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Pointàlaligne
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par Pointàlaligne Mar 20 Oct 2020, 17:17
Clecle78 a écrit:En attendant mon fils qui venait tout juste d'ouvrir son bar à jeux en respectant complètement les gestes barrière est obligé de fermer et acculé à la ruine.  Il n'a droit à AUCUNE aide. Je suis révoltée.

C'est terrible, Clecle78.
Est-ce qu'il a le droit d'ouvrir une boutique en ligne avec son stock ? Des Néos pourraient le soutenir en y faisant leurs achats pour les fêtes...
BOU74
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par BOU74 Mar 20 Oct 2020, 17:23
Suite de l'affaire des masques :leur usage doit être suspendu par principe de précaution.
https://reporterre.net/Masques-toxiques-Le-principe-de-precaution-impose-le-retrait
vyneil
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par vyneil Mar 20 Oct 2020, 17:32
Que fait l'Etat quand il ne parvient plus à surveiller les clusters ?  ...  Il appelle l'ARS en renfort pour lui enlever cette belle épine du pied. Magie, on nous a bassiné avec ces fichus clusters depuis des mois mais en fait, ça ne sert à rien puisqu'ils représentent une proportion moindre des nouveau cas.
Éducation - Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale - Page 20 999940070

Point épidémiologique de l'ARS :
"Depuis le 09 mai 2020, un total de 4 365 clusters dont 684 en établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) ont été enregistrés dans la base nationale. Parmi eux 1 496 (34%) sont en cours d’investigation. L’ensemble des clusters inclut 50 550 cas (moins de 10% des cas diagnostiqués)."
Source : Point épidémiologique hebdomadaire du 15 octobre 2020 publié par Santé Publique France.

Et si au sortir des vacances de Toussaint les contaminations baissent un peu, on nous dira que c'est grâce au couvre-feu ? Éducation - Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale - Page 20 1665347707
Clecle78
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par Clecle78 Mar 20 Oct 2020, 17:55
Pointàlaligne a écrit:
Clecle78 a écrit:En attendant mon fils qui venait tout juste d'ouvrir son bar à jeux en respectant complètement les gestes barrière est obligé de fermer et acculé à la ruine.  Il n'a droit à AUCUNE aide. Je suis révoltée.

C'est terrible, Clecle78.
Est-ce qu'il a le droit d'ouvrir une boutique en ligne avec son stock ? Des Néos pourraient le soutenir en y faisant leurs achats pour les fêtes...
Pour l'instant il a un sursis de son propriétaire mais il faudra rembourser et si il ne peut réouvrir rapidement c'est fichu...Il doit aussi ouvrir deux salles d'escape game, j'espère vraiment que la situation va s'améliorer mais je doute de l'efficacité des mesures et si efficacité il y a je pense que ce sera plus dû à la fermeture des écoles que des cafés effectivement.
Albert Jarl
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par Albert Jarl Mar 20 Oct 2020, 21:04
vyneil a écrit:
Et si au sortir des vacances de Toussaint les contaminations baissent un peu, on nous dira que c'est grâce au couvre-feu ? Éducation - Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale - Page 20 1665347707

ça c'est couru d'avance mais je me dis que la ficelle est grosse quand même.

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monseigneur
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par monseigneur Mar 20 Oct 2020, 21:12
BOU74 a écrit:Suite de l'affaire des masques :leur usage doit être suspendu par principe de précaution.
https://reporterre.net/Masques-toxiques-Le-principe-de-precaution-impose-le-retrait

Apparemment c'est fait.
"le ministère de l’Education nationale a suspendu ce mardi 20 octobre la distribution aux enseignants des masques de la marque Dim, que le site Reporterre accuse d’être traités avec un produit toxique, en attendant les résultats d’une expertise, selon un syndicat et le gouvernement."
Article du Huffington Post France
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chmarmottine
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par chmarmottine Mar 20 Oct 2020, 21:38
Si l’on doutait encore que les autorités misent -sans le dire franchement- sur une stratégie de l’immunité collective face au Covid 19 dans l’attente d’un vaccin ou d’un traitement, la décision de ne pas masquer 4.7 millions d’enfants de 6-11 ans à l’école, encouragés à s’entasser sans masque dans des classes closes, souvent non aérées et surchargées[1], face à des enseignants pour le moins anxieux, a le mérite de lever l’ambiguïté.

