Nos dernières lectures (tome 4)

Lo a écrit:De quoi je peux me passer?

De Quand souffle le vent du nord ! :lol:
Et tu trouveras Blog en bibliothèque. Il est très court.

Ah oui c'est nul? Quelqu'un ici en avait chanté les louanges!
Je vais aller voir en bibli lundi pour emprunter les bouquins qu'ils ont.

Lo a écrit:La cité des ténèbres, Tome 1 : La coupe mortelle - Cassandra Clare
La Princesse des glaces - Camilla Läckberg

J'aimerais bien avoir ton avis sur ces 2 là si tu les achètes. J'ai déjà failli plusieurs fois les acheter.

La cité des ténèbres, c'est YA, romance et fantasy mêlées, j'ai adoré le 1, détesté le 2, aimé le 3, et j'attends le 4 avec impatience.

Je viens de finir Le Tailleur de pierre (j'aurai pas lu la série dans l'ordre chrono mais bon) et j'ai vraiment aimé.

sérafina a écrit:La cité des ténèbres, c'est YA, romance et fantasy mêlées, j'ai adoré le 1, détesté le 2, aimé le 3, et j'attends le 4 avec impatience.

C'est pas trop "jeunesse"?

Lo a écrit:Voilà mon prochain panier:

Blog - Jean-Philippe Blondel
Miss Charity - Marie-Aude Murail
Méto, Tome 1 : La maison - Yves Grevet
La cité des ténèbres, Tome 1 : La coupe mortelle - Cassandra Clare
Quand souffle le vent du nord - Daniel Glattauer
Infinite Days - Rebecca Maizel
La Fin des temps - Haruki Murakami
Meurtriers sans visage - Henning Mankell
La Princesse des glaces - Camilla Läckberg
Hunger Games - Collins Suzanne

Sauf que...ça va me coûter une fortune. De quoi je peux me passer?

Sans ta liste, il y a le Murakami, absolument indispensable ! Et C. Lackberg, ça se lit mais sans plus, ce n'est pas très bien écrit, et les intrigues ne sont pas fantastiques non plus.
Le reste, je ne connais pas.

J'ai vu sur l'autre fil que tu hésitais pour Le Trône de fer, je me suis lancée, j'ai pris l'édition J'ai Lu qui regroupe les trois premiers tomes ; je ne regrette pas (merci Sérafina) et tu en as pour ton argent.
La Princesse des glaces, pourquoi pas, à condition qu'il soit sorti en poche.

Lu d'une traite un roman de Stéphane Audeguy qui m'avait échappé, Fils unique. En Folio.
C'est l'autobiographie (la confession ?) du frère aîné de Rousseau, dont l'auteur des Confessions ne dit pas grand chose, sinon du mal.
Non seulement c'est très drôle, mais c'est très savant. L'auteur a dépouillé toute la littérature du XVIIIème, et en a nourri son bouquin (c'est même un jeu de reconnaître telle ou telle allusion — y compris des citations directes d'œuvres modernes, ce qui est encore plus drôle). Les passages sur la rencontre du héros avec Sade sont très documentés, ses réflexions sur la Révolution (il finit très vieux, c'est toujours pratique) sont lumineuses.
Et c'est vraiment très très bien écrit, dans le style pastiche — sans y tomber tut à fait.

Nestya a écrit:

sérafina a écrit:La cité des ténèbres, c'est YA, romance et fantasy mêlées, j'ai adoré le 1, détesté le 2, aimé le 3, et j'attends le 4 avec impatience.

C'est pas trop "jeunesse"?

Peut-être un peu... Mais j'aime aussi.

Je me refais toute la série de cape et de Croc, et une série BD prêtée aussi par un copain : Fraise et chocolat.

*angie* a écrit:J'en ai commencé un hier soir...
ah la la si ma puce ne s'était pas mise à bouger dans tous les sens, me mettant presque en garde (donc j'ai préféré interrompre ma lecture pour pouvoir dormir un peu et être en forme en cas d'alerte)... je l'aurais terminé dans la nuit...

