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- Luciano PoniatowskiNiveau 5
Bonjour à tous,
Désolé pour le langage estampillé EN, mais vu que ça vient du privé à la base.
Je ne sais pas si beaucoup d'entre vous ressentent difficilement le fait d'être absolument inemployable sur le marché du travail. Ayant fait des études d'histoire, prof était une des seules options possibles pour moi. Ça tombe bien, c'est ce qui me tentait le plus.
Seulement après 10 ans de prof, je ressens une certaine lassitude, comme beaucoup au bout d'un moment je pense.
Mais quand je regarde autour de moi, mes amis, ma famille, je me rends compte qu'après 10 ans d'expérience en tant que prof, je n'ai développé aucune compétence qui me permettrait de bifurquer, que la seule solution est encore de passer un concours. Ma femme étant japonaise, la possibilité de s'expatrier m'est passée par la tête, mais je me rends compte là aussi que ça devient impossible, car je n'ai aucune plus value par rapport à un local.
Je réalise bien, surtout en période Covid, ne pas être le plus à plaindre, mais je cultive une sorte de frustration à ne pouvoir rien faire d'autre que prof. Je ne sais pas si ce message est très utile, mais si certains pensent la même chose et si vous avez des conseils pour surmonter ce défaitisme, je vous en serais gré.
Désolé pour le langage estampillé EN, mais vu que ça vient du privé à la base.
Je ne sais pas si beaucoup d'entre vous ressentent difficilement le fait d'être absolument inemployable sur le marché du travail. Ayant fait des études d'histoire, prof était une des seules options possibles pour moi. Ça tombe bien, c'est ce qui me tentait le plus.
Seulement après 10 ans de prof, je ressens une certaine lassitude, comme beaucoup au bout d'un moment je pense.
Mais quand je regarde autour de moi, mes amis, ma famille, je me rends compte qu'après 10 ans d'expérience en tant que prof, je n'ai développé aucune compétence qui me permettrait de bifurquer, que la seule solution est encore de passer un concours. Ma femme étant japonaise, la possibilité de s'expatrier m'est passée par la tête, mais je me rends compte là aussi que ça devient impossible, car je n'ai aucune plus value par rapport à un local.
Je réalise bien, surtout en période Covid, ne pas être le plus à plaindre, mais je cultive une sorte de frustration à ne pouvoir rien faire d'autre que prof. Je ne sais pas si ce message est très utile, mais si certains pensent la même chose et si vous avez des conseils pour surmonter ce défaitisme, je vous en serais gré.
- Roro34Niveau 6
Salut,
Je suis au début de ma carrière de prof d'HG mais je me suis déjà fait la même réflexion sur le manque de compétence. J'ai l'impression que le cursus universitaire ne m'a appris que ce métier sans aucun élargissement possible... J'espère pouvoir durer 40 ans là-dedans :o
Je suis au début de ma carrière de prof d'HG mais je me suis déjà fait la même réflexion sur le manque de compétence. J'ai l'impression que le cursus universitaire ne m'a appris que ce métier sans aucun élargissement possible... J'espère pouvoir durer 40 ans là-dedans :o
_________________
2021-2022 : Poste fixe - Stabilisation REP+
2020-2021 : TZR Néotit (T1) - AFA Temps plein REP+
2019-2020 : Stagiaire temps plein
2019 : Obtention du CAPES Externe
2016-2019 : Contractuel
2015-2016 : M2 MEEF Histoire-Géographie
- AurevillyHabitué du forum
Bonjour Luciano P., je partage totalement ton sentiment, hélas. Il me semble pourtant qu'il est partiellement faux, nos compétences sont transférables mais les portes qui s'ouvrent sont étroites, les opportunités mal connues et le travail de reconversion long et angoissant. N'est-ce pas le cas de toute reconversion cependant ?
- Manu7Expert spécialisé
Dans les collectivités locales, il y a souvent des chargées de mission qui ont un cursus en histoire. Je ne sais pas si cela passe obligatoirement par des concours ? Les capacités d'organisation, de synthèses, d'animation d'une réunion ne sont pas négligeables surtout avec la pédagogie qui va avec.