Il faut porter au crédit de la Société Française de Pédiatrie d’avoir provoqué sur ces sujets un retournement spectaculaire de l’opinion française qui, à l’issue du confinement, était tétanisée par la crainte de voir les enfants se contaminer. Face aux parents en état d’anxiété généralisée, refusant de renvoyer leur progéniture à l’école malgré les désastres psychosociaux et sanitaires provoqués par la fermeture des établissements, le professeur Robert Cohen, vice-président de cette Société savante, a scandé, à travers des formules-choc: un, que les enfants étaient exposés mais peu touchés par la maladie en raison de leurs bonnes défenses naturelles ; deux, qu’ils n’étaient presque jamais gravement malades; trois qu’ils étaient très peu propagateurs du virus entre eux et envers les adultes

Le plus singulier dans cette affaire, est que l’étude (celle « que tout le monde attendait » titre le Parisien, celle qui permet à la connaissance « de faire un pas de géant » selon un membre du Haut Conseil de la Santé publique, citée par Le point) sur laquelle s’est fondée la parole de la société française de pédiatrie et qui a servi aussi de support pour une décision publique touchant plus de 12,5 millions d’enfants, n’a jamais été publiée dans une revue scientifique. De sorte qu’aucun collège de pairs n’a pu donner d’avis sur la méthodologie ou les enseignements tirés. Les chiffres ont été communiqués directement au grand public par le vice-président de la Société française de pédiatrie qui en faisait le commentaire dans la presse sous forme d’interviews sans contradicteurs, les médias jouant un simple rôle de caisse de résonnance[7]. D’où la nécessité d’aller se pencher d’un peu plus près sur ladite recherche dont un résumé est accessible, en anglais, sur le site MedRxiv.

Or, en raison du confinement, l’étude française n’a pas pu bâtir de modèle sur cette dynamique. Pourtant elle change radicalement l’évaluation de la contagiosité non pas de l’enfant, sorti de son contexte social mais des enfants en tant que groupe -où le virus circule à forte intensité en raison de la multiplicité des interactions- et groupe qui contamine d’autres générations plus fragiles, et notamment celle des seniors.

Les chercheurs américains ont d’ailleurs commencé à tirer le signal d’alarme: "Les comportements habituels des jeunes enfants et les endroits clos dans les écoles et les garderies posent la question d'une propagation du SARS-CoV-2 dans cette population à mesure que les mesures sanitaires s'assouplissent", estiment-ils. Remarque contestée par les auteurs des deux études françaises de référence, Robert Cohen et Arnaud Fontanet qui estiment que les propos des chercheurs américains sont « exagérés ».

Pourtant, la même question se pose avec autant de force pour les 6-11 ans en France puisqu’ils évoluent en lieux clos sans masques. Et la propagation serait d’autant plus rapide qu’elle est invisible, et donc incontrôlable : les enfants n’étant pas malades, ils ne sont pas testés. Leur taux de prévalence officiel, calculé par Santé Publique France, est donc en valeur absolue totalement sous-estimé et toujours en deçà des autres catégories de la populations qui sont elles testées à grande échelle. Mais cela ne reflète aucunement la réalité des contaminations dans le groupe enfants.

Toutes les conditions paraissent ainsi réunies pour qu’il existe en réalité une contamination mécanique et silencieuse, toujours plus rapide à mesure que le virus circule dans la société[20]. Plusieurs indicateurs en témoignent. Plus de 2100 classes ont été fermées depuis la rentrée scolaire. Au 1er octobre, la plus forte concentration de clusters se trouvait dans le milieu scolaire et universitaire (139 sur 498 au total) mais Santé Publique France ne donne pas d’indication sur la répartition entre élèves d’une part et étudiants de l’autre. Toutefois, indique France-Info, « sur l'ensemble de l'Ile-de-France, on sait que la majorité des clusters, en septembre, ne se trouvaient pas dans les universités mais bien dans ce que l'on appelle le "milieu scolaire", c'est à dire tous les établissements d'enseignement avant le bac » indique la station le 5 octobr