Le fameux livre, d'un auteur que j'apprécie beaucoup :



Ambiance hitchcockienne à souhait.
Le roman s'ouvre chez le fameux voisin : Colombe, le personnage principal, est venu visiter l'appartement de cet homme qu'elle ne connaît pas en son absence sans penser qu'il pouvait rentrer. La voici coincée sous son lit, sans pouvoir concevoir une quelconque fuite. Que va-t-il lui faire ??

Puis retour en arrière : Colombe Barou est une femme comme les autres, dont la vie est rythmée par les siens, ses jumeaux de 8 ans et son mari souvent en déplacement. Elle occupe ses journées en écrivant pour les autres le matin dans une maison d'édition parisienne et en s'occupant de son foyer l'après-midi et le soir. Bref une vie assez conventionnelle qui, pour le moment, lui convient.
Elle emménage dans un nouvel appartement et sa vie en est bouleversée : quel est ce voisin du dessus qui, chaque nuit, met les Stones à fond et l'empêche de dormir ? Pourquoi s'obstine-t-il à lui faire passer des nuits blanches, uniquement lorsque son mari est absent ? Les nuits blanches se succèdent, Colombe devient méconnaissable, inquiète ses proches, son patron. Elle finit par ne plus s'endormir, attendant l'heure fatidique de 3h15 où la musique sera enclenchée.
Un roman qui se lit d'une traite et que je vous conseille.

Je l'ai lu il y a trois jours (sélection de la FNAC? :lol: ).
Flippant.

Abraxas a écrit:Lu d'une traite un roman de Stéphane Audeguy qui m'avait échappé, Fils unique. En Folio.
C'est l'autobiographie (la confession ?) du frère aîné de Rousseau, dont l'auteur des Confessions ne dit pas grand chose, sinon du mal.
Non seulement c'est très drôle, mais c'est très savant. L'auteur a dépouillé toute la littérature du XVIIIème, et en a nourri son bouquin (c'est même un jeu de reconnaître telle ou telle allusion — y compris des citations directes d'œuvres modernes, ce qui est encore plus drôle). Les passages sur la rencontre du héros avec Sade sont très documentés, ses réflexions sur la Révolution (il finit très vieux, c'est toujours pratique) sont lumineuses.
Et c'est vraiment très très bien écrit, dans le style pastiche — sans y tomber tut à fait.

Comme quoi,lire est un exercice vraiment personnel:moi,je n'avais pas aimé du tout son style,que j'ai trouvé trop appuyé,limite caricatural:le mot "foutre "toutes les deux pages,même pour faire "sadien",bof.....J'ai dû loupé une dimension....

Je viens de terminer "Nos étoiles ont filé" d'A-M Revol...
La vie ne tient vraiment qu'à un fil ...

Quelqu'un connaît les romans d'Alexander McCall Smith? ça me tente bien mais est-ce que ça vaut le coup?

Nestya a écrit:Quelqu'un connaît les romans d'Alexander McCall Smith? ça me tente bien mais est-ce que ça vaut le coup?

Je n'ai lu que La douce tranquilité des samedis, sympa sans plus.
Tu t'intéresses peut-être plutôt aux enquêtes de Mma Ramotswe ?

lulucastagnette a écrit:

Nestya a écrit:Quelqu'un connaît les romans d'Alexander McCall Smith? ça me tente bien mais est-ce que ça vaut le coup?

Je n'ai lu que La douce tranquilité des samedis, sympa sans plus.
Tu t'intéresses peut-être plutôt aux enquêtes de Mma Ramotswe ?

et aussi au Club des philisophes amateurs (même série que la douce tranquilité des samedis, je crois).

