- gauvain31Empereur
elpenor a écrit:Les vrais concepteurs de la réforme, ce sont eux, en pleine séance d'EPI Sciences/Musique
Ah merciiii Elpénor: je comprends! tout s'éclaire !!! :lol:
- dami1kdHabitué du forum
William Foster a écrit:J'aime bien : le côté truc à la lourdeur incommensurable qui déforme tout ce qu'il approche... :lol:gauvain31 a écrit:Les sciences de l'éduc sont le trou noir de l'école d'aujourd'hui
Moi j'aurais penché sur un truc genre phlogiston : truc qui prend la tête des intellectuels d'une époque, occultant tout une partie des progrès scientifiques, avant de s'avérer être une impasse tonitruante. Nous n'avons plus qu'à attendre qu'un Lavoisier moderne vienne nous sortir le Q des ronces...
Désolé de dévier du sujet, mais le jeu de votre signature, quel travail !
- gauvain31Empereur
Il faudrait invoquer Mila Saint-Anne , qui saura , de sa haute expertise de la pédagogie nous initier au Secret du curiicuulisiueyeorooeureouroeur ......enfin bref je me comprends
- JPhMMDemi-dieu
Il manque un "cuicui".gauvain31 a écrit:Il faudrait invoquer Mila Saint-Anne , qui saura , de sa haute expertise de la pédagogie nous initier au Secret du curiicuulisiueyeorooeureouroeur ...
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- OsmieSage
JPhMM a écrit:« Il faut ouvrir l'école au monde des parents, et les associer au nouvel engagement de réussite pour tous à travers les 6 processus du tétraèdre pédagogique : savoir, enseigner, former, apprendre, éduquer, collaborer. »Tamerlan a écrit:JPhMM a écrit:Prochaines idées de mots à piquer au vocabulaire de la géométrie pour Sciencéducs en mal d'inspiration.
(*) fractalaire : perfectionnement du fonctionnement modulaire.
(*) tétraèdre : plus fort que le triangle pédagogique, le tétraèdre pédagogique.
(*) simplexe, simplexité : « L'ingénierie de l'enseignement fractalaire est d'amener l'apprenant à la réalisation de tâches complexes par simplexité, déconstruction de la complexité en simplexes disposés en réseau bayésien, et data-ingenium infini-dimensionnel. »
Bon pour le tétraèdre il faut un quatrième sommet. Que met-on?
Je me dis que F.Robine doit être en train de piquer les bonnes formules de ce fil ; JPhMM, une carrière t'attend en sciences de l'éduc', ou à l'ESPE.
- ben2510Expert spécialisé
Que penser de mots qui obscurcissent la pensée au lieu de l'éclairer ?
Avant de nommer un concept, il est bon de chercher à le définir précisément, et c'est ce en quoi des notions du type cul-en-l'air et autre mots creux procèdent davantage de l'enfumage que de la réflexion pédagogique saine.
Avant de nommer un concept, il est bon de chercher à le définir précisément, et c'est ce en quoi des notions du type cul-en-l'air et autre mots creux procèdent davantage de l'enfumage que de la réflexion pédagogique saine.
- le pentagramme pédagogique:
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On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- JPhMMDemi-dieu
Cf. la citation de ma signature.ben2510 a écrit:Que penser de mots qui obscurcissent la pensée au lieu de l'éclairer ?
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- OlympiasProphète
Mais....elle a dit : Faites comme moi, ne lisez plus rien. On m'aurait menti ??Osmie a écrit:JPhMM a écrit:« Il faut ouvrir l'école au monde des parents, et les associer au nouvel engagement de réussite pour tous à travers les 6 processus du tétraèdre pédagogique : savoir, enseigner, former, apprendre, éduquer, collaborer. »Tamerlan a écrit:JPhMM a écrit:Prochaines idées de mots à piquer au vocabulaire de la géométrie pour Sciencéducs en mal d'inspiration.
(*) fractalaire : perfectionnement du fonctionnement modulaire.
(*) tétraèdre : plus fort que le triangle pédagogique, le tétraèdre pédagogique.
(*) simplexe, simplexité : « L'ingénierie de l'enseignement fractalaire est d'amener l'apprenant à la réalisation de tâches complexes par simplexité, déconstruction de la complexité en simplexes disposés en réseau bayésien, et data-ingenium infini-dimensionnel. »
Bon pour le tétraèdre il faut un quatrième sommet. Que met-on?
Je me dis que F.Robine doit être en train de piquer les bonnes formules de ce fil ; JPhMM, une carrière t'attend en sciences de l'éduc', ou à l'ESPE.