Les enfants constituent à l’évidence un groupe qui pourrait atteindre assez rapidement une immunité collective, de manière silencieuse, sans létalité et avec seulement quelques cas graves limités. Un schéma idéal s’ils vivaient en vase clos. Mais une telle analyse fait une impasse majeure sur la contagiosité entre groupes générationnels, et notamment vers les adultes. Les premiers concernés sont les professionnels de la petite enfance et les enseignants en maternelle. Suite à la décision téméraire de ne pas imposer le masque aux 6-11ans[24], ce sont aussi les enseignants du primaire qui voient leurs risques s’accroître à mesure que le Covid intensifie sa circulation silencieuse dans les classes. On peut remarquer toutefois que l’ensemble de ces professionnels portent des masques (en revendiquant, à juste titre, de recevoir des dotations de masques FFP2).

https://blogs.mediapart.fr/marc-durin-valois/blog/171020/contagiosite-des-enfants-un-dossier-explosif-pour-le-gouvernement
Clecle78
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par Clecle78 Mar 20 Oct 2020, 22:13
Mon dieu mais ça fait des mois qu'on le dit ! Personne ne relève, personne n'écoute. Les médias sont incompétents pour ne pas dire plus. L'attitude de Cohen et Fontanet est criminelle et il faudra qu'ils rendent des comptes un jour. C'est grâce à des gens comme ça qu'on a réouvert les écoles sans protection et qu'on laisse courir le virus dans tous les établissements scolaires. Je ne vois vraiment pas comment on va s'en sortir. Il n'y a aucun responsable lucide là haut ?
Halybel
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par Halybel Mar 20 Oct 2020, 22:15
Selon les scénarios 1 et 2, l’épidémie est maîtrisée grâce au triptyque tester – tracer – isoler et aux gestes barrières, les mesures à prendre sont différenciées. En cas de clusters critiques, signes d’une reprise locale de l’épidémie, on applique des mesures localisées et précoces.

Bon déjà le tryptique, c'est cuit, ils n'ont absolument rien fait pour le respecter. Pire ils ont réduit le temps d'isolation et réduit les critères pour être isolés.

Selon les scénarios 3 et 4, on assiste à une perte de contrôle de l’épidémie. Dans le 3, l’épidémie reprend à bas bruit. Les indicateurs se dégradent sans qu’on parvienne à remonter les chaînes de contamination. Les mesures sont renforcées (tests, gestes barrières, isolements individuels, télétravail) jusqu’à l’échelle régionale et dans les grandes métropoles. Dans le 4, l’épidémie atteint un stade critique, les efforts pour l’endiguer ayant échoué. Ce qui peut aboutir à un reconfinement général comme la France l’a connu de la mi-mars à la mi-mai, avec ses effets catastrophiques sur l’économie notamment.

On est clairement dans le stade 3.

L’application des recommandations de l’OMS

Face au rebond inquiétant de la pandémie de Covid-19 en France, dans une grande partie de l’Europe et aux États-Unis, le chef des urgences sanitaires à l’Organisation mondiale de la santé n’a qu’un conseil urgent à donner aux autorités : « Mettez les cas contacts en quarantaine ! »


Je me demande quel impact sur l'économie par rapport aux fermetures des bars, salles de sport et restaurants, voire du couvre feu aurait eu l'isolement rapide des cas contacts ?!
Je ne parle de l'Irlande qui confine sa population sans fermés les écoles à moins que celle ci est un protocole plus stricte que juste mettre un masque sur les enseignants.


https://amp.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/confinement/covid-19-un-reconfinement-total-en-france-est-il-possible-7022543

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Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
Franz Bonaparta
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par Franz Bonaparta Mar 20 Oct 2020, 22:52
chmarmottine a écrit:
Si l’on doutait encore que les autorités  misent -sans le dire franchement- sur une stratégie de l’immunité collective face au Covid 19 dans l’attente d’un vaccin ou d’un traitement, la décision de ne pas masquer 4.7 millions d’enfants de 6-11 ans à l’école, encouragés à s’entasser  sans   masque dans des classes closes, souvent non aérées et surchargées[1], face à des enseignants pour le moins anxieux, a le mérite de lever l’ambiguïté.

