La prérentrée 2014 sera finalement le 1er septembre !

Dionysos a écrit:
Et quand leurs congés sont pris en fonction des nôtres on fait quoi ?
On fonctionne en vase-clos ? Nous, nos intérêts, notre petite caste ? Ou on accepte d'en discuter, comme d'un problème de société ?

Les congés des enseignants sont un problème pour toute la société? Donc, en fait, l'école est une garderie. Pas besoin d'avoir de vacances pour préparer ses cours. De gentils GO encartés bien où il faut sont là pour nous les fournir, ou mieux, il suffit de flanquer les élèves devant un pc avec quelques ex-profs garde-chiourme.

Le vrai problème de société, ce sont les inégalités salariales qui se creusent. Ce sont les spéculations sur les dettes, ce sont les évasions fiscales et les fraudes massives de quelques professions. Certainement pas les congés d'été des profs.

Dionysos a écrit:
Pour ceux qui s'absentent tant que court l'obligation scolaire : tant pis. Mais pour les autres ?
Cette idée toute simple que des modifications dans le calendrier ont un impact sur notre travail et sur notre vie de famille, mais aussi sur celle d'une partie des élèves dont les parents ne demandent qu'à pouvoir suivre / comprendre / aider dans leur scolarité, ne vous vient pas à l'esprit ?

Tu crois que cela vient à l'esprit des contrôleurs aériens lorsqu'ils balancent des grèves pendant les vacances?
Tu crois que c'est parce qu'on ne dit rien que les gens vont soudain se mettre à apprécier la profession et le ministère de se dire "oh, ils sont gentils finalement, si on les augmentait, après tout, ils ont un salaire de merde eut égard à leur niveau d'étude et à leur rôle dans la société."?
tu crois que cela va changer fondamentalement le suivi des élèves par leurs parents le fait de rentrer un mardi au lieu du lundi?
C'est ce type de discours qui fait que la hiérarchie peut nous piétiner en toute tranquillité.
Depuis que les syndicats sont "compréhensifs", réformistes, adeptes de la cogestion, les conditions de travail et le niveau de vie des salariés que sont les enseignants se sont dégradés, ce qui est loin d'être le cas dans d'autres pans de la fonction publique, par exemple.
Un gel de salaire de sept ans est inenvisageable pour un cadre dans le privé (je rappelle que nous sommes censés être des cadres de la fonction publique, mais nous ne sommes pas vraiment considérés comme tels par notre employeur): ça fait marrer mes copains du privé de voir qu'on la ferme lorsque on annonce cela. En fait, ils hallucinent complètement et me disent benoîtement que notre employeur a bien raison de nous marcher dessus. Et là, on culpabilise parce qu'on rend un jour de congé? On n'aura JAMAIS de cadeau en retour de notre silence, l'expérience l'a bien montré.

Et bon, comment ne pas voir ce qui va se passer ensuite (la stratégie des petits pas dont je parlais)? Une hypothèse parfaitement crédible a été énoncée par un collègue plus haut (les réunions et formations sur le temps sans élèves). Tu rêves debout si tu penses que ces rognures s'accompagneront d'une hausse de salaire.

ysabel a écrit:

Gryphe a écrit:

may68 a écrit:En 2015-2016 le calendrier prévoyait de reprendre le 31.08 pour les élèves !!!

prévoit toujours.

les années scolaires n'auront donc plus 365 jours... ça dépendra des crus   

Et reprendre le 28 août, cela veut dire payer 4 jours de plus aux nouveaux personnels.

Déjà, dans de nombreuses académies les premières formations sont fin août : 3 jours et déplacement à la charge du stagiaire (et vaut mieux éviter les accidents, ça ne peut être considéré un accident du travail).

Pour ma part c'était qu'un seul jour, mais tout de même...

Alors faire rentrer tous les stagiaires fin août en les payant, je n'y crois pas un instant.

