Rémi Brissiaud fait de la pub pour le dernier manuel de Doublecasquette

Et il va adhérer au GRIP
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2012/11/12112012Article634882967527254607.aspx

C'est qui, Rémi Brissiaud ?





DC véto

+1

Maître de conférences en psychologie cognitive à l'IUFM de Versailles.
Biographie :

Rémi Brissiaud est titulaire d'une maîtrise de mathématiques, d'un doctorat en psychologie cognitive. Maître de conférences en psychologie cognitive à l'IUFM de Versailles, il est chercheur dans l'équipe « Compréhension, Raisonnement, et Acquisition de Connaissances » (laboratoire Paragraphe, http://paragraphe.univ-paris8.fr/crac/articles.php?lng=fr&pg=84 ).

Les travaux de Rémi Brissiaud s'inscrivent dans le courant de la « psychologie culturelle » ; il est l'un des chercheurs qui, de manière récente, ont montré l'existence d'une pluralité de chemins vers le nombre.

Pour l'essentiel, ces cheminements dépendent des outils culturels qui sont mis à la disposition de l'enfant (en petite section, différentes façons de « parler des nombres », puis diverses stratégies de comptage et de calcul, etc.). Tous ces outils culturels ne se valent pas.

Dans ses interventions, Rémi Brissiaud les analyse de manière théorique, mais aussi du point de vue de leur fonctionnement en classe. Il guide ainsi les enseignants dans leur choix pédagogiques. Son cadre théorique permet également de penser le progrès des enfants dans la résolution de problèmes arithmétiques. Il souligne notamment l'importance du calcul mental en montrant comment l'appropriation de stratégies de calcul de haut niveau favorise le progrès dans l'usage des diverses opérations arithmétiques, ainsi que le progrès dans la conceptualisation des nombres décimaux.

En s'appuyant sur de nombreux exemples issus des classes, Rémi Brissiaud rapporte les résultats des recherches les plus récentes et fait partager aux enseignants des trois cycles de l'école primaire les questions que ces recherches suscitent.

En même temps qu'elle apporte un éclairage didactique particulièrement efficace , l'intervention de Rémi Brissiaud est toujours le catalyseur d'un très grand enthousiasme pédagogique.

DC véto

doublecasquette a écrit:

Maître de conférences en psychologie cognitive à l'IUFM de Versailles.
Biographie :

Rémi Brissiaud est titulaire d'une maîtrise de mathématiques, d'un doctorat en psychologie cognitive. Maître de conférences en psychologie cognitive à l'IUFM de Versailles, il est chercheur dans l'équipe « Compréhension, Raisonnement, et Acquisition de Connaissances » (laboratoire Paragraphe, http://paragraphe.univ-paris8.fr/crac/articles.php?lng=fr&pg=84 ).

Les travaux de Rémi Brissiaud s'inscrivent dans le courant de la « psychologie culturelle » ; il est l'un des chercheurs qui, de manière récente, ont montré l'existence d'une pluralité de chemins vers le nombre.

Pour l'essentiel, ces cheminements dépendent des outils culturels qui sont mis à la disposition de l'enfant (en petite section, différentes façons de « parler des nombres », puis diverses stratégies de comptage et de calcul, etc.). Tous ces outils culturels ne se valent pas.

Dans ses interventions, Rémi Brissiaud les analyse de manière théorique, mais aussi du point de vue de leur fonctionnement en classe. Il guide ainsi les enseignants dans leur choix pédagogiques. Son cadre théorique permet également de penser le progrès des enfants dans la résolution de problèmes arithmétiques. Il souligne notamment l'importance du calcul mental en montrant comment l'appropriation de stratégies de calcul de haut niveau favorise le progrès dans l'usage des diverses opérations arithmétiques, ainsi que le progrès dans la conceptualisation des nombres décimaux.

En s'appuyant sur de nombreux exemples issus des classes, Rémi Brissiaud rapporte les résultats des recherches les plus récentes et fait partager aux enseignants des trois cycles de l'école primaire les questions que ces recherches suscitent.

En même temps qu'elle apporte un éclairage didactique particulièrement efficace , l'intervention de Rémi Brissiaud est toujours le catalyseur d'un très grand enthousiasme pédagogique.

Un garçon amusant

Il a pas mauvaise bouille ...

doublecasquette a écrit:Il a pas mauvaise bouille ...

Bouillie ?

binette, si vous préférez.

doublecasquette a écrit:binette, si vous préférez.

Il est trognon.

J'adorerais me balader à travers la France pour donner des conseils aux collègues

Le café pédagogique nous fait de la pub: c'est beau.


