- AsarteLilithBon génie
Sérieusement, c'est une vraie pub ?!?! :missT2:
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- Elle aimeExpert
Rendash a écrit:Celadon a écrit:Si tu avais pris du viandox, tu n'aurais pas collé.
Je le ferai moi-même, à partir des ingrédients qui s'agitent devant moi :diable:
J'éviterai : antibio, mal nourris, pas beaucoup de muscle, peu d'intérêt nutritionnel.
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"Moi, je crois que la grammaire, c’est une voie d’accès à la beauté. Quand on parle, quand on lit ou quand on écrit, on sent bien si on a fait une belle phrase ou si on est en train d’en lire une. On est capable de reconnaître une belle tournure ou un beau style. Mais quand on fait de la grammaire, on a accès à une autre dimension de la beauté de la langue. Faire de la grammaire, c’est la décortiquer, regarder comment elle est faite, la voir toute nue, en quelque sorte. Et c’est là que c’est merveilleux : parce qu’on se dit : « Comme c’est bien fait, qu’est-ce que c’est bien fichu ! », « Comme c’est solide, ingénieux, subtil ! ». Moi, rien que savoir qu’il y a plusieurs natures de mots et qu’on doit les connaître pour en conclure à leurs usages et à leurs compatibilités possibles, ça me transporte."
- KimberliteExpert
Ce que j'ai surligné n'est valable que pour une partie des parents... je pense que, dans certaines CSP comme on dit, on a plutôt affaire à une désintérêt par rapport au travail scolaire des enfants...Cassius a écrit:Les causes de la fatigue croissante dans nos rangs et de l'épuisement grandissant sont comme je le disais expliquées par les injonctions croissantes de la hiérarchie mais aussi de la société. Nous avons droit et accès à un domaine de la santé de qualité, les tracas et les imprévus sont moins acceptés pour ne pas dire plus du tout, donc même si nous comprenons que les infirmiers et les médecins ne peuvent pas faire plus avec moins notre désir de qualité optimale brouille très vite les données. De même la valeur éducation est plus importante pour les familles néanmoins elle est vécu "différemment": on joue plus avec ces enfants, on jette plus souvent un œil sur les devoirs, l'ennui c'est qu'on demande plus à l'école (les parents profs n'y échappent pas). Si la famille se donne plus de moyens au niveau horaire et financier pour ça, on oublie que les moyens sont en baisse à l'école et on ne comprend pas qu'elle ne puisse en faire plus. C'est pour cela que l’hôpital et l'école ne sont pas soutenus à la juste mesure: les efforts consentis individuellement font penser que structurellement ce devrait être aussi le cas (puisque je le fais, ils peuvent le faire). C'est un biais psychologique qui fait que bien qu'on soit capable d'envisager la situation objectivement, notre implication individuelle dilue très vite cet aspect des choses.
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- Spoiler:
- CassiusNiveau 6
J'ai écrit jeter un œil pas s'impliquer efficacement. Autant dire dire que je pense que personne ne suit les devoirs de ses enfants de cette manière. C'est toujours à l'Ecole et aux enseignants de faire le boulot!
- VoltaireNiveau 10
Les parents à l'école primaire sont super impliqués (certains d'entre eux), ils interrogent fréquemment l'enseignant, suivent l'EdT de petitchéri, vérifient les devoirs, voire en rajoutent.
Au collège, du moment que petitchéri a la moyenne (et il l'a toujours, un élève à peine moyen semble, dans mon secteur, avoir 15), tout va bien.
Et au lycée, youhou ! petitchéri est devenu mongrand, il a toute liberté, voire a pris le dessus sur ses parents, qui maintenant ne se préoccupent plus que de ses notes, non pas pour le niveau qu'elles reflètent, mais pour le dossier qu'elles permettent de constituer. Et l'enseignant qui n'est pas bienveillant (au sens de laxiste), se voit rappeler que l'an dernier petitchéri (qui ne sait pas ajouter 2 et 3) avait quand même 15 de moyenne sans trop d'efforts, et qu'il serait bon de revenir à ce niveau de notation (il n'est pas question que mongrand se mette au travail, bien sûr). C'est usant. Et aussi, de s'échiner à faire progresser à leur rythme, au milieu de 35 élèves, le gamin doué qui a fait 4 exercices quand d'autres n'ont toujours pas ouvert leur cahier (et ne le feront que sous la menace, individuelle bien sûr), l'élève sérieux mais angoissé qui a besoin d'une attention particulière, le "dys" (quel qu'en soit le type) qui a lui aussi des besoins particuliers (d'ailleurs, EBEP c'est très clair). Ces EBEP, dont on a maintenant jusqu'à une dizaine par classe (de 35), ont des besoins certes particuliers, mais tous différents, et on n'est pas toujours correctement informés ni formés pour y faire face, et là aussi c'est épuisant et frustrant (pour eux aussi malheureusement).
