Re: Existe-t-il un texte officiel interdisant le partage de classe entre deux enseignants du secondaire?

Audrey a écrit:Put***, j'en ai marre de ce système de merde....

Et c'est là que je te dis...

Bonne fête! :lol: :succes:

:lol:

Merci... j'avais complètement oublié...

Etheldrède.... c'est la classe !

Bonne fête, Audrey ! fleurs2

Bonne fête! cheers

Nita a écrit:Etheldrède.... c'est la classe !

Bonne fête, Audrey !

Tu ne m'en voudras pas si je préfère Audrey? ;-)

Merci en tout cas à tout le monde!

Informes-en ton IPR : chez nous, ils sont vent debout contre cette pratique et ne s'en cachent pas.

Et bonne fête itou ! fleurs2

Audrey a écrit:

Cripure a écrit:

Audrey a écrit:Tout est dit...
Le partage de classe me pend une fois de plus au nez... si quelqu'un pouvait me trouver un texte autre que celui tiré des fameuses fiches du chef d'établissement ( n'ayant aucune valeur légale apparemment)

Entendons-nous bien. La loi ne descend pas dans ces détails. Jamais les députés ne voteront le format d'un bulletin trimestriel ou les arcanes de la ventilation de la DHG. Donc il n'y a pas de texte de loi.
Pour autant, ce que tu appelles "les fameuses fiches" sont un guide juridique, édité par le ministère à destination des CDE. Ma foi, si ces derniers estiment que c'est peau de zob, que dire ? Fais intervenir un IPR, éventuellement, sinon, à partir du moment où le seul document officiel (car il l'est) est décrété sans valeur, il est clair qu'on a des problèmes dans un Etat de droit.
Pour ma part, je subirais tranquillement, en faisant en sorte que les élèves soient le plus gênés possible : aucune concertation avec l'autre collègue, contrôles les mêmes jours, jeu sur l'exaspération des parents (ils vont peut-être se décider à gueuler pour des choses importantes, eux, un jour, non ? Y'a que les conneries qui les intéressent ?). What else ?

Ok, Cripure... il n'y a donc que ce guide juridique du CDE.
Quant à la proposition de tout pourrir...honnêtement, je ne pourrais pas faire mon boulot comme ça....

Je trouve l'idée de Cripure très bonne: jouer au plus khon! On compte trop facilement sur nos compétences et notre professionnalisme. C'est vrai,ce n'est pas évident de faire du sabotage mais, sur du long terme c'est une stratégie judicieuse et payante. On se laisse faire bien souvent; d'abord on n'est pas d'accord, on rechigne beaucoup, puis un peu ,puis plus du tout, une fois que la pilule est passée, on subit mais on est acteur.Finalement, on ne se souvient plus qu'on fait partie d'un système malade. On dirait le cycle de la dépression...on nous rend malade: slowly but surely.
Ils doivent bien s'amuser là-haut à tirer les ficelles et pourquoi s'en priver puisque cela "fonctionne". Jusqu'à quand? Avec 20% des profs qui cherchent à se reconvertir et 50% en burn-out occasionnel ou régulier, on va bien finir par se réveiller...en attendant, bonne semaine, "pas de sang ,pas de haine et BONZAI!"

Merci Henriette! Rien à attendre des IPR, il y a deux ans, ils étaient au courant, j'avais expliqué la situation lors de mon inspection, ça n'a rien changé, même s'ils ne trouvaient pas ça bien.

Yogi, je comprends bien, mais c'est très dur de pourrir volontairement un enseignement...affronter cde et parents au quotidien, pas facile.

leyade a écrit:Pourrir, non, mais cloisonner à donf, deux heures de langue, deux heures d'explication de textes/oeuvres.

Oui. C'est la stratégie que l'on va adopter pour ne pas être très nombreux à avoir cinq classes.

Je l'ai déjà fait, deux ans de suite mais c'était il y a longtemps. Je partageais deux ou trois classes avec une collègue qui n'était jamais physiquement présente dans l'établissement en même temps que moi, avant Internet et les ENT. (en plus la deuxième année ma collègue était à moitié folle, ce qui n'a pas arrangé les choses).

Si nous l'avions demandé, on nous aurait dit que ce n'était pas "pédagogique", mais si ça arrange le cde alors la pédagogie on se la met au :censure: , mais c'est très souvent comme ça dans l'EN.

Audrey a écrit:Merci Henriette! Rien à attendre des IPR, il y a deux ans, ils étaient au courant, j'avais expliqué la situation lors de mon inspection, ça n'a rien changé, même s'ils ne trouvaient pas ça bien.

Yogi, je comprends bien, mais c'est très dur de pourrir volontairement un enseignement...affronter cde et parents au quotidien, pas facile.

On nous pourrit le métier depuis un bail, ce n'est pas toi la saboteuse!

La fiche du guide juridique précise-t-elle qu'il existe une exception pour l'Histoire-Géographie-Éducation civique au collège ?