- V.MarchaisEmpereur
Le spiralaire, disais-je, c'est vraiment l'invention de l'eau tiède, au point que je ne comprends même pas comment on pourrait s'opposer à ce principe pédagogique élémentaire : la répétition (remarquez, je comprends encore moins qu'on en fasse des gorges chaudes).
Pendant des années, j'ai dénoncé la fragmentation des apprentissages créée, en Français, avec le travail en séquences. En grammaire, en particulier, c'est flagrant. Un très grand nombre de professeurs se contente de répartir les points du programme dans ses chapitres de littérature, sans assurer de progression logique à ce cursus grammatical, encore moins de réinvestissement. Cela donne des élèves qui voient le passif (ou les pronoms, ou les homophones verbaux...) une fois dans l'année, et qui n'en entendent plus jamais parler. Du coup, l'année d'après, ils ont tout oublié. Et c'est normal. Les élèves sont de bonne foi quand ils nous disent "Mais ça, madame, on l'a pas fait", alors qu'en fait si. Ils l'ont fait, mais en dépit du bon sens. Seules les éponges s'en souviennent.
Chacun connaît ici mon attachement aux progressions grammaticales. Et selon moi, une bonne progression, c'est non seulement une progression qui permet de complexifier les choses peu à peu, en assurant toujours les prérequis nécessaires, mais aussi une progression qui oblige à remobiliser sans cesse les acquis en approfondissant.
Par exemple, j'étudie le passif le plus tôt possible, comme ça, je le revois à chaque leçon de conjugaison - temps étudié à la voix active et à la voix passive : à la fin de l'année, les élèves ont vu le passif cinq ou six fois, disséminées à travers le temps.
Je travaille sur les pronoms dans une première leçon sur les classes grammaticales en début d'année, j'y reviens plus tard dans une leçon spécifique, j'y reviens en écriture avec l'emploi des pronoms, de façon très régulière (toutes les six semaines environ), j'y reviens ensuite avec un travail spécifique sur les pronoms relatifs, puis un travail en écriture sur les substitus au sens large...
Je commence à travailler sur la distinction ais, ait, é, er dans une des premières leçons d'orthographe de l'année, sur temps simples et temps composés. J'enfonce le clou quand je travaille sur les marques régulières de personne, peu après ; j'insiste dessus avec le passé composé, en mettant exprès plein de verbes du 1er groupe ; j'y reviens à chaque temps composé ; quand je travaille sur les mots invariables, je fais un sort au verbe à l'infinitif après une préposition et je travaille sur la distinction à + ... er / a + ... é ; autant dire que, lorsque je fais ma leçon sur les homophones verbaux, en milieu d'année, il s'agit d'un simple bilan sur ce que les élèves ont déjà travaillé une demi-douzaine de fois.
Pour moi, c'est ça, spiraler. Et c'est indispensable. TDL a toujours spiralé et continuera de le faire. Nihil novi sub sole.
Pendant des années, j'ai dénoncé la fragmentation des apprentissages créée, en Français, avec le travail en séquences. En grammaire, en particulier, c'est flagrant. Un très grand nombre de professeurs se contente de répartir les points du programme dans ses chapitres de littérature, sans assurer de progression logique à ce cursus grammatical, encore moins de réinvestissement. Cela donne des élèves qui voient le passif (ou les pronoms, ou les homophones verbaux...) une fois dans l'année, et qui n'en entendent plus jamais parler. Du coup, l'année d'après, ils ont tout oublié. Et c'est normal. Les élèves sont de bonne foi quand ils nous disent "Mais ça, madame, on l'a pas fait", alors qu'en fait si. Ils l'ont fait, mais en dépit du bon sens. Seules les éponges s'en souviennent.
Chacun connaît ici mon attachement aux progressions grammaticales. Et selon moi, une bonne progression, c'est non seulement une progression qui permet de complexifier les choses peu à peu, en assurant toujours les prérequis nécessaires, mais aussi une progression qui oblige à remobiliser sans cesse les acquis en approfondissant.
Par exemple, j'étudie le passif le plus tôt possible, comme ça, je le revois à chaque leçon de conjugaison - temps étudié à la voix active et à la voix passive : à la fin de l'année, les élèves ont vu le passif cinq ou six fois, disséminées à travers le temps.
Je travaille sur les pronoms dans une première leçon sur les classes grammaticales en début d'année, j'y reviens plus tard dans une leçon spécifique, j'y reviens en écriture avec l'emploi des pronoms, de façon très régulière (toutes les six semaines environ), j'y reviens ensuite avec un travail spécifique sur les pronoms relatifs, puis un travail en écriture sur les substitus au sens large...
