Mutation Perdir

Oui ce sont les adjoints qui ont obtenu un poste de chef pour beaucoup.

En tout cas merci pour le partage ! Je crois que mon ancienne adjointe qui était géniale a obtenu sa mutation. Certains vont avoir beaucoup de chance !

LadyOlenna a écrit:Oui ce sont les adjoints qui ont obtenu un poste de chef pour beaucoup.

Ou des postes qui n'ont toujours pas été pourvus, et sur lesquels défilent les faisant fonction depuis un an, deux, trois...

Chez nous, cela veut dire qu'on garde notre CDE Mais je ne me faisais pas d'illusion...

henriette a écrit:

Ganbatte a écrit:Il y a bien un fichier que la DGRH a fait, pour la première fois depuis plusieurs années, qui n'indique pas les noms des personnes mais uniquement les postes qui ont été pourvus... sauf que je ne retrouve pas le lien et que je ne sais pas comment insérer un PDF de 37 pages ici !

C'est ça ?
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
(Posté par [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] sur un autre fil)

Je découvre que mon CDE s'en va. Je ne sais pas si je dois m'en réjouir. Il a ses défauts, comme tout le monde, il est peut-être un peu autoritaire, manque parfois de transparence ... mais il a fait des choses intéressantes au lycée, et surtout il soutient les enseignants, et c'est peut-être l'essentiel en ce moment.
Peut-être que le (ou la) prochain(e) aura cette qualité. Je l'espère.

Parmi les contributeurs, certains ont-ils une idée du rang de classement approximatif requis pour obtenir l'académie souhaitée en qualité de stagiaire? Même s'il varie d'une année à l'autre, il doit y avoir des constantes. Je suppose que certaines (Rennes, Paris...) ne sont pas accessibles au delà du dixième rang alors que d'autres (Versailles, Créteil...), comme pour les professeurs, accueillent à bras ouverts...Ma question porte essentiellement sur l'académie de Lille, dont je découvre avec surprise qu'elle n'absorbe pas tous ses lauréats..
Par ailleurs combien de voeux peut-on / doit-on effectuer?
Enfin, en cas de refus, le poste d'origine est-il conservé ou à tout le moins le capital de "points" accumulé pour obtenir une réaffectation dans son corps d'origine?

Par refus, tu parles de ne pas prendre le poste du tout, ou de demander une réintégration à l'issue de l'année de stage ?

nevermind62 a écrit:Parmi les contributeurs, certains ont-ils une idée du rang de classement approximatif requis pour obtenir l'académie souhaitée en qualité de stagiaire? Même s'il varie d'une année à l'autre, il doit y avoir des constantes. Je suppose que certaines (Rennes, Paris...) ne sont pas accessibles au delà du dixième rang alors que d'autres (Versailles, Créteil...), comme pour les professeurs, accueillent à bras ouverts...Ma question porte essentiellement sur l'académie de Lille, dont je découvre avec surprise qu'elle n'absorbe pas tous ses lauréats..
Par ailleurs combien de voeux peut-on / doit-on effectuer?
Enfin, en cas de refus, le poste d'origine est-il conservé ou à tout le moins le capital de "points" accumulé pour obtenir une réaffectation dans son corps d'origine?

Dans un premier temps il faudra classer 10 académies maximum, puis une fois dans l'académie chacune fait sa sauce pour l'affectation sur poste.
Oui les académies sont plus ou moins demandées, comme pour les enseignants : aucune chance par exemple d'avoir l'académie de Bordeaux si on n'est pas dans les 100 premiers. Lors de mon stage j'ai pu obtenir l'académie de Rouen avec un classement à 500 et quelques. Je suis étonnée de ce que tu dis sur l'académie de Lille, c'est certainement parce que l'académie est petite et accueille peu de stagiaires. Peut-être par précaution vaut-il mieux mettre Amiens en suivant ?
Si tu refuses ton affectation tu perds le bénéfice du concours mais tu récupères ton poste et tes points, comme s'il ne s'était rien passé.

C'est en effet toujours selon le principe de l'offre et de la demande comme le souligne LadyOlenna, avec les fameuses variables "qui demande quoi" et "combien sont-ils à le demander".