On a alors des parents impliqués dans les études de leur enfant, des parents impliqués dans les notes de leur enfant, et des parents indifférents (on n'arrive pas à les joindre, même sur convocation). Dans la dernière catégorie, certains se réveillent au moment de l'orientation, et certains deviennent même assez agressifs.
Au collège, du moment que petitchéri a la moyenne (et il l'a toujours, un élève à peine moyen semble, dans mon secteur, avoir 15), tout va bien.
Et au lycée, youhou ! petitchéri est devenu mongrand, il a toute liberté, voire a pris le dessus sur ses parents, qui maintenant ne se préoccupent plus que de ses notes, non pas pour le niveau qu'elles reflètent, mais pour le dossier qu'elles permettent de constituer. Et l'enseignant qui n'est pas bienveillant (au sens de laxiste), se voit rappeler que l'an dernier petitchéri (qui ne sait pas ajouter 2 et 3) avait quand même 15 de moyenne sans trop d'efforts, et qu'il serait bon de revenir à ce niveau de notation (il n'est pas question que mongrand se mette au travail, bien sûr). C'est usant. Et aussi, de s'échiner à faire progresser à leur rythme, au milieu de 35 élèves, le gamin doué qui a fait 4 exercices quand d'autres n'ont toujours pas ouvert leur cahier (et ne le feront que sous la menace, individuelle bien sûr), l'élève sérieux mais angoissé qui a besoin d'une attention particulière, le "dys" (quel qu'en soit le type) qui a lui aussi des besoins particuliers (d'ailleurs, EBEP c'est très clair). Ces EBEP, dont on a maintenant jusqu'à une dizaine par classe (de 35), ont des besoins certes particuliers, mais tous différents, et on n'est pas toujours correctement informés ni formés pour y faire face, et là aussi c'est épuisant et frustrant (pour eux aussi malheureusement).
On a alors des parents impliqués dans les études de leur enfant, des parents impliqués dans les notes de leur enfant, et des parents indifférents (on n'arrive pas à les joindre, même sur convocation). Dans la dernière catégorie, certains se réveillent au moment de l'orientation, et certains deviennent même assez agressifs.
- Remi GNiveau 3
Voltaire a écrit: certains deviennent même assez agressifs.
Je confirme. N'étant (en ayant marre) pas spécialement diplomate, j'ai essuyé les plâtres avec certains parents prompts à défendre leur enfant où à aborder un entretien avec des remarques à l'emporte-pièce alors même qu'ils étaient en retard. Trop souvent, j'ai l'impression que des parents se prennent pour Bourdin qui interviewe ses invités à RMC!
Désormais, je refuse de faire un entretien seul avec un élève et son parent pour éviter d'être à 2 contre 1 et d'être dans une posture de justification de ma pédagogie dans les moments où mes explications sont sans cesses entrecoupées des remarques de l'un où de l'autre. Pour un rdv parent, je demande systématiquement la présence du PP. Si ce dernier n'est pas dispo, tant pis; j'indique au parent dans le carnet qu'il faut voir en fonction des disponibilités du PP.
Si j'ai un soucis avec un élève garçon, je privilégie le père plutôt que la mère pour en discuter ou pour un entretien au collège. Je ne suis pas psy mais j'ai constaté la tendance des mères a défendre bec et ongles leurs fils, même quand ces derniers étaient accusés de faits graves et avérés (harcèlements, violence, viol).
Enfin, j'évite aussi de prendre un rdv le jour même où après une journée de 8h30-17h du fait de mon état de fatigue qui peut bien évidement altérer mon jugement.
- CassiusNiveau 6
Remi G a écrit:Si j'ai un soucis avec un élève garçon, je privilégie le père plutôt que la mère pour en discuter ou pour un entretien au collège. Je ne suis pas psy mais j'ai constaté la tendance des mères a défendre bec et ongles leurs fils, même quand ces derniers étaient accusés de faits graves et avérés (harcèlements, violence, viol).
Rassure-moi, après ça l'élève était "pris en charge" par la justice et en tout cas plus de l'établissement.
- angelxxxÉrudit
Pas forcement si la victime ne porte pas plainte...
