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- Lowpow29Fidèle du forum
J'ai cru à une erreur de fil, sinon effectivement je ne vois absolument pas le rapport..!
Ou alors Flagada_28 nous partageait lui aussi la raison de son trouble anxieux.......
Ou alors Flagada_28 nous partageait lui aussi la raison de son trouble anxieux.......
- Clecle78Bon génie
Je le revois la semaine prochaine. Il m'a donné un traitement d'attente, pour voir. Mais en effet il a évoqué le risque d'avc. Le pire c'est que mes auto mesures sont bonnes.Marcelle Duchamp a écrit:Clecle78 a écrit:C'est la réaction du cardiologue qui m'a fait peur. Il avait l'air très inquiet pour moi. Et du coup, évidemment, je somatise à mort même si j'essaie de prendre du recul ...
La fibrillation atriale est un facteur de risque d’AVC mais un parmi tant d’autres.
Je ne comprends pas pourquoi le cardiologue te fait peur s’il n’a pas de solutions à te proposer. Ce type de médecin me révulse.
- dandelionVénérable
Je pensais que les montres connectées pouvaient justement détecter ce genre de problème. Une piste pour te rassurer? Ou pas éventuellement, parce que peut-être que c’est pire de vérifier tout le temps.
- Cléopatra2Guide spirituel
Certaines peuvent le détecter en phase aiguë. Mais quand la crise aiguë est passée, c'est compliqué. Ma montre actuelle ne permet pas d'avoir un "vrai" tracé cardiaque et ne le détecterait pas.
Enfin en tout cas, si on a l'impression d'avoir une arythmie, c'est sûrement vrai, même si le cardiologue ne le détecte pas. L'arythmie peut être liée au stress, mais c'est tout de même un trouble qui existe de lui-même. Les palpitations oui, c'est lié à la crise d'angoisse, je crois. En tout cas j'ai souvent des palpitations lorsque je fais une crise d'angoisse, mais pas d'arythmie, bien que ça me paraisse similaire. Je sens la différence en prenant mon pouls à la gorge.
Enfin en tout cas, si on a l'impression d'avoir une arythmie, c'est sûrement vrai, même si le cardiologue ne le détecte pas. L'arythmie peut être liée au stress, mais c'est tout de même un trouble qui existe de lui-même. Les palpitations oui, c'est lié à la crise d'angoisse, je crois. En tout cas j'ai souvent des palpitations lorsque je fais une crise d'angoisse, mais pas d'arythmie, bien que ça me paraisse similaire. Je sens la différence en prenant mon pouls à la gorge.
- CleroliDoyen
D'après mon médecin, la montre connectée n'est pas fiable, sauf en mode podomètre (j'étais fière de lui montrer mon achat pourtant ). Dans mon cas, c'était pour mesurer ma tension (elle peut monter à 16 chez le médecin -effet blouse apparemment !).
- Flagada_28Niveau 7
Lowpow29 a écrit:J'ai cru à une erreur de fil, sinon effectivement je ne vois absolument pas le rapport..!
Ou alors Flagada_28 nous partageait lui aussi la raison de son trouble anxieux.......
Oui je partageais la raison je suis désolé ^^ je ne parlais pas des solutions a apporter ou des médecins a consulter pardon :x
Bref excusez moi....
- dandelionVénérable
Mon mari avait sa montre quand il a eu des palpitations et le médecin a été surpris par la fiabilité du résultat. La fille, infirmière, d’une de mes amies américaine lui en a acheté une pour se rassurer (elle détecte aussi les chutes il faut dire). Bon, après, mon mari et elle ont porté des électrodes pour le contrôle cardio, pas une montre.Cleroli a écrit:D'après mon médecin, la montre connectée n'est pas fiable, sauf en mode podomètre (j'étais fière de lui montrer mon achat pourtant ). Dans mon cas, c'était pour mesurer ma tension (elle peut monter à 16 chez le médecin -effet blouse apparemment !).
- CleroliDoyen
Tu me rassures (et tu me réconfortes aussi) Dandelion.
- Catwoman1305Je viens de m'inscrire !
