Faut-il se syndiquer ?

 

Marie Laetitia a écrit:

Karine B. a écrit:

Marie Laetitia a écrit:Bon bah, les collègues qui vous plaignez de votre salaire, viendez dans l'académie de Lille ou d'Amiens. That's all, folks!

Hé oui, on ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre

Où est le beurre? Ça m'intéresse.

Peut-être dans une académie qui n'est pas la dernière de la métropole en terme de réussite des élèves ?

Karine B. a écrit:
Peut-être dans une académie qui n'est pas la dernière de la métropole en terme de réussite des élèves ?

C'est vrai : on peut être en région parisienne, avec des résultats pourris ET un prix de l'immobilier indécent !

Karine B. a écrit:

Marie Laetitia a écrit:

Karine B. a écrit:Hé oui, on ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre

Où est le beurre? Ça m'intéresse.

Tu te rends compte (ou pas?) à quel point ta réponse, appliquée aux motifs d'EU1 est... indécente?

Je considère les propos d'EU1 m'invitant à accepter de faire enfin des sacrifices est indécente (et tu remarqueras que je n'expose pas ma vie privée mais j'ai aussi une mère très malade, j'ai cependant la chance de ne pas avoir de conjoint)

Donc si je te suis, l'erreur d'EU1 est double:
- il défend le principe d'une réforme (à déterminer) qui te pourrait te demander à toi AUSSI des sacrifices (paaaas biiiien!) au lieu de faire dans plusieurs décennies les frais d'une absence de réforme
- il a une compagne.
 

Puisque le fil parle du fait de se syndiquer, ça me fait bizarre de lire que la solidarité syndicale consiste à accepter l'immobilisme et les acquis, au mépris de ce que l'avenir promet aux jeunes enseignants, à accepter la situation existante y compris en terme de salaire (parce que si je te suis, si on a du mal avec nos salaires, on n'a qu'à demander sa mut dans des académies où le coût de l'immoblier est peu élevé).

Marie Laetitia a écrit:

Karine B. a écrit:

Marie Laetitia a écrit:Où est le beurre? Ça m'intéresse.

Tu te rends compte (ou pas?) à quel point ta réponse, appliquée aux motifs d'EU1 est... indécente?

Je considère les propos d'EU1 m'invitant à accepter de faire enfin des sacrifices est indécente (et tu remarqueras que je n'expose pas ma vie privée mais j'ai aussi une mère très malade, j'ai cependant la chance de ne pas avoir de conjoint)

Donc si je te suis, l'erreur d'EU1 est double:
- il défend le principe d'une réforme (à déterminer) qui te pourrait te demander à toi AUSSI des sacrifices (paaaas biiiien!) au lieu de faire dans plusieurs décennies les frais d'une absence de réforme
- il a une compagne.
 

Puisque le fil parle du fait de se syndiquer, ça me fait bizarre de lire que la solidarité syndicale consiste à accepter l'immobilisme et les acquis, au mépris de ce que l'avenir promet aux jeunes enseignants, à accepter la situation existante y compris en terme de salaire (parce que si je te suis, si on a du mal avec nos salaires, on n'a qu'à demander sa mut dans des académies où le coût de l'immoblier est peu élevé).

 

mais enfin, ce n'est pas ce que dit karine !:shock: 

gnafron2004 a écrit:mais enfin, ce n'est pas ce que dit karine !:shock: 

Alors j'ai besoin que tu me l'expliques. Elle réfute quand même le terme de "génération sacrifiée" en disant que l'on n'a pas se plaindre de ne pas pouvoir aisément acheter une maison (puisqu'on peut demander sa mut dans une région moins chère) et de risquer en plus une retraite très très réduite. Ou alors j'ai raté un truc, ce qui est possible.