Sinon je viens d'avoir l'arrêté concernant mon affectation : "date d'effet de l'affectation : 01/09/2014". Eh bien je préfère pour le coup que ma prérentrée se fasse ce jour-là qu'en août (à moins d'aller dans mon ancien établissement distant de plusieurs centaines de kilomètres ?).

atrium a écrit:Même eux sont contre:

http://www.se-unsa.org/spip.php?article6756

Invoquant un problème informatique, le ministère de l’Education nationale a décidé, de manière unilatérale, de reporter la rentrée 2014 des enseignants du 29 août au 1er septembre et par conséquent, celle des élèves du 1er au 2 septembre. Alors que le calendrier scolaire 2014/2015 est déjà arrêté, la question du rattrapage de cette journée se pose désormais.
Deux options s’offrent au ministère :
- Cette journée est scindée en deux demi-journées à récupérer durant l’année scolaire, ce qu’avait justement cherché à éviter le calendrier en fixant la prérentrée au 29 août…
Cette solution, expérimentée dans l’année en cours, a montré ses limites. Elle désorganise l’emploi du temps des élèves, de leurs familles et de leurs enseignants. Qui plus est, elle prendrait dans le premier degré un relief tout particulier au moment où se généralise la réforme des rythmes, raccourcissant la journée de classe. Cette année déjà, cette formule a été testée par les 20% des écoles déjà passées aux 4 jours et demi. L’expérience a montré qu’il vaut mieux laisser les écoles trouver leur rythme plutôt qu’ajouter de la confusion avec deux mercredis entiers au calendrier.

- Cette journée est reportée en fin d’année. Elle se terminerait alors un lundi, le 6 juillet, date qui cumule les inconvénients et qui avait été initialement exclue par le ministère.

Aucune de ces deux solutions n’apparaît sérieuse. Ce n’est ni aux élèves, ni aux enseignants de faire les frais d’une gestion calamiteuse de ce dossier.
Pour le SE-Unsa, cette journée ne doit donc pas être rattrapée.

il est bien ce communiqué, surtout ce que j'ai mis en gras.

Oui, très bien.

Mouais, mais qui ne leur donne absolument pas une nouvelle virginité après les coups de Jarnac qu'ils nous ont asséné ces derniers mois.
Et j'ai bien peur qu'à coups de communiqués comme celui là, on l'oublie un peu vite.

Presse-purée a écrit:

atrium a écrit:Même eux sont contre:

http://www.se-unsa.org/spip.php?article6756

Invoquant un problème informatique, le ministère de l’Education nationale a décidé, de manière unilatérale, de reporter la rentrée 2014 des enseignants du 29 août au 1er septembre et par conséquent, celle des élèves du 1er au 2 septembre. Alors que le calendrier scolaire 2014/2015 est déjà arrêté, la question du rattrapage de cette journée se pose désormais.
Deux options s’offrent au ministère :
- Cette journée est scindée en deux demi-journées à récupérer durant l’année scolaire, ce qu’avait justement cherché à éviter le calendrier en fixant la prérentrée au 29 août…
Cette solution, expérimentée dans l’année en cours, a montré ses limites. Elle désorganise l’emploi du temps des élèves, de leurs familles et de leurs enseignants. Qui plus est, elle prendrait dans le premier degré un relief tout particulier au moment où se généralise la réforme des rythmes, raccourcissant la journée de classe. Cette année déjà, cette formule a été testée par les 20% des écoles déjà passées aux 4 jours et demi. L’expérience a montré qu’il vaut mieux laisser les écoles trouver leur rythme plutôt qu’ajouter de la confusion avec deux mercredis entiers au calendrier.

- Cette journée est reportée en fin d’année. Elle se terminerait alors un lundi, le 6 juillet, date qui cumule les inconvénients et qui avait été initialement exclue par le ministère.

Aucune de ces deux solutions n’apparaît sérieuse. Ce n’est ni aux élèves, ni aux enseignants de faire les frais d’une gestion calamiteuse de ce dossier.
Pour le SE-Unsa, cette journée ne doit donc pas être rattrapée.

il est bien ce communiqué, surtout ce que j'ai mis en gras.

Le SE-UNSA veut-il bien ajouter qu'ils demandent à ses adhérents (et les autres du coup) de travailler gratuitement ?

Dionysos a écrit:Mais ca n'est pas une intervention lumineuse j'en conviens.