Dans mon ancien college, le jeu de l'olive est allé tres loin mais rien ou presque ne s'est passé. Des garçons ont touches les seins de quelques filles à la piscine de manière insistante et pareil, rien.
Notre cde ne souhaitait ne rien faire dans l'établissement, aucun parent ne portait plainte.
Dans mon ancien college, le jeu de l'olive est allé tres loin mais rien ou presque ne s'est passé. Des garçons ont touches les seins de quelques filles à la piscine de manière insistante et pareil, rien.
Notre cde ne souhaitait ne rien faire dans l'établissement, aucun parent ne portait plainte.
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"La lumière pense voyager plus vite que quoi que ce soit d'autre, mais c'est faux. Peu importe à quelle vitesse voyage la lumière, l'obscurité arrive toujours la première, et elle l'attend. Terry Pratchett."
- Dadoo33Grand sage
Remi G a écrit:Voltaire a écrit: certains deviennent même assez agressifs.
Désormais, je refuse de faire un entretien seul avec un élève et son parent pour éviter d'être à 2 contre 1 et d'être dans une posture de justification de ma pédagogie dans les moments où mes explications sont sans cesses entrecoupées des remarques de l'un où de l'autre. Pour un rdv parent, je demande systématiquement la présence du PP. Si ce dernier n'est pas dispo, tant pis; j'indique au parent dans le carnet qu'il faut voir en fonction des disponibilités du PP.
Eh bien les pp dans ton établissement sont bien gentils
A leur place, sauf cas exceptionnel, ce serait niet.
Et puis quoi encore, ce n’est pas au pp de régler tes pbs éventuels avec tel ou tel parent et/ou élève.
Si tu ne veux pas être seul, il y a les cpe et/ ou la direction.
- Pourquoi 3,14159Expert
Missions du PP a écrit:Le Professeur Principal est responsable du suivi des élèves de sa classe : Le Professeur Principal est particulièrement attentif à l'adaptation des nouveaux élèves à la vie du Collège ; il examine avec soin les résultats de l'évaluation et dialogue avec les familles ; il participe à la mise en place d'actions de soutien.
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"Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité. " (Albert Einstein).
- DanskaOracle
Et donc, tu es d'accord avec qui ? Parce que citer un texte n'est pas exactement une opinion...
- XIIINeoprof expérimenté
angelxxx a écrit:Pas forcement si la victime ne porte pas plainte...
Dans mon ancien college, le jeu de l'olive est allé tres loin mais rien ou presque ne s'est passé. Des garçons ont touches les seins de quelques filles à la piscine de manière insistante et pareil, rien.
Notre cde ne souhaitait ne rien faire dans l'établissement, aucun parent ne portait plainte.
Il me semble pourtant que nous avons obligation de faire remonter ce genre de "situations". Cette non assistance à personne en danger est à vomir.
- Dame TartineNeoprof expérimenté
Pourquoi 3,14159 a écrit:Missions du PP a écrit:Le Professeur Principal est responsable du suivi des élèves de sa classe : Le Professeur Principal est particulièrement attentif à l'adaptation des nouveaux élèves à la vie du Collège ; il examine avec soin les résultats de l'évaluation et dialogue avec les familles ; il participe à la mise en place d'actions de soutien.
Euh certes mais le PP a aussi une vie et rien n'indique qu'il doive être présent à chaque rendez-vous programmé par l'un des collègues. Imaginons que cela soit le cas ? On n'a pas fini de se rendre disponible. S'il s'agit d'un problème grave ou d'un entretien risquant d'être difficile, ok, mais si c'est pour du "tout venant", non. Notre fonction de PP ne nous donne pas le droit d'être corvéables à merci, n'en déplaise à certains collègues.
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J'peux pas, j'ai piscine !
- XIIINeoprof expérimenté
Dame Tartine a écrit:Pourquoi 3,14159 a écrit:Missions du PP a écrit:Le Professeur Principal est responsable du suivi des élèves de sa classe : Le Professeur Principal est particulièrement attentif à l'adaptation des nouveaux élèves à la vie du Collège ; il examine avec soin les résultats de l'évaluation et dialogue avec les familles ; il participe à la mise en place d'actions de soutien.
Euh certes mais le PP a aussi une vie et rien n'indique qu'il doive être présent à chaque rendez-vous programmé par l'un des collègues. Vous imaginez que cela soit le cas ? On n'a pas fini de se rendre disponible. S'il s'agit d'un problème grave ou d'un entretien risquant d'être difficile, ok, mais si c'est pour du "tout venant", non. Notre fonction de PP ne nous donne pas le droit d'être corvéables à merci, n'en déplaise à certains collègues.
