Conserver des camarades de classe du collège lors du passage en seconde favoriserait la réussite (sur Rue89)

http://www.rue89.com/2013/09/30/conseil-proviseurs-lycee-mieux-vaut-separer-les-copains-246108

Extrait :

Conserver quelques camarades au fil des études favorise la réussite scolaire des élèves, qu’ils soient filles ou garçons ; à l’inverse, les collégiens qui ont été séparés de leurs amis ont plus de risques de redoubler leur seconde. C’est ce que révèle la thèse d’un jeune économiste, Son Thierry Ly.

Je donne gratuitement le résultat de mes enquêtes de sociologie :

— Travailler davantage améliore la réussite scolaire.
— Être dans un famille unie et instruite améliore la réussite scolaire.
— Être attentif améliore la réussite scolaire.
— Assister aux cours améliore la réussite scolaire.
— Ceux qui ne dorment pas en cours améliorent leur réussite scolaire.

Ce ne sont que les premiers résultats mais je pense bien bénéficier d'une subvention pour continuer !

Dans Affelnet il faudra ajouter huit vœux de camarades de classe et surtout demander le même établissement, la même voie, les mêmes options, les mêmes enseignements d'exploration etc...  

Luigi_B a écrit:Dans Affelnet il faudra ajouter huit vœux de camarades de classe et surtout demander le même établissement, la même voie, les mêmes options, les mêmes enseignements d'exploration etc...  

Je vois que l'horrible élitiste bourgeois Luigi est prêt pour bientôt se lancer dans le collège sans notes !  

:lol: 

Ce que j'ai préféré dans l'article du "Monde" sur le même sujet, c'est la bienveillance habituelle de notre quotidien préféré à l'égard de l'institution scolaire :

Maryline Baumard a écrit:Politiquement correct, il omet de dire que les chefs d'établissement français sont même assez enclins à casser les groupes, pour éviter les bavardages intempestifs et les turbulences de classe.

Car c'est bien connu :
1. Les bavardages intempestifs et les turbulences favorisent la réussite scolaire  
2. Les chefs d'établissement sont si sadiques qu'ils aiment casser les groupes qu'il ne connaissent pas à l'entrée en seconde.

Et puis ce n'est pas comme si en règle générale, les CDE faisaient en sorte justement de mettre des élèves venant du même endroit dans les mêmes classes, dans la mesure du possible, au moins en partie. Et que quand nous ou eux faisons les classes, en collège surtout, on ne prenait pas en compte les affinités productives (ou les raisons pratiques, gamins qui viennent ensemble du même bled par exemple).