- issoireNiveau 9
Au bout de 30 ans je n’ai pas acquis de compétence pour travailler dans le privé, sens de l’écoute, pédagogie peut-être mais je ne pense pas que cela soit valoriser dans un CV. Par contre je remarque que beaucoup de personnes se disent compétents pour être profs et ont leurs mots à dire: parents, journalistes...
- poutouNiveau 10
En fait, je pense que nous avons une capacité d'adaptation et de réactivité très développée.
Je pense que nous n'aurions aucun souci non plus à pratiquer un travail administratif, tant nous en faisons de plus en plus.
Pour finir, quel métier donne des compétences dans un autre, honnêtement ?
Mais je pense vraiment que nous pourrions faire quantité de choses.
Je pense que nous n'aurions aucun souci non plus à pratiquer un travail administratif, tant nous en faisons de plus en plus.
Pour finir, quel métier donne des compétences dans un autre, honnêtement ?
Mais je pense vraiment que nous pourrions faire quantité de choses.
- issoireNiveau 9
C’est vrai restons positifs, en tout cas pour utiliser ces compétences ( réactivité) il faut changer assez vite de métier ( avant 40 ans) .En plus nous savons bien communiquer et parler en public.
- Thalia de GMédiateur
Topics fusionnés.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- Luciano PoniatowskiNiveau 5
poutou a écrit:En fait, je pense que nous avons une capacité d'adaptation et de réactivité très développée.
Je pense que nous n'aurions aucun souci non plus à pratiquer un travail administratif, tant nous en faisons de plus en plus.
En théorie, oui. En pratique, absolument aucune boîte ne se risquera à engager un prof surtout dans la trentaine, quarantaine, qu'il faudra former. On peut s'en désoler, mais il vaut mieux être réaliste.
- JennyMédiateur
J'ai travaillé comme chargée de communication après mon M2 d'histoire et avant de passer le CAPES. (Beaucoup de profils comme le mien, ils cherchaient surtout des personnes capables de rédiger correctement et à l'aise avec internet).
Il y a des besoins dans la formation en entreprise. Ca ne me passionne pas franchement mais j'ai de temps en temps des propositions (et une expérience dans l'enseignement n'a pas l'air d'être un obstacle).
Je pense que dans la pratique, on est assez polyvalents, capables de s'autoformer, autonomes... Il faut par contre savoir se valoriser pour se reconvertir.
Il y a des besoins dans la formation en entreprise. Ca ne me passionne pas franchement mais j'ai de temps en temps des propositions (et une expérience dans l'enseignement n'a pas l'air d'être un obstacle).
Je pense que dans la pratique, on est assez polyvalents, capables de s'autoformer, autonomes... Il faut par contre savoir se valoriser pour se reconvertir.
- pseudo-intelloSage
Les recruteurs ont de plus en plus de mal à trouver des candidats pour des métiers où il faut savoir écrire correctement (et parler). On a également un self-control qui ne coule plus forcément de source dans la jeune génération.
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Mots croisés d'apprentissage - lecture et orthographe
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- Fesseur ProGuide spirituel
Certains enseignants ont de plus en plus de mal à savoir écrire correctement (et parler).
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Pourvu que ça dure...
- JennyMédiateur
pseudo-intello a écrit:Les recruteurs ont de plus en plus de mal à trouver des candidats pour des métiers où il faut savoir écrire correctement (et parler).
+1. Mon conjoint n'en peut plus.
- LivNiveau 1
Mais si voyons, on a développé des compétences pour bosser comme pédopsy, coach parental, assistant social, éducateur spécialisé et animateur de colo...
Plus sérieusement, j'ai des amis qui ont bifurqué vers les concours de conservateur/bibliothécaire...
Tu peux aussi devenir chef d'établissement, le boulot affreux, mais avec logement de fonction.
Plus sérieusement, j'ai des amis qui ont bifurqué vers les concours de conservateur/bibliothécaire...
