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- pseudo-intelloGrand sage
Volubilys a écrit:Je vous laisse vous prélasser dans l'inaction et pleurer sur votre triste sort. J'ai un concours à préparer.
- CléopâtreNiveau 4
Volubilys a écrit:
J'y reviens, mais en quoi les concours c'est "un faute de mieux"?
Ben, je n'ai pas écrit ça... Alors je ne peux pas répondre
C'est une voie, c'est tout.
- CathEnchanteur
Volubilys a écrit:C'est sûr que si on part perdant, on ne fait rien et on arrive nul part.
Autant aller tout de suite s'acheter une corde.Il y a saisonnier et saisonnier.Luciano Poniatowski a écrit:roxanne a écrit:Peut-être pour y être manager, mais sinon, je connais tout un tas d'élèves sortant du bac et même avant engagés dans ces chaines , il y a d'ailleurs des contrats spécifiques pour les étudiants.
Non, c'était bien pour être en caisse. Autre exemple, j'ai accompagné cette année ma femme à une session de job dating dans le centre commercial à proximité. Il y avait des queues immenses, des candidats qui avaient préparé CV et lettres de motivation, étaient habillés en costume...pour des postes de saisonniers. C'est ça la réalité de vivre dans un pays à plus de 10% de chômage.
Certains des ces emplois sont plus recherchés que d'autres. Pour faire les saisons agricoles, nul besoin de CV ou de lettre de motivation, par chez moi les vergers et les maraîchers manquent cruellement de bras! Si t'es dispo de mai à novembre (ou même juste de août à mi-septembre...) les producteurs de pommes seront ravis de t'avoir. Si c'est de juin à septembre, tu intéresses aussi les producteurs de melons, et de mi-juillet à mi-août les producteurs de maïs semence...
Mais c'est des boulots difficiles et payé au smic horaire.
Hum.
Demandeur d'emploi l'an dernier (à l'époque de Sibeth Ndiaye et de ses ramasseurs de fraises), mon mari avait postulé sur "Des bras pour mon assiettes". Pas regardant, il avait accepté "France entière".
Ben pas une seule réponse, alors qu'il avait parfaitement la condition physique pour le faire : je précise parce que j'ai vu un mini-reportage là-dessus à la télé : rien que des jeunes. Des étudiants qui s’ennuyaient, des jeunes à la maison faute de pouvoir télétravailler et qui complétaient ainsi leur salaire...
- pseudo-intelloGrand sage
Je vous apporte ma petite expérience qui vaut ce qu'elle vaut.
Actuellement en projet d'auto-édition (si certains veulent en savoir davantage, ça se passe dans ma signature), j'ai lancé un financement participatif, ce qui a requis un petit paquet de tâches typiques du monde de l'entreprise : demande et comparatif de devis, renseignements sur les normes, établissement d'un budget, tripatouillage de tableau Excel...).
bon toutes mes compétences requises, je les ai tirées des savoirs scolaires appris à l'école :
- le français, bien sûr, pour m'exprimer clairement et donner une image "pro" rassurante pour les prestataires
- les maths, car quand la calculette de Windows m'étonne, je refais les calculs derrière, de tête ou en les posant, ne serait-ce qu'en gros pour des ordres de grandeur. Plus quelques bribes de géométrie pour certains dessins, notamment l'étoile à 5 branche qui a des traits irréguliers en fin de compte (voulu, pour un rendu de "fait main"), mais qui s'appuie (librement, donc) sur un vrai squelette établi avec un rapporteur). J'avais bien un rapporteur dans mon bureau, mais pas utilisé depuis ma classe de seconde il y a plus de 2 ans.
- l'allemand, parce que vu les tarifs postaux français, il est plus économique, si on n'est pas trop loin, de passer par l'étranger et faire partir les colis au tarif "international" (comme finalement, le Luxembourg est plus proche est moins cher, je n'aurai pas besoin de parler allemand plus que ça, ouf, car je ne suis pas très performante en Goethe).