Pour une académie donnée, on pourrait penser que les préparationnaires reçus et futurs stagiaires issus de cette même académie seraient "en concurrence" entre eux (je généralise au masculin pour simplifier la lecture).

Mais il faut aussi prendre en compte les préparationnaires des autres académies, actuellement encore enseignants.
Ceux qui ont dû muter "ailleurs" pour démarrer leur carrière et qui comptent sur ce nouveau concours pour revenir plus "rapidement" dans leur académie d'origine que s'ils étaient restés enseignants (avec une académie souhaitée qui est saturée dans leur discipline respective), ce qui explique peut-être la situation ou plutôt l'engorgement à Lille.

La capacité d'accueil absolue de l'académie concernée est aussi un facteur (plus elle est petite, moins il y a de postes), mais vous avez cerné les grandes lignes, confirmées juste au-dessus en effet : les académies attractives (ou déficitaires) pour les enseignants le sont également pour les perdir.

En résumé, il me semble difficile de dégager une véritable constante en s'appuyant sur le rang de classement.

Dix voeux maximum (si aucun n'est satisfait, affectation selon nécessité de service) avant le saut dans le grand bain pour les trois premières années sur le même poste.



Je confirme aussi que le poste d'origine ainsi que les points sont conservés (heureusement après tout que l'on ne perd pas le bénéfice du concours d'enseignement tout de suite, mais seulement après pour bien engluer les personnes dans leur carrière - "tout va bien".

Je m'en étais assurée pendant mon année de stage, quand j'avais remarqué que l'on m'avait idéalisé et donc menti sur le métier (pourtant, j'avais déjà une petite expérience comme faisant fonction) : séminaire après séminaire à Chasseneuil, l'idéologie du management dur et puant s'installait dans la plupart des esprits déjà vidés de tout sens critique à cause de la sacro-sainte "loyauté" à avoir.

C'était vraiment malaisant. Des personnes sympathiques et humanistes sont devenus arrogantes et se sont transformées en petits chefs dans le meilleur des cas, en monstres assoiffés de pouvoir dans le pire.

Et je confirme malheureusement les propos rapportés de Cléopatra2 pour les soirées (à vomir, et pas seulement à cause de l'alcool).
En tant que femme, j'ai pu revivre les (mauvais) côtés des soirées étudiantes, je me demandais si c'était une soupape pour compenser la pression infligée de toute part et la schizophrénie éthique et morale naissante chez un certain nombre de collègues.

Je ne voulais pas ressembler à cela car je n'aurais plus pu me regarder dans un miroir. J'avais alors préféré reprendre une conscience libre et surtout : juste. Mais je m'égare, pardon.

leikosol a écrit:C'est en effet toujours selon le principe de l'offre et de la demande comme le souligne LadyOlenna, avec les fameuses variables "qui demande quoi" et "combien sont-ils à le demander".

Pour une académie donnée, on pourrait penser que les préparationnaires reçus et futurs stagiaires issus de cette même académie seraient "en concurrence" entre eux (je généralise au masculin pour simplifier la lecture).

Mais il faut aussi prendre en compte les préparationnaires des autres académies, actuellement encore enseignants.
Ceux qui ont dû muter "ailleurs" pour démarrer leur carrière et qui comptent sur ce nouveau concours pour revenir plus "rapidement" dans leur académie d'origine que s'ils étaient restés enseignants (avec une académie souhaitée qui est saturée dans leur discipline respective), ce qui explique peut-être la situation ou plutôt l'engorgement à Lille.

La capacité d'accueil absolue de l'académie concernée est aussi un facteur (plus elle est petite, moins il y a de postes), mais vous avez cerné les grandes lignes, confirmées juste au-dessus en effet : les académies attractives (ou déficitaires) pour les enseignants le sont également pour les perdir.

En résumé, il me semble difficile de dégager une véritable constante en s'appuyant sur le rang de classement.

Dix voeux maximum (si aucun n'est satisfait, affectation selon nécessité de service) avant le saut dans le grand bain pour les trois premières années sur le même poste.