Tu peux aussi devenir chef d'établissement, le boulot affreux, mais avec logement de fonction.
- AscagneGrand sage
J'ai à peu près la même impression. Je n'ai fait que deux ans dans le secondaire jusqu'à présent, car pour le reste j'ai enseigné à l'université et fait ma thèse (j'arrive au bout de celle-ci), mais je songe à la reconversion par rapport au secondaire (car les deux ans au lycée ont été très difficiles) et j'ai parfois le sentiment d'être inemployable ailleurs - ou en tout cas de ne pas trouver quelque chose qui me corresponde (à l'exception bien sûr de la voie universitaire, mais je ne me fais aucune illusion de ce côté-là même si j'espère pouvoir étoffer mon dossier à l'avenir). La déprime n'aide pas dans l'affaire. J'ai un peu regardé du côté des concours pour devenir conservateur mais je doute.
- JennyMédiateur
Ascagne a écrit:J'ai à peu près la même impression. Je n'ai fait que deux ans dans le secondaire jusqu'à présent, car pour le reste j'ai enseigné à l'université et fait ma thèse (j'arrive au bout de celle-ci), mais je songe à la reconversion par rapport au secondaire (car les deux ans au lycée ont été très difficiles) et j'ai parfois le sentiment d'être inemployable ailleurs - ou en tout cas de ne pas trouver quelque chose qui me corresponde (à l'exception bien sûr de la voie universitaire, mais je ne me fais aucune illusion de ce côté-là même si j'espère pouvoir étoffer mon dossier à l'avenir). La déprime n'aide pas dans l'affaire. J'ai un peu regardé du côté des concours pour devenir conservateur mais je doute.
Est ce que ce n'est pas plutôt ça le problème ?
A te lire, j'ai l'impression que tu ne te projette pas dans autre chose... Je crois qu'il faut aussi accepter de s'éloigner de son domaine d'études. Et après une thèse, ce n'est pas forcément simple.
- RuthvenGuide spirituel
N'oubliez pas de jeter de temps en temps un coup d'oeil ici :
https://place-emploi-public.gouv.fr/
https://place-emploi-public.gouv.fr/
- VolubilysGrand sage
Alors, bien sûr que si nous avons développé des compétences qu'il faut savoir mettre en valeur (mais le métier de prof est tellement dénigré que nous-même nous nous dénigrons, par réflexe.)
Nous avons des compétences d'encadrement, d'animation, de management, de communication, de gestion de projet, de gestion de conflit... nous savons travailler en autonomie mais aussi en équipe, nous savons gérer des relations avec le public et des relations entre divers administrations/services et intervenants, nous gérons des dossiers et leur suivi, nous sommes capables d'autoformation et d'une forte adaptabilité, nous savons rédiger et nous exprimer dans un français correct, nous savons gérer des plannings, des échéances, souvent nous avons de bonnes bases en informatique/logiciels de bureautique...
Ce n'est pas rien.
Après, pour une reconversion, il faut choisir un nouveau secteur et se former aux spécificités de ce secteur et à un autre métier, en s'appuyant sur nos forces, sur notre expérience.
Mais c'est comme ça pour tous les métiers quand on veut se reconvertir.
Changer de voie n'est jamais simple!
Par ailleurs en quoi c'est mal de passer des concours?
Je prépare le concours de conservateur du patrimoine, je ne vois pas ça comme une "déchéance" ni comme un "je peux rien faire d'autre", c'est même plutôt un sacré défis.
Nous avons des compétences d'encadrement, d'animation, de management, de communication, de gestion de projet, de gestion de conflit... nous savons travailler en autonomie mais aussi en équipe, nous savons gérer des relations avec le public et des relations entre divers administrations/services et intervenants, nous gérons des dossiers et leur suivi, nous sommes capables d'autoformation et d'une forte adaptabilité, nous savons rédiger et nous exprimer dans un français correct, nous savons gérer des plannings, des échéances, souvent nous avons de bonnes bases en informatique/logiciels de bureautique...