Il faut porter au crédit de la Société Française de Pédiatrie d’avoir provoqué sur ces sujets   un retournement spectaculaire de l’opinion française qui, à l’issue du confinement, était tétanisée par la crainte de voir les enfants se contaminer.  Face aux parents en état d’anxiété généralisée, refusant de renvoyer leur progéniture à l’école   malgré les désastres psychosociaux et sanitaires   provoqués par la fermeture des établissements, le professeur Robert Cohen, vice-président de cette Société savante, a scandé, à travers des formules-choc: un, que les enfants étaient  exposés mais peu touchés par la maladie en raison de leurs bonnes défenses naturelles ; deux, qu’ils n’étaient presque jamais gravement malades; trois  qu’ils étaient très peu propagateurs du virus entre eux et  envers les adultes

Le plus singulier dans cette affaire, est que l’étude (celle « que tout le monde attendait » titre le Parisien, celle qui permet à la connaissance « de faire un pas de géant » selon un membre du Haut Conseil de la Santé publique, citée par Le point) sur laquelle s’est fondée la parole de la société française de pédiatrie et qui a servi aussi de support pour une décision publique touchant plus de 12,5 millions d’enfants, n’a jamais été publiée dans une revue scientifique. De sorte qu’aucun collège de pairs n’a pu donner d’avis sur la méthodologie ou les enseignements tirés. Les chiffres ont été communiqués directement au grand public par le vice-président de la Société française de pédiatrie qui en faisait le commentaire dans la presse sous forme d’interviews sans contradicteurs, les  médias jouant un simple rôle de  caisse de résonnance[7].   D’où la nécessité d’aller se pencher d’un peu plus près sur ladite recherche dont  un résumé est accessible, en anglais, sur le site MedRxiv.

Or, en raison du confinement, l’étude française n’a pas pu bâtir de modèle sur cette dynamique. Pourtant elle change radicalement l’évaluation de la contagiosité non pas de l’enfant, sorti de son contexte social mais des enfants en tant que groupe -où le virus circule à forte intensité en raison de la multiplicité des interactions- et groupe qui contamine d’autres générations plus fragiles, et notamment celle des seniors.

Les chercheurs américains ont d’ailleurs commencé à tirer le signal d’alarme:   "Les comportements habituels des jeunes enfants et les endroits clos dans les écoles et les garderies posent la question d'une propagation du SARS-CoV-2 dans cette population à mesure que les mesures sanitaires s'assouplissent", estiment-ils. Remarque contestée par les auteurs des deux études françaises de référence, Robert Cohen et Arnaud Fontanet qui estiment que les propos des chercheurs américains sont « exagérés ».

Pourtant, la même question se pose  avec autant de force pour les 6-11 ans en France puisqu’ils évoluent en lieux clos sans masques. Et la propagation serait d’autant plus rapide qu’elle est invisible, et donc incontrôlable : les enfants n’étant pas malades, ils ne sont pas testés. Leur taux de prévalence officiel, calculé par Santé Publique France, est donc en valeur absolue totalement sous-estimé et toujours en deçà des autres catégories de la populations qui sont elles testées à grande échelle. Mais cela ne reflète aucunement la réalité des contaminations dans le groupe enfants.

Toutes les conditions paraissent ainsi réunies pour qu’il existe en réalité une contamination mécanique et silencieuse, toujours plus rapide à mesure que le virus circule dans la société[20]. Plusieurs indicateurs en témoignent. Plus de 2100 classes ont été fermées depuis la rentrée scolaire. Au 1er octobre,  la plus forte concentration de clusters se trouvait dans le milieu scolaire et universitaire (139 sur 498 au total) mais Santé Publique France ne donne pas d’indication sur la répartition entre élèves d’une part et étudiants de l’autre. Toutefois, indique France-Info, « sur l'ensemble de l'Ile-de-France, on sait que la majorité des clusters, en septembre, ne se trouvaient pas dans les universités mais bien dans ce que l'on appelle le "milieu scolaire", c'est à dire tous les établissements d'enseignement avant le bac » indique la station le 5 octobr