J'entends juste les non-profs me rire au nez avec l'argument du "psychologiquement".

C'est un constat, libre à vous de le partager ou non, mais vous pouvez difficilement me le contester.

Alors là loin de moi l'idée de le contester... le soir même une amie me racontait avoir halluciné avec son mari en entendant ça à la télé.
D'abord parce que elle sait à quel point je bosse pendant les vacances et aussi parce que elle n'a pu qu'anticiper les dégâts sur l'opinion publique. Elle est AS dans la FPT, son mari est dans la FPH, on est loin des "anti fonctionnaires"

trompettemarine a écrit:

Presse-purée a écrit:

atrium a écrit:Même eux sont contre:

http://www.se-unsa.org/spip.php?article6756

Invoquant un problème informatique, le ministère de l’Education nationale a décidé, de manière unilatérale, de reporter la rentrée 2014 des enseignants du 29 août au 1er septembre et par conséquent, celle des élèves du 1er au 2 septembre. Alors que le calendrier scolaire 2014/2015 est déjà arrêté, la question du rattrapage de cette journée se pose désormais.
Deux options s’offrent au ministère :
- Cette journée est scindée en deux demi-journées à récupérer durant l’année scolaire, ce qu’avait justement cherché à éviter le calendrier en fixant la prérentrée au 29 août…
Cette solution, expérimentée dans l’année en cours, a montré ses limites. Elle désorganise l’emploi du temps des élèves, de leurs familles et de leurs enseignants. Qui plus est, elle prendrait dans le premier degré un relief tout particulier au moment où se généralise la réforme des rythmes, raccourcissant la journée de classe. Cette année déjà, cette formule a été testée par les 20% des écoles déjà passées aux 4 jours et demi. L’expérience a montré qu’il vaut mieux laisser les écoles trouver leur rythme plutôt qu’ajouter de la confusion avec deux mercredis entiers au calendrier.

- Cette journée est reportée en fin d’année. Elle se terminerait alors un lundi, le 6 juillet, date qui cumule les inconvénients et qui avait été initialement exclue par le ministère.

Aucune de ces deux solutions n’apparaît sérieuse. Ce n’est ni aux élèves, ni aux enseignants de faire les frais d’une gestion calamiteuse de ce dossier.
Pour le SE-Unsa, cette journée ne doit donc pas être rattrapée.

il est bien ce communiqué, surtout ce que j'ai mis en gras.

Le SE-UNSA veut-il bien ajouter qu'ils demandent à ses adhérents (et les autres du  coup) de travailler gratuitement ?

N'a-t-on pas eu des jours de vacances en plus à la Toussaint ? (On peut être contre cette mesure bien sûr, mais elle existe)

Psychologiquement, je ne peux pas supporter de ne pas bosser le 29/8 si d'autres bossent en ne le supportant pas psychologiquement

hobbit a écrit:

ysabel a écrit:

Gryphe a écrit:
prévoit toujours.

les années scolaires n'auront donc plus 365 jours... ça dépendra des crus   

Et reprendre le 28 août, cela veut dire payer 4 jours de plus aux nouveaux personnels.

Déjà, dans de nombreuses académies les premières formations sont fin août : 3 jours et déplacement à la charge du stagiaire (et vaut mieux éviter les accidents, ça ne peut être considéré un accident du travail).

Voilà, et on vient nous faire chier avec un jour de fin août qu'il serait scandaleux de retrouver.

Certains syndicalistes déconnent sur Twitter au sujet de ce 29, c'est peut-être qu'ils ne sont pas bien au courant de ce qui arrive aux stagiaires fin août.
La justification avancée par le ministre paraît débile, mais elle est fondée. Bercy ne veut pas payer en août (et les poules auront des dents lorsqu'ils accepteront), parce que cela veut dire qu'on nomme les stagiaires au premier août et qu'on leur doit donc un mois de traitement. on en arrive donc à cette situation magnifique où des stagiaires (de jeunes collègues pas très au courant de leurs droits et qui balisent légitimement pour leur tit') sont "invités" à venir. Parfois, ils doivent payer leur hôtel de leur poche, vu qu'ils ne sont pas encore nommés, l'essence ou le train est pour leur pomme aussi.
C'est peut-être davantage de cela dont on devrait avoir "honte" dans l'EN, plutôt que du 29 août.
D'ailleurs, pourquoi est-ce que quelqu'un nommé au premier septembre serait tenu d'aller le 29 août dans son nouveau bahut? Il se passe quoi en cas d'accident? Vous croyez que le rectorat va s'excuser?
Donc, se flageller et se sentir coupable face à un tel employeur, franchement, ça me dépasse.

