[4e] La ville de Paris, la proposition conjonctive complétive et circonstancielle

XueqinC a écrit:Hello,

Je cherche un texte sur le thème de Paris qui se prêterait bien  à l'étude de des propositions subordonnées conjonctives complétives et circonstancielles.
Avez-vous une idée ?

De plus, si vous avez une leçon de prête sur le sujet...

XueqinC a écrit:Ceux à qui j'ai envoyé des mails pourront te le confirmer.  

Provence a écrit:

XueqinC a écrit:Hello,

Je cherche un texte sur le thème de Paris qui se prêterait bien  à l'étude de des propositions subordonnées conjonctives complétives et circonstancielles.
Avez-vous une idée ?

J'évite de parler de subordonnée complétive, expression qui me paraît mettre sur le même plan nature et fonction.

De plus, si vous avez une leçon de prête sur le sujet...

Regarde les leçons sur la fonction des subordonnées dans le TDL.

XueqinC a écrit:Ceux à qui j'ai envoyé des mails pourront te le confirmer.  

Je confirme.

lilith888 a écrit:Depuis les nouveaux programmes, les textes ne sont plus censés servir de prétextes à l'étude d'un point grammatical

Oudemia a écrit:Bel Ami, ch.IV; les cinq premiers paragraphes : dès que, comme, sans que et deux conjonctives par que ; il s'agit des kiosques à journaux près de la gare Saint-Lazare.
D'autres promenades plus loin, certainement, mais il doit y avoir surtout des relatives, comme dans les chapitres I à III.

J’avertis les curieux qui voudront déterrer les noms de mes héros, et de mes héroïnes, qu’ils prendront une peine fort inutile, et que je ne sais pas moi-même quels ils étaient, ou quels ils sont ; ceci n’étant que des histoires différentes que j’ai entendu raconter en différents temps, et que j’ai mises par écrit à mes heures perdues.
À l’égard des noms que je leur ai donnés, j’ai cru les leur devoir donner français, parce qu’en effet ce sont des Français que je produis, et non pas des étrangers.
Quoique je pose la scène de toutes les histoires à Paris, elles ne s’y sont pas toutes passées, les provinces m’en ont fourni la plupart.
Presque tous les romans ne tendent qu’à faire voir par des fictions, que la vertu est toujours persécutée, mais qu’enfin elle triomphe de ses ennemis, en supposant néanmoins, comme eux, que la résistance que leurs héros ou leurs héroïnes apportent à la volonté de leurs parents, en faveur de leurs maîtresses ou de leurs amants, soit en effet une action de vertu. Mon roman et mes histoires, comme on voudra les appeler, tendent à une morale plus naturelle, et plus chrétienne, puisque par des faits certains, on y voit établie une partie du commerce de la vie.

trompettemarine a écrit: voici le début de la préface des Illustres Françaises de Challes