- l'informatique, dont j'ai suivi l'option au lycée. Alors OK, tout le monde n'a pas fait "informatique", mais deux heures hebdo pendant deux ans, ça se rattrape. Ceci étant plusieurs aspect de ce cours m'ont servi, même si j'aurais pu faire sans :en renonçant à un réglage par ci-par-là, ou en faisant davantage de calculs à la maison, donc en les recommençant au moindre changement de paramètre. Là, j'ai demandé à Excel de faire les opérations nécessaires, donc si je change le chiffre d'une case, Excel adapte le résultat du calcul immédiatement. C'est pratique.
Je ne prétends pas pouvoir accepter n'importe quel poste de n’importe quel métier juste avec mes restes de savoirs scolaires. Je veux juste signaler que nous sommes plus compétents qu'on ne le pense et qu'en fin de compte, surtout avec notre sens de la rigueur et notre ténacité.
Qu'il n'y a pas d'un côté les "savoirs scolaires" inutiles dès qu'on sort de l'école, et de l'autre, les "compétences requises pour avoir un vrai métier" ; c’est important de le dire et de le répéter, parce qu'on l'oublierait presque, à force d'entendre le bullshit à la mode dans l'institution.
Actuellement en projet d'auto-édition (si certains veulent en savoir davantage, ça se passe dans ma signature), j'ai lancé un financement participatif, ce qui a requis un petit paquet de tâches typiques du monde de l'entreprise : demande et comparatif de devis, renseignements sur les normes, établissement d'un budget, tripatouillage de tableau Excel...).
bon toutes mes compétences requises, je les ai tirées des savoirs scolaires appris à l'école :
- le français, bien sûr, pour m'exprimer clairement et donner une image "pro" rassurante pour les prestataires
- les maths, car quand la calculette de Windows m'étonne, je refais les calculs derrière, de tête ou en les posant, ne serait-ce qu'en gros pour des ordres de grandeur. Plus quelques bribes de géométrie pour certains dessins, notamment l'étoile à 5 branche qui a des traits irréguliers en fin de compte (voulu, pour un rendu de "fait main"), mais qui s'appuie (librement, donc) sur un vrai squelette établi avec un rapporteur). J'avais bien un rapporteur dans mon bureau, mais pas utilisé depuis ma classe de seconde il y a plus de 2 ans.
- l'allemand, parce que vu les tarifs postaux français, il est plus économique, si on n'est pas trop loin, de passer par l'étranger et faire partir les colis au tarif "international" (comme finalement, le Luxembourg est plus proche est moins cher, je n'aurai pas besoin de parler allemand plus que ça, ouf, car je ne suis pas très performante en Goethe).
- l'informatique, dont j'ai suivi l'option au lycée. Alors OK, tout le monde n'a pas fait "informatique", mais deux heures hebdo pendant deux ans, ça se rattrape. Ceci étant plusieurs aspect de ce cours m'ont servi, même si j'aurais pu faire sans :en renonçant à un réglage par ci-par-là, ou en faisant davantage de calculs à la maison, donc en les recommençant au moindre changement de paramètre. Là, j'ai demandé à Excel de faire les opérations nécessaires, donc si je change le chiffre d'une case, Excel adapte le résultat du calcul immédiatement. C'est pratique.
Je ne prétends pas pouvoir accepter n'importe quel poste de n’importe quel métier juste avec mes restes de savoirs scolaires. Je veux juste signaler que nous sommes plus compétents qu'on ne le pense et qu'en fin de compte, surtout avec notre sens de la rigueur et notre ténacité.
Qu'il n'y a pas d'un côté les "savoirs scolaires" inutiles dès qu'on sort de l'école, et de l'autre, les "compétences requises pour avoir un vrai métier" ; c’est important de le dire et de le répéter, parce qu'on l'oublierait presque, à force d'entendre le bullshit à la mode dans l'institution.
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- DedaleNiveau 9
Volubilys a écrit:Et en effet, l'EN ne va pas vous former à autre chose qu'au métier pour lequel elle vous paye. Aucune entreprise ne va le faire d'ailleurs. Par contre vous avez un compte formation, comme tout le monde.
Il me semble que dans le privé, tout salarié peut mobiliser son CPF à sa convenance. Dans le public, il faut l'accord de la hiérarchie. (Dans mon cas, service RH de l'université. Dans le secondaire, il faut voir du côté du rectorat je suppose.)
