Achats pédagogiques pour le cours de latin

Chez nous, pas de somme spécifique à chaque discipline puisque, selon notre gestionnaire, c'est une enveloppe globale. Chaque discipline émet donc ses demandes, et en général, c'est accordé.
En français, les collègues ont constitué une énorme réserve de livres achetés en série (en effet elles ne veulent pas faire acheter les livres par les familles, ce qui est un autre débat), depuis des années, et cela sans souci. Mais depuis quelque temps, le gestionnaire les freine car les dépenses en sont devenues très déséquilibrées. C'est l'inconvénient de ce système.
En latin, j'ai fait acheter il y a longtemps une série de Gaffiot car je les utilise beaucoup, et une série de Complètement mytho, c'est tout (et déjà bien).

A rebours a écrit:Chez nous, pas de somme spécifique à chaque discipline puisque, selon notre gestionnaire, c'est une enveloppe globale. Chaque discipline émet donc ses demandes, et en général, c'est accordé.
En français, les collègues ont constitué une énorme réserve de livres achetés en série (en effet elles ne veulent pas faire acheter les livres par les familles, ce qui est un autre débat), depuis des années, et cela sans souci. Mais depuis quelque temps, le gestionnaire les freine car les dépenses en sont devenues très déséquilibrées. C'est l'inconvénient de ce système.
En latin, j'ai fait acheter il y a longtemps une série de Gaffiot car je les utilise beaucoup, et une série de Complètement mytho, c'est tout (et déjà bien).

Oui c'est la norme depuis quelques années... Plus de répartition disciplinaire mais un budget global pédagogique. Certains établissements fonctionnent... Premiers arrivés premier servis et d'autres répartissent le budget entre les matières..

menerve a écrit:

A rebours a écrit:Chez nous, pas de somme spécifique à chaque discipline puisque, selon notre gestionnaire, c'est une enveloppe globale. Chaque discipline émet donc ses demandes, et en général, c'est accordé.
En français, les collègues ont constitué une énorme réserve de livres achetés en série (en effet elles ne veulent pas faire acheter les livres par les familles, ce qui est un autre débat), depuis des années, et cela sans souci. Mais depuis quelque temps, le gestionnaire les freine car les dépenses en sont devenues très déséquilibrées. C'est l'inconvénient de ce système.
En latin, j'ai fait acheter il y a longtemps une série de Gaffiot car je les utilise beaucoup, et une série de Complètement mytho, c'est tout (et déjà bien).

Oui c'est la norme depuis quelques années... Plus de répartition disciplinaire mais un budget global pédagogique. Certains établissements fonctionnent... Premiers arrivés premier servis et d'autres répartissent le budget entre les matières..

C'est intéressant car on nous a dit que ce n'était plus possible. Et on en doutait

Kilmeny a écrit:

menerve a écrit:

A rebours a écrit:Chez nous, pas de somme spécifique à chaque discipline puisque, selon notre gestionnaire, c'est une enveloppe globale. Chaque discipline émet donc ses demandes, et en général, c'est accordé.
En français, les collègues ont constitué une énorme réserve de livres achetés en série (en effet elles ne veulent pas faire acheter les livres par les familles, ce qui est un autre débat), depuis des années, et cela sans souci. Mais depuis quelque temps, le gestionnaire les freine car les dépenses en sont devenues très déséquilibrées. C'est l'inconvénient de ce système.
En latin, j'ai fait acheter il y a longtemps une série de Gaffiot car je les utilise beaucoup, et une série de Complètement mytho, c'est tout (et déjà bien).

Oui c'est la norme depuis quelques années... Plus de répartition disciplinaire mais un budget global pédagogique. Certains établissements fonctionnent... Premiers arrivés premier servis et d'autres répartissent le budget entre les matières..

C'est intéressant car on nous a dit que ce n'était plus possible. Et on en doutait

Le Conseil pédagogique peut décider d'une répartition des crédits pédagogiques, non ? Ça demande plus de travail à l'intendance mais ça semble être le seul moyen de fonctionner correctement.

Kilmeny a écrit:

menerve a écrit:

A rebours a écrit:Chez nous, pas de somme spécifique à chaque discipline puisque, selon notre gestionnaire, c'est une enveloppe globale. Chaque discipline émet donc ses demandes, et en général, c'est accordé.
En français, les collègues ont constitué une énorme réserve de livres achetés en série (en effet elles ne veulent pas faire acheter les livres par les familles, ce qui est un autre débat), depuis des années, et cela sans souci. Mais depuis quelque temps, le gestionnaire les freine car les dépenses en sont devenues très déséquilibrées. C'est l'inconvénient de ce système.
En latin, j'ai fait acheter il y a longtemps une série de Gaffiot car je les utilise beaucoup, et une série de Complètement mytho, c'est tout (et déjà bien).

Oui c'est la norme depuis quelques années... Plus de répartition disciplinaire mais un budget global pédagogique. Certains établissements fonctionnent... Premiers arrivés premier servis et d'autres répartissent le budget entre les matières..