Les enfants constituent à l’évidence un groupe qui pourrait atteindre assez rapidement une immunité collective, de manière silencieuse, sans létalité et avec seulement quelques cas graves limités. Un schéma idéal s’ils vivaient en vase clos. Mais une telle analyse fait une impasse majeure sur la contagiosité entre groupes générationnels, et notamment vers les adultes. Les premiers concernés sont les professionnels de la petite enfance et les enseignants en maternelle. Suite à la décision téméraire de ne pas imposer le masque aux 6-11ans[24], ce sont aussi les enseignants du primaire qui voient leurs risques s’accroître à mesure que le Covid intensifie sa circulation silencieuse dans les classes. On peut remarquer toutefois que l’ensemble de ces professionnels portent des masques (en revendiquant, à juste titre, de recevoir des dotations de masques FFP2).

https://blogs.mediapart.fr/marc-durin-valois/blog/171020/contagiosite-des-enfants-un-dossier-explosif-pour-le-gouvernement

En ce qui concerne l'étude du Pr. Cohen, il faut aussi rappeler que l'étude a été menée entre le 14 avril et le 12 mai. Or, dès le 14 avril, le Pr. Cohen pavanait dans les médias pour nous rassurer (voir les nouvelles de la mi avril : https://news.google.com/stories/CAAqSQgKIkNDQklTTERvSmMzUnZjbmt0TXpZd1NoOGFIV1JmUzE5TFdUUlpWWGhCWkRCWVRYbHFkM2d5WVhGTFVqQlZWM0ZOS0FBUAE?q=professeur+cohen&lr=French&hl=fr&gl=FR&ceid=FR:fr) En somme, il semble qu'il avait les résultats avant de commencer son étude ...
nc33
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par nc33 Mer 21 Oct 2020, 08:04
Des hôtels avaient été réquisitionnés pour accueillir les cas contacts ou positifs, mais personne n'y venait.
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User20401
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par User20401 Mer 21 Oct 2020, 08:54
Franz Bonaparta a écrit:
chmarmottine a écrit:
Si l’on doutait encore que les autorités  misent -sans le dire franchement- sur une stratégie de l’immunité collective face au Covid 19 dans l’attente d’un vaccin ou d’un traitement, la décision de ne pas masquer 4.7 millions d’enfants de 6-11 ans à l’école, encouragés à s’entasser  sans   masque dans des classes closes, souvent non aérées et surchargées[1], face à des enseignants pour le moins anxieux, a le mérite de lever l’ambiguïté.

Il faut porter au crédit de la Société Française de Pédiatrie d’avoir provoqué sur ces sujets   un retournement spectaculaire de l’opinion française qui, à l’issue du confinement, était tétanisée par la crainte de voir les enfants se contaminer.  Face aux parents en état d’anxiété généralisée, refusant de renvoyer leur progéniture à l’école   malgré les désastres psychosociaux et sanitaires   provoqués par la fermeture des établissements, le professeur Robert Cohen, vice-président de cette Société savante, a scandé, à travers des formules-choc: un, que les enfants étaient  exposés mais peu touchés par la maladie en raison de leurs bonnes défenses naturelles ; deux, qu’ils n’étaient presque jamais gravement malades; trois  qu’ils étaient très peu propagateurs du virus entre eux et  envers les adultes

Le plus singulier dans cette affaire, est que l’étude (celle « que tout le monde attendait » titre le Parisien, celle qui permet à la connaissance « de faire un pas de géant » selon un membre du Haut Conseil de la Santé publique, citée par Le point) sur laquelle s’est fondée la parole de la société française de pédiatrie et qui a servi aussi de support pour une décision publique touchant plus de 12,5 millions d’enfants, n’a jamais été publiée dans une revue scientifique. De sorte qu’aucun collège de pairs n’a pu donner d’avis sur la méthodologie ou les enseignements tirés. Les chiffres ont été communiqués directement au grand public par le vice-président de la Société française de pédiatrie qui en faisait le commentaire dans la presse sous forme d’interviews sans contradicteurs, les  médias jouant un simple rôle de  caisse de résonnance[7].   D’où la nécessité d’aller se pencher d’un peu plus près sur ladite recherche dont  un résumé est accessible, en anglais, sur le site MedRxiv.