+1
Au vu de la tendance actuelle, je pense que les RDV devraient être enregistrés ou filmés.
- Dadoo33Grand sage
Dame Tartine a écrit:Pourquoi 3,14159 a écrit:Missions du PP a écrit:Le Professeur Principal est responsable du suivi des élèves de sa classe : Le Professeur Principal est particulièrement attentif à l'adaptation des nouveaux élèves à la vie du Collège ; il examine avec soin les résultats de l'évaluation et dialogue avec les familles ; il participe à la mise en place d'actions de soutien.
Euh certes mais le PP a aussi une vie et rien n'indique qu'il doive être présent à chaque rendez-vous programmé par l'un des collègues. Imaginons que cela soit le cas ? On n'a pas fini de se rendre disponible. S'il s'agit d'un problème grave ou d'un entretien risquant d'être difficile, ok, mais si c'est pour du "tout venant", non. Notre fonction de PP ne nous donne pas le droit d'être corvéables à merci, n'en déplaise à certains collègues.
@Dame Tartine: Exactement merci !
Je trouve ça un peu facile.
@Pourquoi: comme le mentionne Danska, que veux-tu dire en citant ce passage?
Non parce-que je connais mes obligations en tant que pp et leurs limites. Et clairement, ce que décrit Rémi n’en fait pas partie sauf cas exceptionnel.
L’institution nous demande de plus en plus de chose. Si les collègues s’y mettent en plus.
- Pourquoi 3,14159Expert
Je n'insinue rien, n'étant pas péripatéticien, je n'accepterais jamais une fonction aussi chichement rémunérée pour autant de missions que possible. Mais quand on l'accepte il faut s'attendre à cela.
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"Placez votre main sur un poêle une minute et ça vous semble durer une heure. Asseyez vous auprès d'une jolie fille une heure et ça vous semble durer une minute. C'est ça la relativité. " (Albert Einstein).
- CassiusNiveau 6
ENQUÊTE. Ce burn-out qui menace les profs : « On n’a pas envie de mourir, on veut juste que ça s’arrête »
C'est déjà ça.
C'est déjà ça.
- Dadoo33Grand sage
Pourquoi 3,14159 a écrit:Je n'insinue rien, n'étant pas péripatéticien, je n'accepterais jamais une fonction aussi chichement rémunérée pour autant de missions que possible. Mais quand on l'accepte il faut s'attendre à cela.
Euh nullement. Je suis désolée.
Je fais le suivi de mes élèves, je rencontre les parents si nécessaire.
En revanche, non, à aucun moment, les pp sont tenus d’accompagner les collègues lors d’un rdv.
Maintenant si certains pp ont envie d’en faire plus ça c’est leur pb, mais il ne faut pas tout confondre et faire croire « qu’il faut s’attendre à cela quand on accepte la mission de pp ».
- Remi GNiveau 3
Dadoo33 a écrit:Remi G a écrit:Voltaire a écrit: certains deviennent même assez agressifs.
Désormais, je refuse de faire un entretien seul avec un élève et son parent pour éviter d'être à 2 contre 1 et d'être dans une posture de justification de ma pédagogie dans les moments où mes explications sont sans cesses entrecoupées des remarques de l'un où de l'autre. Pour un rdv parent, je demande systématiquement la présence du PP. Si ce dernier n'est pas dispo, tant pis; j'indique au parent dans le carnet qu'il faut voir en fonction des disponibilités du PP.
Eh bien les pp dans ton établissement sont bien gentils
A leur place, sauf cas exceptionnel, ce serait niet.
Et puis quoi encore, ce n’est pas au pp de régler tes pbs éventuels avec tel ou tel parent et/ou élève.
Si tu ne veux pas être seul, il y a les cpe et/ ou la direction.
Comme si j'étais à l'origine des problèmes rencontrés avec tel ou tel élève/parent :|
Le cpe? La direction? Pratiquement jamais dispo.
N'exagère rien. Ce n'est pas comme si je prenais des rdv parents de manière hebdomadaire ou quotidienne.
Quand un parent veut prendre rdv avec moi suite à des problèmes récurrents avec son enfant, je fais en sorte que le pp soit disponible quitte à ce que je reste moi-même plus tard. Et ne crois pas que ça m'enchante! Je m'en passerai bien!