trompettemarine a écrit:

Presse-purée a écrit:

atrium a écrit:Même eux sont contre:

http://www.se-unsa.org/spip.php?article6756

Invoquant un problème informatique, le ministère de l’Education nationale a décidé, de manière unilatérale, de reporter la rentrée 2014 des enseignants du 29 août au 1er septembre et par conséquent, celle des élèves du 1er au 2 septembre. Alors que le calendrier scolaire 2014/2015 est déjà arrêté, la question du rattrapage de cette journée se pose désormais.
Deux options s’offrent au ministère :
- Cette journée est scindée en deux demi-journées à récupérer durant l’année scolaire, ce qu’avait justement cherché à éviter le calendrier en fixant la prérentrée au 29 août…
Cette solution, expérimentée dans l’année en cours, a montré ses limites. Elle désorganise l’emploi du temps des élèves, de leurs familles et de leurs enseignants. Qui plus est, elle prendrait dans le premier degré un relief tout particulier au moment où se généralise la réforme des rythmes, raccourcissant la journée de classe. Cette année déjà, cette formule a été testée par les 20% des écoles déjà passées aux 4 jours et demi. L’expérience a montré qu’il vaut mieux laisser les écoles trouver leur rythme plutôt qu’ajouter de la confusion avec deux mercredis entiers au calendrier.

- Cette journée est reportée en fin d’année. Elle se terminerait alors un lundi, le 6 juillet, date qui cumule les inconvénients et qui avait été initialement exclue par le ministère.

Aucune de ces deux solutions n’apparaît sérieuse. Ce n’est ni aux élèves, ni aux enseignants de faire les frais d’une gestion calamiteuse de ce dossier.
Pour le SE-Unsa, cette journée ne doit donc pas être rattrapée.

il est bien ce communiqué, surtout ce que j'ai mis en gras.

Le SE-UNSA veut-il bien ajouter qu'ils demandent à ses adhérents (et les autres du  coup) de travailler gratuitement ?

Je suppose que tout le monde a bien remarqué que le SE UNSA met en avant les élèves et que nous ne passons qu'après. Très révélateur...

PabloPE a écrit:

Dionysos a écrit:Mais ca n'est pas une intervention lumineuse j'en conviens.

J'entends juste les non-profs me rire au nez avec l'argument du "psychologiquement".

C'est un constat, libre à vous de le partager ou non, mais vous pouvez difficilement me le contester.

Alors là loin de moi l'idée de le contester... le soir même une amie me racontait avoir halluciné avec son mari en entendant ça à la télé.
D'abord parce que elle sait à quel point je bosse pendant les vacances et aussi parce que elle n'a pu qu'anticiper les dégâts sur l'opinion publique. Elle est AS dans la FPT, son mari est dans la FPH, on est loin des "anti fonctionnaires"

Ce sont sans doute de dangereux casseurs de grèves, collabos à la solde du pouvoir qui ne pensent jamais à l'intérêt des profs.

Isis39 a écrit:

trompettemarine a écrit:

Presse-purée a écrit:

il est bien ce communiqué, surtout ce que j'ai mis en gras.

Le SE-UNSA veut-il bien ajouter qu'ils demandent à ses adhérents (et les autres du  coup) de travailler gratuitement ?