Or, en raison du confinement, l’étude française n’a pas pu bâtir de modèle sur cette dynamique. Pourtant elle change radicalement l’évaluation de la contagiosité non pas de l’enfant, sorti de son contexte social mais des enfants en tant que groupe -où le virus circule à forte intensité en raison de la multiplicité des interactions- et groupe qui contamine d’autres générations plus fragiles, et notamment celle des seniors.

Les chercheurs américains ont d’ailleurs commencé à tirer le signal d’alarme:   "Les comportements habituels des jeunes enfants et les endroits clos dans les écoles et les garderies posent la question d'une propagation du SARS-CoV-2 dans cette population à mesure que les mesures sanitaires s'assouplissent", estiment-ils. Remarque contestée par les auteurs des deux études françaises de référence, Robert Cohen et Arnaud Fontanet qui estiment que les propos des chercheurs américains sont « exagérés ».

Pourtant, la même question se pose  avec autant de force pour les 6-11 ans en France puisqu’ils évoluent en lieux clos sans masques. Et la propagation serait d’autant plus rapide qu’elle est invisible, et donc incontrôlable : les enfants n’étant pas malades, ils ne sont pas testés. Leur taux de prévalence officiel, calculé par Santé Publique France, est donc en valeur absolue totalement sous-estimé et toujours en deçà des autres catégories de la populations qui sont elles testées à grande échelle. Mais cela ne reflète aucunement la réalité des contaminations dans le groupe enfants.

Toutes les conditions paraissent ainsi réunies pour qu’il existe en réalité une contamination mécanique et silencieuse, toujours plus rapide à mesure que le virus circule dans la société[20]. Plusieurs indicateurs en témoignent. Plus de 2100 classes ont été fermées depuis la rentrée scolaire. Au 1er octobre,  la plus forte concentration de clusters se trouvait dans le milieu scolaire et universitaire (139 sur 498 au total) mais Santé Publique France ne donne pas d’indication sur la répartition entre élèves d’une part et étudiants de l’autre. Toutefois, indique France-Info, « sur l'ensemble de l'Ile-de-France, on sait que la majorité des clusters, en septembre, ne se trouvaient pas dans les universités mais bien dans ce que l'on appelle le "milieu scolaire", c'est à dire tous les établissements d'enseignement avant le bac » indique la station le 5 octobr

Les enfants constituent à l’évidence un groupe qui pourrait atteindre assez rapidement une immunité collective, de manière silencieuse, sans létalité et avec seulement quelques cas graves limités. Un schéma idéal s’ils vivaient en vase clos. Mais une telle analyse fait une impasse majeure sur la contagiosité entre groupes générationnels, et notamment vers les adultes. Les premiers concernés sont les professionnels de la petite enfance et les enseignants en maternelle. Suite à la décision téméraire de ne pas imposer le masque aux 6-11ans[24], ce sont aussi les enseignants du primaire qui voient leurs risques s’accroître à mesure que le Covid intensifie sa circulation silencieuse dans les classes. On peut remarquer toutefois que l’ensemble de ces professionnels portent des masques (en revendiquant, à juste titre, de recevoir des dotations de masques FFP2).

https://blogs.mediapart.fr/marc-durin-valois/blog/171020/contagiosite-des-enfants-un-dossier-explosif-pour-le-gouvernement

En ce qui concerne l'étude du Pr. Cohen, il faut aussi rappeler que l'étude a été menée entre le 14 avril et le 12 mai. Or, dès le 14 avril, le Pr. Cohen pavanait dans les médias pour nous rassurer (voir les nouvelles de la mi avril : https://news.google.com/stories/CAAqSQgKIkNDQklTTERvSmMzUnZjbmt0TXpZd1NoOGFIV1JmUzE5TFdUUlpWWGhCWkRCWVRYbHFkM2d5WVhGTFVqQlZWM0ZOS0FBUAE?q=professeur+cohen&lr=French&hl=fr&gl=FR&ceid=FR:fr) En somme, il semble qu'il avait les résultats avant de commencer son étude ...
Et surtout, on était confinés jusqu'au 11 mai et je ne sais pas vous mais à titre personnel je ne croisais absolument aucun enfant dans l'espace public pendant le confinement.
Donc son étude : poubelle. Place aux suivantes.
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jeromebr
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par jeromebr Mer 21 Oct 2020, 13:56
Dommage que les chercheurs et autres médecins ne lisent pas ce fil. Ils seraient convenablement orientés dans leurs recherches.
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chmarmottine
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par chmarmottine Mer 21 Oct 2020, 13:57
jeromebr a écrit:Dommage que les chercheurs et autres médecins ne lisent pas ce fil. Ils seraient convenablement orientés dans leurs recherches.