Bonjour,
Je vous admire tous de réussir à tenir le choc et à vous exposer quand même au regard des autres.
Ma carrière se résume à une binarité claire, d'autant plus que j'ai toujours été remplaçante, par choix, pour ne pas m'engager dans une situation où je me sentirais particulièrement mal : mon métier me convient parfaitement quand les autres m'acceptent, et plus du tout quand les autres ne m'acceptent pas (les autres, entendez surtout élèves, collègues, AESH, la direction appartenant dans ma tête à une catégorie indirecte et à part).
Est-ce vraiment utile de se pourrir la vie dans l'absolu à ce point, à prendre des anti-dépresseurs et des anxiolytiques juste pour gagner son pain ? Ou pour la gloire de continuer à dire "je suis enseignant" ?
De mon côté, lorsque l'angoisse me prend, c'est très simple, elle me paralyse littéralement : je suis incapable de franchir le seuil des lieux de mon travail, et lorsque j'arrive à me forcer un peu, il m'arrive de me retrouver devant les élèves incapable de faire cours, de parler ou de les gérer.
Je n'ai AUCUNE complaisance envers moi, aucune pitié envers moi, d'autant plus que la maladie physique (cancer ou mucoviscidose, par exemple), je connais. J'ai honte et me sens très coupable. Mais dans mon histoire personnelle, je n'ai jamais vraiment eu confiance en les autres.
Cela est dommage car je pense quand même avoir des qualités intellectuelles, littéraires, et des valeurs humaines, que je me reconnais malgré tout.
Ce début d'année s'est mal passé pour moi, par exemple : cours non maîtrisés dans des disciplines qui ne sont pas les miennes (lettres classiques alors que je suis lettres mo), élèves en inclusion dans une classe de Troisième, et AESH qui parlent sur mon dos entre deux portes alors que ma salle de cours est restée ouverte. Réforme des Sixième. Et qui me reprochent de garder le sourire, de surcroît, alors que mes classes partent en cacahuète.
C'est bien gentil, les critiques négatives et constructives, sauf que quand on souffre de phobie sociale, les retours négatifs des autres sont inacceptables pour sa propre estime. Dans cette situation, comment continuer à avancer ?
Ta-ta-tam, suspense, cette rentrée sera-t-elle ma dernière rentrée ? Suis-je une si mauvaise enseignante, alors qu'un RDV de carrière me pend au nez, et que je ne maîtrise pas mon service ?
Comment peut-on être aussi maltraitant envers les individus, même quand ils sont de bonne volonté ?
Ça me donne la gerbe, sérieux. Non pas que j'en attendais grand chose ou que ça m'ait jamais enchanté, mais cette année c'est vraiment le Nirvana
Je vous admire tous de réussir à tenir le choc et à vous exposer quand même au regard des autres.
Ma carrière se résume à une binarité claire, d'autant plus que j'ai toujours été remplaçante, par choix, pour ne pas m'engager dans une situation où je me sentirais particulièrement mal : mon métier me convient parfaitement quand les autres m'acceptent, et plus du tout quand les autres ne m'acceptent pas (les autres, entendez surtout élèves, collègues, AESH, la direction appartenant dans ma tête à une catégorie indirecte et à part).
Est-ce vraiment utile de se pourrir la vie dans l'absolu à ce point, à prendre des anti-dépresseurs et des anxiolytiques juste pour gagner son pain ? Ou pour la gloire de continuer à dire "je suis enseignant" ?
De mon côté, lorsque l'angoisse me prend, c'est très simple, elle me paralyse littéralement : je suis incapable de franchir le seuil des lieux de mon travail, et lorsque j'arrive à me forcer un peu, il m'arrive de me retrouver devant les élèves incapable de faire cours, de parler ou de les gérer.
Je n'ai AUCUNE complaisance envers moi, aucune pitié envers moi, d'autant plus que la maladie physique (cancer ou mucoviscidose, par exemple), je connais. J'ai honte et me sens très coupable. Mais dans mon histoire personnelle, je n'ai jamais vraiment eu confiance en les autres.