Je confirme aussi que le poste d'origine ainsi que les points sont conservés (heureusement après tout que l'on ne perd pas le bénéfice du concours d'enseignement tout de suite, mais seulement après pour bien engluer les personnes dans leur carrière - "tout va bien".

Je m'en étais assurée pendant mon année de stage, quand j'avais remarqué que l'on m'avait idéalisé et donc menti sur le métier (pourtant, j'avais déjà une petite expérience comme faisant fonction) : séminaire après séminaire à Chasseneuil, l'idéologie du management dur et puant s'installait dans la plupart des esprits déjà vidés de tout sens critique à cause de la sacro-sainte "loyauté" à avoir.

C'était vraiment malaisant. Des personnes sympathiques et humanistes sont devenus arrogantes et se sont transformées en petits chefs dans le meilleur des cas, en monstres assoiffés de pouvoir dans le pire.

Et je confirme malheureusement les propos rapportés de Cléopatra2 pour les soirées (à vomir, et pas seulement à cause de l'alcool).
En tant que femme, j'ai pu revivre les (mauvais) côtés des soirées étudiantes, je me demandais si c'était une soupape pour compenser la pression infligée de toute part et la schizophrénie éthique et morale naissante chez un certain nombre de collègues.

Je ne voulais pas ressembler à cela car je n'aurais plus pu me regarder dans un miroir. J'avais alors préféré reprendre une conscience libre et surtout : juste. Mais je m'égare, pardon.

Je n'ai pas tout compris à tous ces sous-entendus. Si c'est tant "à vomir", pourquoi laisse-t-on faire ?

C'est sans doute une question de sensibilité : moi, cela me répugne, pour d'autres, c'est "festif", "y a pas de mal à se détendre un peu"...

Evidemment, cela ne concernait pas la totalité de la promo, mais ce n'était pas non plus négligeable.
Les potins circulaient en permanence durant les pauses en journée, ce qui ne permettait même pas d'en faire abstraction...

leikosol a écrit:C'est en effet toujours selon le principe de l'offre et de la demande comme le souligne LadyOlenna, avec les fameuses variables "qui demande quoi" et "combien sont-ils à le demander".

Pour une académie donnée, on pourrait penser que les préparationnaires reçus et futurs stagiaires issus de cette même académie seraient "en concurrence" entre eux (je généralise au masculin pour simplifier la lecture).

Mais il faut aussi prendre en compte les préparationnaires des autres académies, actuellement encore enseignants.
Ceux qui ont dû muter "ailleurs" pour démarrer leur carrière et qui comptent sur ce nouveau concours pour revenir plus "rapidement" dans leur académie d'origine que s'ils étaient restés enseignants (avec une académie souhaitée qui est saturée dans leur discipline respective), ce qui explique peut-être la situation ou plutôt l'engorgement à Lille.

La capacité d'accueil absolue de l'académie concernée est aussi un facteur (plus elle est petite, moins il y a de postes), mais vous avez cerné les grandes lignes, confirmées juste au-dessus en effet : les académies attractives (ou déficitaires) pour les enseignants le sont également pour les perdir.

En résumé, il me semble difficile de dégager une véritable constante en s'appuyant sur le rang de classement.

Dix voeux maximum (si aucun n'est satisfait, affectation selon nécessité de service) avant le saut dans le grand bain pour les trois premières années sur le même poste.



Je confirme aussi que le poste d'origine ainsi que les points sont conservés (heureusement après tout que l'on ne perd pas le bénéfice du concours d'enseignement tout de suite, mais seulement après pour bien engluer les personnes dans leur carrière - "tout va bien".

Je m'en étais assurée pendant mon année de stage, quand j'avais remarqué que l'on m'avait idéalisé et donc menti sur le métier (pourtant, j'avais déjà une petite expérience comme faisant fonction) : séminaire après séminaire à Chasseneuil, l'idéologie du management dur et puant s'installait dans la plupart des esprits déjà vidés de tout sens critique à cause de la sacro-sainte "loyauté" à avoir.

C'était vraiment malaisant. Des personnes sympathiques et humanistes sont devenus arrogantes et se sont transformées en petits chefs dans le meilleur des cas, en monstres assoiffés de pouvoir dans le pire.