:aba:

N'empêche, ça nous fait marrer, mais ça me .

Le café pédagogique du 3 janvier 2027: Les compétences, cette erreur conceptuelle et pédagogique.

Pendant ce temps des élèves payent cash.

Ps: Et encore, sur ce texte on constate qu'il y a encore beauuuuuuuuuuucoup de chemin à parcourir...!!!

Cripure a écrit:J'adorerais me balader à travers la France pour donner des conseils aux collègues

4000 euros nets par mois + frais de déplacements ?

Moi aussi, en fait ...
Mais il faut être super doué dans la sodomisation de diptères et le vernis pseudo-scientifique, et sans rire. Ça, ce n'est pas donné à tout le monde.

doublecasquette a écrit:

Cripure a écrit:J'adorerais me balader à travers la France pour donner des conseils aux collègues

4000 euros nets par mois + frais de déplacements ?

Moi aussi, en fait ...
Mais il faut être super doué dans la sodomisation de diptères et le vernis pseudo-scientifique, et sans rire. Ça, ce n'est pas donné à tout le monde.

Bah non, finalement. Les 4000 net je les ai presque sans tout ce bordeau...

Il a fait de ma vie un enfer , l'année où j'ai dû utiliser Picbille avec des enfants non francophones. Sa tendance à préférer le plus long chemin pour arriver, sa quasi igorance de la géométrie et sa capacité à retourner sa veste toujours du bon côté...

Vous blaguez, Mareuil? Je ne vois nulle part mentionné l'ouvrage de DC, ou alors, j'ai lu trop vite. Z'êtes sûr qu'il le connaît? Vite, réparons ce manque.

J'aimerais me tromper mais je me demande encore si ce n'est pas lui qui préconisait l'usage des calculettes en lieu et place de l'apprentissage systématique des tables. QU'on me démente, par pitié. Parce que, si c'est le cas, en termes de retournement de veste, c'est grandiose !

Tiens, j'ai appris samedi d'une collègue de maths rencontrée au marché que le prof de maths les faisait apprendre aux Maths sup avec interrogation quotidienne!

Il faut bien rattraper tous les ratages des IO du primaire !

Celadon a écrit:J'aimerais me tromper mais je me demande encore si ce n'est pas lui qui préconisait l'usage des calculettes en lieu et place de l'apprentissage systématique des tables. QU'on me démente, par pitié. Parce que, si c'est le cas, en termes de retournement de veste, c'est grandiose !

Il me semble que c'est Claude Allègre. Mais C.A. a été suivi presque partout.

" Les maths sont en train de se dévaluer, de manière inéluctable. Désormais, il y a des machines pour faire les calculs. Idem pour la construction des courbes." (2007)

Quelqu'un pourrait-il m'expliquer pourquoi R. Brissiaud dit:

"celle des États-Unis, un pays dont la langue, l’anglais, est très différente et qui n'a pas d'école maternelle."

1 - En quoi la langue anglaise favoriserait-t-elle un apprentissage différent des maths du francais (pour les langues asiatiques qui identifient clairement les dizaines j'aurais compris, mais l'anglais??)

2 - Il y a bien sûr une maternelle aux Etats-Unis. La classe de Kindergarten (équivalente à la grande section) est obligatoire dans beaucoup d'états. Avant cela, il y a les pre-schools, certes non obligatoires.

:study:

Et pour en revenir à Rémi Brissiaud, j'aime beaucoup sa vision des mathématiques à l'école (et de ce qu'elles doivent être).
J'ai assisté l'an dernier à une de ses conférences, il était passionnant.

Je peux comprendre que Picbille ne t'ai pas convenu, 21déjà, avec des élèves non-francophones, mais - à part les manuels du SLECC - je n'ai pas encore trouvé de manuel de maths cycle 2 qui soit aussi structuré que celui-ci.

Zaubette a écrit:krungthep: l'école maternelle ne saurait s'apparenter à des jardins d'enfants. On ne peut pas dire que les Américains ont une "école maternelle" parce qu'ils proposent une année d'apprentissage pré-élémentaire, toute obligatoire soit-elle. (d'ailleurs, notre école maternelle ne l'est pas...obligatoire).

Ah bon? Quelle est la différence? En Belgique, on parle d'école maternelle aujourd'hui mais c'était l'école gardienne ou le jardin d'enfants quand j'étais gamine, et à part le nom, je ne vois pas la différence (sauf qu'on ne nous servait pas trois ans et demi d'étiquettes-mots).

La différence c'est de garder des enfants comme le centre de loisirs du mercredi, ou des les instruire avec un programme à suivre.