Si je ne me trompe pas, cela réduit quand même bien nos droits à la formation.
- VolubilysGrand sage
non, la différence est que dans le privé on le transforme en argent et que nous c'est en heure.
Si la formation a lieu pendant le temps de travail, privé ou public même combat, il faut l'autorisation de l'employeur/hiérarchie.
Si c'est hors temps de travail, l'employeur/hiérarchie n'a rien a dire.
Si la formation a lieu pendant le temps de travail, privé ou public même combat, il faut l'autorisation de l'employeur/hiérarchie.
Si c'est hors temps de travail, l'employeur/hiérarchie n'a rien a dire.
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Je vous prie de m'excuser si mes messages contiennent des coquilles, je remercie les personnes qui me les signaleront par mp pour que je puisse les corriger.
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Volubilys a écrit:non, la différence est que dans le privé on le transforme en argent et que nous c'est en heure.
Si la formation a lieu pendant le temps de travail, privé ou public même combat, il faut l'autorisation de l'employeur/hiérarchie.
Si c'est hors temps de travail, l'employeur/hiérarchie n'a rien a dire.
Et dans le public, si c'est hors temps de travail, tu n'utilises pas ton CPF !
- MichoJe viens de m'inscrire !
Bonjour. Svp comment je peux postuler pour un poste de prof en Bolivie? Merci
- Cléopatra2Guide spirituel
Mais concrètement, comment mobilise-t-on ces heures? Comment fait-on pour les transformer en formation auprès d'un organisme (ou faire un bilan de compétences)?
- SolgaNiveau 6
Je suis en train de le faire, il faut monter un dossier, produire minimum deux devis, faire une lettre de motivation. Il y a deux campagnes dans l'année pour les demandes de formation. Je ne sais pas si c'est partout pareil, en tout cas mon académie prend en charge jusqu'à 25€ de l'heure.
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Solga a écrit:Je suis en train de le faire, il faut monter un dossier, produire minimum deux devis, faire une lettre de motivation. Il y a deux campagnes dans l'année pour les demandes de formation. Je ne sais pas si c'est partout pareil, en tout cas mon académie prend en charge jusqu'à 25€ de l'heure.
Concrètement, qu'est-ce que ça signifie ?
- CléopâtreNiveau 4
Solga a écrit:Je suis en train de le faire, il faut monter un dossier, produire minimum deux devis, faire une lettre de motivation. Il y a deux campagnes dans l'année pour les demandes de formation. Je ne sais pas si c'est partout pareil, en tout cas mon académie prend en charge jusqu'à 25€ de l'heure.
Bonjour!
Ah oui, je crois qu'une réponse détaillée sur ce sujet intéresserait plus d'un lecteur de ce fil Ce serait très gentil en tout cas.
- SolgaNiveau 6
Bonsoir,
Il faut tout d'abord se connecter à "mon compte formation" et choisir le/les formations qui nous intéresseraient, car il faut que ces dernières soient éligibles au CPF. Il y a des formations à distance ou en présentiel. Sur le CPF, sont indiqués - normalement - le nombre d'heures de la formation, le tarif et autres renseignements. L'espace CPF vous indique également le nombre d'heures dont vous bénéficiez, sachant que le plafond est de 150h.
Le Rectorat demande de produire 2 devis d'organismes différents pour ladite formation. Parfois, ce n'est pas facile car les intitulés ne sont pas les mêmes ; cela demande des recherches fastidieuses, si tel est le cas...
Il faut bien faire attention au ratio heures/tarif, car certains organismes pratiquent des taux horaires délirants. Or, le rectorat ne prend en charge que jusqu'à 25€/heure. Le reste sera à payer de votre poche. Autre contrainte, le financement maximal est de 1500€ par formation, ce qui prive des formations universitaires aux alentours des 5000€...sauf si vous voulez rajouter la différence bien sûr, mais pour ma part il n'était pas question de rallonger.
Me concernant, c'est ma première demande, et je souhaite une formation en distanciel avec certification à la clé. J'espère pouvoir en faire quelque chose, au moins pour pouvoir "changer d'air", mais ce n'est pas dans l'optique d'une reconversion. Il est écrit dans le dossier "entre les lignes", qu'ils peuvent refuser deux fois la formation mais pas la 3e fois, ou difficilement...