Une petite fille immigrée grandie heureuse à Ménilmontant, frappée par une série de deuils familiaux, devient championne de boxe puis étudiante à Sciences Po : le parcours hors du commun d’Aya, raconté avec force et justesse par Marie Desplechin. Danbé est le résultat d’une longue conversation entre Aya Cissoko et Marie Desplechin. Quand elles se sont rencontrées chez des amis communs, le projet d’écrire une « vie d’Aya » était déjà ancien ; Aya en avait posé les grandes lignes sur le papier. Il pouvait sembler curieux, voire prématuré, de se lancer dans un récit autobiographique, quand son auteur avait tout juste une petite trentaine d’années. Mais son destin à la fois exemplaire et particulier justifiait la démarche. Fille de parents maliens venus d’un village pour s’installer à Paris, Aya connaît les conditions de vie difficiles d’une famille pauvre et déracinée. Sa petite enfance, pourtant habitée de souvenirs délicieux, prend fin dans l’incendie de l’immeuble de Ménilmontant où les Cissoko se sont installés. Aya perd son père et sa petite sœur. Moins d’un an plus tard, c’est son petit frère qui meurt brutalement, d’une méningite. Sa mère se retrouve seule avec les deux aînés, mais elle tient tête à sa famille qui lui demande de rentrer au Mali et décide de rester en France. Elle souffre d’une insuffisance rénale, qui lui vaudra dans les années qui viennent deux greffes de rein. Il en faut moins pour détruire des individus. Et pourtant. Massiré tient le cap, aidée en cela par la ténacité de ses enfants. Aya, qui a commencé la boxe française à huit ans, se révèle extrêmement douée pour ce sport. Est-ce la boxe qui sauve la jeune fille ? Ou son obstination qui fait d’elle une championne ? Passée à la boxe anglaise, elle remporte à 26 ans, en un an, tous les combats auxquels elle participe. Le dernier fait d’elle une championne du monde. Mais, blessée lors du combat, paralysée de la moitié du corps, elle apprend qu’elle a perdu en une fois tout ce qu’elle vient de gagner : elle ne pourra plus jamais boxer. Elle est tombée, elle se relève. Une fois encore. Tout est dans la dignité : le danbé en bambara.

*angie* a écrit:

*angie* a écrit:J'en ai commencé un hier soir...
ah la la si ma puce ne s'était pas mise à bouger dans tous les sens, me mettant presque en garde (donc j'ai préféré interrompre ma lecture pour pouvoir dormir un peu et être en forme en cas d'alerte)... je l'aurais terminé dans la nuit...

Le fameux livre, d'un auteur que j'apprécie beaucoup :



Ambiance hitchcockienne à souhait.
Le roman s'ouvre chez le fameux voisin : Colombe, le personnage principal, est venu visiter l'appartement de cet homme qu'elle ne connaît pas en son absence sans penser qu'il pouvait rentrer. La voici coincée sous son lit, sans pouvoir concevoir une quelconque fuite. Que va-t-il lui faire ??

Puis retour en arrière : Colombe Barou est une femme comme les autres, dont la vie est rythmée par les siens, ses jumeaux de 8 ans et son mari souvent en déplacement. Elle occupe ses journées en écrivant pour les autres le matin dans une maison d'édition parisienne et en s'occupant de son foyer l'après-midi et le soir. Bref une vie assez conventionnelle qui, pour le moment, lui convient.
Elle emménage dans un nouvel appartement et sa vie en est bouleversée : quel est ce voisin du dessus qui, chaque nuit, met les Stones à fond et l'empêche de dormir ? Pourquoi s'obstine-t-il à lui faire passer des nuits blanches, uniquement lorsque son mari est absent ? Les nuits blanches se succèdent, Colombe devient méconnaissable, inquiète ses proches, son patron. Elle finit par ne plus s'endormir, attendant l'heure fatidique de 3h15 où la musique sera enclenchée.
Un roman qui se lit d'une traite et que je vous conseille.

Je l'ai mis dans ma sélection de livres à découvrir!!

Je crois qu'on a les mêmes goûts, non, en matière de lecture ??

*angie* a écrit:Je crois qu'on a les mêmes goûts, non, en matière de lecture ??

En effet!!! :lecteur:

je voudrai découvrir Irène Némirovski : par quelle oeuvre commencer ? J'ai déjà Suite Française mais pas encore lu...
Merci

Le Bal pour commencer!

Ce sont les vacances, donc un livre très léger : The Dirt , la biographie du groupe de hard rock américain Motley Crue.

Lo a écrit:Le Bal pour commencer!

Je plussoie!!!!

(En plus, c'est très court! ça se lit d'une traite!)