrit:

Babarette a écrit:Quelqu'un lit grâce à moi? Je suis une bonne bibliothécaire alors.

Oui, et merci beaucoup ! Je n'aurais pas su quoi lire pour ce défi si je n'avais pas vu ton post
Pour le défi 46, "Un livre dont la couverture est bleue ou rouge", j'ai lu un roman graphique de Jonathan Ames, Alcoolique, que j'avais vu passer sur Babelio. Je n'étais pas spécialement intéressée par les romans graphiques, mais depuis que j'ai lu Pyongyang de Guy Delisle, j'ai changé de point de vue sur ce genre. J'ai beaucoup aimé le roman de Jonathan Ames. Le narrateur, Jonathan A., raconte comment il a commencé à boire (très jeune), comment l'alcool, puis les drogues, sont devenus une addiction, comment il a tenté à plusieurs reprises de s'en sortir... le tout avec beaucoup d'auto-dérision. C'est vraiment très intéressant.




Pour le défi 48, "Un récit de déportation", je viens de commencer Si c'est un homme de Primo Levi.

Ravie de rendre service!

miss sophie a écrit:Pour le défi 23 (un livre qui n'a pas été adapté au cinéma ni à la télévision) : Danser d’Astrid Eliard, 2016 (184 pages).
Un roman facile à lire et assez touchant. Trois narrateurs alternent, trois adolescents (deux filles et un garçon) internes à l’école de danse de Paris ; ils racontent leur passion de la danse, le dur apprentissage à base de répétition, l’espoir (incertain) d’un avenir, mais aussi leurs relations avec les autres internes (amitiés, premiers émois) et avec leurs parents (et la façon dont chacun vit cet éloignement). La fin est poignante.

https://www.neoprofs.org/t115438-neo-defi-lecture-2018-listes-des-participants#4310267

Ca me semble bien sympatique, tu me donnes envie!

J'ai lu (une partie) de l'Archipel du Goulag. Trop intense pour que je puisse tout lire d'un coup. Pour le défi "un livre dont l'action se passe au Moyen-Âge, je me lance dans Ivanhoé.

J'ai lu la Genèse pour la catastrophe naturelle, mais je ne suis pas très satisfaite de mon choix, et Le Meilleur des mondes pour le défi sur la science.

Défi presque bouclé, mais je continuerai sans doute de participer.

Babarette a écrit:
Défi presque bouclé, mais je continuerai sans doute de participer.

Dimka : Tu ne joues pas cette année ?

Oh, c'est plus facile quand on est au chômage. En ce moment, je suis ralentie parce que je dors près de douze heures par nuit, et encore souvent dans la journée. Mais j'ai besoin de lecture.

J'espère que tu vas vite trouver du travail.

Un conseil pour le livre sur les bibliothèques ?

Le Nom de la rose d'Umberto Eco, Fictions, de Borges et j'ai d'autres idées si tu veux un livre plus documentaire.

Babarette a écrit:Le Nom de la rose d'Umberto Eco, Fictions, de Borges et j'ai d'autres idées si tu veux un livre plus documentaire.

Pourquoi pas ? 
Je note le Borges. Le nom de la rose me tente moins. Merci !

Les Bibliothèques de Pierre Carbonne
Les Bibliothèques de Bertrand Alix
La Sagesse du bibliothécaire de Melot

Et je t'en trouverai d'autres quand je serai un poil moins fatiguée.

Babarette, tu es épatante ! En revanche tu ne mets pas souvent à jour ta liste sur le défi cinéma

Fini Le Feu, qui complète donc le défi 36. Un très beau et très fort moment de lecture, qui permet bien mieux que ne le surent mes cours d'Histoire de comprendre ce qu'était le quotidien des soldats de 14 (ou, mieux, de comprendre qu'on ne peut pas comprendre ; très beau passage sur un soldat face à une femme de l'arrière, qui lui dit "que ça doit être beau, les charges !" ; lui à ce moment comprend qu'il ne pourra jamais dire ce qu'il a vécu, qu'il existe une incommunicabilité complète entre ceux qui ont vécu et les autres ; cela préfigure le constat de beaucoup de récits concentrationnaires, une trentaine d'années plus tard). Dans mon édition se trouvent aussi des extraits des carnets rédigés par Barbusse pendant la guerre, qui permettent de comprendre la genèse de son récit et ses procédés : il condense, dans des chapitres thématiques, les différents aspects de la guerre. Cela le mène parfois à mêler un épisode et un autre, un caractère observé avec un fait rapporté, pour plus de saillance. Mais aucune héroïsation, et une lourde insistance sur ce fait : la guerre est pathétique, les soldats vivent dans la saleté, le froid et la tristesse, quand les tranchées ne sont pas rongées par l'humidité on y trouve des cadavres pourris, et surtout, surtout, cette guerre ne sert à rien et les soldats le savent. Un bel effort également pour rapporter les particularités régionales des français parlés par les différents hommes en présence, ch'ti, méridional...

J'entame le défi 24 (un livre d'un auteur italien) avec Le Mépris, d'Alberto Moravia.

Défi 1 (un livre de fantasy que vous n'avez jamais lu) rempli avec un cadeau de Noël : La belle sauvage (La trilogie de la poussière t.1) de Philip Pulman, 2017 (517 pages).
« Prequel » de l’immense et merveilleux (dans tous les sens du terme) A la croisée des mondes (Les royaumes du Nord etc) : on remonte à l’époque où Lyra n’était qu’un bébé, déjà cerné par de multiples dangers dans une société très autoritaire, au cÅ“ur de l’affrontement entre différentes factions. Le personnage principal est un jeune garçon aux nombreuses qualités, avide de savoir et habile de ses mains, qui va tout faire pour la protéger. Une fois entré dans l’histoire, on ne la lâche plus. A ne lire qu’après A la croisée des mondes pour ne pas « spoiler » des éléments que l’on découvrait au cours de ce roman et qui sont révélés ici d’emblée.

fifi51 : je n'avais pas vu ta réponse, merci ! Je vais aller lire le lien.

fini Le Mépris, Moravia pour le défi 24 (un auteur italien) une belle expérience de lecture. On avance comme pour une enquête en compagnie de cet homme, humble Ulysse, afin de comprendre pourquoi sa femme s'est mise soudainement à le mépriser. Roman psychologique critique de la psychologie, balançant entre le mythe et la modernité et avouant détester ce balancement...

Livre de l'année de vos vingt ans : JB Pouy, La Belle de Fontenay. Et comme quand j'avais vingt ans, le héros cherche une adresse sur le Minitel.