Je crois que les positions se crispent un peu en partie parce qu'on confond un peu dénoncer les manquements éventuels des politiques passées et s'en prendre à ceux qui en ont bénéficié. Je n'en vois pas l'intérêt, ce n'est pas cela qui rendra la situation des jeunes profs (dont je suis) meilleure.
On ne peut pas reprocher aux syndicats, et encore moins à Karine, de vouloir défendre ce qu'il y a de précieux pour tout le monde. (parce que finalement, ce n'est pas les acquis en soi qu'EU1 réprouve (et une bonne partie de ma génération avec), mais le fait de ne pas pouvoir avoir les mêmes... Ce n'est pas pareil...

Très bonne analyse holderfar...

je regrette que les syndicats n'aient pas eu le courage et la vision à long terme de se rendre compte qu'il faut parfois arrêter de tirer sur la corde ! quand j'entends certaines revendications, elles sont parfois, même souvent, légitimes, mais me semblent ne pas tenir compte du contexte actuel... je trouve ça dommage

Celeborn a écrit:

Karine B. a écrit:
Peut-être dans une académie qui n'est pas la dernière de la métropole en terme de réussite des élèves ?

C'est vrai : on peut être en région parisienne, avec des résultats pourris ET un prix de l'immobilier indécent !

+ 1
Bienvenue au club.

Jul a écrit:

Celeborn a écrit:

Karine B. a écrit:
Peut-être dans une académie qui n'est pas la dernière de la métropole en terme de réussite des élèves ?

C'est vrai : on peut être en région parisienne, avec des résultats pourris ET un prix de l'immobilier indécent !

+ 1
Bienvenue au club.

Ah, vous aussi ?  

Marie Laetitia a écrit:

Leclochard a écrit:

Karine B. a écrit:un retraité pourra toucher moins qu'un stagiaire s'il a 25 % de décote + 1.875 x 5 pour 5 années manquantes

 
Il faut aussi dire qu'en décalant l'âge de départ, on repousse d'autant l'âge à partir duquel il n'y a plus de décote si on n'a pas cotisé suffisamment. il faudra attendre 67 ans pour ces personnes et non plus 65 ans comme avant. Quelqu'un qui a débuté jeune peut espérer partir à 62 ans. Mais si demain, on repousse encore à 64 ou 65 ans l'âge de départ, certains mourront en activité.  

Bah? Ce n'est pas le but?

Je rappelle pourquoi l'âge de départ à la retraite a été fixé à 65 ans en 1945 ?  

Je suis à 100% d'accord avec toi. À l'origine, c'était déjà l'âge de depart était trop élevé pour que beaucoup en profitent. Le problème pour nos dirigeants, c'est que mettre directement la barre à 75 ans, ce serait une ficelle un peu trop grosse. Alors ils aménagent les règles pour rendre impossible la retraite à taux plein.

Marie Laetitia a écrit:

Puisque le fil parle du fait de se syndiquer, ça me fait bizarre de lire que la solidarité syndicale consiste à accepter l'immobilisme et les acquis, au mépris de ce que l'avenir promet aux jeunes enseignants, à accepter la situation existante y compris en terme de salaire (parce que si je te suis, si on a du mal avec nos salaires, on n'a qu'à demander sa mut dans des académies où le coût de l'immoblier est peu élevé).

Comme dirait d'autres, la propagande communication a fait son oeuvre ... J'ai heureusement eu des grands parents qui n'ont pas écouté les discours paternalistes leur expliquant qu'il fallait accepter tout pour garantir l'avenir aux générations futures (et accessoirement les bénéfices de ceux qui tenaient ces discours). Le résultat de leurs combats est ce que l'on qualifie maintenant d'immobilisme. Et bien, je préfère l'immobilisme au recul

EU1 a écrit:Très bonne analyse holderfar...

je regrette que les syndicats n'aient pas eu le courage et la vision à long terme de se rendre compte qu'il faut parfois arrêter de tirer sur la corde ! quand j'entends certaines revendications, elles sont parfois, même souvent, légitimes, mais me semblent ne pas tenir compte du contexte actuel... je trouve ça dommage