Ce n'est pas rien.
Après, pour une reconversion, il faut choisir un nouveau secteur et se former aux spécificités de ce secteur et à un autre métier, en s'appuyant sur nos forces, sur notre expérience.
Mais c'est comme ça pour tous les métiers quand on veut se reconvertir.
Changer de voie n'est jamais simple!
Par ailleurs en quoi c'est mal de passer des concours?
Je prépare le concours de conservateur du patrimoine, je ne vois pas ça comme une "déchéance" ni comme un "je peux rien faire d'autre", c'est même plutôt un sacré défis.
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Je vous prie de m'excuser si mes messages contiennent des coquilles, je remercie les personnes qui me les signaleront par mp pour que je puisse les corriger.
- CléopâtreNiveau 4
L'impression est fausse (enseigner demande beaucoup de compétences, c'est indéniable), mais le problème est réel. J'ai déjà entendu de nombreux collègues faire ce constat et rester enseignant par dépit.
Une amie recruteuse m'a clairement dit que le profil que tu décris (le nôtre en somme), c'est le genre de profil qui est rejeté d'office (ses mots: "je me dis qu'ils ne tiendront jamais dans le privé"). Les préjugés ont la vie dure.
Je suis assez d'accord avec ton constat réaliste malheureusement: le profil prof, 35-40, est quasi inemployable ailleurs. Sauf aide/piston, et ça existe (déjà vu des gens se faire aider par l'en pour cause d'inaptitude par ex.) Pour moi, ce n'est pas en lien avec les compétences des uns et des autres, mais avec le fonctionnement du marché du travail.
Mais il reste la voie des concours, qui n'est pas négligeable. Le plus difficile est peut être de trouver ce qui pourrait t'intéresser...
Bonne chance à toi!
- roxanneOracle
Et puis, il y a d'autres voies. Tu as aussi tes compétences propres. J'ai un collègue, 20 ans d'ancienneté, matière littéraire, pas de problèmes majeurs avec les gamins qui prépare un CAP plombier, son but est de s'installer à son compte. Evidemment, ça fait des années qu'il sait faire, qu'il fait chez lui, chez les copains. là, il a décidé de passer le cap.
- InvitéInvité
Ma sœur, récemment recrutée chez Mot-tech ( en gros, rédaction de compte-rendus pour les entreprises) m'a dit que de nombreux professeurs reconvertis y étaient régulièrement embauchés, justement pour leurs capacités rédactionnelles et de synthèse.
- VolubilysGrand sage
J'y reviens, mais en quoi les concours c'est "un faute de mieux"?Cléopâtre a écrit:
L'impression est fausse (enseigner demande beaucoup de compétences, c'est indéniable), mais le problème est réel. J'ai déjà entendu de nombreux collègues faire ce constat et rester enseignant par dépit.
Une amie recruteuse m'a clairement dit que le profil que tu décris (le nôtre en somme), c'est le genre de profil qui est rejeté d'office (ses mots: "je me dis qu'ils ne tiendront jamais dans le privé"). Les préjugés ont la vie dure.
Je suis assez d'accord avec ton constat réaliste malheureusement: le profil prof, 35-40, est quasi inemployable ailleurs. Sauf aide/piston, et ça existe (déjà vu des gens se faire aider par l'en pour cause d'inaptitude par ex.) Pour moi, ce n'est pas en lien avec les compétences des uns et des autres, mais avec le fonctionnement du marché du travail.
Mais il reste la voie des concours, qui n'est pas négligeable. Le plus difficile est peut être de trouver ce qui pourrait t'intéresser...
Bonne chance à toi!
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Je vous prie de m'excuser si mes messages contiennent des coquilles, je remercie les personnes qui me les signaleront par mp pour que je puisse les corriger.
- AscagneGrand sage
@Jenny : Oui, j'ai du mal à me projeter dans l'avenir de ce côté-là. Au moins, mon parcours me donne sans doute des avantages pour passer d'autres concours, d'autant plus que j'ai toujours été curieux par rapport à d'autres domaines. Je vais voir selon mon expérience une fois revenu dans le secondaire, en me disant qu'il reste une porte de sortie malgré tout.
