Nos dernières lectures - à partager sans modération !

Ok, je testerai. En fait, je ne connais pas et ne fais que découvrir. Et j'ai encore des réflexes. :lol:

marininha a écrit:j'allais le dire, son premier roman est bien meilleur, et terriblement touchant...

Je ne connais que son premier pour l'instant.
Bon, je note l'anachronisme.

J'ai lu Le sumo qui ne pouvait pas grossir d'E.E Schmitt : un régal comme d'habitude.

Billet sur mon blog pour la chaussure sur le toit, dont je fais décidément la pub !

Surtout après avoir lu Entre les murs...(dont je n'ai pas fait la pub...)

D'un côté, une oeuvre de circonstance, qui se laisse lire, mais il y a des fautes de style, voire d'orthographe. Vite écrit, vite publié.
De l'autre, une oeuvre véritable.

J'ai lu un roman pour grands adolescents : Si je reste de Gayle
Forman. C'est l'histoire d'une jeune fille qui a un accident de voiture
dans lequel elle perd sa famille. Elle même, entre la vie et la mort,
entend tout ce qui se passe autour d'elle. Elle va devoir faire le
choix de vivre ou mourir.
Billet sur mon blog pour ceux qui veulent en savoir plus.

Carabas a écrit: Pour vous, l'expression "sortir de ses gongs" est volontaire ou c'est une faute de frappe? Je ne sais pas si c'est moi qui y suis plus sensible ou si c'est réellement le cas, mais je vois de plus en plus de fautes dans les bouquins : oublis d'accord et autres...

Alors là, tu n'as pas fini... O tempora! O mores!

Et il y a pire désormais : les cuistres qui corrigent des formes correctes car ils ne connaissent pas la règle qui les régissent (je pense en particulier aux accords de verbes pronominaux avec COI).

Silas Marner de George Eliot : un classique si j'en crois la 4ème de couverture. Un brin déçue par l'histoire car je n'ai pas réussi à me plonger dedans.
Silas est donc un tisserand que la vie a rendu aigri, jusqu'à ce qu'un soir le vol de son pécule amoncelé jour après jour lui ouvre les portes d'une nouvelle vie ...

Je vous donne mes titres, sans vérifier s'ils ont déjà été évoqués ou pas...

- Elle s'appelait Sarah de Tatiana de Rosnay: Magnifique! Formidable! Très agréable à lire! Des passages vraiment poignants... Une excellente lecture cursive pour des 2ndes.

- De quel amour blessé de Faoud Laroui: nul - je n'y ai trouvé aucun intérêt, pris aucun plaisir... poubelle.

- Les Braises de Sandor Marai: très littéraire et tout en longueurs, il faut vraiment s'accrocher... Un fond assez philosophique sur le thème de l'amitié, de l'argent, du temps qui passe.

J'ai fini La condition de Jennifer Haigh, un beau roman sur l'histoire d'une famille américaine déchirée. Billet sur mon blog

Je viens de lire Arthur et George de Julian Barnes. Très sympa : un mélange entre biographie romancée de Conan Doyle, roman policier et critique sociale.

Un très chouette roman prêté par Leil : Présent ? de Benameur. J'ai vraiment beaucoup aimé cette peinture de la vie dans un collège, mais pour une fois bien écrit.

Psychopolis et autres nouvelles de Ian McEwan.

Qui l'a lu ?

Lectures boulot ces derniers temps :
Notre-Dame de Paris (presque en entier)
Peter Pan
Au nom du roi (perdu dans les classiques, depuis le temps que j'en entends parler ! et puis Annie Jay n'est pas la pire des auteurs jeunesse...)
Martiens go home Fredric Brown (un bon moment de rigolade)
Là je suis dans deux lectures : Le Roman de M. Molière de Boulgakov (pour l'instant ça me plaît bien) et Voyage au centre de la terre qui me plaît aussi.

Martiens go home, c'est le complément indispensable à la Guerre des mondes. Wells revu par ce gros déconneur de Fredric Brown (voir, du même, l'Univers en folie, tout aussi délirant) — c'est vraiment à se tordre.

Bon je vais rapidement acheter L'Univers en folie alors...

"Salut Toto !"