Le problème, c'est que le "contexte" est souvent mis à profit pour faire avaler les pires pilules qui soient sans que l'efficacité des dits remèdes ne soit évidente: en Allemagne, c'est tous la bouche en coeur en ce moment, tout le monde semble découvir que Hartz IV met toute une catégorie de la population dans la panade et que dans le même temps, contrairement à ce qui a été dit au moment de voter l'agenda 2010, ça n'améliore pas du tout les perspectives des jeunes générations. On découvre aussi le montant faramineux des retraites que toucheront les gens sur lesquels on aimerait tant taper ici, les 40-50 ans: 700 euros pour certains... Est-ce que ça change quelque chose pour les gens plus jeunes? Non, pas du tout! Ils n'en toucheront pas de meilleures retraites pour autant...
Ce n'est pas le rôle des syndicats de ne pas défendre les intérêts de ses adhérents au nom du "contexte" (auquel on peut tout faire dire), c'est aux politiciens de choisir les priorités.

Marie Laetitia a écrit:

Karine B. a écrit:

Marie Laetitia a écrit:Où est le beurre? Ça m'intéresse.

Tu te rends compte (ou pas?) à quel point ta réponse, appliquée aux motifs d'EU1 est... indécente?

Je considère les propos d'EU1 m'invitant à accepter de faire enfin des sacrifices est indécente (et tu remarqueras que je n'expose pas ma vie privée mais j'ai aussi une mère très malade, j'ai cependant la chance de ne pas avoir de conjoint)

Donc si je te suis, l'erreur d'EU1 est double:
- il défend le principe d'une réforme (à déterminer) qui te pourrait te demander à toi AUSSI des sacrifices (paaaas biiiien!) au lieu de faire dans plusieurs décennies les frais d'une absence de réforme
- il a une compagne.
 

Comme il a eu l'air de présenter sa situation familiale comme un inconvénient (ce que je ne demande pas, je parle de principes généraux qui doivent s'appliquer à tous, quels que soient les cas particuliers), j'ai concédé que j'étais avantagée de ce côté là, en plus d'être avantagée par mon âge et mon accession à la propriété qui découle de cet âge

Et au passage, les sacrifices, je les ai déjà faits, en temps et en charge de travail, sans compter le salaire et le coût du travail (étant donné l'argent que j'y investis, ordinateur, disque dur, livres ...), la retraite n'étant que la cerise sur le gâteau

EU1 a écrit:

quand j'entends certaines revendications, elles sont parfois, même souvent, légitimes, mais me semblent ne pas tenir compte du contexte actuel... je trouve ça dommage

je pense que tu viens d'inventer le mouvement perpétuel

Isis39 a écrit:

Babayaga a écrit:Voilà

Chez moi aussi l'immobilier est accessible !

l'immobilier accessible en période de bulle ? c'est que vous avez hérité de grand papa ou que vous acheté une ruine que vous retaperez seul ou que vous vivez dans un coin "pauvre" ou peu demandé par les plus aisés..

J'ai entendu hier à C dans l'air un économiste qui disait que de toute façon la dernière réforme avait été non seulement dépourvue d'effets positifs mais qui plus est nuisible.
De toute façon, si vous avez déjà eu des collègues de plus de soixante ans, vous avez constaté qu'ils étaient usés jusqu'à la corde, que le métier était quand même un tantinet pénible physiquement (moi le dernier kiné qui m'a dit que les profs n'avaient pas de raison d'avoir mal au dos, je l'ai invité à porter mon sac de cours et le magnétophone qui va avec, non mais). Et les jeunes ont aussi profité d'un système scolaire bien plus accueillant que moi (toilettes à la turque, salles vétustes, manuels usés jusqu'à la corde et tables des années cinquante, tellement creusés qu'il était impossible d'y écrire sans un support). Après on peut s'amuser à tout comparer, c'est infini et creux et ça permet de détourner l'attention des gens qui s'en mettent vraiment plein les poches (et ça quand vous travaillez pour vivre, ça ne peut pas être vous).
Pourquoi le point de vue des syndicalistes, qui sont confrontés au quotidien aux difficultés de leurs collègues ne serait-il pas aussi valable que celui des économistes et des politiciens, ou, pire encore, des journalistes économiques? Ils seraient donc les seuls à avoir le sens de l'intérêt personnel?