Voilà pour l'essentiel, si vous avez des questions, n'hésitez pas
Il faut tout d'abord se connecter à "mon compte formation" et choisir le/les formations qui nous intéresseraient, car il faut que ces dernières soient éligibles au CPF. Il y a des formations à distance ou en présentiel. Sur le CPF, sont indiqués - normalement - le nombre d'heures de la formation, le tarif et autres renseignements. L'espace CPF vous indique également le nombre d'heures dont vous bénéficiez, sachant que le plafond est de 150h.
Le Rectorat demande de produire 2 devis d'organismes différents pour ladite formation. Parfois, ce n'est pas facile car les intitulés ne sont pas les mêmes ; cela demande des recherches fastidieuses, si tel est le cas...
Il faut bien faire attention au ratio heures/tarif, car certains organismes pratiquent des taux horaires délirants. Or, le rectorat ne prend en charge que jusqu'à 25€/heure. Le reste sera à payer de votre poche. Autre contrainte, le financement maximal est de 1500€ par formation, ce qui prive des formations universitaires aux alentours des 5000€...sauf si vous voulez rajouter la différence bien sûr, mais pour ma part il n'était pas question de rallonger.
Me concernant, c'est ma première demande, et je souhaite une formation en distanciel avec certification à la clé. J'espère pouvoir en faire quelque chose, au moins pour pouvoir "changer d'air", mais ce n'est pas dans l'optique d'une reconversion. Il est écrit dans le dossier "entre les lignes", qu'ils peuvent refuser deux fois la formation mais pas la 3e fois, ou difficilement...
Voilà pour l'essentiel, si vous avez des questions, n'hésitez pas
- VolubilysGrand sage
Pourquoi?CarmenLR a écrit:Volubilys a écrit:non, la différence est que dans le privé on le transforme en argent et que nous c'est en heure.
Si la formation a lieu pendant le temps de travail, privé ou public même combat, il faut l'autorisation de l'employeur/hiérarchie.
Si c'est hors temps de travail, l'employeur/hiérarchie n'a rien a dire.
Et dans le public, si c'est hors temps de travail, tu n'utilises pas ton CPF !
Ce n'est pas le principe du truc.
Et du coup tu ne peux faire aucune formation payante...
Et donc autant supprimer le CPF.
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Je vous prie de m'excuser si mes messages contiennent des coquilles, je remercie les personnes qui me les signaleront par mp pour que je puisse les corriger.
- SolgaNiveau 6
Dans le public, ce n'est pas forcément hors temps de travail, il est d'ailleurs demandé dans le dossier de spécifier les modalités de la formation, et si un congé de formation a été demandé conjointement. La circulaire privilégie d'ailleurs le contraire, mais je pense que cette préconisation s'adresse davantage aux fonctionnaires qui effectuent 35h sur site...
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Merci, c'est intéressant.
Et si une formation n'est pas dans la liste des formations éligible pour le cpf, est-il possible de demander à l'ajouter ?
L'organisme formateur doit-il nécessairement être français, par exemple ?
Edit : je vois que oui, l'organisme doit obligatoirement être déclaré en France et donner lieu à une certification dans la liste française. Exit donc les formations proposées par des universités étrangères... Ca correspond à une logique nationale des marchés de formation (qui profitent du cpf pour monter les prix) mais pas toujours à celle des salariés...
La règle des 1500 euros maximum et de 25 euros par heure maximum fait que tu ne peux pas utiliser tes 150 heures en une fois, donc et que tu es, dans les faits, bloqué à 60 heures...
Le ministère le plus mal loti est l'EN :
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F18090
Et si une formation n'est pas dans la liste des formations éligible pour le cpf, est-il possible de demander à l'ajouter ?
L'organisme formateur doit-il nécessairement être français, par exemple ?
Edit : je vois que oui, l'organisme doit obligatoirement être déclaré en France et donner lieu à une certification dans la liste française. Exit donc les formations proposées par des universités étrangères... Ca correspond à une logique nationale des marchés de formation (qui profitent du cpf pour monter les prix) mais pas toujours à celle des salariés...