Je commence à travailler sur la distinction ais, ait, é, er dans une des premières leçons d'orthographe de l'année, sur temps simples et temps composés. J'enfonce le clou quand je travaille sur les marques régulières de personne, peu après ; j'insiste dessus avec le passé composé, en mettant exprès plein de verbes du 1er groupe ; j'y reviens à chaque temps composé ; quand je travaille sur les mots invariables, je fais un sort au verbe à l'infinitif après une préposition et je travaille sur la distinction à + ... er / a + ... é ; autant dire que, lorsque je fais ma leçon sur les homophones verbaux, en milieu d'année, il s'agit d'un simple bilan sur ce que les élèves ont déjà travaillé une demi-douzaine de fois.
Pour moi, c'est ça, spiraler. Et c'est indispensable. TDL a toujours spiralé et continuera de le faire. Nihil novi sub sole.
- kamasolouHabitué du forum
gauvain31 a écrit:Il faudrait invoquer Mila Saint-Anne , qui saura , de sa haute expertise de la pédagogie nous initier au Secret du curiicuulisiueyeorooeureouroeur ......enfin bref je me comprends
Bientôt mes très attendues journées de "formation" avec l'élite du pédagogisme, si vous avez des questions n'hésitez pas, je me ferai une joie de venir propager la bonne parole dans ce forum de mécréants.
- ben2510Expert spécialisé
Être profond et sembler profond. — Celui qui se sait profond s'efforce d'être clair ; celui qui voudrait sembler profond à la foule s'efforce d'être obscur.
Le gai savoir
Bref.
Le gai savoir
Bref.
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On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- doctor whoDoyen
Pour aller à la source du terme "spiralaire" (qui est une trad assez malheureuse de l'anglais "spiral" : il vaut mieux dire "en spirale") :
http://pedagoj.eklablog.com/spiralaire-vous-avez-dit-spiralaire-a108736776
Où l'on voit que le "curriculum en spirale" (les deux notions sont liées) est à l'origine très différent de ce qu'on nous vend comme du "spiralaire" : une stricte allégeance aux stades de développement de Piaget.
Ce qu'on appelle "spiralaire", c'est ce que j'appelle une progression "élémentaire", mais sans le dire.
Le spairalaire, c'est un gigantesque retour du refoulé (la pédagogie élémentaire de l'Instruction publique) doublé d'une dénégation (le spiralaire, c'est nouveau) et d'une déperdition (le spiralaire déconnecté du contenu à enseigné devenu un simple instrument de programmation, et non de progression).
http://pedagoj.eklablog.com/spiralaire-vous-avez-dit-spiralaire-a108736776
Où l'on voit que le "curriculum en spirale" (les deux notions sont liées) est à l'origine très différent de ce qu'on nous vend comme du "spiralaire" : une stricte allégeance aux stades de développement de Piaget.
Ce qu'on appelle "spiralaire", c'est ce que j'appelle une progression "élémentaire", mais sans le dire.
Le spairalaire, c'est un gigantesque retour du refoulé (la pédagogie élémentaire de l'Instruction publique) doublé d'une dénégation (le spiralaire, c'est nouveau) et d'une déperdition (le spiralaire déconnecté du contenu à enseigné devenu un simple instrument de programmation, et non de progression).
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- ben2510Expert spécialisé
V.Marchais a écrit:Le spiralaire, disais-je, c'est vraiment l'invention de l'eau tiède, au point que je ne comprends même pas comment on pourrait s'opposer à ce principe pédagogique élémentaire : la répétition (remarquez, je comprends encore moins qu'on en fasse des gorges chaudes).
Pendant des années, j'ai dénoncé la fragmentation des apprentissages créée, en Français, avec le travail en séquences. En grammaire, en particulier, c'est flagrant. Un très grand nombre de professeurs se contente de répartir les points du programme dans ses chapitres de littérature, sans assurer de progression logique à ce cursus grammatical, encore moins de réinvestissement. Cela donne des élèves qui voient le passif (ou les pronoms, ou les homophones verbaux...) une fois dans l'année, et qui n'en entendent plus jamais parler. Du coup, l'année d'après, ils ont tout oublié. Et c'est normal. Les élèves sont de bonne foi quand ils nous disent "Mais ça, madame, on l'a pas fait", alors qu'en fait si. Ils l'ont fait, mais en dépit du bon sens. Seules les éponges s'en souviennent.