C'est intéressant car on nous a dit que ce n'était plus possible. Et on en doutait

Dans mon établissement, c’est toujours une ligne par discipline.

Tivinou a écrit:

Kilmeny a écrit:

menerve a écrit:

A rebours a écrit:Chez nous, pas de somme spécifique à chaque discipline puisque, selon notre gestionnaire, c'est une enveloppe globale. Chaque discipline émet donc ses demandes, et en général, c'est accordé.
En français, les collègues ont constitué une énorme réserve de livres achetés en série (en effet elles ne veulent pas faire acheter les livres par les familles, ce qui est un autre débat), depuis des années, et cela sans souci. Mais depuis quelque temps, le gestionnaire les freine car les dépenses en sont devenues très déséquilibrées. C'est l'inconvénient de ce système.
En latin, j'ai fait acheter il y a longtemps une série de Gaffiot car je les utilise beaucoup, et une série de Complètement mytho, c'est tout (et déjà bien).

Oui c'est la norme depuis quelques années... Plus de répartition disciplinaire mais un budget global pédagogique. Certains établissements fonctionnent... Premiers arrivés premier servis et d'autres répartissent le budget entre les matières..

C'est intéressant car on nous a dit que ce n'était plus possible. Et on en doutait

Le Conseil pédagogique peut décider d'une répartition des crédits pédagogiques, non ? Ça demande plus de travail à l'intendance mais ça semble être le seul moyen de fonctionner correctement.

Le conseil pédagogique n’a aucun pouvoir de décision. Faites intervenir vos élus au CA.

Je crois que la répartition entre les disciplines est un arrangement officieux. Un peu comme un compte en banque perso... On se fait une répartition pour nous.. Tant pour le loyer, tant pour la nourriture etc qu'on essaye de suivre mais la banque n'est pas au courant des plafonds qu'on s'est fixés et ça lui va tant qu'on ne dépasse pas le découvert autorisé.

Le budget maintenant n'est plus reparti entre les disciplines et en conseil d'administration il ne sera pas présenté par disciplines mais par pôles... Pôle pédagogique, pôle administratif, cantine...

Effectivement le CA n'a pas le détail des crédits pédagogiques, mais le Conseil pédagogique peut proposer une répartition, même si rien n'est voté et officiel. Après tout, il faut bien que cette instance serve à quelque chose.

Encore faut-il une relative entente entre collègues... Déjà quand on voit que c'est à couteaux tirés pour l'emploi du temps et la répartition des classes...
C'est pas gagné.

Certes. Mais on peut au moins essayer, une fois pour voir, et pour mettre en lumière les problèmes. Je ne déteste rien tant, dans le cadre du travail, que les tractations discrètes dans les couloirs pour obtenir un petit privilège. C'est vrai pour tout: la DHG, les EDT, les crédits pédagogiques...
C'est vrai qu'une discussion franche peut n'aboutir à rien, mais au moins ça soulage !

les posters édités par les Belles Lettres sont superbes, aussi : celui sur la Théogonie, sur les empereurs romains… succès garanti !

L'an dernier m'a collègue de latin à fait acheter une dizaine d'exemplaires de ce livre.

Oh là là, que d'idées diverses et intéressantes ! Merci à tous ceux qui ont contribué !
@Tivinou, ce n'est pas un nouveau chef, et j'ignore complètement d'où vient cette somme... Mais j'avoue n'avoir pas creusé la question face à cette manne tombée du ciel et avoir juste répondu : "très bien, je vous envoie des devis très vite !" sans demander mon reste !
@Henriette : vous pourrez partager votre avis sur le Memento ?
Encore merci à tous.

@menerve
Du même auteur et dans la même collection, il y a aussi :
- Les peuples antiques expliqués : présentation rapide des peuples que l'on retrouve dans la BD, avec des cartes pour les situer.
- les vérités historiques expliquées : est-ce que Vercingetorix a vraiment jeté ses armes aux pieds de César, est-ce que les Gaulois étaient sales et hirsutes, est-ce que les Romains se gavaient lors des orgies, etc. Pas mal pour revenir sur certains clichés.

Les ouvrages sont présentés de la même façon : une vignette de la BD sur la page de gauche pour illustrer l'expression, l'épisode historique ou le peuple que l'on va présenter, puis une courte explication sur la page de droite, avec des jeux de mots pas forcément à la portée d'un collégien, même latiniste. On sent que l'auteur a vraiment voulu rendre hommage à l' humour d' Uderzo et de Goscinny.  

J'ai acheté les trois livres et les laisse à disposition des élèves au fond de ma salle, et ils vont les feuilleter régulièrement, quand ils ont fini un contrôle ou un exercice.

Les trois tomes sont disponibles en coffret, d'ailleurs la première édition comportait une grosse faute, corrigée dans les éditions suivantes :

Merci à tous pour les idées, en particulier les posters, et les ouvrages sur Astérix (je ne connaissais que le premier, sur les expressions latines) !