holderfar a écrit:

EU1 a écrit:Très bonne analyse holderfar...

je regrette que les syndicats n'aient pas eu le courage et la vision à long terme de se rendre compte qu'il faut parfois arrêter de tirer sur la corde ! quand j'entends certaines revendications, elles sont parfois, même souvent, légitimes, mais me semblent ne pas tenir compte du contexte actuel... je trouve ça dommage

Le problème, c'est que le "contexte" est souvent mis à profit pour faire avaler les pires pilules qui soient sans que l'efficacité des dits remèdes ne soit évidente: en Allemagne, c'est tous la bouche en coeur en ce moment, tout le monde semble découvir que Hartz IV met toute une catégorie de la population dans la panade et que dans le même temps, contrairement à ce qui a été dit au moment de voter l'agenda 2010, ça n'améliore pas du tout les perspectives des jeunes générations. On découvre aussi le montant faramineux des retraites que toucheront les gens sur lesquels on aimerait tant taper ici, les 40-50 ans: 700 euros pour certains... Est-ce que ça change quelque chose pour les gens plus jeunes? Non, pas du tout! Ils n'en toucheront pas de meilleures retraites pour autant...
Ce n'est pas le rôle des syndicats de ne pas défendre les intérêts de ses adhérents au nom du "contexte" (auquel on peut tout faire dire), c'est aux politiciens de choisir les priorités.

Le problème, c'est qu'on arrive à la situation actuelle: trop de syndicats qui réclament des choses qui pourraient être normales si ça ne faisait pas rire en dehors du métier correspondant, parce que c'est effectivement irréalisable. Dit autrement, ce n'est pas parce qu'un mot semblable a été dévoyé qu'il est à bannir. C'est le meilleur moyen de se mettre à dos le reste de la population...

Mouais. Cessons alors de réclamer de meilleures conditions de travail puisque de toute manière, une partie de la population pense que nous sommes des feignants toujours en vacances.
L'argument de l'image auprès du reste de la population peut en partie être vrai; il n'empêche qu'il sert un peu trop d'assommoir. Ca n'empêche pas que je n'irais pas chez un syndicat dont les propositions me paraissent farfelues, mais placer le "contexte" au dessus de tout le reste me semble incongru.

Leclochard a écrit:

Isis39 a écrit:

Babayaga a écrit:Voilà

Chez moi aussi l'immobilier est accessible !

l'immobilier accessible en période de bulle ? c'est que vous avez hérité de grand papa ou que vous acheté une ruine que vous retaperez seul ou que vous vivez dans un coin "pauvre" ou peu demandé par les plus aisés..

Aucun héritage, aucun apport personnel. Et je ne sais que faire un peu de déco.
Il y a des coins en France accessibles. Et mer ci pour le "pauvre".

EU1 a écrit:Très bonne analyse holderfar...

je regrette que les syndicats n'aient pas eu le courage et la vision à long terme de se rendre compte qu'il faut parfois arrêter de tirer sur la corde ! quand j'entends certaines revendications, elles sont parfois, même souvent, légitimes, mais me semblent ne pas tenir compte du contexte actuel... je trouve ça dommage

Faut arrêter là
bientôt tu vas nous dire que c'est pas bien de réclamer une hausse de salaire parce qu'il y a des pauvres malheureux en Inde
Avec des gens comme vous (toi et marie laetitia) on avancera pas et et on continuera de régresser socialement en disant amen à tous les reculs

Nos salaires sont au point mort pour 4 ans
tout augment à côté
on va bosser plus longtemps
Mais les profits du cac 40 explosent
il n'y a jamais eu autant de riches
Mais c'est aux salariés publics/privés de trinquer en souriant et en disant oui-oui...?