Chacun connaît ici mon attachement aux progressions grammaticales. Et selon moi, une bonne progression, c'est non seulement une progression qui permet de complexifier les choses peu à peu, en assurant toujours les prérequis nécessaires, mais aussi une progression qui oblige à remobiliser sans cesse les acquis en approfondissant.
Par exemple, j'étudie le passif le plus tôt possible, comme ça, je le revois à chaque leçon de conjugaison - temps étudié à la voix active et à la voix passive : à la fin de l'année, les élèves ont vu le passif cinq ou six fois, disséminées à travers le temps.
Je travaille sur les pronoms dans une première leçon sur les classes grammaticales en début d'année, j'y reviens plus tard dans une leçon spécifique, j'y reviens en écriture avec l'emploi des pronoms, de façon très régulière (toutes les six semaines environ), j'y reviens ensuite avec un travail spécifique sur les pronoms relatifs, puis un travail en écriture sur les substitus au sens large...
Je commence à travailler sur la distinction ais, ait, é, er dans une des premières leçons d'orthographe de l'année, sur temps simples et temps composés. J'enfonce le clou quand je travaille sur les marques régulières de personne, peu après ; j'insiste dessus avec le passé composé, en mettant exprès plein de verbes du 1er groupe ; j'y reviens à chaque temps composé ; quand je travaille sur les mots invariables, je fais un sort au verbe à l'infinitif après une préposition et je travaille sur la distinction à + ... er / a + ... é ; autant dire que, lorsque je fais ma leçon sur les homophones verbaux, en milieu d'année, il s'agit d'un simple bilan sur ce que les élèves ont déjà travaillé une demi-douzaine de fois.
Pour moi, c'est ça, spiraler. Et c'est indispensable. TDL a toujours spiralé et continuera de le faire. Nihil novi sub sole.
Nous sommes parfaitement d'accord. La répétition et la construction d'une progression bien pensée sont les bases du métier.
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On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- V.MarchaisEmpereur
doctor who a écrit:Pour aller à la source du terme "spiralaire" (qui est une trad assez malheureuse de l'anglais "spiral" : il vaut mieux dire "en spirale") :
http://pedagoj.eklablog.com/spiralaire-vous-avez-dit-spiralaire-a108736776
Où l'on voit que le "curriculum en spirale" (les deux notions sont liées) est à l'origine très différent de ce qu'on nous vend comme du "spiralaire" : une stricte allégeance aux stades de développement de Piaget.
Ce qu'on appelle "spiralaire", c'est ce que j'appelle une progression "élémentaire", mais sans le dire.
Le spairalaire, c'est un gigantesque retour du refoulé (la pédagogie élémentaire de l'Instruction publique) doublé d'une dénégation (le spiralaire, c'est nouveau) et d'une déperdition (le spiralaire déconnecté du contenu à enseigné devenu un simple instrument de programmation, et non de progression).
Voilà. Entièrement d'accord.
On constate que les merdes sans progressions pondues depuis des années donnent des catastrophes. On retourne aux progressions méthodiques, mais comme "progression méthodique", ça fait des années qu'on nous dit que c'est réac et facho, il fallait un mot nouveau pour désigner la même chose.
- JPhMMDemi-dieu
Je me souviens qu'au siècle précédent, on disait "progression spiralée". :lol:
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- gauvain31Empereur
JPhMM a écrit:Il manque un "cuicui".gauvain31 a écrit:Il faudrait invoquer Mila Saint-Anne , qui saura , de sa haute expertise de la pédagogie nous initier au Secret du curiicuulisiueyeorooeureouroeur ...
Oui, tu me l'as enlevé du bec..... c'est du gazouillis inutile tout ça; elle finira comme l'oiseau dans Shrek :
- JPhMMDemi-dieu
Elle a un(e) secrétaire pour lire à sa place sans doute.Olympias a écrit:Mais....elle a dit : Faites comme moi, ne lisez plus rien. On m'aurait menti ??Osmie a écrit:JPhMM a écrit:« Il faut ouvrir l'école au monde des parents, et les associer au nouvel engagement de réussite pour tous à travers les 6 processus du tétraèdre pédagogique : savoir, enseigner, former, apprendre, éduquer, collaborer. »Tamerlan a écrit:
Bon pour le tétraèdre il faut un quatrième sommet. Que met-on?
