J'hallucine (boulot)

Clodoald a écrit:

nitescence a écrit:1 / pourquoi associer sexuel et affectif  : ce sont deux choses différentes
2 / pourquoi supposer qu'un jeu sexuel découle forcément d'une misère sexuel : c'est ludique à un âge où on découvre le corps.

On souhaite à ton fils (si tu en as un) de découvrir son corps ainsi alors.

Je parle d'expérience : ce que j'ai préféré chez les scouts, c'est ce qui se passe le soir sous la tente... Le sexe collectif n'est pas forcément glauque. C'est une expérience légère et ludique (tant que ça n'est pas imposé, bien sûr).

Aemilia a écrit:

Cath a écrit:

Cripure a écrit:Et sinon, hallu du jour.

Âmes sensibles, n'ouvrez pas ce spoiler...:

Les garçons faisaient ça en colonie de vacances (vers 2001 pour moi...)

Ca reste un classique il paraît.

nitescence a écrit:

Clodoald a écrit:

nitescence a écrit:1 / pourquoi associer sexuel et affectif  : ce sont deux choses différentes
2 / pourquoi supposer qu'un jeu sexuel découle forcément d'une misère sexuel : c'est ludique à un âge où on découvre le corps.

On souhaite à ton fils (si tu en as un) de découvrir son corps ainsi alors.

Je parle d'expérience : ce que j'ai préféré chez les scouts, c'est ce qui se passe le soir sous la tente... Le sexe collectif n'est pas forcément glauque. C'est une expérience légère et ludique (tant que ça n'est pas imposé, bien sûr).

Coquin !!

nitescence a écrit:

Clodoald a écrit:

nitescence a écrit:1 / pourquoi associer sexuel et affectif  : ce sont deux choses différentes
2 / pourquoi supposer qu'un jeu sexuel découle forcément d'une misère sexuel : c'est ludique à un âge où on découvre le corps.

On souhaite à ton fils (si tu en as un) de découvrir son corps ainsi alors.

Je parle d'expérience : ce que j'ai préféré chez les scouts, c'est ce qui se passe le soir sous la tente... Le sexe collectif n'est pas forcément glauque. C'est une expérience légère et ludique (tant que ça n'est pas imposé, bien sûr).

Me voilà catalogué vieille rombière coincée...
je n'ai rien contre le sexe collectif, (très) loin de là. Il se trouve juste que j'ai commencé à découvrir la sexualité en 81, c'est-à-dire au début de l'épidémie de SIDA, et que le SSR a été la condition sine qua non de survie pour moi, vu que, turbulent, j'ai eu l'occasion de perdre pas mal de copains entre 83 et 90. Donc cette pratique ne me répugne pas au plan culinaire, pas davantage au plan moral, c'est juste qu'elle remue en moi des souvenirs liés terribles sur lesquels je ne souhaite vraiment pas m'étendre.

nitescence a écrit:Le sexe collectif n'est pas forcément glauque. C'est une expérience légère et ludique

T'as pas connu le gros Raoul

Clodoald a écrit:

nitescence a écrit:1 / pourquoi associer sexuel et affectif : ce sont deux choses différentes
2 / pourquoi supposer qu'un jeu sexuel découle forcément d'une misère sexuel : c'est ludique à un âge où on découvre le corps.

On souhaite à ton fils (si tu en as un) de découvrir son corps ainsi alors.

Penses-tu, c'est une chaudasse

nitescence a écrit:En réalité, la difficulté est de bien viser. Et une tranche de pain de mie présente une plus grande surface.

Mais la biscotte peut être de forme allongée

osteoboy a écrit:Le pain de mie doit absorber le sperme non? Et blanc sur blanc ......
Alors que sur une biscotte bien dure...

Ca fait ton sur ton ?

Z'êtes des pervers

Sans vouloir passer non plus pour une prude rombière, y'a moyen de ne pas s'étendre davantage sur le sujet ?
Je parle au niveau du "bon goût" (ahem), pas de la morale.

Désolée Cripure pour tous ces souvenirs terribles associés.

Gryphe a écrit:y'a moyen de ne pas s'étendre davantage sur le sujet ?

Apparemment, ils font ça debout


Bon, je sors

Tu me fais rire... :lol:

Cripure a écrit:

nitescence a écrit:

Clodoald a écrit:

On souhaite à ton fils (si tu en as un) de découvrir son corps ainsi alors.

Je parle d'expérience : ce que j'ai préféré chez les scouts, c'est ce qui se passe le soir sous la tente... Le sexe collectif n'est pas forcément glauque. C'est une expérience légère et ludique (tant que ça n'est pas imposé, bien sûr).

Me voilà catalogué vieille rombière coincée...
je n'ai rien contre le sexe collectif, (très) loin de là. Il se trouve juste que j'ai commencé à découvrir la sexualité en 81, c'est-à-dire au début de l'épidémie de SIDA, et que le SSR a été la condition sine qua non de survie pour moi, vu que, turbulent, j'ai eu l'occasion de perdre pas mal de copains entre 83 et 90. Donc cette pratique ne me répugne pas au plan culinaire, pas davantage au plan moral, c'est juste qu'elle remue en moi des souvenirs liés terribles sur lesquels je ne souhaite vraiment pas m'étendre.