Et je confirme malheureusement les propos rapportés de Cléopatra2 pour les soirées (à vomir, et pas seulement à cause de l'alcool).
En tant que femme, j'ai pu revivre les (mauvais) côtés des soirées étudiantes, je me demandais si c'était une soupape pour compenser la pression infligée de toute part et la schizophrénie éthique et morale naissante chez un certain nombre de collègues.

Je ne voulais pas ressembler à cela car je n'aurais plus pu me regarder dans un miroir. J'avais alors préféré reprendre une conscience libre et surtout : juste. Mais je m'égare, pardon.

Ben c'est pas obligé hein, moi je continue à me regarder dans un miroir et je rigole beaucoup lors des séminaires management (je relève des perles que je poste ici ).
Et les soirées arrosées du type "étudiante" à Chasseneuil du Poitou c'est pas obligé non plus, perso à 21h30 j'étais au lit dans ma chambre d'hôtel avec mon bouquin, quitte à passer pour une mamie ou une asociale.

Ce n'est en rien une obligation, c'est certain, mais il faut la force de caractère nécessaire pour ne pas "suivre le mouvement", quitte à ne pas renvoyer une "bonne image". Vous, vous aviez cette force, comme d'autres probablement aussi : j'en suis admirative.

Ce qui m'a surtout fait mal, c'était de voir la transformation (en fait, mutation), notamment chez une personne en particulier avec qui j'avais rapidement sympathisé au premier séminaire, qui m'avait même aidée pour plusieurs choses, et dont je voyais l'évolution néfaste au fur et à mesure de l'année.

Elle était adorable, profondément gentille, authentique et sincère. Elle était devenue autoritaire, égoïste et infecte au dernier séminaire. Méconnaissable, deux personnes radicalement différentes. Elle était loin d'être la seule.


Beaucoup ont littéralement bu la "bonne" parole, admiratifs des "idoles" qui les ont formés et/ou accompagnés dans cette voie. Peut-être le syndrome du bon élève qui ne remet pas en cause la parole du maître...

Je ne pouvais plus cautionner cela, même "passivement".

Ce sont des vécus très personnels et très différents...

En ce qui me concerne, mes copains et moi étions très dubitatifs sur bon nombre de conférences, quand nous n'étions pas goguenards... Quant aux apéros et soirées, je n'ai jamais ressenti la moindre pression pour y participer, certains apprécient un côté grosse fiesta, d'autres comme moi préféraient dîner à Poitiers. Pour l'image projetée, je ne sais pas si j'ai été jugé, mais si c'est arrivé c'est par des personnes d'autres académies que je ne risquais pas de revoir, donc je ne m'en serais certainement pas préoccupé.

La vraie formation, qui peut influencer l'exercice professionnel et l'attitude générale, elle est surtout dans le quotidien, entre ce qu'envoient le chef d'établissement d'accueil et les équipes.

Et à la fin, on est le premier responsable de ce qu'on a fait, et de ce qu'on a choisi de devenir. Que mon voisin devienne un imbécile, c'est son problème tant que je suis raccord avec mes propres valeurs.

D'ailleurs j'ai gagné un nouveau séjour de 3 jours à Chasseneuil du Poitou mi-juin à la suite de ma nomination sur un poste de principale à la rentrée

Bravo LadyOlenna !

J'espère qu'on va nous briefer sur toute la partie financière et budgétaire parce que je suis pas du tout au point.

Peut-être est-ce parce que j'ai une mue tardive, parce que l'obtention du concours sur liste complémentaire me donne l'impression de ne pas être aussi légitime que d'autres ou simplement mon tempérament mais je ne ressens pas les ailes du pouvoir. J'ai plus l'impression d'être devenu un soutier qui alimente en charbon une terrible chaudière ou un plâtrier qui colmate les fissures.... Pour moi, les arrogants l'étaient déjà lors de la préparation. Pour Poitiers, y a de quoi se marrer mais en restant soft. J'étais même bien contente de me poser un peu. Je n'ai pas le sentiment d'avoir changer. Tout au plus je m'étonne de découvrir la diversité d'une salle des profs avec des degrés d'implication extrêmement variable, ce que je ne soupçonnais peut-être pas avant.
Bravo pour ta mutation LadyOlenna. Je croise les doigts pour obtenir la mienne cette année et revenir à une distance raisonnable de ma famille.