De toute façon, cette option de faire appel au pp nous a été présentée d'entrée par notre CdE. Certains parents se sont montrés assez véhéments avec des collègues. Nous avons donc la consigne de recevoir les parents dans une pièce dont la porte est systématiquement ouverte en cas de soucis et qui donne sur le couloir au cas ou le personnel ait à intervenir. Un rdv parent n'a pas a s'éterniser. Il ne s'agit guère plus d'1 quart d'heure et c'est dans les missions du pp comme ça a été évoqué plus haut.
Si j'étais pp, je m'y plierais. En tant que collègues, on doit se serrer les coudes!
- JennyMédiateur
Non.Remi G a écrit:Il ne s'agit guère plus d'1 quart d'heure et c'est dans les missions du pp comme ça a été évoqué plus haut.
Si j'étais pp, je m'y plierais. En tant que collègues, on doit se serrer les coudes!
Il m'arrive de le proposer à un collègue en cas de situation très tendue, mais je n'assiste pas à tous les RDV, ça voudrait dire que je le ferais toutes les semaines.
Tu as vu le montant de l'indemnité PP ?
- User20159Esprit éclairé
Non ce n'est pas dans les missions du PP, même si celui-ci (ou le CPE, ou le PA peut-être évidemment présent si sollicité).
Le PP n'est ni conciliateur, ni négociateur, ni grand chef de l'équipe péda, il est...PP.
Alors avec certains parents particulièrement c....ts , chez nous on s'arrange toujours pour être à 3 (PP, Prof et CPE) , après si besoin exprès d'un témoin, solliciter n'importe quel collègue (de la classe c'est mieux) peut aussi être une possibilité.
L'as tu jamais été ? Il y a une différence entre se serrer les coudes (nécessaire dans certains établissements) et sacrifier des heures pour assister à x rendez-vous.
Par exemple ma CPE préfère voir mes élèves avec moi, mon EDT ne le permet pas toujours. Si je ne peux pas être présent, je ne suis pas là, point. Si nécessaire, j'en repasse une couche personnellement à l'élève.
Le PP n'est ni conciliateur, ni négociateur, ni grand chef de l'équipe péda, il est...PP.
Alors avec certains parents particulièrement c....ts , chez nous on s'arrange toujours pour être à 3 (PP, Prof et CPE) , après si besoin exprès d'un témoin, solliciter n'importe quel collègue (de la classe c'est mieux) peut aussi être une possibilité.
Remi G a écrit:Si j'étais pp, je m'y plierais. En tant que collègues, on doit se serrer les coudes!
L'as tu jamais été ? Il y a une différence entre se serrer les coudes (nécessaire dans certains établissements) et sacrifier des heures pour assister à x rendez-vous.
Par exemple ma CPE préfère voir mes élèves avec moi, mon EDT ne le permet pas toujours. Si je ne peux pas être présent, je ne suis pas là, point. Si nécessaire, j'en repasse une couche personnellement à l'élève.
- Monsieur_TeslaNiveau 10
Ha@_x a écrit:Non ce n'est pas dans les missions du PP, même si celui-ci (ou le CPE, ou le PA peut-être évidemment présent si sollicité).
Le PP n'est ni conciliateur, ni négociateur, ni grand chef de l'équipe péda, il est...PP.
Alors avec certains parents particulièrement c....ts , chez nous on s'arrange toujours pour être à 3 (PP, Prof et CPE) , après si besoin exprès d'un témoin, solliciter n'importe quel collègue (de la classe c'est mieux) peut aussi être une possibilité.Remi G a écrit:Si j'étais pp, je m'y plierais. En tant que collègues, on doit se serrer les coudes!
L'as tu jamais été ? Il y a une différence entre se serrer les coudes (nécessaire dans certains établissements) et sacrifier des heures pour assister à x rendez-vous.
Par exemple ma CPE préfère voir mes élèves avec moi, mon EDT ne le permet pas toujours. Si je ne peux pas être présent, je ne suis pas là, point. Si nécessaire, j'en repasse une couche personnellement à l'élève.
On y arrive chez nous, ne jamais recevoir un parent seul, trop de dérives l'année dernière.
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Ce que j'entends je l'oublie.
Ce que le lis je le retiens.
Ce que je fais, je le comprends !
Tchuang Tseu
- User20159Esprit éclairé
Monsieur_Tesla a écrit:On y arrive chez nous, ne jamais recevoir un parent seul, trop de dérives l'année dernière.
C'est sûr que c'est un peu la base si l'entretien s'annonce houleux ou que la famille est défavorablement connue.
Mais tous les entretiens parents/profs ne sont pas nécessairement des rings de boxe
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