Pourquoi les garçons sont-ils moins forts à l'école que les filles ?

Anacyclique a écrit:J'espère que je mettrai la main dessus un de ces quatre.

Il est ici mais ça revient cher.

adelaideaugusta a écrit:

Abraxas a écrit:La testostérone.
Vous ne pouvez pas imaginer, mesdames…

Bof, ce n'est pas si important.
12 mg pour les hommes, 8 pour les femmes,si mes souvenirs sont exacts.

Abraxas m'a fait rire parce que je pensais justement au tableau d'Orlan, L'Origine de la guerre

Spoiler:

Cripure a écrit:

Mestelle51 a écrit:Une autre théorie était celle de la trop grande féminisation du métier... Ce qui doit aller de paire avec le manque de repère masculin

Ah LA PAIRE, un repère (yek yek) indispensable pour construire un être humain digne de ce nom... :lol:

Cripure a écrit:

Mestelle51 a écrit:Une autre théorie était celle de la trop grande féminisation du métier... Ce qui doit aller de paire avec le manque de repère masculin

Pair, paire, on s'y perd!
Je crois néanmoins qu'il n'y a pas assez d'hommes à l'école primaire et au collège. Et au lycée, ça se féminise vite aussi!

À corréler aussi avec les bas salaires des enseignants. Le même phénomène s'installe chez les avocats et magistrats .

Bonjour,

J'ai créé un nouveau sujet en y insérant une conférence sur les jeunes filles et les jeunes garçons, qui apporte quelques réponses à la question qui vous intéresse dans ce sujet. Selon le conférencier (Alain Badiou), si je résume grossièrement, la fin des rites d'initiations -comme le service militaire-, et la fin de la condition traditionnelle des filles (mariage, virginité sacralisée, soumission à l'homme etc) ont supprimé la médiation entre la condition de fille/fils à celle de femme/homme. D'où une désorientation des jeunes aujourd'hui. De plus, l'impératif du système capitaliste actuel : consomme ou tais-toi, surtout n'aie pas d'idées , a remplacé l'impératif traditionnel qui imposait une idée (ou idéologie si vous préférez).

 Selon lui la réponse à ce nouvel impératif et à cette désorientation est différente pour les filles et les garçons. Ces derniers stagnent dans une enfance ou adolescence éternelle et n'arrivent pas à devenir hommes, alors que les filles subissent une maturation trop précoce et n'ont plus le temps d'être jeunes filles. Ce serait pourquoi elles prennent mieux leur vie en main, mais risquent de tomber dans le piège de la figure qui obéit à l'impératif capitaliste : la femme libérée, conquérante, qui réussit socialement à un poste de pouvoir, séductrice... alors qu'elle ne fait que réinvestir ce système sans le changer.    

Bref, ce n'est qu'une  tentative de résumé, allez voir la vidéo

Je veux pas, je joue à la playstation  

   

Ronin a écrit:Je veux pas, je joue à la playstation  

Tu préférerais pas faire un foot? Dédé et Momo ont récupéré un pack de Kro pour après.

Ah oué, trop bien  

J'aurais pu poster dans "joies du jour".
La Fabrique des filles a enfin été réédité. Je viens d'en commander un exemplaire.

Cripure a écrit:

Mestelle51 a écrit:Une autre théorie était celle de la trop grande féminisation du métier... Ce qui doit aller de paire avec le manque de repère masculin

Il manque une paire de c…ouil -les !

Quand il y a manque de paire, il y a manque de repère .