Z'êtes des pervers

Si, quand même, un peu.

Gryphe a écrit:Tu me fais rire... :lol:

It waze ze but

Cripure a écrit:

Gryphe a écrit:Tu me fais rire... :lol:

It waze ze but

J'en reviens au fait que plaisanter, rire, et se gausser de cette misère sexuelle et affective est affligeant.

Mais on en revient aussi à dire que ce n'est pas forcément une misère sexuelle et affective. Mais bon.

Clodoald a écrit:

Cripure a écrit:

Gryphe a écrit:Tu me fais rire... :lol:

It waze ze but

J'en reviens au fait que plaisanter, rire, et se gausser de cette misère sexuelle et affective est affligeant.

Si j'en ai parlé ici, c'est que ce n'était pas a priori pour moi motif de plaisanterie.
Après, le rire aide à mettre de la distance.

Tu ne nous as pas raconté ce qu'il est advenu des élèves, Cripure : ils se sont juste tapé la méga honte ? Et comment la CPE les a-t-elle surpris ? Ils faisaient du bruit ? Ils étaient combien ? Parce que ça ne devient rigolo qu'à partir de cinq...

Par contre, vouloir avoir tous ces détails, Est-ce si important? Cripure nous a confié-en spoiler- une hallucination, il y a eu des réactions. On passe à autre chose.

Je suis d'accord avec Roxanne... Perso, j'ai pas besoin de connaître les tenants et les aboutissants (sans jeu de mots !).

D'autant qu'il ne s'est agi que d'un propos de la CPE en sdp et qu'en effet, je n'ai pas vraiment eu le réflexe d'investiguer (j'hallucine d'ailleurs encore plus d'apprendre ici que ce serait une pratique courante de camps de vacances, scout ou pas ()

J'ai régulièrement des élèves qui me demandent s'il y a eu beaucoup de morts du sida
Mais bon, j'ai l'impression que même le corps médical l'oublie: ma fille est hospitalisée pour une suspicion (forte) de méningite. L'infirmière qui lui fait la prise de sang ne porte pas de gants, ce que je constate en voyant qu'elle a du sang sur la main. Je le lui fais remarquer, et elle me répond un peu sèchement que ce n'est pas la première fois ni la dernière. Je réponds (aimablement malgré le stress) que c'est quand même pour une suspicion de méningite que l'on est là. Sa collègue la regarde et elle lui dit (pensant sans doute que je ne comprenais pas) qu'elle va faire un flash après. Sauf que le flash, il ne tuera pas le sida, ou un autre virus
Nous sommes allés voir le magnifique ballet de Béjart (Le Presbytère) avec mes filles, elles au moins se souviendront.

A 11 ans, en CM2, dans une école à la campagne, j'ai des élèves qui ne savent pas ce qu'est un pissenlit, et pour qui les boutons d'or c'est une marque de chips...

Cripure a écrit:D'autant qu'il ne s'est agi que d'un propos de la CPE en sdp et qu'en effet, je n'ai pas vraiment eu le réflexe d'investiguer (j'hallucine d'ailleurs encore plus d'apprendre ici que ce serait une pratique courante de camps de vacances, scout ou pas ()

J'avais entendu parler de cette pratique mais je croyais que c'était une légende urbaine. :shock:

Ben oui mais t'es dans les deux-chèvres :lol:

Volubilys a écrit:A 11 ans, en CM2, dans une école à la campagne, j'ai des élèves qui ne savent pas ce qu'est un pissenlit, et pour qui les boutons d'or c'est une marque de chips...

Dans mon petit collège de campagne, certains élèves ne savent pas ce qu'est une truite et s'extasient devant une vache quand nous sommes en sortie scolaire.

Bha les truites ça ne court pas les rue non plus, et les vaches sont de plus en plus rare mais les pissenlits il y en a partout, même dans le cour de l'école.
(Le jour où je verrai des truites et des vaches dans la cour, je m'inquiéterai.)

Quand on habite dans une ville de 2500 habitants dans une région très peu urbanisée, je trouve ça dommage de ne pas savoir ce que sont une truite ou une vache, qu'on en trouve dans la cour ou pas.

j'apprends par mes élèves (c'est le seul espoir, il arrive que les élèves mentent) qu'un de nos contractuels a décidé de les prendre en plus, en math.
Que vous compreniez bien :
1) je suis prof de math de la classe,
2) il n'est pas prof de la classe, ni de math ni d'autre chose,
3) il fait de mauvais cours (ce n'est pas une légende estudiantine, je les ai vu, les cours, il raconte des choses fausses),
4) il ne me préviens pas.

Donc, deux cas se présentent à nous :
cas 1 : les élèves ont raconté des cracks, et tout ira bien (pour le collègue en tout cas)
cas 2 : je fais les gros titres des journaux sur l'art et la manière d'éparpiller un collègue façon puzzle.

L'historique des uns et de l'autre me font pencher pour le cas 2.

Une affaire qui mérite d'être tirée (rien à voir avec l'hallu d'avant) au clair le plus tot possible

J'ai reçu sa réponse : mais non, pas du tout, je n'ai pas l'intention de faire cours avec eux voyons, ils ont mal compris, je leur ai proposé des heures de soutien c'est tout.

La réponse peu amène est partie, et je passe voir les chefs demain.