Isis39 a écrit:

Leclochard a écrit:

Isis39 a écrit:Chez moi aussi l'immobilier est accessible !

l'immobilier accessible en période de bulle ? c'est que vous avez hérité de grand papa ou que vous acheté une ruine que vous retaperez seul ou que vous vivez dans un coin "pauvre" ou peu demandé par les plus aisés..

Aucun héritage, aucun apport personnel. Et je ne sais que faire un peu de déco.
Il y a des coins en France accessibles. Et mer ci pour le "pauvre".

Bah, je ne t'apprends pas que les prix immobiliers de Vaucresson et celui de Lorient ne sont pas les mêmes et que cela s'explique par les revenus et la sociologie des habitants. tu crois que c'est par la volonté du Saint Esprit que les prix sont fixés ?  

Marie Laetitia a écrit:

Karine B. a écrit:

Marie Laetitia a écrit:Où est le beurre? Ça m'intéresse.

Tu te rends compte (ou pas?) à quel point ta réponse, appliquée aux motifs d'EU1 est... indécente?

Je considère les propos d'EU1 m'invitant à accepter de faire enfin des sacrifices est indécente (et tu remarqueras que je n'expose pas ma vie privée mais j'ai aussi une mère très malade, j'ai cependant la chance de ne pas avoir de conjoint)

Donc si je te suis, l'erreur d'EU1 est double:
- il défend le principe d'une réforme (à déterminer) qui te pourrait te demander à toi AUSSI des sacrifices (paaaas biiiien!) au lieu de faire dans plusieurs décennies les frais d'une absence de réforme
- il a une compagne.
 

Puisque le fil parle du fait de se syndiquer, ça me fait bizarre de lire que la solidarité syndicale consiste à accepter l'immobilisme et les acquis, au mépris de ce que l'avenir promet aux jeunes enseignants, à accepter la situation existante y compris en terme de salaire (parce que si je te suis, si on a du mal avec nos salaires, on n'a qu'à demander sa mut dans des académies où le coût de l’immobilier est peu élevé).

Que de poncifs ump-medef-ps
l'immobilisme syndical
Bah ouais on est contre la régression sociale, le syndicat il défend tes conditions de travail, il défend une revalorisation salariale parce que tout augmente sauf nos salaires
En plus on est méchant, on veut prendre aux riches qui se sont enrichis grâce au travail d'autrui

Jim, je ne pense pas que ce soit en stigmatisant des collègues ("des gens comme vous") qu'on fera avancer la discussion... 

Karine B. a écrit:

Marie Laetitia a écrit:

Puisque le fil parle du fait de se syndiquer, ça me fait bizarre de lire que la solidarité syndicale consiste à accepter l'immobilisme et les acquis, au mépris de ce que l'avenir promet aux jeunes enseignants, à accepter la situation existante y compris en terme de salaire (parce que si je te suis, si on a du mal avec nos salaires, on n'a qu'à demander sa mut dans des académies où le coût de l'immoblier est peu élevé).

Comme dirait d'autres, la propagande communication a fait son oeuvre ... J'ai heureusement eu des grands parents qui n'ont pas écouté les discours paternalistes leur expliquant qu'il fallait accepter tout pour garantir l'avenir aux générations futures (et accessoirement les bénéfices de ceux qui tenaient ces discours). Le résultat de leurs combats est ce que l'on qualifie maintenant d'immobilisme. Et bien, je préfère l'immobilisme au recul

+1000

Oui, entièrement d'accord.

D'ailleurs, j'ai l'impression que celle-ci n'avance plus guère. Chacun a ses avis, c'était intéressant de discuter avec vous même si nous avons des idées différentes.

Je vous souhaite à tous une bonne soirée