Bravo pour la promotion LadyOlenna!
Je viens d'être reçue, j'en suis très heureuse mais je me pose déjà beaucoup de questions sur la formation à Poitiers, j'espère que ça ira car le côté beuverie / coucheries me répugne aussi.. Je trouve aussi que certains sont très arrogants déjà pendant la préparation, certains semblent ne pas avoir beaucoup de respect pour les profs non plus et quand on les voit réussir avec de bons classements ça fait un peu mal, je suis persuadée qu'il y a plein de profils de perdir et j'espère que je trouverai ma place et que je me sentirai pas trop à part

Félicitations succulente pour ta réussite au concours !  

Il faut relativiser les soirées à Poitiers, les collègues qui lisent vont croire que c'est l'orgie
Il y a des soirées sympa, c'est agréable de boire un verre ou deux avec les collègues en fin de journée, mais rien n'oblige à traîner bourré à deux heures du mat dans les cafés. Je me souviens d'une soirée (le jeudi soir, la seule que j'avais faite) où on avait dansé jusqu'au milieu de la nuit, c'était vraiment bon enfant. Peut-être certains ont mal fini la soirée, peut-être certains se sont trompés de chambre en rentrant dans leur hôtel mais ça reste marginal.

Concernant la formation, il y a de tout. Des choses très intéressantes (notamment tout l'aspect juridique je trouve), d'autres risibles. Il est vrai que certains collègues se gaussent des enseignants, on m'a longtemps dit lors de ma première année que je n'avais toujours pas fait ma mue. Si faire sa mue signifie être odieux avec les enseignants j'espère ne jamais la faire. Tout ça pour dire qu'on peut rester fidèle à ses valeurs dans ce métier, le chef avec qui je bosse cette année est très humain (on en a tous connus d'ailleurs).

LadyOlenna a écrit:Il est vrai que certains collègues se gaussent des enseignants, on m'a longtemps dit lors de ma première année que je n'avais toujours pas fait ma mue. Si faire sa mue signifie être odieux avec les enseignants j'espère ne jamais la faire. Tout ça pour dire qu'on peut rester fidèle à ses valeurs dans ce métier, le chef avec qui je bosse cette année est très humain (on en a tous connus d'ailleurs).

Tu résumes exactement ce que je veux être / ou ne pas être. A Année+2, j'ai l'impression de tenir bon.
Bienvenue Succulente. La coupure de Poitiers fait du bien. Pour le reste, c'est comme partout, qui se ressemble..... J'ai fait des restos, bu quelques Mojitos, mais rien qui me ferait honte à raconter.

Félicitations Lady Olenna !
Félicitations à toi aussi Succulente !

Contente pour toi Lady Olenna.

Merci pour vos réponses !
Me voilà en partie rassuré sur le fait de retrouver mon poste en cas de refus d'affectation .
Pr le reste,s'il existait un tableau indiquant le rang de classement du dernier entrant par académie, ce serait génial mais j'en doute.Sachant q de tte façon, une académie c'est vaste...
A priori,ce sera dans l'ordre Lille - Rennes (pour le plaisir de l'écrire !) - Poitiers - Normandie - Bordeaux - Nantes - Toulouse - Amiens- Dijon et/ou Nice. Avc un classement dans la deuxième centaine,ça pt passer?
S'agissant de Lille,c'est une académie peu étendue, mais on ne pt la considérer vraiment comme petite (3e plus gros effectifs je crois).Et même s'il arrive qu'un professeur ne l'obtienne pas en début de carrière (Ce fut mon cas),on y revient vite me semble-t-il...

Oui avec ton classement je pense que ça devrait passer, sur Normandie au moins.
Félicitations d'ailleurs à toi aussi pour ta réussite au concours !

Il commence à y avoir beaucoup de perdirs sur ce forum

Tu as raison !!! Quelle horreur, on se fait coloniser !!!

Enfin, tant qu il n'y a pas d'IPR, on n'est pas totalement passés du côté obscur.