Cela dépend de quels chercheurs ou médecins tu parles ...
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jeromebr
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par jeromebr Mer 21 Oct 2020, 14:00
Y a le bon chercheur et le mauvais chercheur ?. Ça me rappelle les inconnus ça.
On lit de ces choses ici. Vous devriez vous lancer dans des études médicales vu votre compétence.
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mgb35
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par mgb35 Mer 21 Oct 2020, 14:04
Je suis parfaitement d'accord avec toi @jeromebr
C'est impressionnant le nombre de personnes qui veulent expliquer aux médecins et aux chercheurs leur metier. Ces mêmes personnes qui hurlent dès que quelqu'un parle d'éducation sans être professeur...
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chmarmottine
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par chmarmottine Mer 21 Oct 2020, 14:05
jeromebr a écrit:Y a le bon chercheur et le mauvais chercheur ?. Ça me rappelle les inconnus ça.
On lit de ces choses ici. Vous devriez vous lancer dans des études médicales vu votre compétence.

Rassure-toi, j'ai conscience de mon incompétence.

Tu penses vraiment qu'il n'y a que des bons chercheurs ? que des bons médecins ?

Sinon, Cohen, Raoult ...
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jeromebr
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par jeromebr Mer 21 Oct 2020, 14:12
Je n'ai pas de désaccord sur ce point. Mon désaccord est la capacité de certains à décerner des brevets de compétence et d incompétence sur des sujets aussi complexes .
Clecle78
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par Clecle78 Mer 21 Oct 2020, 15:08
Quand on se base sur une seule étude portant sur un seul enfant pour déclamer partout que les enfants ne sont pas contagieux je me demande si on est bien compétent. Surtout en voyant la flambée des contaminations dans les établissements scolaires...
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User20401
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par User20401 Mer 21 Oct 2020, 15:11
jeromebr a écrit:Je n'ai pas de désaccord sur ce point. Mon désaccord est la capacité de certains à décerner des brevets de compétence et d incompétence sur des sujets aussi complexes .
Puisque tu as posté juste après moi, je te réponds. Je n'ai pas dit que Cohen était incompétent de façon générale. D'ailleurs, j'ose espérer que pour en être où il est, il doit être plutôt compétent.
Mais que cette étude là était juste bonne à caler une table, oui.
Et en effet, mon parcours me permet d'avoir un petit regard un peu critique sur les études.
Bref, sur ce, je te laisse là avec ton mépris, puisque les mots suivants qui me viennent sont clairement hors charte.
micaschiste
micaschiste
Monarque

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par micaschiste Mer 21 Oct 2020, 15:19
mgb35 a écrit:Je suis parfaitement d'accord avec toi @jeromebr
C'est impressionnant le nombre de personnes qui veulent expliquer aux médecins et aux chercheurs leur metier. Ces mêmes personnes qui hurlent dès que quelqu'un parle d'éducation sans être professeur...
Apparemment, il faut expliquer à certains médecins leur métier. J'ai en tête au moins trois exemples de médecins qui ont été ''déchargés'' de leur fonction (ou la procédure est en cours), après signalement à l'ordre des médecins. Une docteure du Grand Est (il me semble) qui racontait n'importe quoi dans un vidéo qui a largement circulée et qui mettait en danger ses patients, un pneumologue (Dr Bélier) de la région lyonnaise (qui ne voulait pas que ses patients portent un masque) et récemment un médecin qui a raconté des âneries sur un plateau télé.
Personnellement, je lis les publications scientifiques et je pense avoir un minimum de compétences pour comprendre des publications dans le domaine du fait de ma formation (doctorat). Franchement, certaines n'auraient jamais dues être utilisées pour en tirer des généralités sur le rôle des enfants dans la contamination du Sars-Cov2. C'est le cas de l'étude de l'enfant des Contamines-Montjoie, grandiose étude basée sur un seul et unique cas pourtant largement utilisée par la fédération française des pédiatres. Cette étude est loin de faire l'unanimité dans le domaine, d'ailleurs. D'ailleurs, un pédiatre est-il un éminent virologue ? infectiologue ? un modélisateur en épidémie ?

