Article sur le dernier étudiant en lettres classiques de la fac de Limoges

Je crois qu'on ne voulait pas dire "de France" mais dans la même "région".
Cela dit Limoges n'est pas dans la même académie qu'Aurillac c'était donc confus

Clecle78 a écrit:C'est pas Mouthe  dans le Jura l'endroit le plus froid de France ?

N.B. -41, mais en 1985 — sinon, il y a aussi Langres et quelques autres villes qui ont proposé des records… Reste que, ces derniers temps, ça se radoucit.

epekeina.tes.ousias a écrit:

Clecle78 a écrit:C'est pas Mouthe  dans le Jura l'endroit le plus froid de France ?

N.B. -41, mais en 1985 — sinon, il y a aussi Langres et quelques autres villes qui ont proposé des records… Reste que, ces derniers temps, ça se radoucit.

Souvenir de grandes manoeuvres à Langres, où effectivement on supportait son caleçon...

Mathador a écrit:Bien sûr que si, si on y met la volonté et les postes. Il suffirait par exemple d'inclure dans le tronc commun, au choix, maths ou latin ou grec ancien.

Ah, oui, mais il faut effectivement un degré supplémentaire de volonté en haut lieu, et que ça suive sur le terrain. Mais concrètement, il faut aussi rendre la section attractive, et de ce côté-là, les LC pâtissent et du déficit d'attractivité du métier en général, et de la spécificité de la question des LCA dans le secondaire. Parce qu'à côté de cela, dans les associations, les sociétés savantes, chez les collègues, les chercheurs, au sein du public cultivé, il y a effectivement de la volonté.

enseigner auprès de la communauté saint martin?

Ascagne a écrit:

Mathador a écrit:Bien sûr que si, si on y met la volonté et les postes. Il suffirait par exemple d'inclure dans le tronc commun, au choix, maths ou latin ou grec ancien.

Ah, oui, mais il faut effectivement un degré supplémentaire de volonté en haut lieu, et que ça suive sur le terrain. Mais concrètement, il faut aussi rendre la section attractive, et de ce côté-là, les LC pâtissent et du déficit d'attractivité du métier en général, et de la spécificité de la question des LCA dans le secondaire. Parce qu'à côté de cela, dans les associations, les sociétés savantes, chez les collègues, les chercheurs, au sein du public cultivé, il y a effectivement de la volonté.

Je vois de toute façon difficilement comment on pourrait résoudre rapidement les problèmes de recrutement sans faire une réduction des effectifs élèves* (et maintenir le volume de recrutement actuel), qui n'est envisageable qu'au LGT et s'accompagnerait d'une révision du délétère article L122-2 du Code de l'éducation.
Parce que si l'on rend les langues anciennes semi-obligatoires pour finalement les refiler en HSA à des collègues de LM qui n'ont rien demandé, ce n'est pas l'idée du siècle. Alors qu'avec une telle réduction, on trouverait les heures manquantes de langues anciennes en réduisant le nombre d'heures de français des collègues de LC.

* à moins de payer les enseignants comme les policiers de grade équivalent, ce qui coûterait un « pognon de dingue ».