Cela est dommage car je pense quand même avoir des qualités intellectuelles, littéraires, et des valeurs humaines, que je me reconnais malgré tout.
Ce début d'année s'est mal passé pour moi, par exemple : cours non maîtrisés dans des disciplines qui ne sont pas les miennes (lettres classiques alors que je suis lettres mo), élèves en inclusion dans une classe de Troisième, et AESH qui parlent sur mon dos entre deux portes alors que ma salle de cours est restée ouverte. Réforme des Sixième. Et qui me reprochent de garder le sourire, de surcroît, alors que mes classes partent en cacahuète.
C'est bien gentil, les critiques négatives et constructives, sauf que quand on souffre de phobie sociale, les retours négatifs des autres sont inacceptables pour sa propre estime. Dans cette situation, comment continuer à avancer ?
Ta-ta-tam, suspense, cette rentrée sera-t-elle ma dernière rentrée ? Suis-je une si mauvaise enseignante, alors qu'un RDV de carrière me pend au nez, et que je ne maîtrise pas mon service ?
Comment peut-on être aussi maltraitant envers les individus, même quand ils sont de bonne volonté ?
Ça me donne la gerbe, sérieux. Non pas que j'en attendais grand chose ou que ça m'ait jamais enchanté, mais cette année c'est vraiment le Nirvana
- GigiNeoNiveau 5
@Catwoman1305 , je suis désolée de lire tout ce que tu peux subir au quotidien...
Cela ne sera probablement pas rassurant, mais il est certain qu'il n'est pas nécessaire de rencontrer les difficultés que tu décris pour que certains parlent dans le dos des autres. J'ai l'impression que l'on n'a jamais vu autant de mesquinerie et de méchanceté en salle des profs que depuis que l'on prône la bienveillance en classe.
Enfin, ne blâmons pas notre profession, la société en général est de plus en plus violente et méprisante.
Il reste heureusement encore des personnes sur qui compter et j'espère que tu en as autour de toi. Je te souhaite de ne pas perdre la petite flamme qui nous anime chaque jour pour partager avec nos élèves
Cela ne sera probablement pas rassurant, mais il est certain qu'il n'est pas nécessaire de rencontrer les difficultés que tu décris pour que certains parlent dans le dos des autres. J'ai l'impression que l'on n'a jamais vu autant de mesquinerie et de méchanceté en salle des profs que depuis que l'on prône la bienveillance en classe.
Enfin, ne blâmons pas notre profession, la société en général est de plus en plus violente et méprisante.
Il reste heureusement encore des personnes sur qui compter et j'espère que tu en as autour de toi. Je te souhaite de ne pas perdre la petite flamme qui nous anime chaque jour pour partager avec nos élèves
- menerveOracle
Je comprends ce que tu vis, Catwoman. J'ai l'impression que le collège est devenu un panier de crabes...du coup je vais de moins en moins en salle des profs. J'ai cru que certains collègues étaient des amis et ils se révèlent les pires.
Comme le dit Kundera, la vie est ailleurs.
Comme le dit Kundera, la vie est ailleurs.
- PaulineNiveau 3
Je souffre de troubles anxieux qui se résument principalement au fameux intestin irritable… bref, à la rage au ventre ! Mes crises s’espacent désormais car on apprend à se connaître, on identifie ce qui nous angoisse et les aliments qui en rajoutent. Je suis allée chez le psy pour ça pendant 1 an, 1x par semaine et ça m’a beaucoup aidée. Le psy - pardon d’être crue mais ça fera sûrement rire certains -nous aide justement à déterrer et à voir nos crottes en face… Une fois qu’on fait la paix avec soi-même, c’est une très grande partie du chemin qui est faite ! Ensuite j’ai vu un nutritionniste sur les conseils de mon médecin pour identifier les aliments irritants. De temps en temps, cures de probiotiques et surtout pilates un jour sur deux.
Après, il m’arrive encore d’avoir des crises hein, mais elles sont plus rares. Force à tous ceux qui en souffrent !
Après, il m’arrive encore d’avoir des crises hein, mais elles sont plus rares. Force à tous ceux qui en souffrent !