- JennyMédiateur
Bon courage, Ascagne en tout cas.
- Lowpow29Neoprof expérimenté
Je suis en cours de bilan de compétences ici en Allemagne et c'est fou car au début de chaque séance je choisis un grand domaine (exemple : organiser, transmettre, informer, conseiller...) et je me dis hm qu'est-ce qu'on va bien pouvoir trouver d'intéressant, et à la fin de la séance on a toute une liste de compétences utiles dans tous les domaines !
Si quelqu'un est intéressé pour lire mes tableaux, je suis ok pour les envoyer par email, c'est certes personnel mais finalement il n'y a pas mon nom et je trouve que ça donne une idée de l'étendue des compétences qu'on possède mais auxquelles on ne pense pas car on les a développées de manière indirecte.
Rien que tout ce qui est capacité d'empathie, de cerner les besoins, de savoir s'adapter, d'organiser un apprentissage... Ce sont aussi les compétences d'un ingénieur pédagogique par exemple ou d'un formateur en entreprise, ou d'un chef de projet, ou d'un conseiller/coach...
Je pense qu'avant de se dire "je ne sais rien faire d'autre", il faudrait se forcer à répondre, même de manière très fouillis, à la question "qu'est-ce que j'aimerais faire? dans quel nouveau domaine aimerais-je me développer?" et là on voit comment on peut transposer nos connaissances/compétences à ce domaine.
J'ai cru voir que les bilans de compétences sont assez chers, j'ai la chance de le faire gratuitement dans un programme d'aide aux étrangers, et avec une bonne méthode et une conseillère avec qui je m'entends bien (la méthode est : ProfilPASS, on peut d'ailleurs remplir le bilan de compétences soi-même mais je pense que le résultat n'est pas du tout aussi complet qu'avec un conseiller) mais si vous voulez vous reconvertir, je recommande vraiment de parler par là, ça remotive, moi j'ai commencé au moment où j'ai démissionné de mon école et où je me voyais déjà être contrainte de revenir en France et ça m'a beaucoup aidée !
Si quelqu'un est intéressé pour lire mes tableaux, je suis ok pour les envoyer par email, c'est certes personnel mais finalement il n'y a pas mon nom et je trouve que ça donne une idée de l'étendue des compétences qu'on possède mais auxquelles on ne pense pas car on les a développées de manière indirecte.
Rien que tout ce qui est capacité d'empathie, de cerner les besoins, de savoir s'adapter, d'organiser un apprentissage... Ce sont aussi les compétences d'un ingénieur pédagogique par exemple ou d'un formateur en entreprise, ou d'un chef de projet, ou d'un conseiller/coach...
Je pense qu'avant de se dire "je ne sais rien faire d'autre", il faudrait se forcer à répondre, même de manière très fouillis, à la question "qu'est-ce que j'aimerais faire? dans quel nouveau domaine aimerais-je me développer?" et là on voit comment on peut transposer nos connaissances/compétences à ce domaine.
J'ai cru voir que les bilans de compétences sont assez chers, j'ai la chance de le faire gratuitement dans un programme d'aide aux étrangers, et avec une bonne méthode et une conseillère avec qui je m'entends bien (la méthode est : ProfilPASS, on peut d'ailleurs remplir le bilan de compétences soi-même mais je pense que le résultat n'est pas du tout aussi complet qu'avec un conseiller) mais si vous voulez vous reconvertir, je recommande vraiment de parler par là, ça remotive, moi j'ai commencé au moment où j'ai démissionné de mon école et où je me voyais déjà être contrainte de revenir en France et ça m'a beaucoup aidée !
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La vie est courte, l'art est long, l'occasion fugitive, l'expérience trompeuse, le jugement difficile. Hippocrate
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- Ecole : comment se développe l'écart de niveau en maths entre filles et garçons
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