La règle des 1500 euros maximum et de 25 euros par heure maximum fait que tu ne peux pas utiliser tes 150 heures en une fois, donc et que tu es, dans les faits, bloqué à 60 heures...
Le ministère le plus mal loti est l'EN :
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F18090
- SolgaNiveau 6
Pas tout à fait, c'est encore plus défavorable que cela : il s'agit bien du nombre d'heures effectif de la formation qui est à déclarer, et pas le nombre d'heures calculé sur le taux maximal de prise en charge. Si une formation demande 100h, quand bien même le tarif horaire serait de 15€, le nombre d'heures consommées sera bien 100h...CarmenLR a écrit:
La règle des 1500 euros maximum et de 25 euros par heure maximum fait que tu ne peux pas utiliser tes 150 heures en une fois, donc et que tu es, dans les faits, bloqué à 60 heures...
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Ah, ah, ah !!!
Vraiment très fort. On t'enlève ce que tu payes toi-même ! L'EN est pleine de ressources...
Alors qu'il n'y a absolument aucune raison pour cette inégalité par rapport à d'autres ministères (3500 ou 4000 euros pour la formation sans mention du nombre d'heures, cas le plus favorable). Ah, si, les 800 000 collègues qui pourraient décider de se pencher sur la question et d'essayer de faire valoir leurs droits.
Ton retour d'expérience est intéressant, en tout cas. Tu réussis à faire quelque chose d'un dispositif très bancal...
Vraiment très fort. On t'enlève ce que tu payes toi-même ! L'EN est pleine de ressources...
Alors qu'il n'y a absolument aucune raison pour cette inégalité par rapport à d'autres ministères (3500 ou 4000 euros pour la formation sans mention du nombre d'heures, cas le plus favorable). Ah, si, les 800 000 collègues qui pourraient décider de se pencher sur la question et d'essayer de faire valoir leurs droits.
Ton retour d'expérience est intéressant, en tout cas. Tu réussis à faire quelque chose d'un dispositif très bancal...
- SolgaNiveau 6
Tout semble conçu en effet pour que le dispositif soit saisi le moins possible, il faut avouer que c'est très dissuasif...Sans compter que le CDE doit aussi émettre un avis, of course...
- VolubilysGrand sage
CarmenLR disait le contraire, qu'on ne pouvait pas utiliser hors temps de travail, donc que c'était obligatoirement sur le temps de travail...Solga a écrit:Dans le public, ce n'est pas forcément hors temps de travail, il est d'ailleurs demandé dans le dossier de spécifier les modalités de la formation, et si un congé de formation a été demandé conjointement. La circulaire privilégie d'ailleurs le contraire, mais je pense que cette préconisation s'adresse davantage aux fonctionnaires qui effectuent 35h sur site...
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Je vous prie de m'excuser si mes messages contiennent des coquilles, je remercie les personnes qui me les signaleront par mp pour que je puisse les corriger.
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Au temps pour moi.
Le site officiel précise que le cpf doit être utilisé "en priorité" sur temps de travail. Ça limite la fréquence des usages hors "temps de travail" (pour payer la formation uniquement, donc), mais ne les exclut pas.
Le site officiel précise que le cpf doit être utilisé "en priorité" sur temps de travail. Ça limite la fréquence des usages hors "temps de travail" (pour payer la formation uniquement, donc), mais ne les exclut pas.
- IsidoriaDoyen
Luciano Poniatowski a écrit:Pour les concours, il n'y a absolument rien d'infamant à en passer. Seulement dans ma perspective, j'envisage le jour où ma femme voudra rentrer dans son pays et là, je ne vois pas trop ce que je pourrais faire même avec une maîtrise correcte de la langue. Je réfléchis donc parfois à me réorienter immédiatement de le privé pour m'y préparer, quand bien même l'envie n'est pas vraiment là.
Tu n'envisages pas d'enseigner au lycée français de Tokyo ? En tant que conjoint, si ton épouse a un contrat de travail dans le pays, tu serais considéré comme "vrai résident" et obtiendrais une priorité pour la sélection. Enseigner en lycée français, c'est déjà une petite bifurcation, même métier mais différemment.
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