- courage_fuyonsNiveau 5
Pour soigner mon anxiété:
- éviter d’accepter une inspection alors qu’il n’est pas possible de répondre aux attentes et des élèves sans se torturer les méninges. Donc j’ai découvert qu’on peut dire non et qu’il n’ya qu’une seule conséquence on avance à l’ancienneté ce qui se traduit par une perte minimale de salaire bien moins que l’année de stress liée à une inspection.
-ne pas être PP, ne pas prendre d’initiatives qui sont ingérables et finiront par m’empêcher de dormir
- le charbon actif me réussi bien pour les troubles intestinaux alors j’en utilise au besoin
- relâcher la pression en écoutant plus les élèves et leurs besoins et moins les directives décalées de nos didacticiens et autres
- prendre les transports en commun, on est moins souvent en retard et si on l’est, il y en a d’autres
- aussi le plus de sport possible, de la psychothérapie, j’écoute des musiques de relaxation et exercices de respiration.
- éviter d’accepter une inspection alors qu’il n’est pas possible de répondre aux attentes et des élèves sans se torturer les méninges. Donc j’ai découvert qu’on peut dire non et qu’il n’ya qu’une seule conséquence on avance à l’ancienneté ce qui se traduit par une perte minimale de salaire bien moins que l’année de stress liée à une inspection.
-ne pas être PP, ne pas prendre d’initiatives qui sont ingérables et finiront par m’empêcher de dormir
- le charbon actif me réussi bien pour les troubles intestinaux alors j’en utilise au besoin
- relâcher la pression en écoutant plus les élèves et leurs besoins et moins les directives décalées de nos didacticiens et autres
- prendre les transports en commun, on est moins souvent en retard et si on l’est, il y en a d’autres
- aussi le plus de sport possible, de la psychothérapie, j’écoute des musiques de relaxation et exercices de respiration.
- PoupoutchModérateur
Je souffre d'un trouble anxieux sévère, que j'ai appris à juguler au fil du temps.
J'ai surtout appris à m'écouter davantage, pour reconnaître les moments où l'angoisse prend le dessus. Un peu de respiration ou d'auto-hypnose (mon hypnothérapeute a développé une appli pour soigner les troubles du comportement alimentaire dont j'ai déjà parlé dans d'autres fils, et il y a des séances de 5, 15 ou 30 minutes, que j'utilise souvent quand j'ai une pause et que je peux me mettre au calme), assumer d'avoir besoin de couper (quitte à m'installer en salle des profs avec mes écouteurs et ne parler à personne), et, dans les périodes de stress intense, éviter sciemment les collègues et situations qui provoquent du stress (quitte à filer direct à la voiture après les cours et passer pour une asociale). J'ai aussi besoin d'au moins une journée enfermée chez moi, sans voir personne, sans trop communiquer par mail ou messageries diverses, pour recharger les batteries (j'ai une sorte de phobie sociale). Apprendre à dire non aussi, ça m'a beaucoup aidée.
Mon organisation permet aussi de diminuer les sources d'angoisse, même si, de l'extérieur ça peut sembler anxiogène : j'ai automatisé au maximum mon logement (l'aspirateur est programmé trois fois par semaine, je n'ai ainsi pas à penser au ménage ; les lumières s'allument et s'éteignent selon mes horaires, ce qui me permet de réguler efficacement réveil et sommeil) et j'utilise mon téléphone pour organiser mes journées à l'aide de l'agenda Google et de Google Keep. Mon enceinte connectée me rappelle tout ce qui est prévu pour la journée, et, avant d'aller dormir, ce qui est prévu le lendemain. Ces outils-là me libèrent d'une grande partie de ma charge mentale.
Pour décompresser, piscine au moins une fois par semaine, toutes les petites sorties se font à vélo pour prendre l'air, je marche aussi au moins 7500 pas par jour, et j'essaie de me tenir à 15 minutes de pilates/abdos/yoga par jour.
Quand je suis très angoissée, je prends une soirée rien que pour moi : un bon apéro, un bon film, un bain moussant.