N'a-t-on pas eu des jours de vacances en plus à la Toussaint ? (On peut être contre cette mesure bien sûr, mais elle existe)

Pas demandée par nous. La bonté d'un employeur modèle, sans doute...
Et bon, vu notre traitement indiciaire, vu notre absence totale de primes, vu que cela ne coûte rien à l'Etat, vu que cela a été réclamé à cor et à cri par nos amis de la FCPE... tout le monde s'y retrouve.
Notons par ailleurs que dans certaines académies, c'est bien le jeudi 29 octobre qui a été rattrapé sur deux mercredis. Bref...

Presse-purée a écrit:

Isis39 a écrit:

trompettemarine a écrit:


Le SE-UNSA veut-il bien ajouter qu'ils demandent à ses adhérents (et les autres du  coup) de travailler gratuitement ?

N'a-t-on pas eu des jours de vacances en plus à la Toussaint ? (On peut être contre cette mesure bien sûr, mais elle existe)

Pas demandée par nous. La bonté d'un employeur modèle, sans doute...
Et bon, vu notre traitement indiciaire, vu notre absence totale de primes, vu que cela ne coûte rien à l'Etat, vu que cela a été réclamé à cor et à cri par nos amis de la FCPE... tout le monde s'y retrouve.
Notons par ailleurs que dans certaines académies, c'est bien le jeudi 29 octobre qui a été rattrapé sur deux mercredis. Bref...

On est d'accord.

Ces 2 jours sont un cadeau fait à la FCPE. Nous les rattrapons au prix d'un bazar pas possible, particulièrement ceux qui en primaire sont déjà à 4,5 jours. Nous ne devons donc rien, puisque nous n'y avons rien gagné.

Doit y avoir le tourisme dans cette histoire, pour avoir deux semaines pleines, non?

Presse-purée a écrit:Doit y avoir le tourisme dans cette histoire, pour avoir deux semaines pleines, non?

Et tu peux parier qu'ils ne sont pas pour rien dans le recul de la pré rentrée, même si c'est nous qui nous en prenons plein la tête.

atrium a écrit:

Presse-purée a écrit:Doit y avoir le tourisme dans cette histoire, pour avoir deux semaines pleines, non?

Et tu peux parier qu'ils ne sont pas pour rien dans le recul de la pré rentrée, même si c'est nous qui nous en prenons plein la tête.

Ben non, on a plus les moyens de partir en vacances alors...

Dionysos a écrit:

atrium a écrit:

Presse-purée a écrit:Doit y avoir le tourisme dans cette histoire, pour avoir deux semaines pleines, non?

Et tu peux parier qu'ils ne sont pas pour rien dans le recul de la pré rentrée, même si c'est nous qui nous en prenons plein la tête.

Ben non, on a plus les moyens de partir en vacances alors...

Il paraîtrait que certains de nos collègues auraient des conjoints, dont certains ne sont pas enseignants.

Dionysos a écrit:

atrium a écrit:

Presse-purée a écrit:Doit y avoir le tourisme dans cette histoire, pour avoir deux semaines pleines, non?

Et tu peux parier qu'ils ne sont pas pour rien dans le recul de la pré rentrée, même si c'est nous qui nous en prenons plein la tête.

Ben non, on a plus les moyens de partir en vacances alors...

http://www.lefigaro.fr/conso/2014/05/17/05007-20140517ARTFIG00114-le-budget-moyen-des-vacances-d-ete-est-de-889-euros.php

Par ailleurs, étant donné que j'ai refusé toutes les HS, effectivement, c'est compliqué pour ma famille et moi. Mais c'est pas grave, je suis un idiot à ne pas en prendre.

Presse-purée a écrit:

Dionysos a écrit:

atrium a écrit:

Et tu peux parier qu'ils ne sont pas pour rien dans le recul de la pré rentrée, même si c'est nous qui nous en prenons plein la tête.

Ben non, on a plus les moyens de partir en vacances alors...

http://www.lefigaro.fr/conso/2014/05/17/05007-20140517ARTFIG00114-le-budget-moyen-des-vacances-d-ete-est-de-889-euros.php

Par ailleurs, étant donné que j'ai refusé toutes les HS, effectivement, c'est compliqué pour ma famille et moi. Mais c'est pas grave, je suis un idiot à ne pas en prendre.