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par micaschiste Mer 21 Oct 2020, 15:24
elisa18 a écrit:Je prends des produits bio ou faits maison pour mes cosmétiques et mon dentifrice.....
Connaissez vous la durée de vie du biocide ? Y a-t-il encore des résidus après 6/7 lavages, en majorité à 60 degrés ?
Difficile à dire. Il s'agit de nanoparticules qui doivent être faiote pour durer. Une recherche des données existant là dessus est nécessaire. Le principe de précaution prévaut.

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par Flo44 Mer 21 Oct 2020, 15:37
micaschiste a écrit:
mgb35 a écrit:Je suis parfaitement d'accord avec toi @jeromebr
C'est impressionnant le nombre de personnes qui veulent expliquer aux médecins et aux chercheurs leur metier. Ces mêmes personnes qui hurlent dès que quelqu'un parle d'éducation sans être professeur...
Apparemment, il faut expliquer à certains médecins leur métier. J'ai en tête au moins trois exemples de médecins qui ont été ''déchargés'' de leur fonction (ou la procédure est en cours), après signalement à l'ordre des médecins. Une docteure du Grand Est (il me semble) qui racontait n'importe quoi dans un vidéo qui a largement circulée et qui mettait en danger ses patients, un pneumologue (Dr Bélier) de la région lyonnaise (qui ne voulait pas que ses patients portent un masque) et récemment un médecin qui a raconté des âneries sur un plateau télé.
Personnellement, je lis les publications scientifiques et je pense avoir un minimum de compétences pour comprendre des publications dans le domaine du fait de ma formation (doctorat). Franchement, certaines n'auraient jamais dues être utilisées pour en tirer des généralités sur le rôle des enfants dans la contamination du Sars-Cov2. C'est le cas de l'étude de l'enfant des Contamines-Montjoie, grandiose étude basée sur un seul et unique cas pourtant largement utilisée par la fédération française des pédiatres. Cette étude est loin de faire l'unanimité dans le domaine, d'ailleurs. D'ailleurs, un pédiatre est-il un éminent virologue ? infectiologue ? un modélisateur en épidémie ?
Il est suffisant d'avoir un léger bagage en mathématiques pour se rendre compte que, pour une maladie où la très grande majorité des malades ne contaminent personne, prendre le cas d'un enfant qui n'a contaminé aucun autre enfant ne permet de tirer absolument aucune conclusion fiable. De plus, dans cette étude, sont considérés comme contacts des enfants de l'école de ski (donc croisés à l'extérieur et à distance...) et des enfants avec lesquels il a passé seulement une heure.
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par Clecle78 Mer 21 Oct 2020, 15:39
Voilà !
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par micaschiste Mer 21 Oct 2020, 16:16
Je ne sais pas si cette pétition a déjà été évoquée. J'ai remonté quelques pages seulement.
ici
Nous, citoyennes et citoyens, parents d’enfants scolarisés en France, enseignant(e)s et personnels intervenant dans les établissements scolaires, demandons que le gouvernement respecte pour l’École le principe de précaution concernant l’épidémie de Covid-19.
Nous demandons ainsi la mise à jour du protocole sanitaire, prenant en compte les plus récentes conclusions scientifiques internationales qui démontrent le rôle des enfants et de l'école dans les chaines de transmission de Covid-19. Nous demandons l’intégration de mesures basées sur les conclusions tirées des expériences d’autres pays (Israël, Allemagne, États-Unis, etc.), les recommandations de l’OMS, des CDC américains et européen et de nombreuses sociétés savantes ou collectifs (tels que l’American Association of Pediatrics, la Société de Virologie allemande, le collectif Stop-Postillons en France, etc.).

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par Clecle78 Mer 21 Oct 2020, 16:18
Enfin ! Peut-on avoir le lien ?
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