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JudiwiJe viens de m'inscrire !
Bonjour à tous,
Doctorante contractuelle à l'université (soutenance prévue l'an prochain), je me questionne de plus en plus sur mon envie réelle de persévérer dans la voie de l'enseignement et de la recherche dans le supérieur. Je crains particulièrement les années d'errance post-thèse à enchaîner, au mieux, les post-docs, et au pire, les vacations ou contrats de type ATER, pour un but (devenir MCF) à l'issue incertaine. Je pense que je n'ai objectivement pas un mauvais profil ("grandes écoles", nombreuses publications, séjours à l'étranger et tout le tralala), mais j'arrive à un stade ma vie où j'ai plutôt envie de stabilité géographique et financière. J'ai maintenant presque 28 ans, j'ai aussi envie de fonder une famille dans les 3 ou 4 années à venir et cela me semble difficilement conciliable avec des campagnes de MCF à répétition (même si certains y arrivent très bien).
À ce titre, je songe à passer une agrégation de lettres modernes à la suite de mon doctorat. À terme, j'aimerais bien enseigner en prépa ou bien devenir PRAG. Je me demande donc s'il est plus judicieux de passer le concours externe, ou le concours externe spéciale. Je précise que je devrais préparer le concours tout en ayant a minima quelques revenus à côté, donc par exemple en parallèle d'un poste de demi-ATER. Cela me laisserait tout de même pas mal de temps libre pour travailler le concours, mais pas autant que quand on ne fait que ça pendant un an. L'agreg' externe spéciale est légèrement allégée en termes d'épreuves par rapport à l'externe, mais je ne sais pas si elle est aussi bien considérée en vue d'un poste en CPGE et/ou PRAG.
J'en profite pour poser une seconde question : dans quelle mesure les qualifications au CNU sont-elles importantes, aussi bien pour devenir PRAG que pour devenir prof en CPGE ?
Merci à toutes et à tous pour l'éclairage que vous m'apporterez.
Doctorante contractuelle à l'université (soutenance prévue l'an prochain), je me questionne de plus en plus sur mon envie réelle de persévérer dans la voie de l'enseignement et de la recherche dans le supérieur. Je crains particulièrement les années d'errance post-thèse à enchaîner, au mieux, les post-docs, et au pire, les vacations ou contrats de type ATER, pour un but (devenir MCF) à l'issue incertaine. Je pense que je n'ai objectivement pas un mauvais profil ("grandes écoles", nombreuses publications, séjours à l'étranger et tout le tralala), mais j'arrive à un stade ma vie où j'ai plutôt envie de stabilité géographique et financière. J'ai maintenant presque 28 ans, j'ai aussi envie de fonder une famille dans les 3 ou 4 années à venir et cela me semble difficilement conciliable avec des campagnes de MCF à répétition (même si certains y arrivent très bien).
À ce titre, je songe à passer une agrégation de lettres modernes à la suite de mon doctorat. À terme, j'aimerais bien enseigner en prépa ou bien devenir PRAG. Je me demande donc s'il est plus judicieux de passer le concours externe, ou le concours externe spéciale. Je précise que je devrais préparer le concours tout en ayant a minima quelques revenus à côté, donc par exemple en parallèle d'un poste de demi-ATER. Cela me laisserait tout de même pas mal de temps libre pour travailler le concours, mais pas autant que quand on ne fait que ça pendant un an. L'agreg' externe spéciale est légèrement allégée en termes d'épreuves par rapport à l'externe, mais je ne sais pas si elle est aussi bien considérée en vue d'un poste en CPGE et/ou PRAG.
J'en profite pour poser une seconde question : dans quelle mesure les qualifications au CNU sont-elles importantes, aussi bien pour devenir PRAG que pour devenir prof en CPGE ?
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