Cela vous regarde. Pour ma part contractuel en CDI, PP avec 2 HSA, 1692.63 euros tombent chaque mois dans mon escarcelle. 1400 environ pendant l'été.

Presse-purée a écrit:
Et bon, comment ne pas voir ce qui va se passer ensuite (la stratégie des petits pas dont je parlais)? Une hypothèse parfaitement crédible a été énoncée par un collègue plus haut (les réunions et formations sur le temps sans élèves). Tu rêves debout si tu penses que ces rognures s'accompagneront d'une hausse de salaire.

Allègre, en son temps, l'avait appelé de ses vœux. Il avait dit, très fier de sa trouvaille, qu'il ne comprenait pas pourquoi le système organisait l'absentéisme des profs et avait plaidé pour que les réunions ou les formations aient lieu en dehors des jours de cours.

Isis39 a écrit:

N'a-t-on pas eu des jours de vacances en plus à la Toussaint ? (On peut être contre cette mesure bien sûr, mais elle existe)

Je ne comprends pas pourquoi tu dis ça, Isis. Ces jours ne nous ont pas été donnés ; l'année scolaire a été rallongée de deux jours. C'est écrit sur le site du ministère : là.

Ce calendrier est conforme à celui de 2012-2013, qui avait obtenu l’aval du Conseil supérieur de l’éducation. Le nombre de jours de vacances est inchangé : les vacances de la Toussaint comptent désormais deux semaines complètes, deux journées sont ajoutées en novembre et en juin.

J'ai été retenu pour un stage à Dublin cet été, donc pendant les vacances scolaires. Je serai nourri, logé et blanchi et devrai assister à des cours en revanche je dois y aller par mes propres moyens et donc acheter mon billet d'avion...mais on va me faire ch... pour rattraper une malheureuse journée le mercredi après-midi, que je mets en général à profit pour (surprise) travailler. J'aimerais aussi que le Ministère me paye: les heures passées à organiser des voyages à l'étranger pour mes élèves et surtout cette longue soirée passée à tenir la buvette de la soirée loto de l'association des parents d'élèves.

Lilypims a écrit:

Isis39 a écrit:

N'a-t-on pas eu des jours de vacances en plus à la Toussaint ? (On peut être contre cette mesure bien sûr, mais elle existe)

Je ne comprends pas pourquoi tu dis ça, Isis. Ces jours ne nous ont pas été donnés ; l'année scolaire a été rallongée de deux jours. C'est écrit sur le site du ministère : là.

Ce calendrier est conforme à celui de 2012-2013, qui avait obtenu l’aval du Conseil supérieur de l’éducation. Le nombre de jours de vacances est inchangé : les vacances de la Toussaint comptent désormais deux semaines complètes, deux journées sont ajoutées en novembre et en juin.

D'où un sacré b...l ! Rattraper ces deux jours + le pont de l'Ascension qui nous a été imposé cette année dans mon académie. On sait qu'on vient plusieurs mercredis après-midi, mais on ne sait plus bien lequel rattrape quoi + bien sûr la Pentecôte, pardon, la Journée de solidarité.

Thalia de G a écrit:

Lilypims a écrit:

Isis39 a écrit:

N'a-t-on pas eu des jours de vacances en plus à la Toussaint ? (On peut être contre cette mesure bien sûr, mais elle existe)

Je ne comprends pas pourquoi tu dis ça, Isis. Ces jours ne nous ont pas été donnés ; l'année scolaire a été rallongée de deux jours. C'est écrit sur le site du ministère : là.

Ce calendrier est conforme à celui de 2012-2013, qui avait obtenu l’aval du Conseil supérieur de l’éducation. Le nombre de jours de vacances est inchangé : les vacances de la Toussaint comptent désormais deux semaines complètes, deux journées sont ajoutées en novembre et en juin.

D'où un sacré b...l ! Rattraper ces deux jours + le pont de l'Ascension qui nous a été imposé cette année dans mon académie. On sait qu'on vient plusieurs mercredis après-midi, mais on ne sait plus bien lequel rattrape quoi + bien sûr la Pentecôte, pardon, la Journée de solidarité.

Je comprends bien mais pourquoi parler de cadeau ?