Je me dis que F.Robine doit être en train de piquer les bonnes formules de ce fil ; JPhMM, une carrière t'attend en sciences de l'éduc', ou à l'ESPE.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- gauvain31Empereur
Osmie a écrit:JPhMM a écrit:« Il faut ouvrir l'école au monde des parents, et les associer au nouvel engagement de réussite pour tous à travers les 6 processus du tétraèdre pédagogique : savoir, enseigner, former, apprendre, éduquer, collaborer. »Tamerlan a écrit:JPhMM a écrit:Prochaines idées de mots à piquer au vocabulaire de la géométrie pour Sciencéducs en mal d'inspiration.
(*) fractalaire : perfectionnement du fonctionnement modulaire.
(*) tétraèdre : plus fort que le triangle pédagogique, le tétraèdre pédagogique.
(*) simplexe, simplexité : « L'ingénierie de l'enseignement fractalaire est d'amener l'apprenant à la réalisation de tâches complexes par simplexité, déconstruction de la complexité en simplexes disposés en réseau bayésien, et data-ingenium infini-dimensionnel. »
Bon pour le tétraèdre il faut un quatrième sommet. Que met-on?
Je me dis que F.Robine doit être en train de piquer les bonnes formules de ce fil ; JPhMM, une carrière t'attend en sciences de l'éduc', ou à l'ESPE.
tututut , JP vise plus haut : à ce niveau , c'est le poste de maître de conférence en "Sciences" de la Haute Éducation et de la Citoyenne et du Vivre Ensemble détenue par Meirieu. Comme il vient de partir à la retraite. Tu as une chance JP!
- William FosterExpert
Spriralée -> spiralaire.JPhMM a écrit:Je me souviens qu'au siècle précédent, on disait "progression spiralée". :lol:
Orthonormal -> orthonormé.
Curriculaire -> curriculée ? (Moi ça m'arrangerait pour la construction de nouveaux contrepets )
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Tout le monde me dit que je ne peux pas faire l'unanimité.
"Opinions are like orgasms : mine matters most and I really don't care if you have one." Sylvia Plath
Vérificateur de miroir est un métier que je me verrais bien faire, un jour.
- JPhMMDemi-dieu
:lol:gauvain31 a écrit:Osmie a écrit:JPhMM a écrit:« Il faut ouvrir l'école au monde des parents, et les associer au nouvel engagement de réussite pour tous à travers les 6 processus du tétraèdre pédagogique : savoir, enseigner, former, apprendre, éduquer, collaborer. »Tamerlan a écrit:
Bon pour le tétraèdre il faut un quatrième sommet. Que met-on?
Je me dis que F.Robine doit être en train de piquer les bonnes formules de ce fil ; JPhMM, une carrière t'attend en sciences de l'éduc', ou à l'ESPE.
tututut , JP vise plus haut : à ce niveau , c'est le poste de maître de conférence en "Sciences" de la Haute Éducation et de la Citoyenne et du Vivre Ensemble détenue par Meirieu. Comme il vient de partir à la retraite. Tu as une chance JP!
L'OCDE sinon rien.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- JPhMMDemi-dieu
Construction réticulaire des unités-savoir dans une culture numériqueWilliam Foster a écrit:Spriralée -> spiralaire.JPhMM a écrit:Je me souviens qu'au siècle précédent, on disait "progression spiralée". :lol:
Orthonormal -> orthonormé.
Curriculaire -> curriculée ? (Moi ça m'arrangerait pour la construction de nouveaux contrepets )
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- JPhMMDemi-dieu
Je ne suis qu'un disciple.gauvain31 a écrit:Ah oui quand même....
"Néoprofs est pour moi un tremplin", fracflo.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- gauvain31Empereur
JPhMM a écrit:Construction réticulaire des unités-savoir dans une culture numériqueWilliam Foster a écrit:Spriralée -> spiralaire.JPhMM a écrit:Je me souviens qu'au siècle précédent, on disait "progression spiralée". :lol:
Orthonormal -> orthonormé.
Curriculaire -> curriculée ? (Moi ça m'arrangerait pour la construction de nouveaux contrepets )
Et son équivalent en SVT : Construction arachnéenne des savoirs nucléaires dans une culture naturaliste;
Tu es un
- kamasolouHabitué du forum
Trop pointu, il faudrait regrouper toutes ces belles idées sur une carte mentale (on me dit à l'instant que c'est complètement has-been et que ça a été remplacé par une neuropuce gps à ADN modifié en partenariat avec Microsoft et Mosanto)
- JPhMMDemi-dieu
Tss tss tss, on ne dit plus carte mentale, on dit "construction réticulaire des unités-savoir".
Y'en a qui suivent pas.
Y'en a qui suivent pas.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
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