J'ai surtout appris à m'écouter davantage, pour reconnaître les moments où l'angoisse prend le dessus. Un peu de respiration ou d'auto-hypnose (mon hypnothérapeute a développé une appli pour soigner les troubles du comportement alimentaire dont j'ai déjà parlé dans d'autres fils, et il y a des séances de 5, 15 ou 30 minutes, que j'utilise souvent quand j'ai une pause et que je peux me mettre au calme), assumer d'avoir besoin de couper (quitte à m'installer en salle des profs avec mes écouteurs et ne parler à personne), et, dans les périodes de stress intense, éviter sciemment les collègues et situations qui provoquent du stress (quitte à filer direct à la voiture après les cours et passer pour une asociale). J'ai aussi besoin d'au moins une journée enfermée chez moi, sans voir personne, sans trop communiquer par mail ou messageries diverses, pour recharger les batteries (j'ai une sorte de phobie sociale). Apprendre à dire non aussi, ça m'a beaucoup aidée.
Mon organisation permet aussi de diminuer les sources d'angoisse, même si, de l'extérieur ça peut sembler anxiogène : j'ai automatisé au maximum mon logement (l'aspirateur est programmé trois fois par semaine, je n'ai ainsi pas à penser au ménage ; les lumières s'allument et s'éteignent selon mes horaires, ce qui me permet de réguler efficacement réveil et sommeil) et j'utilise mon téléphone pour organiser mes journées à l'aide de l'agenda Google et de Google Keep. Mon enceinte connectée me rappelle tout ce qui est prévu pour la journée, et, avant d'aller dormir, ce qui est prévu le lendemain. Ces outils-là me libèrent d'une grande partie de ma charge mentale.
Pour décompresser, piscine au moins une fois par semaine, toutes les petites sorties se font à vélo pour prendre l'air, je marche aussi au moins 7500 pas par jour, et j'essaie de me tenir à 15 minutes de pilates/abdos/yoga par jour.
Quand je suis très angoissée, je prends une soirée rien que pour moi : un bon apéro, un bon film, un bain moussant.
_________________
Lapin Émérite, celle qui Nage en Lisant ou Inversement, Dompteuse du fauve affamé et matutinal.
"L'intelligence est une maladie qui peut se transmettre très facilement mais dont on peut guérir très rapidement et sans aucune séquelle"
- ArverneGrand sage
Ca m'intéresse. Peut-on avoir le lien ? Merci.Poupoutch a écrit:Un peu de respiration ou d'auto-hypnose (mon hypnothérapeute a développé une appli pour soigner les troubles du comportement alimentaire dont j'ai déjà parlé dans d'autres fils
- AcamilleNiveau 4
Je trouve tes conseils très inspirants Poupoutch, merci de les partager.
- PoupoutchModérateur
https://www.dietmotiv.fr/Arverne a écrit:Ca m'intéresse. Peut-on avoir le lien ? Merci.Poupoutch a écrit:Un peu de respiration ou d'auto-hypnose (mon hypnothérapeute a développé une appli pour soigner les troubles du comportement alimentaire dont j'ai déjà parlé dans d'autres fils
Elle s'appelle ZenMotiv.
Elle a été développée par un endocrinologue-nutritionniste spécialisé dans le traitement de l'obésité et est d'abord axée sur ça, donc les séances d'hypnose visent quand même surtout à juguler des TCA. Mais comme ces derniers sont souvent liés à des angoisses, ça peut fonctionner aussi.
Sinon, juste pour l'hypnose ou la relaxation, Petit Bambou c'est très bien aussi (on nous le conseillait à la clinique).
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Lapin Émérite, celle qui Nage en Lisant ou Inversement, Dompteuse du fauve affamé et matutinal.
"L'intelligence est une maladie qui peut se transmettre très facilement mais dont on peut guérir très rapidement et sans aucune séquelle"
- Catwoman1305Je viens de m'inscrire !
Merci à tous pour ce fil et pour vos astucieux conseils, je me sens moins seule en tout cas.
Bon courage à tous pour demain
Bon courage à tous pour demain
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