Vous parliez un peu plus haut de la Mécanique du coeur, c'est vrai que c'est un bien joli conte. L'écriture est très poétique. L'histoire de base n'est pas très originale mais l'auteur l'a rendue magique grâce à son style et à ses images recherchées. C'est un très bon moment de lecture.
J'ai lu et offert plein de fois L'ombre du vent de Carlos Ruiz Zafon, un livre extraordinaire, envoûtant, plein de rebondissements, bien écrit...Un des meilleurs que j'ai lus ces dernières années. Toutes les parsonnes à qui je l'ai offert ou prêté ont été conquises...
Le treizième conte, de Diane Setterfield est très bien aussi.
Je viens de lire Milarepa de Schmitt. A la première lecture j'ai trouvé ça un peu fade (faut dire qu'après Oscar et la dame rose tout paraît un peu fade...) mais en le parcourant de nouveau, j'ai trouvé quelques phrases riches de sens et bien écrites.
Je suis en train de lire Les oubliés de Dieu de Cossery. Je trouve ces nouvelles très touchantes. Elles montrent les trésors d'humanité contenus dans l'âme des plus misérables. C'était pour moi une façon de me plonger dans l'Egypte moderne, en avant goût de mon voyage de cet été. Je vous le conseille.
Je vais me lancer pour ma part dans :
-train de nuit pour Lisbonne, on m'a dit que c'était super
-la pleurante des rues de Prague, j'ai lu un extrait du livre, ça m'a paru envoûtant
-le coeur cousu dont vous avez parlé plus haut

Je suis la seule à ne pas avoir aimé Oscar et la dame rose?
Ok, l'histoire est touchante. Mais bon... à mes yeux, il en faut plus pour faire un bon livre...

Non, non, je n'ai pas un coeur de pierre...

Carabas, vous avez bien raison. Comme disait Gide : "On ne fait pas de littérature avec de bons sentiments."
Pas de la bonne littérature, en tout cas. Ou alors, il faut être Hugo (et je ne suis pas sûr que les Misérables ne soient pas quelque peu ambigus…
J'ai relu pendant le CAPES, pour me détendre, la série des Wilt de Tom Sharpe. C'est absolument fendant.

Fin août, il y a un nouveau Carlos Ruiz Zafon qui va sortir.

Dwarf a écrit:

Et il y a pire désormais : les cuistres qui corrigent des formes correctes car ils ne connaissent pas la règle qui les régissent (je pense en particulier aux accords de verbes pronominaux avec COI).

Ou les subjonctifs devenus des indicatifs, ... C'est réellement désespérant quand l'auteur sait qu'il n'a pas la faute, lui, et qu'il la retrouve dans son bouquin...

Luciole a écrit:Billet sur mon blog pour la chaussure sur le toit, dont je fais décidément la pub !

(...) De l'autre, une oeuvre véritable.

C'est marrant La chaussure... m'a laissé totalement froid, j'ai abandonné au bout de trois histoires un livre dont la mécanique me semblait par trop visible et l'écriture pas si subtile que cela.

Je viens de commencer Les contes de crimes de Pierre Dubois, une réécriture noire et moderniste des contes de fée (pour l'instant pas de quoi se rouler par terre, c'est assez attendu), La nuit des labyrinthes de David Calvo (un roman fantastique très étrange dans Marseille au début du siècle, l'écriture est décadente) et Et ce sont les chats qui tombèrent de Tom McCarthy (encore plus bizarre que le précédent, un roman philosophique sur l'identité, la conscience, le temps et la mémoire).

Mangez-le si vous voulez de Teulé : l'histoire est tirée d'un fait vrai. Un jour, une foule se retourne contre un homme qu'elle connaît bien. Cet homme sera torturé et même mangé par ces villageois ...
L'horreur pour l'horreur : non merci. Avis mitigé.

Leil a écrit:

Mangez-le si vous voulez de Teulé : l'histoire est tirée d'un fait vrai. Un jour, une foule se retourne contre un homme qu'elle connaît bien. Cet homme sera torturé et même mangé par ces villageois ...
L'horreur pour l'horreur : non merci. Avis mitigé.

Est-ce que c'est le même fait divers sur lequel l'historien Alain Corbin a travaillé dans Le village des cannibales ? [16 août 1870 à Hautefaye en Dordogne un jeune noble est supplicié durant deux heures puis brûlé vif sur le foirail]

Je ne l'ai pas lu, mais oui, c'est bien ça! Collard le libraire l'a présenté sur LCI

J'ai lu La contre-enquête sur la mort d'Emma Bovary de Philippe Doumenc. Leil, je te remercie pour ce prêt

Ruthven a écrit:

Leil a écrit:

Mangez-le si vous voulez de Teulé : l'histoire est tirée d'un fait vrai. Un jour, une foule se retourne contre un homme qu'elle connaît bien. Cet homme sera torturé et même mangé par ces villageois ...
L'horreur pour l'horreur : non merci. Avis mitigé.

Est-ce que c'est le même fait divers sur lequel l'historien Alain Corbin a travaillé dans Le village des cannibales ? [16 août 1870 à Hautefaye en Dordogne un jeune noble est supplicié durant deux heures puis brûlé vif sur le foirail]

C'est bien ça, oui !


De rien, Stéphie, pour ce prêt !